Semaine à Paris, premier jour.
Récit érotique écrit par BPG [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-04-2022 dans la catégorie A dormir debout
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Semaine à Paris, premier jour.
PrologueClémentine et Thomas étaient ravis de la semaine qui arrivait. Ils allaient enfin passer une petite semaine tous les deux sans leurs deux enfants. Ils avaient quittés leur petite maison de village exigüe pour 4 jours et 5 nuits sur Paris. Bon, certes pour une formation pour Mme et un séminaire pour M. Mais ils avaient pu s’arranger avec l’hôtelier pour avoir une petite suite romantique au lieu de deux chambres séparées. En plus, ils avaient prévu un joli budget pour sortir chaque soir et faire du shopping dans la capitale. Une semaine en amoureux, sans contraintes familiales ! Le rêve qu’attendait Clémentine depuis la naissance de l’aîné.
Dans le TGV, ils étaient installés dans un carré au fond d’un wagon presque désert. Dommage qu’il ne le soit pas, car Clémentine avait hâte de faire quelques cochonneries à son mari. Mais un voyageur était assis dans le carré juste à côté du leur. Du coup, Clémentine envoyait des sextos à Thomas, lui décrivant ce qu’il aurait pu lui faire dans ce wagon, ou ce qu’il va lui faire à l’hôtel tout à l’heure…. Clémentine aimait bien chauffer son mari. Et il était toujours très réactif.
Quand le voyageur dérageant se leva, Clémentine n’attendit même pas qu’il se fût éloigné pour retirer ses escarpins et glisser ses pieds entre les jambes de son homme. Vu les échanges écrits préalables, il était déjà bien dur. Elle lui caressa sa verge et ses testicules, à travers son pantalon, du bout de ses pieds, jusqu’à ce que le voyageur revienne dans le wagon.
Cette semaine commençait bien !
Arrivé à l’hôtel, Clémentine voulut visiter la petite suite. Mais Thomas la poussa sur le grand lit, et commença à glisser ses mains le long de ses jambes.
- « Hé, mais on n’a même pas visité la salle de bain ! »- « ça t’a amusé m’exciter dans le train ? Maintenant assume la bête que tu as réveillée ! »La Bête ! Ce n’est pas loin de la vérité. Thomas était très branché sexe. Et Clémentine aimait bien se laissait faire par son mari. Enfin, c’est qu’elle lui laissait croire en lui obéissant promptement à ses injonctions sexuelles. Il aimait bien être le mâle dominant. Mais il était totalement sous le charme de sa femme et elle savait en abuser ! Mais jamais à mal. Par exemple, quand elle avait cassé le clignotant de la voiture, plutôt de laisser la place à une dispute, elle a attendu que les enfants soient couchés pour se présenter à son mari en tenue de collégienne, réclamant sa punition pour sa bêtise. Forcément, ça lui a couté une fessée, puis une mise à disposition de son corps pour qu’il en profite à sa convenance. Le lendemain matin, il l’a amené à son travail avec sa voiture abimée, puis s’est occupé de la faire réparer dans la journée, puis est retourné cherché Clémentine en fin de journée au travail. Elle lui a fait une pipe au volant, et se sont arrêtés dans un chemin de terre pour baiser sur le capot. Pas de dispute, pas de reproche, pas de désagrément. Il avait tout géré et était presque impatient qu’elle casse de nouveau quelque chose sur la voiture ! Voilà comment elle pouvait abuser de son pouvoir sur son mari. Rien de bien méchant.
Donc la Bête était réveillée, et Clémentine n’en était pas mécontente. Elle e cambra pour accueillir les mains de son mari qui releva sa jupe, découvrant ses fesses rondes. Il sortit son sexe et la pénétra sans autre forme de préliminaires.
- « J’avais pensé le faire sous la douche ! »- « je me vide juste en toi ! Puis après on fera tout ce que tu voudras, comme tu voudras ! »- « Ok, alors vas-y, branle-toi en moi ! » quelques minutes de mise à disposition de son corps pour être la maitresse de toute la soirée et avoir un gentleman à son service…. La semaine va bien se passer.
Et en effet, une fois la bête satisfaite, il ne restait plus qu’un docile mari. Ils allèrent prendre une douche ensemble, et il était à ses petits soins. Il la lava de la tête au pied, en insistant bien sûr sur l’entrejambe. Il était à genou devant elle, et faisait glisser la fleur de bain sur son corps. Elle se sentait comme une reine avec son esclave. Après un cunnilingus jouissif, ils sortirent de la douche et il la sécha avec l’épaisse serviette de l’hôtel. Puis il l’habilla des vêtements qu’elle choisit. Thomas avait toujours envie de la caresser, de la lécher… l’habillage pris du temps. Mais ils finirent par être prêts pour le restaurant.
Ils avaient déjà choisi tous les restaurants qu’ils allaient faire. Ils n’avaient retenu qu’un seul critère, non pas la carte, le style culinaire, ou encore le prix. Non, c’était la présence de grandes nappes sur les tables qui tombaient jusqu’au sol ! Ils voulaient jouer à table et en toute discrétion. Chose qu’ils n’ont jamais pu faire chez eux. Le résultat fût à la hauteur de l’attente. Thomas était ravi de son repas ! Il s’est fait discrètement branler par les pieds de Clémentine pendant que la jeune et magnifique serveuse lui parlait. Même si la petite serveuse ne faisait aucun effet sur Clémentine, ce n’était pas le cas de Thomas qui remit le couvert avec son désir de pluralisme. Mais Elle sût détourner ses attentions du sujet en abordant celui des sexshops de la capitale ! Ils avaient prévu de faire des essayages coquins, et cette idée a fait oublier le plan à trois avec la serveuse !
Le retour à l’hôtel a été mouvementé. Elle n’aurait jamais dû mettre l’œuf vibrant avant de sortir du restaurant. Thomas n’arrêtait pas jouer avec la télécommande. Clémentine avait la vulve en feu ! Elle a craqué dans l’ascenseur et s’est jeté sur lui. La pipe fût courte car leur suite était au deuxième étage.
Heureusement qu’elle avait des dessous sexy car elle n’avait pas envie de se changer. Elle voulait son homme, son mâle, sa bête !
