Semaine à Paris, jour 2

- Par l'auteur HDS BPG -
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Récit libertin : Semaine à Paris, jour 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-04-2022 dans la catégorie A dormir debout
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Semaine à Paris, jour 2
Jour 2
Thomas proposa à clémentine de l’accompagner jusqu’à la station de métro.
Ça lui ferait un changement de plus, mais il trouvait ça plus rassurant pour elle.
Ils séparèrent dans le hall car chacun prenait une direction opposée.
Ils descendirent sur leur quai respectif, et se regardait en souriant et s’envoyant des sexto.
Thomas promena son regard sur la foule sur le quai d’en face, pour voir s’il y avait de belles parisiennes à reluquer. Et là, il fût pris d’un doute.
Il demandé par message à Clémentine : «dis-moi, ton bellâtre, c’est pas le mec devant le panneau de pub sur ta droite, à 30m environ ? »Clémentine regarda sur sa droite, et après quelques secondes de recherche se mit à rougir de nouveau.
Elle regarda son mari et acquiesça de la tête. Thomas dégaina son portable et lui écrivit :- « Et bien dis donc, c’est pas la merde ton fantasme : on dirait Rolo, mais en cadre sup.
L’évolution niveau 2 de M.Gray ! »- « j’allais pas te faire cocu avec un tromblon non plus ! Je fantasme sur du haut de gamme. »- « ouais ben ton haut de gamme s’approche de toi. Allez courage ma croquette.
Ecoute tes pulsions et profite ! C’est un ordre. »- « et tu veux qui me prenne en levrette sur le quai ou j’attends d’être dans la rame pour le sucer ??? »- « Tu l’a connu sur des frottements sans parler, alors reste là-dessus. Ce sera pas mal déjà.
Bisouxxx, à ce soir ma cochonne ! :-p »Les métros arrivèrent en même temps. Thomas monta dans sa rame et regarda sa femme se faire suivre par le cadre sup’. Les métros se quittèrent.
« Des frottements sans parler ». Clémentine s’imagina revivre l’expérience de la veille, mais en étant parfaitement consciente de ce qu’il se passait. Et si c’était vraiment un pervers ? de toute façon avec la foule qu’il y avait, elle ne risquait pas grand-chose.
Et la sortie de métro était juste en face de son centre de formation.
Donc pas de risque non plus de se faire suivre. A la station suivante, la danse pour laisser sortir les voyageurs commença. Et ce faisant, l’inconnu se trouva plus très loin de Clémentine.
Ils se tenaient à la même barre. Il lui souriait avec un air un peu interrogateur.
Elle répondit avec un large sourire, pris son courage à deux mains et se blottit dos contre lui.
De sa main gauche, qui tenait la barre, elle tapota son alliance sur le métal pour le faire résonner.
L’inconnu comprit de suite le message, car il fit glisser sa main gauche pour lui montrer qu’elle n’avait pas d’alliance. De toute évidence, ce n’était pas son trousseau de clé, ni son téléphone portable, ni quoique ce soit d’autre qu’une belle verge qu’elle sentait gonfler sur ses fesses.
- « Bonjour, Je m’ap-- « Non, je ne souhaite pas converser avec vous. » dit-elle, d’un ton un peu sec, mais en se retournant légèrement afin de faire glisser ses fesses sur son pantalon.
- « Excusez-moi de vous avoir importuné Mme. » Dit-il d’un ton aimable, mais en faisant glisser sa main sur sa fesse. Clémentine se cambra légèrement pour accueillir sa main et regarda brièvementautour d’elle. Personne ne pouvait voir la main baladeuse ni la fesse offerte. Elle resta calée contrel’inconnu tout en contractant les muscles de ses fesses pour créer des caresses sur cette verge bien gonflée. Il laissa promener sa main baladeuse sur ses hanches. A chaque fois qu’il y avait un mouvement de foule à cause du métro, ils en profitaient pour se frotter l’un à l’autre plus intensément encore.
Le voyage était d’une intensité inouïe. Jamais Clémentine n’avait ressentie une telle tension sexuelle, sans qu’il y ait de sexe en plus ! Et jamais elle n’aurait pu croire qu’elle vivrait cela avec un inconnu, en public qui plus est. Cela n’avait rien à voir avec les attouchements dans le train ou dans le restau. C’était complètement différent. Ça n’aurait pas pu marcher aussi bien avec Thomas. C’était donc ça qu’il recherchait dans ses pornos ou sa quête du pluralisme ?
