Célia et Thomas, chapitre 1 : le commencement. - histoire érotique

Elle assise là, sur cette chaise de bureau, à attendre ce qu’elle désire depuis des mois. Elle n’aurait imaginé faire ce qu’elle s’apprête à faire, avec gourmandise en plus, il y a encore trois mois. 32 ans, le corps épanoui par des années un peu folles avant d’avoir rencontrée son mari il y a 6 ans. et prête à agrandir la famille. Il aurait fallu ce déclic pour qu’ils décident d’explorer d’autres plaisirs avant de « se ranger »….
Aujourd’hui, son mâle est venu lui rendre visite à son bureau. Il avait un projet bien particulier en tête. Il s’est installé dans son fauteuil et a demandé à Guillaume, le beau gosse du service de venir. Il l’attend, le téléphone à la main. Guillaume s’approche. Thomas s’adresse à lui :- »Tiens, c’est pour toi ! » en lui tendant le téléphone.

Guillaume le prend et reçoit la confirmation de sa femme. Il rend le téléphone à Thomas qui poursuit sa conversation avec elle. Guillaume baisse sa braguette et sort son sexe déjà durci. Célia l’empoigne et le glisse dans sa bouche….



3 mois plus tôt


Cela faisait quelques mois qu’une routine s’était installée entre Thomas et Célia. Leur couple fonctionnait bien, ils étaient d’ailleurs prêts à avoir leur premier enfant. Le nouveau travail de Thomas lui occupait souvent l’esprit. Célia s’en était rendu compte et faisait autant qu’elle le pouvait pour le soulager. Cela passait par moins de reproches, mais surtout plus de sorties, et plus de disponibilités sexuelles. Après tout, comme elle disait souvent : » un homme est plus calme les couilles vides ». Et sur ce point, elle avait eu suffisamment d’expériences avec ses ex pour savoir comment faire.
Thomas était content de son nouveau travail. Plus de responsabilités et plus d’argent aussi. Ce qui le rassurait à propos de sa femme. Il s’est toujours demandé comment il avait fait pour la séduire, et surtout comment il a fait pour la garder. Lui qui est si… normal, alors qu’elle est si pétillante, sûre d’elle en tout point et indépendante. Et sur ce dernier point, son nouveau travail le rassure quant à son poids financier dans le couple. C’est mal, il le sait, mais il ne peut s’empêcher de le penser.
Ces derniers temps, il avait remarqué le comportement de « soumise » de sa femme. C’est ainsi qu’elle réglait la plupart des problèmes : le sexe ! Sa grande expérience en la matière n’arrangeait pas son complexe non plus. Au début de leur relation, il était toujours anxieux quant à ses performances sexuelles. Il ne s’abandonnait jamais, toujours à essayer de la faire jouir. Essayer d’être mieux que ses nombreux ex. Mais depuis qu’il travaille dans cette entreprise de serrurerie, elle était beaucoup plus soumise. Si il rentrait tard du travail, elle l’attendait en nuisette dans le canapé, son verre de whisky à la main. Il savait qu’il aurait le droit à une fellation avec une « finition soignée » comme elle se plaisait à dire avec malice concernant le fait qu’elle n’en laissait pas une goutte ! Il avait commencé à se laisser faire, à ne plus chercher à lui donner du plaisir mais à penser à lui, et à en prendre !
Mais la routine s’est tout de même installée. Si il rentre passé 19h, pipe/whisky. Si il est tendu ou énervé, elle offre ses magnifiques hanches pour une levrette brutale. Le vendredi, c’est soirée porno. Au début, ça lui faisait bizarre de les regarder avec elle. Lui qui avait plutôt l’habitude de les regarder en cachette pour se soulager. Il avait découvert qu’en couple, c’est comme tout seul, mais en mieux parce que c’est elle qui prend les choses en main.
Quand il avait commencé à pratiquer l’onanisme, il se sentait coupable vis-à-vis d’elle, comme si il la trompait. Mais elle n’a aucune gêne face à ça. Pour elle, c’est complémentaire. La première fois qu’ils en avaient parlé, il n’avait pas osé lui demander si elle aussi elle se masturbait. Et elle avait bien compris que ça l’aurait gêné de savoir qu’elle pratiquait très souvent. Principalement sous la douche, elle adorait mettre le jet puissant sur son clitoris. Parfois, dans le lit, pendant qu’il regardait la télé dans le salon. Une fois seulement, elle l’avait fait dans les toilettes de son bureau. Mais ça, elle aurait du mal à le faire comprendre à Thomas. Car ce n’était pas à lui qu’elle pensait à ce moment là, mais à Guillaume, le petit nouveau du service.
Il était arrivé deux semaines auparavant, chemise cintrée bleu ciel, jolie ceinture, dans un jean qui lui moulait les fesses bien rebondies. Ce qui avait marqué Célia, c’était son joli petit cul !
Elle s’était surprise à s’imaginer lui coller ses deux mains sur ces fesses d’apollon.
Durand ces deux semaines, il s’était montré très courtois, et tactile avec elle. Et elle fondait à chaque fois. C’était purement physique, mais elle était indéniablement attiré par ce beau gosse. Elle n’aurait jamais eu l’idée de passer à l’acte. Mais elle se sentait coupable vis-à-vis de Thomas. Du coup, elle s’offrait à lui avec plus de passion qu’elle n’en avait jamais ressenti le désir. Un soir, après avoir bu son sperme, Thomas n’était pas satisfait. Il était toujours préoccupé.
Célia : »ça ne t’a pas plu que je te boive ? »Thomas : »Ce n’est pas ça, c’était très bien. J’ai bien aimé ta façon de te caresser pour me faire venir. »- »Alors c’est le travail qui te préoccupe encore ? »- »Non, c’est toi ! »
Lâché comme ça, comme si ça n’attendait que ça pour être sorti. Célia s’inquiéta en repensant à l’effet du petit nouveau... Elle n’osa prendre la parole. Elle attendait qu’il se décide à la questionner. Au bout de quelques minutes de déambulation dans le salon, il se lança :- »Pourquoi tu es comme ça depuis quelques jours ? D’habitude, c’est quand tu as fait une connerie, et ce n’est qu’une soirée. Mais là ça fait presque 10 jours que ça dure ! »- »oui… D’ailleurs on n’en a jamais parlé. »- »Quoi donc ? »- »Si je couche avec un autre homme, je suis infidèle. Mais si un autre homme me plaît vraiment, mais que je ne passe pas à l’acte, Tu ressentirais une trahison ? »- »Le nouveau ? »Célia se replia sur elle-même en se tenant les chevilles. Son expression de culpabilité relevait du manga !
- »Moui... »- »Et donc ? »- »ça t’es déjà arrivé de regarder une belle fille dans la rue, mais vraiment belle, et t’imaginer la baiser ? »- »Pas trop besoin avec toi ! Et il n’y en a pas beaucoup que je trouve plus belle que toi ! »- »Et les pornos que tu regardes, c’est des lapins ???? »
Larousse illustré, édition 2021, définition de « se sentir con », photo de Thomas !