Jour 1
En se dirigeant vers la station de métro pour aller à sa formation, Clémentine repensa à sa soirée avec Thomas. Ça faisait si longtemps qu’elle n’avait pas passé une soirée comme celle-là. La conception du cadet peut-être même ! Elle avait un peu de mal à son anus. Le choix du gode avait un peu trop ambitieux. Mais elle ne pouvait pas en vouloir à Thomas de s’être laissé emporter par l’excitation de tenter la double pénétration.
Elle s’engouffra dans la bouche de métro et ressentit cet effluve particulier de l’air vicié, chaud, et les odeurs de cette foule. Elle se laissa plus ou moins guidé par la foule, tout en essayant de suivre les panneaux directionnels. En quelques minutes elle était dans une rame bondée. La dernière fois qu’elle était aussi collée à des gens c’était au concert des Guns quand elle n’était pas encore mère.
Elle agrippa son sac à main, et colla ses coudes sur les poches de son manteau. Elle mit son écharpe sur son nez. Elle n’avait de cesse de faire attention aux autres. Mais à la deuxième station, quand seulement deux voyageurs sont descendus pour une quinzaine qui sont montés de force, elle arrêta de stresser et se laissa porter par la foule. Ça lui déclencha un sentiment bizarre de lâcher prise.
Dans la vitre de la porte, elle vit le reflet de l’homme qui se tenait juste derrière elle. Un beau quadra, cadre sup vu son manteau, belle carrure. Et vu la promiscuité dans ce wagon, elle pouvait sentir qu’il n’avait pas de brioche ! Quand elle s’aperçut qu’elle devait descendre à la prochaine station, elle pivota sur elle-même, sans se rendre compte qu’elle se frotterait sur le beau quadra. Elle croisa son regard un peu malicieux, et elle prit conscience qu’elle avait senti une bosse contre elle ! Outrée, elle fusilla du regard l’inconnu dont la physionomie changea brutalement celle que pourrait avoir un enfant de 8 ans qu’on a pris sur le fait ! Clémentine sortit rapidement du wagon en jetant un œil pour voir s’il la suivait. Il était resté accroché à la barre et la regardait partir interloqué.
Clémentine passa la matinée à se demander ce qu’elle avait senti. Etait-ce bien son sexe ? Ou tout simplement la boucle de son manteau, ou son portable, ou son trousseau de clé, pourquoi ce serait son forcément son sexe. Elle voyait mal un homme classe être un vulgaire frotteur de métro. Elle n’osa pas en parler à Thomas par texto. Elle finit la journée en essayant de se concentrer sur cette formation inutile. Mais son chef voulait qu’elle la fasse pour justifier sa promotion. Même s’il aurait préféré la justifier autrement. Mais même célibataire, elle aurait aussi refusé ses avances.
La journée finie, elle dut reprendre le métro. Son regard allait partout. Elle cherchait l’inconnu. Elle monté dans la rame en étant rassurée de ne pas l’avoir vu. Son regard se posa sur la porte du fond de la rame. Et elle le vit là, dans la rame d’à côté. De toute évidence, il ne l’avait pas vu. Et Elle se remémora toute la scène de ce matin. Elle prit conscience qu’elle s’est complètement laissé aller dans la rame et qu’elle était entièrement collée à cet inconnu. C’est ça qu’il a pris pour des avances, d’où son regard perplexe après. Ou alors, il ne s’était rien passé, et il ne comprenait pas pourquoi elle le fusillait du regard alors qu’il se croyait innocent. Elle fulminait en elle car elle ne savait rien en fait. Et de toute évidence, elle était partie sur une conclusion hâtive. Elle leva son regard et croisa celui de l’inconnu. Il était debout, avec sa belle carrure, ses yeux gris vert, et son regard triste et interrogateur. Clémentine eu un sentiment de culpabilité si soudain pour cet homme, qu’elle ne put le cacher dans son regard. Pris de panique, elle se leva et descendit à la première station. Elle jeta un regard par-dessus son épaule et vit l’inconnu dans sa rame qui la suivait du regard, avec un petit sourire comme soulagé. Une fois de plus elle ne put contenir son émotion et sourit légèrement. Elle partit d’un pas précipité. Elle devait faire le tour du quartier pour trouver des sex-shop sympa. Elle préféra rentrer à l’hôtel et prendre un bain pour se laver de cette journée. Et surtout se siffler quelques coupes de champagne avec un gros pétard, et sa boite à sextoy…. Un programme nécessaire !
Arrivée à l’hôtel, elle fit couler son bain, roula son joint, sortit la bouteille de champagne du mini bar et une coupe, alla chercher sa boite à plaisirs, jeta ses vêtements par terre, posa son téléphone au bord de la baignoire, avec quelques bougies, mis de la musique et plongea dans l’eau bien chaude. Le pied ! Le bonheur ! Le paradis sur terre !
Elle farfouilla vite fait sur internet pour trouver un sex shop dans le quartier. Tant pis, elle dira à Thomas qu’elle y est allé. Elle n’a pas envie de gâcher cette semaine avec cette histoire de frotteur. Thomas pourrait très mal le prendre et s’inquiéter pour rien. Elle est mieux là avec ses bulles et sa fumée. Elle finit par trouver une supérette du sexe, qui faisait moins glauque que les autres magasins. Elle regarda le catalogue, et trouva même des tenues qui lui irait bien.
Comme son joint était fini, et que le magasin était trouvé, elle posa son téléphone, et commença à prendre soin d’elle. Petit gommage du corps, puis elle se caressa le corps. Elle avait fini par aimer son corps après les deux grossesses. Elle avait admis que les courbes d’une femme sont un atout de charme. Elle laissa glisser ses mains sur son ventre, puis le long de ses cuisses. Les remonta sur sa poitrine pour finir sur ses tétons qu’elle pinça pour les faire pointer. Thomas adore la regarder quand elle fait ça au lit, ou sous la douche, ou dans la voiture….enfin avec Thomas, ça peut être n’importe où. Elle ouvrit sa boite et regarda ses jouets. Elle hésita et son subconscient la poussa vers un modèle bien spécifique : le gode nervuré de 18cm… Elle lui rappela l’inconnu. Elle le prit, le caressa, le frotta sur son corps. Au lieu de le faire glisser entre ses jambes, elle le fit glisser ses hanches puis se pencha de côté dans le bain, et frotta le gode sur ses fesses. Puis entre les fesses. Elle se déhancha sur le gode, ses lèvres cherchait le gland en plastique, puis se frotta dessus pour enfin s’empaler. Elles avalèrent le gode en une fois, jusqu’au bout, ce qui déclencha immédiatement l’orgasme…. Clémentine se remit sur le dos, mais toujours le gode en elle. Elle se tortillait légèrement pour prolonger l’orgasme tout doucement. Le contre effet de l’orgasme la fit dégriser un peu de l’alcool et du cannabis, et elle prit conscience de ce qu’elle venait de faire : elle avait fantasmé sur l’inconnu !