Arrivé à sa station, elle se retourna vers son « amant » et lui dit : «Bonne journée, à ce soir. » Et elle se jeta sur le quai. Par acquis de conscience, elle vérifia qu’il ne la suivait pas.
Mais il était bien resté accroché à la barre. Elle téléphona directement à Thomas pour lui expliquer ce qu’il venait de se passer. Il était très fier d’elle et évidemment très excité. Mais une pour fois, elle aussi. Il lui conseilla d’aller se masturber dans les toilettes de son centre.
Mais l’influence de son mari s’arrêta là, et elle préféra aller en formation. Au bout de trente minutes de cours, elle finit par admettre que la proposition de son mari était loin d’être farfelue, car de toute évidence, elle n’arrivait pas à redescendre de son nuage. Et qu’un bon orgasme aurait évacué tout ça. Elle choisit tout de même sa façon : se concentrer sur cette formation inutile.

La journée fût longue, malgré les sexto de son mari. Elle se résigna à ne pas écouter tous les bons conseils de son mari pervers. Mais il ne faisait rein pour la calmer en tout cas. Et elle était de plus en plus impatiente que cette journée finisse. Elle croyait que c’était cette formation qui l’ennuyait, mais en fait elle avait de s’engouffrer dans le métro pour continuer les préliminaires avec son amant, et poursuivre avec son mari dans la chambre.
Quand elle arriva enfin sur le quai, elle vit que son inconnu l’attendait. Tout comme ce matin d’ailleurs. Car la première fois qu’elle l’avait vu, il était déjà dans le métro quand elle y était montée. Et il y était resté quand elle en était descendue. Donc s’il était là, c’était pour elle. Prenant son courage à deux mains, elle s’approcha de lui par derrière, et glissa sa main dans le creux de son coude. Elle le regarda, il lui sourit, ils ne dirent rien. Ils attendirent le métro.
Il était parfaitement bondé. Exactement ce dont ils avaient besoin. Ils montèrent et s’installèrent contre la porte d’en face. Il se positionna dos à la porte, et elle, contre son torse. Il se tenait à une barre, et la tenait de sa main libre posé sur son dos. Elle déboutonna son manteau, puis sa veste. Elle caressa son torse, titilla légèrement ses tétons avec ses ongles. Mon dieu qu’il était bien gaulé ! Un sportif de toute évidence ; Des pectoraux bien fermes, qu’il devait certainement contracter pour le mettre en valeur. Mais cette tablette de chocolat. Clémentine mouilla sur place.
Ce torse…. Thomas était bien gaulé, mais ce n’était pas un sportif aussi bien taillé que cet inconnu.
Clémentine sentait sa verge gonfler contre son ventre. Elle glissa sa main sous la ceinture et empoignât la bosse qu’elle massa tendrement. Le métro arriva à sa station. Elle descendit en souhaitant une bonne journée à son inconnu, et en l’invitant à se revoir ce soir dans le métro. Elle téléphona de suite à Thomas pour lui raconter sa nouvelle expérience. Il était comme un fou ! tout excité de la perversité de sa femme. En rangeant son téléphone dans la poche de son manteau, elle sentit un papier qu’elle n’y avait pas mis ce matin. Elle le retira et découvrit une petite enveloppe avec inscrit d’une belle écriture : «pour ma belle inconnue » Elle l’ouvrit et lu le petit message : «Bonjour belle inconnue, nos entrevues me mettent dans un état d’excitation intense. Je respecte votre désir de silence, ainsi que les liens de votre mariage. Mais si vous voulez plus, je vous laisse mon numéro xx xx xx xx xx. Tendrement, votre inconnu. »Elle rangea l’enveloppe dans son sac, sans trop savoir quoi faire de cette information précieuse : son numéro. Elle était un peu paniquée à l’idée de le contacter ; Et cette absence d’échange verbal rendait les rencontres tellement plus intenses qu’elle ne voulait pas tout gâcher. Et puis ne nous leurrons pas, Thomas proposera de suite un plan à trois ! Elle prit le message en photo et l’envoya à son mari pour qu’il en prenne connaissance. C’était plus facile que de le recopier. C’et après coup qu’elle s’est aperçu de son erreur : donner à Thomas le numéro de cet inconnu ! Il serait capable de le contacter pour l’inviter à venir la baiser…. Elle précisa donc à son mari qu’il avait interdiction de le contacter. C’était son amant ! Pas touche !
