Semaine à Paris, jour 3 - histoire érotique

Jour 3
Pour une fois elle ne voulut pas mettre de jupe, mais un pantalon assorti à sa veste.
Dessous, elle porterait un chemisier sans soutien-gorge. Thomas lui proposa d’envoyer à son inconnu des photos d’elle à chaque étape d’habillage. L’idée lui plaisait mais elle ne voulait pas qu’il connaisse son numéro, alors elle envoya les photos en numéro masqué. La première, juste en string, bas et porte-jarretelles. Puis pantalon et chemisier ouvert et talons hauts (pour être plus à sa hauteur), et enfin avec la veste fermée. Thomas lui proposa l’œuf. Clémentine hésita, et se le mis avec une assez grande rapidité. Visiblement, l’imminente rencontre avec son amant l’avait déjà mise dans un bel état d’excitation. Thomas lui donna la télécommande seulement quand ils étaient sortis de l’hôtel. Il avait un peu joué avec.
Clémentine retrouva son amant sur le quai. Ce coup-ci, elle plongea la main dans la poche de son manteau pour y déposer la télécommande. Il se retourna vers elle, lui tendit une petite enveloppe et l’invita à la lire. Pendant qu’elle s’exécuta, il plongea sa main dans la poche et en devina la nature de l’objet étant donné qu’il avait enclenché sur la première puissance de vibration. Clémentine rangea le mot et s’agrippa au bras de son amant. Ils restèrent ainsi à attendre le métro. Ils montèrent dans une rame bondée, et s’installèrent comme d’habitude. Elle se mit face à lui, la tête posée sur son épaule. Elle avait glissé ses mains sous sa veste, et lui caressa le torse. L’une de ses mains descendit sous la ceinture, et elle fit glisser ses ongles sur la bosse bien dure. Il augmenta la puissance de l’œuf. Elle se crispa un peu sous la surprise et empoigna le sexe qu’elle se mit à masser. Il resta encore deux stations quand elle décida d’ouvrir la braguette. Elle glissa deux doigts avec lesquels elle caressa cette verge dure. Elle les faisait se promener sur son gland, puis à la base de celui-ci. Puis elle plongea sa main et lui caressa son sexe tout doucement. Arrivés à l’avant-dernière station, elle le masturba et lui, augmentait la puissance de l’oeuf - « pas plus fort, sinon ça va s’entendre. »A peine avait-elle fini qu’une annonce se fit dans les hauts parleurs de la rame.
- « En êtes-vous sûre ? » lui demanda-t-il en augmentant la puissance à 4. Elle se cramponna à sa taille de sa main libre, et le masturba à vouloir le faire jouir. Tant pis pour son pantalon.
L’annonce finie, il baissa la puissance à un et glissa la télécommande dans la poche de Clémentine.
Elle finit de le masturber en ralentissant, mais sans avoir réussi à le faire jouir. Dommage, elle aurait aimé.
Une fois descendu de la rame, elle ne pût marcher jusqu’au centre de formation. Elle s’assit sur un banc sur le quai et appela Thomas. Elle laissa l’œuf en position 1 et expliqua tout cela à son mari. Au bout de quelques minutes elle s’aperçut qu’en parlant avec lui, elle faisait glisser sur ses lèvres les doigts qui avait touché en premier le sexe de son amant. Elle se laissa à le lécher discrètement. Sentir le goût intime de ce mâle… elle augmenta à la puissance deux et souffla à son mari : «Je jouis » là, seule sur un banc dans une station de métro entouré de centaines de gens enfermés dans leur bulle, elle venait de jouir.
Elle avait pris la décision de retirer l’œuf avant d’aller en formation. Sinon, elle aurait une belle tâche sur son pantalon si elle s’amusait avec. Elle avait aussi pris la décision d’envoyer une photo d’elle légèrement dénudée à son amant. Toujours en numéro masqué. Mais de toute façon, elle ne se faisait pas d’illusion, elle était sûre qu’elle finirait par craquer et lui laisser la possibilité de lui répondre. Mais quand ils seront rentrés chez eux pensa-t-elle.
La journée était dictée par les pauses pendant lesquelles elle filait dans les toilettes pour envoyer des photos et sextos à son mari et son amant. La formation finie, elle fila une dernière fois aux toilettes et replaça son œuf. Elle se prit en photo en train de le mettre et l’envoya à son amant avec comme commentaire : «Pour justifier mon retard ce soir, à tout de suite, j’ai hâte de reprendre là où on avait arrêté ce matin. »Elle courut retrouver son amant sur le quai. Et ils reprirent leurs jeux. Cette fois, ce fût lui qui limita clémentine dans ses gestes, car de toute évidence, il a failli jouir. Et pour un homme les conséquences d’une éjaculation sont nettement moins discrètes que pour une femme. Clémentine se pencha vers l’oreille de son amant et lui susurra : «Dommage, j’aurai aimé vous sentir couler sur mon corps. » Et elle sortit du métro, le laissant sur cette phrase.
Elle prévint Thomas qu’elle lui raconterait tout à l’hôtel cette fois-là. Et il ne fût pas déçu.
Il a été accueilli par une soubrette soumise, assise sur ses genoux derrière la porte.
- »Ne ferme pas la porte et sort ta queue ! »Thomas s’exécuta avec rapidité. Elle commença par lui lécher les testicules, puis remonta sur la verge qui commençait à bien durcir. Elle lui lécha le gland jusqu’à ce qu’il bande fort, et là, elle englouti cette belle verge dans sa bouche. Ils finirent par entendre une porte s’ouvrir dans le couloir. Thomas laissa se fermer la leur, et pris sa femme par le menton : - »Et si on passait à la pièce suivante pour que tu me racontes ton voyage retour ? »Clémentine se leva, et pris son mari par la queue pour l’emmener dans la chambre. Elle l’installa sur le fauteuil et s’agenouilla de nouveau devant lui. Elle le masturba lentement et commença à lui raconter son voyage. Quand elle arrivé à la fin, elle avoua à son mari : «C’est pour que je veux que tu jouisses sur moi. J’ai envie de sentir du sperme couler sur mon corps. » Thomas la laissa le masturber. Elle savait si bien faire, qu’il ne pouvait faire mieux.
Surtout que ce soir, elle était particulièrement motivée. Elle décida de le faire jouir sur son ventre, comme son amant aurait pu faire s’il ne l’avait pas retenue. Elle sentit le jus de son mari arriver par salve sur sa peau. Puis il coulait sur le bas de son ventre. Une fois Thomas bien vidé, elle frotta son sexe sur son ventre pour en étaler le sperme. Puis elle se caressa la peau sur les souillures, puis fit glisser ses mains sur son bas ventre. Elle avait du sperme partout entre le bas des seins et le pubis. Prise d’une envie de jouir, elle se jeta en arrière, s’allongea les jambes pliées et bien écartées. Ainsi il voyait parfaitement comment sa femme se masturba.
Elle jouit très rapidement d’un orgasme profond qui la laissa sans souffle.
La douche s’imposa, mais ne fût pas sans repos. Les esprits étaient échauffés pour la soirée.