Et là, l’image de son mari vint s’interposer dans ses pensées. Elle l’avait trompé intellectuellement. La gêne et la culpabilité l’envahit. Elle retira le gode, puis se lava. La fin du bain fût plutôt une douche froide. Elle n’était plus du tout excitée. Elle prit sur elle, et se prépara tout de même. La semaine devait être parfaite, et elle n’avait vraiment pas envie de parler de ça à Thomas. Ce sera son petit jardin secret. Et comme disait sa grand-mère, il vaut mieux un petit mensonge qui arrange qu’une vérité qui dérange. Elle avait toujours cru que c’était un proverbe de menteurs. Mais là, elle en comprenait le sens. Et puis il serait toujours temps de lui avouer plus tard. Elle se maquilla comme Thomas aimait : « comme un camion volé » dirait sa grand-mère. Porte-jarretelle, bas, escarpins, jupe, chemisier, redresse-seins. Elle se dit que le plug anal ne serait pas de trop pour la remettre dans l’ambiance.
Une fois prête, elle refuma un joint. Et repensa à l’inconnu, au bain, aux mensonges…. Thomas rentra à ce moment-là. Pour une fois elle réussit à contenir son émotion et sourit à son mari. Du balcon où elle fumait, elle se retourna et releva sa jupe tout en se cambrant pour lui montrer son bijou anal. Thomas s’approcha d’elle :- « hummm tu es déjà prête ! »- « Oui, j’ai trouvé rapidement ce qu’on cherchait. J’ai eu le temps de prendre une douche »Thomas posa ses mains sur ses hanches :- « Alors tu es toute propre ! »- « oui ! »Il s’agenouilla derrière elle, releva sa jupe, et embrassa ses fesses. Clémentine éteignit le joint puis s’écarta les fesses pour offrir son anus aux baisers de son mari. Il lui fit un anulingus tendre qui débordait généreusement sur sa vulve. Elle adorait ça. Le voir là, à genou, à prendre du plaisir à lui en donner. Ce n’était pas cette pratique qui l’excitait, mais la façon de faire de Thomas. Elle était intimement persuadé que s’il devait y avoir un autre homme après Thomas, elle ne voudrait plus de cette pratique. Thomas se redressa, et glissa son sexe dans sa vulve. Clémentine l’accueillit amoureusement, tout en se demandant à quel moment il avait réussi à retirer son pantalon et son caleçon.
- » Je vais aller prendre une douche, et tu vas en rouler un autre pour moi. Ok ? »- » D’accord. »Il se retira, ramassa ses affaires et alla dans la salle de bain. Et là, il s’écria : «c’est quoi ce cadavre ? »« MERDEUUUU ! Mais quelle conne j’ai oublié de ranger la salle de bain ! » Pensa-t-elle. Le mensonge peut tenir encore la route : - « J’ai trouvé la supérette de suite, donc ça fait deux heures que je t’attends, parce que MONSIEUR va boire des coups avec ses collègues dès le premier soir ! » Lâchât-elle d’un ton sarcastique, mais pas trop accusateur« Voilà, on retourne l’accusation sur l’accusateur. Ça marche assez bien comme technique. »- « Mais t’es bourrée en fait ? Cool, je vais pouvoir abuser de toi ! »- » Si un jour, je me coince la tête dans un trou, je suis sûre que tu vas en profiter pour me prendre en levrette avant de m’aider ! »- » Ca dépend de quel côté du trou je me trouve ! Je pourrais te baiser la bouche aussi. » Dit-il fièrement en sortant la tête de la salle de bain.
Le joint roulé, le cadavre jeté, la coupe lavée, elle alla dans la salle de bain et vit son mari finir sa douche, avec une belle érection. De toute évidence, il avait imaginé ce qu’il allait lui faire ce soir. Elle aimait bien bousculer ses plans. Elle prit donc une serviette qu’elle plia et posa au sol. Thomas sortit de la douche et découvrit sa femme à genou devant lui, les mains posées sur ses cuisses, le dos bien cambrée exhibant fièrement son décolleté plongeant. Thomas avança vers elle, se tenant le sexe. Il approcha son gland de la bouche de sa femme. Elle lécha ses lèvres, puis le gland offert. Elle lécha toute la verge, les testicules, puis elle écarté les jambes pour montrer son œuf vibrant posé sur la serviette. Elle le prit, et le glissa vers son entrejambe. La position ne permettait pas à Thomas de voir la scène, mais au changement d’expression de sa femme, il devinait où elle en était de l’installation de son œuf. Une fois installé, elle lui tendit la télécommande et lui dit : «baise moi la bouche ! » Voilà comment déstabiliser ses plans : faire encore plus ce qu’il avait imaginé ! Thomas pris la télécommande d’une main, posa l’autre sur sa tête. Il glissa son gland entre ses lèvres et se branla doucement entre elles. Il enclencha l’œuf à la première puissance. Et à chaque fois qu’il pénétrait un peu plus dans sa bouche, il augmentait la puissance de vibration. Clémentine accueillit son mari stoïquement. Elle fondait sur elle-même. Cet œuf était d’une efficacité redoutable mais elle arrivait à rester immobile. Quand elle vit son mari accélérer de plus en plus, elle finit par le repousser doucement pour qu’il arrête et qu’elle puisse prendre la parole :- » Tu t’es déjà vider ce matin, garde un peu de puissance pour ce soir. J’ai envie de jouer longtemps ! »- » Tu as raison, mais c’est dommage, je t’aurai bien joui dans la bouche ! »- » Non ! Mais promis dans la semaine tu pourras me le faire. »- » Merci ma croquette. » - « »Mais il faut que tu arêtes avec ce surnom ! Ça n’a rien de tendre. »- « t’es à croquer ! C’est mignon du coup ? »- « bof… c’est pas très sexy une croquette. »
Ils finirent par partir au magasin. Les attouchements eurent lieu dès que possible. Thomas étant resté sur sa fin, fût intenable. Mais ce n’était rien par rapport à son comportement dans le magasin. Il aurait craqué le PEL pour acheter tout le stock ! Un vrai gamin. Clémentine réussit à le limiter à une tenue en simili cuir et une combinaison en dentelle. Niveau sextoy, elle avait refusé. Ils en avaient déjà suffisamment.