Dans la journée, elle prit la peine de rédiger un petit mot pour clarifier la situation : «Bonjour bel inconnu, Sachez que vous m’obtiendrez rien de moi en dehors de la rame de métro. Et notre aventure s’arrêtera jeudi soir. Votre belle inconnue excitée de vous retrouver. » Thomas valida le texte.
La journée de formation achevée, elle fila dans le métro pour retrouver son amant. Il l’attendait sur le quai. Elle glissa de nouveau sa main dans le creux de son coude et attendirent en silence le métro. Quand il arriva, ils s’installèrent au fond d’une rame, dans un angle. Personne ne pouvait voir ce qu’il se passait entre eux deux. L’inconnu était dos au mur, et Clémentine s’était mise dos à lui. Et elle ouvrit légèrement le pli d’aisance de son manteau pour que ses fesses soient collées contre lui. Il glissa une main sous son manteau et les lui caressa discrètement.
Délicatement, il releva sa jupe et lui caressa la peau. Rapidement il prit conscience qu’elle ne portait pas de culotte. De même que ce n’était pas un collant mais des bas qu’elle portait. Sa grandetaille ne lui permettait pas de descendre plus bas que le haut des fesses. Mais ça suffisait amplement à exciter Clémentine. Après une danse de voyageurs, elle en profita pour glissa son bras dans son dos, et caressa la verge de son inconnu à travers son pantalon. Délicatement, elle fit descendre la braguette, et glissa sa main dans le pantalon. Le tissu du caleçon était si fin et délicat qu’elle pouvait sentir les détails de cette verge majestueuse.
La prochaine station était la sienne. Elle retira sa main, réajusta sa jupe et son manteau, puis se retourna vers son inconnu. Elle posa sa main sur sa joue, le pouce sur sa bouche pour l’empêcher de parler. Discrètement elle glissa l’enveloppe dans la poche de son manteau puis lui dit dans l’oreille : «demain, ne mettez pas de caleçon. » Puis elle descendit de la rame. Comme d’habitude, elle décrocha son téléphone et raconta tout à Thomas. Il était tout autant excité qu’elle. Et très surpris de sa demande pour demain.
- « Au fait, ça ne te dérange pas si je me masturbe en rentrant à l’hôtel ? J’ai vraiment besoin de me soulager de toute cette tension sexuelle. »- « Je t’en prie ma croquette. Et n’oublie pas de te filmer. Je ne rentrerai pas aussi tard qu’hier.
 Donc garde un peu d’énergie pour moi aussi ! »- « t’inquiètes pas pour ça, ce soir je suis à ta disposition. J’ai besoin de sexe. »- « Parfaite ! Tu es parfaite ! »- « A se demander pourquoi tu tiens tant à me partager avec d’autres alors ? »- « ça n’a rien à voir. » Arrivée à l’hôtel, elle se dit que le bain, le champagne et le pétard, c’était pas mal du tout pour l’orgasme. Mais peut-être pas toute la bouteille ce coup-ci. Bien sûr, elle prit Mister R pour l’orgasme. Mais suite à la soirée d’hier avec Thomas, elle se laissa tenter aussi par un petit vibro qu’elle utilisa pour l’anal. Elle avait réussi à caler en toute sécurité son portable qu’elle laissa filmer pendant toute la préparation. Elle retira un peu de mousse afin que Thomas puisse voir un peu mieux quand il visionnera le film. Elle posa ses jambes sur chaque bord de la baignoire, et glissa ses mains pleines dans l’eau. Elle commença par le petit, une fois en place, elle s’attaqua à Mister R. cette double stimulation et pénétration la fit partir en vrille complètement. L’orgasme était d’une telle puissance qu’elle eut du mal à retrouver son souffle.
