Miroirs...
Récit érotique écrit par BPG [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-05-2023 dans la catégorie Plus on est
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Miroirs...
Ce que j’aime chez ma femme, c’est sa dichotomie dans ce qu’elle veut. De nature très timide et réservée en société, une fois dans l’intimité de notre couple, elle adore s’exhiber à des inconnus sur internet. Ce qu’elle apprécie le plus c’est d’en regarder certains jouir sur ses photos ou vidéo. Et sa différence de langage… Elle est capable de me dire non à mes assauts sexuels, mais tout en dandinant des fesses sur ma queue tendue ! Un non de la bouche, et un oui des hanches… Donc c’est avec toute cette incertitude sur ce qu’elle pense, que je suis incapable de prédire la suite de cette soirée. Nous nous retrouvons ce soir dans un salon privé d’un club libertin. Mme est habillée d’une robe échancrée jusqu’au dessus de ses hanches, avec un décolleté flottant, seins nus, jusqu’au nombril. Chaussée de ses cuissardes, elle porte des collants ouverts en résille fine. Elle ne sait pas ce qui l’attend. Elle sait juste que ça respecte ses limites. Le directeur de l’établissement, à qui j’avais chargé l’organisation de cet évènement, vient enfin nous chercher :
Lui - »Bonsoir, excusez-nous pour l’attente. Nous souhaitions que tout soit parfait dans le moindre détail. »
Moi- »Allez ma belle, allons nous enivrer de plaisirs ! »
Nous nous levons et suivons notre hôte. Nous traversons tout l’établissement. On voit des couples s’embrasser à quatre, des mains passant d’un corps à l’autre. Des hommes qui regardent leur femme avec un ou une autre. Ce temple à la luxure semble exciter ma belle. Je me sent soulagé quant à la suite de la soirée. Le directeur nous indique une porte. Je regarde ma femme et lui explique ce qui l’attend de l’autre côté de cette porte : de l’exhibition en live ! Elle sourit, et ouvrit la porte. La salle est toute petite. Elle contenait seulement un immense lit rond. La pièce était octogonale, et chaque côté était recouvert d’un miroir. Au milieu du lit trônait une boite, contenant tout ce qui pouvait être nécessaire à ce qu’on pouvait faire sur ce lit. Et quelques boutons sur le côté. L’effet miroir des vitres s’estompait légèrement avec la lumière rouge qui était allumée dans chacune des cabines derrière ces miroirs. Elle pouvait voir que toutes les cabines étaient occupées, mais sans distinguer qui se trouvaient sur les fauteuils. Je lui glissa ma main le long de son corps pour lui attraper une fesse, et lui demande si elle est prête à entrer dans l’arène. Elle se tourne vers moi, m’embrasse à pleine bouche en me tenant le visage d’une main, et en glissant l’autre sous la ceinture. Elle m’empoigne mon sexe durci, et m’invite à la suivre sur le lit. Elle y monte à quatre pattes en me montrant ses hanches ondulant. Je m’allonge à côté d’elle et nous nous embrassons. Nous entendons le directeur faire des manipulations pour installer la dernière cabine à la place de la porte par laquelle nous sommes entrés. Nous sommes entourés de 8 parois identiques. Parfaitement similaires, nous en oublions où se trouve la sortie et nous nous sentons prisonniers dans cette arène de plaisir. J’appuie sur un des boutons pour enclencher une lente rotation du lit. Comme ça, chaque voyeur voit ma femme sous tous les angles. Nous commençons à nous câliner de façon peu pudique. De toute évidence, ça lui plaît. Elle m’empoigne mon sexe et le sort de mon pantalon. Elle se met à quatre pattes et me prend en bouche. Elle offre ainsi une vue superbe au voyeur se trouvant derrière elle. Elle s’offre en spectacle à ces inconnus. Mais la curiosité la pique et elle intensifia la lumière dans les cabines. Les silhouettes apparaissent. Ce sont tous des hommes allant de la vingtaine à la