Afin de ne pas être tenté, ils ont préféré ne pas retourner à l’hôtel pour y déposer leurs achats et aller directement au restaurant. Le sac du magasin étant neutre, cela ne posait aucun problème.
Le restaurant étant un gastro cosy. L’ambiance y été calme et tamisée, les tables séparées par des banquettes hautes. Il n’y avait que des couples, de tout âge. Ils s’installèrent entre un couple de trentenaire, et un couple de sexagénaire. Les nappes étaient exactement comme elles devaient être : suffisamment longues pour préserver toute discrétion des jeux de jambes. Ils se firent du pied rapidement. Ce fût quand la serveuse mignonne est arrivée prendre la commande que Clémentine s’amusa à remonter son pied déchaussée le long de la jambe de Thomas. Elle atteignit son entrejambe et massa ses testicules avec ses orteils. Elle fit exprès de prendre son temps pour donner sa commande, et posa quelques questions sur les plats tout en le caressant. Pendant ce temps-là, Thomas pianotait sur son téléphone. La serveuse partie, elle reçut le message que thomas avait pianoté : «T’es vraiment une garce de me faire ça devant elle ! C’était trop excitant, j’ai envie de vous baiser toutes les deux ! Ou de vous regarder le faire devant moi. »Elle posa son téléphone, et lui répondit de vive voix : - « Nous avons encore tellement de chose à découvrir ensemble, qu’il n’est pas urgent de jouer à trois. »- « Mouais… mais quand même, t’avouera qu’elle est canon ? »- « C’est vrai, mais je faisais allusion à ce qu’on vient d’acheter. »- « Toi tu essayes de changer de sujet encore ! » Le repas se poursuivit entrecoupé de massage de pieds de l’un et de l’autre. Ils se racontèrent leur journée respective. Thomas avait eu la bonne idée de ne pas mettre de caleçon pour la soirée. Certes, ça facilitait les coquineries, mais il sera bien malin quand il sortira de table avec son érection non contenu dans le pantalon. Arrivé à la fin du plat de résistance, Thomas lui fit la remarque qu’elle n’était à ce qu’elle faisait. Elle s’en sortait beaucoup mieux dans le train. Le fait de raconter sa journée lui fit remonter à la surface tout ce qu’elle a vécu. Et visiblement, ça influençait son moral plus qu’elle ne l’aurait cru. Ce fût quand la serveuse est venu débarrasser la table qu’une idée de génie lui apparut : Le pluralisme ! Elle va tout avouer, mais en abordant l’histoire sur le volet du pluralisme. Ça se tente…. De toute façon, elle ne pouvait pas rester ainsi. Ça gâcherait toute la semaine.
- « Bon alors, qu’est-ce qu’il y a ? Ce sont les enfants qui te manquent ? »- « Pas le moins du monde, même s’il faudrait tout de même les appeler demain. »- « Et bien alors quoi ? Ma remarque sur la serveuse ? »- « Mais non, je suis habituée maintenant. Je me suis même fait la remarque cette après-midi que la nana à l’accueil du centre de formation est tout à fait à ton goût ! Tu vois je commence à réagir comme toi ! »- « Et bien alors quoi ? »- « Bon… Je ne sais pas réellement ce qui s’est passé, mais j’ai vécu un truc un peu bizarre dans le métro. » Et là, elle vida son sac sur l’incident de ce matin, jusqu’à la séparation sur le quai. Thomas était resté silencieux pendant tout le récit. Et puis il prit la parole :- « En fait, tu ne sais pas ce qu’il s’est passé ! »- « En effet, mais tu avoueras que c’est troublant. Il m’a fallu la matinée pour en arriver à cette conclusion. »- « Tu as toujours été un peu lente sur les rapports humains ! » dit-il pour la chambrer afin de détendre l’atmosphère.
- « Attends, c’est pas fini. Je l’ai revu au retour ! Non mais franchement il y a des métros toutes les trois minutes, et il a fallu que je tombe sur lui. Bon il était dans l’autre rame. » La suite de l’histoire était quand même la partie la plus risquée. Mais comme Thomas en fût venu à conclure que l’inconnu n’avait pas fait exprès, que ce n’était pas un frotteur pervers, mais juste un mec qui a peut-être été abusé de la promiscuité pour croire qu’il avait un ticket, il ne s’est pas offusqué de la suite de l’histoire….jusqu’à l’hôtel.
- « D’où le cadavre de champagne ? »- « Oui. »- « Et tu as joui en pensant à lui avec Mister R ? Celui-là même que j’avais utilisé la veille pour la DP ? »- « Oui. Ha tiens, je n’avais pensé à ce détail ! »- « Et c’est ça qui te mets dans cet état-là ? »- « Oui. Et toi, ça va ? Tu le prends comment ? »- « Menfin, ma croquette, tu crois que je culpabilise un seul instant quand je suis seul devant l’ordi avec mes mouchoirs ? Qu’est-ce que ça a de si différent ? Lui, il est réel contrairement à celles que je vois et qui restent inaccessibles. Mais sinon, c’est du pareil au même pour moi. »- « Tu veux dire que j’ai culpabilisé pour rien ? »- « Pas pour rien, tu ne pouvais pas savoir que ça ne me dérangerait pas. Mais c’est intéressant de noter qu’un autre peut provoquer en toi des pulsions intenses. On progresse sur le sujet. »- « Je ne suis pas sûre d’être aussi libérée que toi sur le sujet. C’est la première fois dans notre vie de couple que ça m’arrive de penser à une autre personne que toi. »- « Heuuu, je dois t’avouer qu’un soir où on avait pas mal picolé et fumé, tu m’as appelé par le nom d’un personnage de la série viking qu’on regardait à l’époque : Rolo ! T’as pas des goûts de chiotte en matière de mâle. Mais j’avoue que sur l’instant ça m’avait un peu surpris. »Le visage de Clémentine se transforma en nuancier de rouge. Certes l’acteur était plutôt canon, et dans ce décor, ça faisait ressortir son côté bestial. Mais de là à s’oublier pendant l’acte avec son mari, elle ne avait honte. Et Thomas s’en amusait :- « Ce n’est pas grave ma croquette. Tu as un appétit sexuel comme le mien ! JE ne vais tout de même pas t’en vouloir pour ça. »- « Ho mon dieu non, je ne suis pas aussi obsédée que toi. » La réaction de son mari ne l’a surpris qu’à moitié. Il voyait toujours le meilleur côté de chaque situation pour en tirer un quelconque profit sexuel. Et elle l’avait bien ressenti le soir même. Les jeux étaient nettement plus axés sur la multipénétration et la double stimulation. Mais le sujet n’avait plu été abordé jusqu’au lendemain matin.