- »heu…. Oui, vu comme ça... Mais il y a une différence fondamentale : c’est que je ne croiserais jamais ces actrices ! »- »C’est pas faux ! Mais juste une question : Qu’est-ce que tu recherches dans ces actrices ? »- »toi ! Dans des circonstances… non habituelles ! »- »Je crois que c’est la première fois que tu me fais peur ! »- »Très bien, revenons-en au sujet principal ! »Thomas se déridait un peu. Le fait qu’elle ne soit pas la seule coupable le mettait dans une position non plus de victime, mais de coupable aussi. Du coup, sa colère était difficilement justifiable.
- » Et donc, ce nouveau ? »- »Ben… il m’excite ! Quand je le vois dans son jean noir, j’ai envie d’y mettre les mains ! »- »Mais c’est fini entre nous ? »- » MAIS NON ! Jamais je ne te quitterais pour ça. Il n’en vaut pas la peine. Et comme pour toi, il n’y a pas beaucoup d’hommes que je trouve mieux que toi. Je m’en suis tapé des gaulés comme des dieux grecs, membrés comme des chevaux, mais les plus beaux orgasmes que j’ai eus, c’est en m’oubliant dans ton regard. »-« T’es au courant que la psychologie Marie-Claire, ça marche moyennement chez les hommes ? »-« Tu baises comme un dieu parce que je t’aime ! C’est parce que c’est ton sperme que ça m’excite quand il dégouline sur mon visage ! »- »Je préfère la version youporn !!! »- »T’es con ! » S’exclama-t-elle dans un éclat de rire.
- »Revenons-en au sujet principal. »- »Oui. Quelles sont ces pratiques inhabituelles que tu recherches dans ces films pornos ? » - »Ha non ! Pas deux fois dans la même conversation ! Tu l’as déjà tentée cette esquive ! »- »Ha zut... »
L’ambiance s’était détendue. Célia craignait vraiment qu’il pète les plombs, mais elle a su désamorcer la situation.