quarantaine, avec de belles silhouettes. Certains se massent le sexe, d’autres l’ont déjà sorti et se masturbent lentement. Je m’allonge sur le dos et invite ma femme à s’asseoir sur mon visage. Je lui mange son pubis plus que je ne lèche. Elle se cambre et se caresse le corps devant ses inconnus, ses spectateurs, ses voyeurs, ses amants virtuels plus réels que jamais. Un premier inconnu ne tient plus et se lève pour s’appuyer sur le miroir, la queue à la main dans une masturbation frénétique. Me femme reconnaît le regard bestial de l’homme qui s’apprête à jouir. Elle se penche vers lui se resserrent les seins pour en faire un calice à remplir de foutre. Elle secoue ses seins ainsi comprimés pour son amant. Il ne lui en a fallu pas plus pour éjaculer sur la vitre. Elle s’approche à quatre pattes de la vitre et caresse de ses seins les dégoulinures de sperme de l’autre côté. L’homme s’affale sur le fauteuil, la mine réjouie et apaisée. Elle se retourne et regarde ses autres amants. Plus que 7…
J’avais imaginé cette soirée en me disant qu’on allait faire l’amour devant plusieurs hommes. Mais je m’aperçus, non pas pour me déplaire, que Mme se donnait en spectacle à ses amants, et que je n’étais qu’un simple figurant lui permettant de la mettre en valeur pour bien exciter tous ses mâles en chaleur. D’habitude, quand elle s’assoit sur mon visage pour se faire lécher, elle prend appui sur mon ventre, puis fini toujours par me sucer. Mais là, elle s’était directement assise dans l’autre sens. Il lui était donc impossible de me procurer du plaisir. J’étais son jouet, et ça me plaisait d’autant plus. Je me laissais donc commander par cette déesse du sexe sur laquelle 8 beaux mâles se masturbaient en chœur.
Elle arrête le lit devant la cabine d’un second homme prêt à jouir. Elle plaque ses mains sur la vitre, et la lèche à hauteur du sexe de l’homme. L’homme colle le bout de son gland contre la vitre et se masturbe d’autant plus fort. Elle fait tournoyer le bout de sa langue autour. L’homme gicle sur cette vision enivrante de ma femme la bouche grande ouverte au bout de son gland. Je connais cette image et m’en exalte à chaque fois qu’elle me le fait. Maintenant, c’est elle qui choisit la cabine, qui choisit l’homme qu’elle fera jouir. Il en reste plus que 6, tous nus, debout devant la vitre. Des corps musclés, bandés par le désir pour elle. Elle en choisit un et se met à genou devant lui, les mains posés sur les bords de la vitre, le décolleté ouvert sur ses seins fermes, le cul offert et dodelinant, elle m’invite à la lécher de nouveau. Je m’approche d’elle et me glisse de nouveau sous elle. Je lui lèche son clitoris, pendant que je stimule ses deux trous. Il ne m’a pas fallu longtemps pour l’emmener à un haut niveau d’excitation. Elle regarde toujours son amant droit dans les yeux pendant elle gémit du cuni que je lui fait. Je décide alors de la faire gicler dans ma bouche. J’utilise ma petite technique spéciale. Elle sait ce qu’il va lui arriver et elle décide d’appuyer sur le bouton sur le côté de la vitre : elle ouvre la paroi à son amant. Stoïque, il attend ses ordres. « Vous éjaculerez sur mes seins quand je jouirais . » J’avoue que cette phrase dans la bouche de ma femme, en vouvoiement, dîtes à un inconnu, ça m’a fait bander comme un jeune homme !
Je lui déclenche son orgasme, et elle jouit dans ma bouche. Je sens les jets de son foutre remplir ma bouche, elle crie. L’homme n’en peut plus de se retenir et lâche tout sur les seins de ma femme. « Nettoyez vos souillures ! » L’homme ne chercha même pas une solution, il s’agenouilla devant elle et lui lécha la poitrine souillée. Et il avala son propre foutre alors que j’avalais celui de ma femme. Elle lui tient la tête et glisse une main sur son dos comme pour le câliner pendant qu’elle s’écoule dans ma bouche.