Dans le TGV, ils étaient installés dans un carré au fond d’un wagon presque désert. Dommage qu’il ne le soit pas, car Clémentine avait hâte de faire quelques cochonneries à son mari. Mais un voyageur était assis dans le carré juste à côté du leur. Du coup, Clémentine envoyait des sextos à Thomas, lui décrivant ce qu’il aurait pu lui faire dans ce wagon, ou ce qu’il va lui faire à l’hôtel tout à l’heure…. Clémentine aimait bien chauffer son mari. Et il était toujours très réactif.
Quand le voyageur dérageant se leva, Clémentine n’attendit même pas qu’il se fût éloigné pour retirer ses escarpins et glisser ses pieds entre les jambes de son homme. Vu les échanges écrits préalables, il était déjà bien dur. Elle lui caressa sa verge et ses testicules, à travers son pantalon, du bout de ses pieds, jusqu’à ce que le voyageur revienne dans le wagon.
Cette semaine commençait bien !
Arrivé à l’hôtel, Clémentine voulut visiter la petite suite. Mais Thomas la poussa sur le grand lit, et commença à glisser ses mains le long de ses jambes.
- « Hé, mais on n’a même pas visité la salle de bain ! »- « ça t’a amusé m’exciter dans le train ? Maintenant assume la bête que tu as réveillée ! »La Bête ! Ce n’est pas loin de la vérité. Thomas était très branché sexe. Et Clémentine aimait bien se laissait faire par son mari. Enfin, c’est qu’elle lui laissait croire en lui obéissant promptement à ses injonctions sexuelles. Il aimait bien être le mâle dominant. Mais il était totalement sous le charme de sa femme et elle savait en abuser ! Mais jamais à mal. Par exemple, quand elle avait cassé le clignotant de la voiture, plutôt de laisser la place à une dispute, elle a attendu que les enfants soient couchés pour se présenter à son mari en tenue de collégienne, réclamant sa punition pour sa bêtise. Forcément, ça lui a couté une fessée, puis une mise à disposition de son corps pour qu’il en profite à sa convenance. Le lendemain matin, il l’a amené à son travail avec sa voiture abimée, puis s’est occupé de la faire réparer dans la journée, puis est retourné cherché Clémentine en fin de journée au travail. Elle lui a fait une pipe au volant, et se sont arrêtés dans un chemin de terre pour baiser sur le capot. Pas de dispute, pas de reproche, pas de désagrément. Il avait tout géré et était presque impatient qu’elle casse de nouveau quelque chose sur la voiture ! Voilà comment elle pouvait abuser de son pouvoir sur son mari. Rien de bien méchant.
Donc la Bête était réveillée, et Clémentine n’en était pas mécontente. Elle e cambra pour accueillir les mains de son mari qui releva sa jupe, découvrant ses fesses rondes. Il sortit son sexe et la pénétra sans autre forme de préliminaires.
- « J’avais pensé le faire sous la douche ! »- « je me vide juste en toi ! Puis après on fera tout ce que tu voudras, comme tu voudras ! »- « Ok, alors vas-y, branle-toi en moi ! » quelques minutes de mise à disposition de son corps pour être la maitresse de toute la soirée et avoir un gentleman à son service…. La semaine va bien se passer.
Et en effet, une fois la bête satisfaite, il ne restait plus qu’un docile mari. Ils allèrent prendre une douche ensemble, et il était à ses petits soins. Il la lava de la tête au pied, en insistant bien sûr sur l’entrejambe. Il était à genou devant elle, et faisait glisser la fleur de bain sur son corps. Elle se sentait comme une reine avec son esclave. Après un cunnilingus jouissif, ils sortirent de la douche et il la sécha avec l’épaisse serviette de l’hôtel. Puis il l’habilla des vêtements qu’elle choisit. Thomas avait toujours envie de la caresser, de la lécher… l’habillage pris du temps. Mais ils finirent par être prêts pour le restaurant.
Ils avaient déjà choisi tous les restaurants qu’ils allaient faire. Ils n’avaient retenu qu’un seul critère, non pas la carte, le style culinaire, ou encore le prix. Non, c’était la présence de grandes nappes sur les tables qui tombaient jusqu’au sol ! Ils voulaient jouer à table et en toute discrétion. Chose qu’ils n’ont jamais pu faire chez eux. Le résultat fût à la hauteur de l’attente. Thomas était ravi de son repas ! Il s’est fait discrètement branler par les pieds de Clémentine pendant que la jeune et magnifique serveuse lui parlait. Même si la petite serveuse ne faisait aucun effet sur Clémentine, ce n’était pas le cas de Thomas qui remit le couvert avec son désir de pluralisme. Mais Elle sût détourner ses attentions du sujet en abordant celui des sexshops de la capitale ! Ils avaient prévu de faire des essayages coquins, et cette idée a fait oublier le plan à trois avec la serveuse !
Le retour à l’hôtel a été mouvementé. Elle n’aurait jamais dû mettre l’œuf vibrant avant de sortir du restaurant. Thomas n’arrêtait pas jouer avec la télécommande. Clémentine avait la vulve en feu ! Elle a craqué dans l’ascenseur et s’est jeté sur lui. La pipe fût courte car leur suite était au deuxième étage.
Heureusement qu’elle avait des dessous sexy car elle n’avait pas envie de se changer. Elle voulait son homme, son mâle, sa bête !
Jour 1
En se dirigeant vers la station de métro pour aller à sa formation, Clémentine repensa à sa soirée avec Thomas. Ça faisait si longtemps qu’elle n’avait pas passé une soirée comme celle-là. La conception du cadet peut-être même ! Elle avait un peu de mal à son anus. Le choix du gode avait un peu trop ambitieux. Mais elle ne pouvait pas en vouloir à Thomas de s’être laissé emporter par l’excitation de tenter la double pénétration.