Elle avait déjà pratiqué la double aussi bien avec deux sextoys qu’avec Thomas et un sextoy.
Mais cette fois-là, elle avait clairement imaginé son mari et son amant qui la prenaient.
C’était cette petite nuance qui avait fait toute la différence. Et elle entendait déjà son mari qui lui dirait : «mais t’es prête pour un plan à 3 alors ! » Mais non. Pas encore.
Thomas arriva quand Clémentine était en train de se rincer. Elle lui proposa de venir dans la baignoire se faire laver par ses soins. Les vêtements ont volé dans la salle de bain !
Il adorait regarder sa femme le laver sous la douche. Elle promenait ses mains savonneuses partout et avec une certaine adresse. Elle utilisait toutes les parties de son corps pour le savonner. Il prenait toujours un grand plaisir à la laisser faire. Et ce soir-là, Clémentine ne manqua pas à sa réputation. Elle lui offrit un spectacle hors du commun. Elle finit par le faire jouir, comme promis, dans sa bouche.
- « Va regarder la vidéo pendant que je me maquille. »- « Même si je viens de jouir, je crois que je vais tout de même me masturber ! »- « J’espère bien ! C’est tout de même pour ça que je me suis filmée. »Clémentine finit de se préparer dans la salle de bain tout en entendant son mari dans la chambre qui lâchait de temps en temps des salacités à son propos. Sa vertu en prit pour son grade mais ayant encore le goût du sperme de son mari dans la bouche, elle ne pouvait pas lui en vouloir.
La vidéo fût plus courte que son temps de maquillage. Thomas sortit fumer en attendant. Clémentine sortit de la salle de bain et s’habilla sensuellement de bas, porte-jarretelles et escarpins.
Et c’est tout. Elle sortit sur le balcon, se mis accroupie devant son mari et le prit de nouveau en bouche jusqu’à ce qu’il finisse sa cigarette.
- « Va me chercher ce que tu veux que je porte ce soir. »- « J’ai déjà une idée bien précise de ce que tu vas porter. »Il revint avec une jupe fendue noire et un pull décolleté. Clémentine s’était appuyée sur la balustrade du balcon sans trop se préoccuper si on pouvait la voir. De toute façon, même si quelqu’un la voyait, personne ne la connaissait ici. Elle laissa son mari faire glisser la jupe de long de ses jambes. Les caresses et autres débordements furent légion. Il lui enfila son pull tout en prenant soin de bien caresser ses seins quand il passa le tissu dessus. Puis elle se cambra en avant pour offrir ses fesses à son mari. Libre à lui d’en faire ce qu’il veut. Et il choisit de les embrasser, les lécher, les écarter pour mieux recommencer. Elle ne s’était pas aperçu qu’il avait ramené la boite à sextoy. Il en profita pour lui installer son plug, puis son œuf. Elle était parée pour la soirée.

Ils ont commencé la soirée dans un bar du quartier. Les fauteuils étaient larges, permettant à Clémentine d’écarter les jambes, façon « Basic instinct ». Thomas s’amusait avec la télécommande de l’œuf et finit par la faire jouir, en silence. Ils poursuivirent la soirée dans un restaurant similaire à celui de la veille. Thomas ne pris même plus la peine de cacher la télécommande dans sa poche. Il la posa sur la table. Après tout, c’était juste une télécommande avec deux boutons qui pouvait très bien servir à ouvrir une porte de garage. Le repas se passa très bien. Ce coup-ci, Clémentine avait bien la tête à ce qu’elle faisait. Ils s’amusèrent aussi à se toucher ou faire vibrer l’œuf quand le serveuse sexy venait à leur table, mais en toute discrétion. Elle finit d’empiler les assiettes, et son regard se posa sur la télécommande, puis sur Clémentine. Et avec un petit sourire charmeur elle dit :- « J’adore ce modèle aussi ! » Et elle appuya sur le petit bouton ‘‘+’’ augmentant ainsi la puissance à 4, ce qui était bien élevé pour rester discret. Clémentine se contracta d’un seul coup, puis jeta sa main sur la télécommande pour en baisser la puissance. Et elle répondit à la serveuse, avec un sourire malicieux :- « Je regrette juste qu’il ne soit pas plus discret à ce niveau-là. »- « Je vous amène l’addition. »
Thomas n’en revint pas de ce qu’il venait de se passer. Clémentine pouffa de rire en voyant son regard d’ahuri.