Elle tourna le lit pour se mettre devant son 4ème amant. Elle me chevauche en amazone.
Elle offre la vue de son cul à son nouvel amant. Elle jette ses cheveux sur le côté et se contorsionne pour regarder son amant. Elle fait des va-et-vient avec ses hanches pour s’empaler sur ma queue. Je lui mordille un téton pendant que je caresse ses fesses. Je Glisse une main entre ses fesses et je la baise avec un majeur dans l’anus. Je lui fait ressentir ce qu’elle pourrait ressentir si cet amant était en elle en même temps que moi. Je voulais qu’elle le sente juste derrière elle.
En tendant la jambe, elle arrive à ouvrir la cloison. « Masturbez vous sur mes fesses, et éjaculez dessus ! » Je retire mes mains pour laisser la place à cet inconnu. Sans dire un mot, l’homme se met à genou derrière ma femme et pose son sexe entre ses fesses. Il se laisse se faire masturber par les fesses de ma femme que je baisais plus fort. Elle commence à pousser des cris. Je lui mordille ses tétons encore plus fort. L’homme n’en peut plus et se branle violemment. Il lui éjacule sur le bas du dos et le haut des fesses. « Nettoyez vos souillures ! » Elle se penche sur moi et m’embrasse langoureusement pendant que son amant lui lèche les fesses et le bas du dos.
Pour son cinquième amant, elle se met en amazone inversée sur moi. Je poursuis mes stimulations anales, pendant qu’elle exhibe fièrement sa poitrine de jeune femme. Elle se tortille sur moi et avale ma queue avec son vagin. Elle ouvre la cloison et ordonne à son nouvel amant de se tenir à genou devant elle. Ainsi assis, son sexe était à la hauteur du ventre de ma femme, et son torse imberbe et musclé à la hauteur de sa bouche. Elle le caresse et lui lèche ses pectoraux puis ses tétons. Quand il commence à être très excité, alors elle lui mordille et pince les tétons jusqu’à l’amener au bord de l’orgasme. Puis quand elle le sens venir, elle se jette en arrière sur moi et offre tout son buste à son amant, les cuisses écartées sur son pubis, les bras enlaçant ma tête. Il lui éjacule sur le ventre et la poitrine. Ayant compris le concept, il s’abaisse de suite pour nettoyer ma belle qui continue de se dodeliner sur ma queue.
Une fois nettoyée, elle se lève et va vers la septième cabine dont elle ouvre la cloison. « Vous n’avez le droit qu’à mes jambes. Faites ce que vous voulez, mais que sur mes jambes ! »
Le nouvel amant se met à genou devant elle et lui caresse les mollets tout en embrassant le peu de cuisses dévoilées par les cuissardes. Elle se cambre pour s’offrir à moi. Je glisse ma main entre ses lèvres offertes, et je les écarte. J’enfonce doucement mon gland entre ses lèvres gonflées et ruisselantes. Son amant se masturbe en frottant son gland sur ses cuissardes tout en lui léchant les cuisses. « Relevez-vous ! » L’homme s’exécute non sans regret pour le contact de sa queue entre ses jambes. Elle se penche encore plus vers lui pour baisser ses cuissardes jusqu’à ses genoux, puis se suspend à ses larges épaules, m’offrant encore un peu plus son cul. L’homme s’arc-boute pour avoir toujours son sexe en contact avec les jambes de ma femme. Et c’est donc sur cuisses qu’il éjacule tout son foutre. Et c’est tout aussi naturellement qu’il nettoie ses souillures. Elle se redresse contre moi, et je lui attrape une jambe pour la lui écarter. L’homme lèche allégrement sa douce peau. Sa langue glissant à l’intérieur de ses cuisses sans jamais sortir de la zone autorisée. Elle lui tient la tête tout en m’embrassant passionnément.