Elle s’engouffra dans la bouche de métro et ressentit cet effluve particulier de l’air vicié, chaud, et les odeurs de cette foule. Elle se laissa plus ou moins guidé par la foule, tout en essayant de suivre les panneaux directionnels. En quelques minutes elle était dans une rame bondée. La dernière fois qu’elle était aussi collée à des gens c’était au concert des Guns quand elle n’était pas encore mère.
Elle agrippa son sac à main, et colla ses coudes sur les poches de son manteau. Elle mit son écharpe sur son nez. Elle n’avait de cesse de faire attention aux autres. Mais à la deuxième station, quand seulement deux voyageurs sont descendus pour une quinzaine qui sont montés de force, elle arrêta de stresser et se laissa porter par la foule. Ça lui déclencha un sentiment bizarre de lâcher prise.
Dans la vitre de la porte, elle vit le reflet de l’homme qui se tenait juste derrière elle. Un beau quadra, cadre sup vu son manteau, belle carrure. Et vu la promiscuité dans ce wagon, elle pouvait sentir qu’il n’avait pas de brioche ! Quand elle s’aperçut qu’elle devait descendre à la prochaine station, elle pivota sur elle-même, sans se rendre compte qu’elle se frotterait sur le beau quadra. Elle croisa son regard un peu malicieux, et elle prit conscience qu’elle avait senti une bosse contre elle ! Outrée, elle fusilla du regard l’inconnu dont la physionomie changea brutalement celle que pourrait avoir un enfant de 8 ans qu’on a pris sur le fait ! Clémentine sortit rapidement du wagon en jetant un œil pour voir s’il la suivait. Il était resté accroché à la barre et la regardait partir interloqué.
Clémentine passa la matinée à se demander ce qu’elle avait senti. Etait-ce bien son sexe ? Ou tout simplement la boucle de son manteau, ou son portable, ou son trousseau de clé, pourquoi ce serait son forcément son sexe. Elle voyait mal un homme classe être un vulgaire frotteur de métro. Elle n’osa pas en parler à Thomas par texto. Elle finit la journée en essayant de se concentrer sur cette formation inutile. Mais son chef voulait qu’elle la fasse pour justifier sa promotion. Même s’il aurait préféré la justifier autrement. Mais même célibataire, elle aurait aussi refusé ses avances.
La journée finie, elle dut reprendre le métro. Son regard allait partout. Elle cherchait l’inconnu. Elle monté dans la rame en étant rassurée de ne pas l’avoir vu. Son regard se posa sur la porte du fond de la rame. Et elle le vit là, dans la rame d’à côté. De toute évidence, il ne l’avait pas vu. Et Elle se remémora toute la scène de ce matin. Elle prit conscience qu’elle s’est complètement laissé aller dans la rame et qu’elle était entièrement collée à cet inconnu. C’est ça qu’il a pris pour des avances, d’où son regard perplexe après. Ou alors, il ne s’était rien passé, et il ne comprenait pas pourquoi elle le fusillait du regard alors qu’il se croyait innocent. Elle fulminait en elle car elle ne savait rien en fait. Et de toute évidence, elle était partie sur une conclusion hâtive. Elle leva son regard et croisa celui de l’inconnu. Il était debout, avec sa belle carrure, ses yeux gris vert, et son regard triste et interrogateur. Clémentine eu un sentiment de culpabilité si soudain pour cet homme, qu’elle ne put le cacher dans son regard. Pris de panique, elle se leva et descendit à la première station. Elle jeta un regard par-dessus son épaule et vit l’inconnu dans sa rame qui la suivait du regard, avec un petit sourire comme soulagé. Une fois de plus elle ne put contenir son émotion et sourit légèrement. Elle partit d’un pas précipité. Elle devait faire le tour du quartier pour trouver des sex-shop sympa. Elle préféra rentrer à l’hôtel et prendre un bain pour se laver de cette journée. Et surtout se siffler quelques coupes de champagne avec un gros pétard, et sa boite à sextoy…. Un programme nécessaire !
Arrivée à l’hôtel, elle fit couler son bain, roula son joint, sortit la bouteille de champagne du mini bar et une coupe, alla chercher sa boite à plaisirs, jeta ses vêtements par terre, posa son téléphone au bord de la baignoire, avec quelques bougies, mis de la musique et plongea dans l’eau bien chaude. Le pied ! Le bonheur ! Le paradis sur terre !
Elle farfouilla vite fait sur internet pour trouver un sex shop dans le quartier. Tant pis, elle dira à Thomas qu’elle y est allé. Elle n’a pas envie de gâcher cette semaine avec cette histoire de frotteur. Thomas pourrait très mal le prendre et s’inquiéter pour rien. Elle est mieux là avec ses bulles et sa fumée. Elle finit par trouver une supérette du sexe, qui faisait moins glauque que les autres magasins. Elle regarda le catalogue, et trouva même des tenues qui lui irait bien.
Comme son joint était fini, et que le magasin était trouvé, elle posa son téléphone, et commença à prendre soin d’elle. Petit gommage du corps, puis elle se caressa le corps. Elle avait fini par aimer son corps après les deux grossesses. Elle avait admis que les courbes d’une femme sont un atout de charme. Elle laissa glisser ses mains sur son ventre, puis le long de ses cuisses. Les remonta sur sa poitrine pour finir sur ses tétons qu’elle pinça pour les faire pointer. Thomas adore la regarder quand elle fait ça au lit, ou sous la douche, ou dans la voiture….enfin avec Thomas, ça peut être n’importe où. Elle ouvrit sa boite et regarda ses jouets. Elle hésita et son subconscient la poussa vers un modèle bien spécifique : le gode nervuré de 18cm… Elle lui rappela l’inconnu. Elle le prit, le caressa, le frotta sur son corps. Au lieu de le faire glisser entre ses jambes, elle le fit glisser ses hanches puis se pencha de côté dans le bain, et frotta le gode sur ses fesses. Puis entre les fesses. Elle se déhancha sur le gode, ses lèvres cherchait le gland en plastique, puis se frotta dessus pour enfin s’empaler. Elles avalèrent le gode en une fois, jusqu’au bout, ce qui déclencha immédiatement l’orgasme…. Clémentine se remit sur le dos, mais toujours le gode en elle. Elle se tortillait légèrement pour prolonger l’orgasme tout doucement. Le contre effet de l’orgasme la fit dégriser un peu de l’alcool et du cannabis, et elle prit conscience de ce qu’elle venait de faire : elle avait fantasmé sur l’inconnu !