- »Bon alors ? Ce nouveau ? Tu te branles en pensant à lui au bureau ! »«- »Alors non. En fait, c’est à cause de toi initialement. Tu m’avais dit que tu devais voir encore l’autre con pour un dossier qu’il avait planté. Du coup j’ai imaginé ce que j’allais te faire quand tu rentrerais du travail, pour te détendre. Et comme j’étais un peu excitée à cause de guillaume, imaginer notre soirée m’a enflammée. Je suis donc allée aux toilettes pour me calmer. C’était grisant.»- »Mais tu pensais à qui ? »- »A toi. Mais pendant un court instant il est apparu dans mes songes salaces, et votre présence à tous les deux m’a déclenché l’orgasme. »Célia avait bien conscience que c’était un gros morceau à faire accepter à Thomas. Lui qui a si peu confiance en lui…- »Mais quand même, j’aimerais savoir ce que tu recherches dans tes pornos ! »- »A peu près la même chose que toi, mais avec une seconde femme. » Dit-il tout penaud.
- » Ha oui ? » Célia s’approcha de lui, en marchant à quatre pattes. Arrivée à son hauteur elle lui caressa l’entrejambe : »Et qu’imagines-tu avec elle dans cette situation ? » Elle commença à lui ouvrir sa braguette.
- »Je la verrais bien se glisser derrière toi et te caresser les hanches en se dodelinant contre tes fesses. »Célia retira le sexe de Thomas de sa bouche et lui demanda en se déhanchant : »Tu aimerais que ses mains glissent sur mes fesses ? » - »Glissent dessus, mais aussi entre, pour disparaître dans ton entrejambe. »- »Et elle me branlerait ma petite chatte mouillée ? »- » Et elle t’y glisserait deux doigts. »Célia se jeta en arrière, sur le dos. Elle écarta les jambes et se glissa deux doigts dans sa vulve dégoulinante de plaisir : »Comme ça ? »
Thomas s’allongea sur elle et glissa sa verge le long des deux doigts masturbateurs : »Oui, comme ça. » Célia se stimula le point G pendant que Thomas l’emplissait de sa belle queue. Elle eut un orgasme puissant et long.
- »Mon dieu que c’était bon. Tu mérites d’avoir la plus belle des salopes au bout de ta queue ! Que veux-tu me faire ? Baise-moi comme tu veux ! »- »Viens. Allons dans la chambre ! »- »Pourquoi la chambre ? »Thomas s’élança dans l’escalier : »Parce que j’ai besoin de ton sextoy ! »
Célia fut très surprise, car d’habitude il n’aime pas son vieux gode car il a des dimensions plus avantageuses que les siennes. Elle le rejoignit dans la chambre, il était déjà adossé sur la tête de lit en train de se masturber avec dans l’autre main, son gode.
- »Voyons voir si tu aimerais un plan à trois avec un autre homme. Mets-toi à quatre pattes et suce moi jusqu’au bout ! »- »Tu ne perds pas de temps toi ! »
Célia monta sur le lit et lui offrit son cul. Elle le prit en bouche et le suça langoureusement. Thomas caressa sa vulve avec le gode, le faisant glisser entre ses lèvres et sur le clitoris. Célia commença à tortiller ses hanches pour accentuer le mouvement. Il lui glissa doucement le gode dans son vagin ruisselant. Elle poussa un gémissement et se mit à le sucer avec plus de gourmandise. Thomas accéléra le mouvement et l’amplitude de la pénétration. Il finit par le rentrer entièrement. La paume de sa main tapait sur son clitoris. Célia s’enflammait sur place. Elle se mit à le branler pour provoquer l’orgasme. Il n’a pas fallu longtemps avant que le sperme emplisse sa bouche. Elle avala tout, puis repris sa fellation pour en boire jusqu’à la dernière goutte. Thomas ralentit le rythme puis sortit le gode.
Célia se lova sur le torse de Thomas : »C’était bon ! Tu as aimé me goder ?»- »oui, mais en fait, je me suis imaginé que tu te faisais prendre pendant que tu me suçais. Et ça m’a pas mal excité. Par contre, je ne sais pas si je prendrais autant de plaisir si c’était vraiment un autre homme qui te défoncerait ! »- »Pareil. J’ai imaginé que c’était un autre homme, et ça m’a bien excitée. Mais je ne suis pas sure d’avoir envie tout de suite de passer à l’acte. »