Il ne lui en reste plus qu’un ! Elle remets ses cuissardes et va lui ouvrir la cloison. Puis elle s’allonge face à lui, les jambes pliées, comme si elle se refusait. Mais ses lèvres étaient, pour le coup, bien offertes. Elle lui fait signe de s’approcher. Il monte sur le lit à genou et s’approche d’elle, la queue pointée vers le Saint Graal. Elle lève ses jambes et pose ses pieds sur son torse. Elle le caresse avec ses talons aiguilles, laissant de rougissantes griffures sur ce corps musclé. L’amant grimace un peu. « Il faut souffrir si vous en voulez plus de moi ! » L’amant compris et s’avança encore un peu plus, enfonçant les talons dans ses muscles. Mais en avançant, il pliait les jambes de ma femme qui s’écartent de plus en plus. Sa chatte si près, si offerte, lui fait surmonter la douleur et il s’allonge presque sur elle, la queue à la main, et les talons meurtrissant sa chaire. Elle se tourne vers moi et me demande de me branler dans sa bouche. Je m’allonge au dessus d’elle, le gland presque posé sur sa bouche ouverte et je me masturbe pendant qu’elle balade sa langue sur mon gland, tout en regardant son amant. Elle lève légèrement ses hanches pour que son clitoris soit en contact avec ces doigts qui masturbent ce beau chibre. Et c’est ensemble qu’ils jouissent. L’amant, consciencieux, nettoie ma femme de la poitrine maculée jusqu’à son pubis que peu épargné.
Elle - « Maintenant c’est à toi. Va dans une cabine ! »
Je m’installe dans un fauteuil, et regarde ma femme inviter tous ses amants à la rejoindre sur le lit. Elle se place naturellement au milieu de ses mâles en rut et commence à se déhancher. Ils se placent autour d’elle, le sexe à la main, commençant tous à se masturber. Ca l’excite encore plus et elle se mets à danser lascivement au milieu de ces sexes tendus vers elle. Elle voit que je commence à vouloir jouir, alors elle me fait signe de m’approcher. Quand j’arrive près d’elle, elle se mets à genoux tout en offrant une bouche grande ouverte. Ses amants se rapprochent. Elle se masturbe non pas pour se donner du plaisir mais se donner en spectacle, telle une actrice porno. Elle fait de même avec sa poitrine, avec tout son corps. Elle pose le but de sa langue sur mon méat et appuie fort dessus. Puis elle relâche la pression quand mon foutre sort sous pression directement dans sa bouche. Elle aspire mon gland et les dernières gouttes de sperme. Rassasiée, elle se relève et m’embrasse tendrement. Elle décolle sa bouche de la mienne, remercie ses amants pour leur prestation, et les invite à nous laisser. Il était temps de faire l’amour pour nous deux maintenant.