Et là, l’image de son mari vint s’interposer dans ses pensées. Elle l’avait trompé intellectuellement. La gêne et la culpabilité l’envahit. Elle retira le gode, puis se lava. La fin du bain fût plutôt une douche froide. Elle n’était plus du tout excitée. Elle prit sur elle, et se prépara tout de même. La semaine devait être parfaite, et elle n’avait vraiment pas envie de parler de ça à Thomas. Ce sera son petit jardin secret. Et comme disait sa grand-mère, il vaut mieux un petit mensonge qui arrange qu’une vérité qui dérange. Elle avait toujours cru que c’était un proverbe de menteurs. Mais là, elle en comprenait le sens. Et puis il serait toujours temps de lui avouer plus tard. Elle se maquilla comme Thomas aimait : « comme un camion volé » dirait sa grand-mère. Porte-jarretelle, bas, escarpins, jupe, chemisier, redresse-seins. Elle se dit que le plug anal ne serait pas de trop pour la remettre dans l’ambiance.
Une fois prête, elle refuma un joint. Et repensa à l’inconnu, au bain, aux mensonges…. Thomas rentra à ce moment-là. Pour une fois elle réussit à contenir son émotion et sourit à son mari. Du balcon où elle fumait, elle se retourna et releva sa jupe tout en se cambrant pour lui montrer son bijou anal. Thomas s’approcha d’elle :- « hummm tu es déjà prête ! »- « Oui, j’ai trouvé rapidement ce qu’on cherchait. J’ai eu le temps de prendre une douche »Thomas posa ses mains sur ses hanches :- « Alors tu es toute propre ! »- « oui ! »Il s’agenouilla derrière elle, releva sa jupe, et embrassa ses fesses. Clémentine éteignit le joint puis s’écarta les fesses pour offrir son anus aux baisers de son mari. Il lui fit un anulingus tendre qui débordait généreusement sur sa vulve. Elle adorait ça. Le voir là, à genou, à prendre du plaisir à lui en donner. Ce n’était pas cette pratique qui l’excitait, mais la façon de faire de Thomas. Elle était intimement persuadé que s’il devait y avoir un autre homme après Thomas, elle ne voudrait plus de cette pratique. Thomas se redressa, et glissa son sexe dans sa vulve. Clémentine l’accueillit amoureusement, tout en se demandant à quel moment il avait réussi à retirer son pantalon et son caleçon.
- » Je vais aller prendre une douche, et tu vas en rouler un autre pour moi. Ok ? »- » D’accord. »Il se retira, ramassa ses affaires et alla dans la salle de bain. Et là, il s’écria : «c’est quoi ce cadavre ? »« MERDEUUUU ! Mais quelle conne j’ai oublié de ranger la salle de bain ! » Pensa-t-elle. Le mensonge peut tenir encore la route : - « J’ai trouvé la supérette de suite, donc ça fait deux heures que je t’attends, parce que MONSIEUR va boire des coups avec ses collègues dès le premier soir ! » Lâchât-elle d’un ton sarcastique, mais pas trop accusateur« Voilà, on retourne l’accusation sur l’accusateur. Ça marche assez bien comme technique. »- « Mais t’es bourrée en fait ? Cool, je vais pouvoir abuser de toi ! »- » Si un jour, je me coince la tête dans un trou, je suis sûre que tu vas en profiter pour me prendre en levrette avant de m’aider ! »- » Ca dépend de quel côté du trou je me trouve ! Je pourrais te baiser la bouche aussi. » Dit-il fièrement en sortant la tête de la salle de bain.
Le joint roulé, le cadavre jeté, la coupe lavée, elle alla dans la salle de bain et vit son mari finir sa douche, avec une belle érection. De toute évidence, il avait imaginé ce qu’il allait lui faire ce soir. Elle aimait bien bousculer ses plans. Elle prit donc une serviette qu’elle plia et posa au sol. Thomas sortit de la douche et découvrit sa femme à genou devant lui, les mains posées sur ses cuisses, le dos bien cambrée exhibant fièrement son décolleté plongeant. Thomas avança vers elle, se tenant le sexe. Il approcha son gland de la bouche de sa femme. Elle lécha ses lèvres, puis le gland offert. Elle lécha toute la verge, les testicules, puis elle écarté les jambes pour montrer son œuf vibrant posé sur la serviette. Elle le prit, et le glissa vers son entrejambe. La position ne permettait pas à Thomas de voir la scène, mais au changement d’expression de sa femme, il devinait où elle en était de l’installation de son œuf. Une fois installé, elle lui tendit la télécommande et lui dit : «baise moi la bouche ! » Voilà comment déstabiliser ses plans : faire encore plus ce qu’il avait imaginé ! Thomas pris la télécommande d’une main, posa l’autre sur sa tête. Il glissa son gland entre ses lèvres et se branla doucement entre elles. Il enclencha l’œuf à la première puissance. Et à chaque fois qu’il pénétrait un peu plus dans sa bouche, il augmentait la puissance de vibration. Clémentine accueillit son mari stoïquement. Elle fondait sur elle-même. Cet œuf était d’une efficacité redoutable mais elle arrivait à rester immobile. Quand elle vit son mari accélérer de plus en plus, elle finit par le repousser doucement pour qu’il arrête et qu’elle puisse prendre la parole :- » Tu t’es déjà vider ce matin, garde un peu de puissance pour ce soir. J’ai envie de jouer longtemps ! »- » Tu as raison, mais c’est dommage, je t’aurai bien joui dans la bouche ! »- » Non ! Mais promis dans la semaine tu pourras me le faire. »- » Merci ma croquette. » - « »Mais il faut que tu arêtes avec ce surnom ! Ça n’a rien de tendre. »- « t’es à croquer ! C’est mignon du coup ? »- « bof… c’est pas très sexy une croquette. »
Ils finirent par partir au magasin. Les attouchements eurent lieu dès que possible. Thomas étant resté sur sa fin, fût intenable. Mais ce n’était rien par rapport à son comportement dans le magasin. Il aurait craqué le PEL pour acheter tout le stock ! Un vrai gamin. Clémentine réussit à le limiter à une tenue en simili cuir et une combinaison en dentelle. Niveau sextoy, elle avait refusé. Ils en avaient déjà suffisamment.
Afin de ne pas être tenté, ils ont préféré ne pas retourner à l’hôtel pour y déposer leurs achats et aller directement au restaurant. Le sac du magasin étant neutre, cela ne posait aucun problème.