- « t’enflamme pas, ça n’ira pas plus loin ! »- « C’est bien dommage, je vous aurai bien vu vous amuser toutes les deux. »- « Et elle n’a fait ça que par amusement. Ce n’était pas une invitation à un plan à 3 »- « Ah oui ? Et Je peux savoir pourquoi elle a laissé son numéro de téléphone avec l’addition alors ? » Dit-t-il en lui montrant le ticket. « Désolé, mais je le garde aussi celui-là » Et il dégaina son téléphone pour l’enregistrer.
- « Et tu n’en feras rien mon amour. »- « Il vaut mieux l’avoir et ne pas en avoir besoin que l’inverse. »
Après une promenade dans Paris, ils retournèrent dans leur chambre pour finir la soirée.
Thomas avait une idée très précise de la suite des évènements :- « Mais ça t’a pas suffi la pipe sous le proche et le coït dans l’impasse ? »- « Ce n’était pas une mise en bouche pour la soirée ? » répondit-il avec malice.
- « Toi alors, je te jure. Bon je vais enfiler quelque chose de plus adapté. Trouve-nous un porno en attendant. » Thomas se rua sur l’ordinateur et l’alluma. Clémentine l’entendait de la salle de bain qui pianotait sur le clavier. Elle entendit aussi son téléphone :- « ça concerne les enfants ? » quand même… il ne faudrait pas les oublier ceux-là !
- « non, la serveuse ! »- « QUOI ? mais je t’avais dit de ne pas la contacter ! »- « Mais j’ai juste décliné l’invitation par politesse. »- « T’aurai rien dit, elle s’en serait douté toute seule. »- « Certes, mais au bout de combien de temps d’incertitude ? Ce n’est pas correct. Et désolé si j’ai reçu une bonne éducation. Et puis j’ai été très courtois dans mon premier message, écoute :’’Bonsoir jolie serveuse sexy, nous vous remercions de l’intérêt que vous nous portez, mais malheureusement nous ne jouons pas encore à plus de deux. Nous vous souhaitons une bonne soirée.’’ Tu vois, j’ai été courtois. »- « On dirait une lettre de refus d’un DRH ! »- « oui, mais sa réponse ressemble à une lettre de motivation d’une secrétaire dans un porno ! »- « Qu’est-ce qu’elle dit ? »- « ‘’Dommage, j’aurai bien voulu que vous vous amusiez avec eux !’’ En joignant une photo de son décolleté. Tiens, elle n’a pas la même tenue que tout à l’heure. »- « Fais voir ! ha oui… elle est chaude la serveuse. Tiens, montre lui que tu n’as pas besoin d’elle pour t’amuser. » Clémentine ouvrit légèrement la veste de sa nuisette pour dévoiler ses seins à peine cachée par la nuisette. Thomas shoota sans demander son reste et envoya la photo à la serveuse. La réponse ne se fit pas attendre longtemps, et la soirée commença. Tout compte fait, ils s’amusèrent à s’échanger quelques photos, puis de courtes vidéos et enfin ils se rencontrèrent en visio sur un site sécurisé. Ils avaient déjà fait ça, mais en portant des masques. Mais comme la serveuse connaissait déjà leur visage ainsi que le nom du détenteur de la carte bleue qui avait payé le restaurant, ce n’était plus la peine de prendre autant de précautions. LA soirée se passa bien.
Cette jeune femme était aussi adepte de sexe en virtuel. Ils décidèrent de garder contact avec elle pour d’autres soirées chez eux. Tout compte fait, ça avait été plus sympa que le film.
- « Juste une question, nous n’en sommes qu’à notre deuxième jour sur Paris, et j’ai eu 4 relations d’attouchements avec un inconnu et une soirée de sexe virtuel avec une serveuse. Comment va finir cette semaine ? »- « Tu veux que je regarde si il y a un établissement libertin qui organise des gang-bang ? »- « c’est vrai que j’avais précisé pas de plan à trois mais pas à 15. Mais non ça ira, j’arriverai à survivre sans connaître cette expérience. »- « Dommage ! »

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