Lui - »Bonsoir, excusez-nous pour l’attente. Nous souhaitions que tout soit parfait dans le moindre détail. »
Moi- »Allez ma belle, allons nous enivrer de plaisirs ! »
Nous nous levons et suivons notre hôte. Nous traversons tout l’établissement. On voit des couples s’embrasser à quatre, des mains passant d’un corps à l’autre. Des hommes qui regardent leur femme avec un ou une autre. Ce temple à la luxure semble exciter ma belle. Je me sent soulagé quant à la suite de la soirée. Le directeur nous indique une porte. Je regarde ma femme et lui explique ce qui l’attend de l’autre côté de cette porte : de l’exhibition en live ! Elle sourit, et ouvrit la porte. La salle est toute petite. Elle contenait seulement un immense lit rond. La pièce était octogonale, et chaque côté était recouvert d’un miroir. Au milieu du lit trônait une boite, contenant tout ce qui pouvait être nécessaire à ce qu’on pouvait faire sur ce lit. Et quelques boutons sur le côté. L’effet miroir des vitres s’estompait légèrement avec la lumière rouge qui était allumée dans chacune des cabines derrière ces miroirs. Elle pouvait voir que toutes les cabines étaient occupées, mais sans distinguer qui se trouvaient sur les fauteuils. Je lui glissa ma main le long de son corps pour lui attraper une fesse, et lui demande si elle est prête à entrer dans l’arène. Elle se tourne vers moi, m’embrasse à pleine bouche en me tenant le visage d’une main, et en glissant l’autre sous la ceinture. Elle m’empoigne mon sexe durci, et m’invite à la suivre sur le lit. Elle y monte à quatre pattes en me montrant ses hanches ondulant. Je m’allonge à côté d’elle et nous nous embrassons. Nous entendons le directeur faire des manipulations pour installer la dernière cabine à la place de la porte par laquelle nous sommes entrés. Nous sommes entourés de 8 parois identiques. Parfaitement similaires, nous en oublions où se trouve la sortie et nous nous sentons prisonniers dans cette arène de plaisir. J’appuie sur un des boutons pour enclencher une lente rotation du lit. Comme ça, chaque voyeur voit ma femme sous tous les angles. Nous commençons à nous câliner de façon peu pudique. De toute évidence, ça lui plaît. Elle m’empoigne mon sexe et le sort de mon pantalon. Elle se met à quatre pattes et me prend en bouche. Elle offre ainsi une vue superbe au voyeur se trouvant derrière elle. Elle s’offre en spectacle à ces inconnus. Mais la curiosité la pique et elle intensifia la lumière dans les cabines. Les silhouettes apparaissent. Ce sont tous des hommes allant de la vingtaine à la quarantaine, avec de belles silhouettes. Certains se massent le sexe, d’autres l’ont déjà sorti et se masturbent lentement. Je m’allonge sur le dos et invite ma femme à s’asseoir sur mon visage. Je lui mange son pubis plus que je ne lèche. Elle se cambre et se caresse le corps devant ses inconnus, ses spectateurs, ses voyeurs, ses amants virtuels plus réels que jamais. Un premier inconnu ne tient plus et se lève pour s’appuyer sur le miroir, la queue à la main dans une masturbation frénétique. Me femme reconnaît le regard bestial de l’homme qui s’apprête à jouir. Elle se penche vers lui se resserrent les seins pour en faire un calice à remplir de foutre. Elle secoue ses seins ainsi comprimés pour son amant. Il ne lui en a fallu pas plus pour éjaculer sur la vitre. Elle s’approche à quatre pattes de la vitre et caresse de ses seins les dégoulinures de sperme de l’autre côté. L’homme s’affale sur le fauteuil, la mine réjouie et apaisée. Elle se retourne et regarde ses autres amants. Plus que 7…
J’avais imaginé cette soirée en me disant qu’on allait faire l’amour devant plusieurs hommes. Mais je m’aperçus, non pas pour me déplaire, que Mme se donnait en spectacle à ses amants, et que je n’étais qu’un simple figurant lui permettant de la mettre en valeur pour bien exciter tous ses mâles en chaleur. D’habitude, quand elle s’assoit sur mon visage pour se faire lécher, elle prend appui sur mon ventre, puis fini toujours par me sucer. Mais là, elle s’était directement assise dans l’autre sens. Il lui était donc impossible de me procurer du plaisir. J’étais son jouet, et ça me plaisait d’autant plus. Je me laissais donc commander par cette déesse du sexe sur laquelle 8 beaux mâles se masturbaient en chœur.