Le restaurant étant un gastro cosy. L’ambiance y été calme et tamisée, les tables séparées par des banquettes hautes. Il n’y avait que des couples, de tout âge. Ils s’installèrent entre un couple de trentenaire, et un couple de sexagénaire. Les nappes étaient exactement comme elles devaient être : suffisamment longues pour préserver toute discrétion des jeux de jambes. Ils se firent du pied rapidement. Ce fût quand la serveuse mignonne est arrivée prendre la commande que Clémentine s’amusa à remonter son pied déchaussée le long de la jambe de Thomas. Elle atteignit son entrejambe et massa ses testicules avec ses orteils. Elle fit exprès de prendre son temps pour donner sa commande, et posa quelques questions sur les plats tout en le caressant. Pendant ce temps-là, Thomas pianotait sur son téléphone. La serveuse partie, elle reçut le message que thomas avait pianoté : «T’es vraiment une garce de me faire ça devant elle ! C’était trop excitant, j’ai envie de vous baiser toutes les deux ! Ou de vous regarder le faire devant moi. »Elle posa son téléphone, et lui répondit de vive voix : - « Nous avons encore tellement de chose à découvrir ensemble, qu’il n’est pas urgent de jouer à trois. »- « Mouais… mais quand même, t’avouera qu’elle est canon ? »- « C’est vrai, mais je faisais allusion à ce qu’on vient d’acheter. »- « Toi tu essayes de changer de sujet encore ! » Le repas se poursuivit entrecoupé de massage de pieds de l’un et de l’autre. Ils se racontèrent leur journée respective. Thomas avait eu la bonne idée de ne pas mettre de caleçon pour la soirée. Certes, ça facilitait les coquineries, mais il sera bien malin quand il sortira de table avec son érection non contenu dans le pantalon. Arrivé à la fin du plat de résistance, Thomas lui fit la remarque qu’elle n’était à ce qu’elle faisait. Elle s’en sortait beaucoup mieux dans le train. Le fait de raconter sa journée lui fit remonter à la surface tout ce qu’elle a vécu. Et visiblement, ça influençait son moral plus qu’elle ne l’aurait cru. Ce fût quand la serveuse est venu débarrasser la table qu’une idée de génie lui apparut : Le pluralisme ! Elle va tout avouer, mais en abordant l’histoire sur le volet du pluralisme. Ça se tente…. De toute façon, elle ne pouvait pas rester ainsi. Ça gâcherait toute la semaine.
- « Bon alors, qu’est-ce qu’il y a ? Ce sont les enfants qui te manquent ? »- « Pas le moins du monde, même s’il faudrait tout de même les appeler demain. »- « Et bien alors quoi ? Ma remarque sur la serveuse ? »- « Mais non, je suis habituée maintenant. Je me suis même fait la remarque cette après-midi que la nana à l’accueil du centre de formation est tout à fait à ton goût ! Tu vois je commence à réagir comme toi ! »- « Et bien alors quoi ? »- « Bon… Je ne sais pas réellement ce qui s’est passé, mais j’ai vécu un truc un peu bizarre dans le métro. » Et là, elle vida son sac sur l’incident de ce matin, jusqu’à la séparation sur le quai. Thomas était resté silencieux pendant tout le récit. Et puis il prit la parole :- « En fait, tu ne sais pas ce qu’il s’est passé ! »- « En effet, mais tu avoueras que c’est troublant. Il m’a fallu la matinée pour en arriver à cette conclusion. »- « Tu as toujours été un peu lente sur les rapports humains ! » dit-il pour la chambrer afin de détendre l’atmosphère.
- « Attends, c’est pas fini. Je l’ai revu au retour ! Non mais franchement il y a des métros toutes les trois minutes, et il a fallu que je tombe sur lui. Bon il était dans l’autre rame. » La suite de l’histoire était quand même la partie la plus risquée. Mais comme Thomas en fût venu à conclure que l’inconnu n’avait pas fait exprès, que ce n’était pas un frotteur pervers, mais juste un mec qui a peut-être été abusé de la promiscuité pour croire qu’il avait un ticket, il ne s’est pas offusqué de la suite de l’histoire….jusqu’à l’hôtel.
- « D’où le cadavre de champagne ? »- « Oui. »- « Et tu as joui en pensant à lui avec Mister R ? Celui-là même que j’avais utilisé la veille pour la DP ? »- « Oui. Ha tiens, je n’avais pensé à ce détail ! »- « Et c’est ça qui te mets dans cet état-là ? »- « Oui. Et toi, ça va ? Tu le prends comment ? »- « Menfin, ma croquette, tu crois que je culpabilise un seul instant quand je suis seul devant l’ordi avec mes mouchoirs ? Qu’est-ce que ça a de si différent ? Lui, il est réel contrairement à celles que je vois et qui restent inaccessibles. Mais sinon, c’est du pareil au même pour moi. »- « Tu veux dire que j’ai culpabilisé pour rien ? »- « Pas pour rien, tu ne pouvais pas savoir que ça ne me dérangerait pas. Mais c’est intéressant de noter qu’un autre peut provoquer en toi des pulsions intenses. On progresse sur le sujet. »- « Je ne suis pas sûre d’être aussi libérée que toi sur le sujet. C’est la première fois dans notre vie de couple que ça m’arrive de penser à une autre personne que toi. »- « Heuuu, je dois t’avouer qu’un soir où on avait pas mal picolé et fumé, tu m’as appelé par le nom d’un personnage de la série viking qu’on regardait à l’époque : Rolo ! T’as pas des goûts de chiotte en matière de mâle. Mais j’avoue que sur l’instant ça m’avait un peu surpris. »Le visage de Clémentine se transforma en nuancier de rouge. Certes l’acteur était plutôt canon, et dans ce décor, ça faisait ressortir son côté bestial. Mais de là à s’oublier pendant l’acte avec son mari, elle ne avait honte. Et Thomas s’en amusait :- « Ce n’est pas grave ma croquette. Tu as un appétit sexuel comme le mien ! JE ne vais tout de même pas t’en vouloir pour ça. »- « Ho mon dieu non, je ne suis pas aussi obsédée que toi. » La réaction de son mari ne l’a surpris qu’à moitié. Il voyait toujours le meilleur côté de chaque situation pour en tirer un quelconque profit sexuel. Et elle l’avait bien ressenti le soir même. Les jeux étaient nettement plus axés sur la multipénétration et la double stimulation. Mais le sujet n’avait plu été abordé jusqu’au lendemain matin.
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