Elle arrête le lit devant la cabine d’un second homme prêt à jouir. Elle plaque ses mains sur la vitre, et la lèche à hauteur du sexe de l’homme. L’homme colle le bout de son gland contre la vitre et se masturbe d’autant plus fort. Elle fait tournoyer le bout de sa langue autour. L’homme gicle sur cette vision enivrante de ma femme la bouche grande ouverte au bout de son gland. Je connais cette image et m’en exalte à chaque fois qu’elle me le fait. Maintenant, c’est elle qui choisit la cabine, qui choisit l’homme qu’elle fera jouir. Il en reste plus que 6, tous nus, debout devant la vitre. Des corps musclés, bandés par le désir pour elle. Elle en choisit un et se met à genou devant lui, les mains posés sur les bords de la vitre, le décolleté ouvert sur ses seins fermes, le cul offert et dodelinant, elle m’invite à la lécher de nouveau. Je m’approche d’elle et me glisse de nouveau sous elle. Je lui lèche son clitoris, pendant que je stimule ses deux trous. Il ne m’a pas fallu longtemps pour l’emmener à un haut niveau d’excitation. Elle regarde toujours son amant droit dans les yeux pendant elle gémit du cuni que je lui fait. Je décide alors de la faire gicler dans ma bouche. J’utilise ma petite technique spéciale. Elle sait ce qu’il va lui arriver et elle décide d’appuyer sur le bouton sur le côté de la vitre : elle ouvre la paroi à son amant. Stoïque, il attend ses ordres. « Vous éjaculerez sur mes seins quand je jouirais . » J’avoue que cette phrase dans la bouche de ma femme, en vouvoiement, dîtes à un inconnu, ça m’a fait bander comme un jeune homme !
Je lui déclenche son orgasme, et elle jouit dans ma bouche. Je sens les jets de son foutre remplir ma bouche, elle crie. L’homme n’en peut plus de se retenir et lâche tout sur les seins de ma femme. « Nettoyez vos souillures ! » L’homme ne chercha même pas une solution, il s’agenouilla devant elle et lui lécha la poitrine souillée. Et il avala son propre foutre alors que j’avalais celui de ma femme. Elle lui tient la tête et glisse une main sur son dos comme pour le câliner pendant qu’elle s’écoule dans ma bouche.
Elle tourna le lit pour se mettre devant son 4ème amant. Elle me chevauche en amazone.
Elle offre la vue de son cul à son nouvel amant. Elle jette ses cheveux sur le côté et se contorsionne pour regarder son amant. Elle fait des va-et-vient avec ses hanches pour s’empaler sur ma queue. Je lui mordille un téton pendant que je caresse ses fesses. Je Glisse une main entre ses fesses et je la baise avec un majeur dans l’anus. Je lui fait ressentir ce qu’elle pourrait ressentir si cet amant était en elle en même temps que moi. Je voulais qu’elle le sente juste derrière elle.
En tendant la jambe, elle arrive à ouvrir la cloison. « Masturbez vous sur mes fesses, et éjaculez dessus ! » Je retire mes mains pour laisser la place à cet inconnu. Sans dire un mot, l’homme se met à genou derrière ma femme et pose son sexe entre ses fesses. Il se laisse se faire masturber par les fesses de ma femme que je baisais plus fort. Elle commence à pousser des cris. Je lui mordille ses tétons encore plus fort. L’homme n’en peut plus et se branle violemment. Il lui éjacule sur le bas du dos et le haut des fesses. « Nettoyez vos souillures ! » Elle se penche sur moi et m’embrasse langoureusement pendant que son amant lui lèche les fesses et le bas du dos.
Pour son cinquième amant, elle se met en amazone inversée sur moi. Je poursuis mes stimulations anales, pendant qu’elle exhibe fièrement sa poitrine de jeune femme. Elle se tortille sur moi et avale ma queue avec son vagin. Elle ouvre la cloison et ordonne à son nouvel amant de se tenir à genou devant elle. Ainsi assis, son sexe était à la hauteur du ventre de ma femme, et son torse imberbe et musclé à la hauteur de sa bouche. Elle le caresse et lui lèche ses pectoraux puis ses tétons. Quand il commence à être très excité, alors elle lui mordille et pince les tétons jusqu’à l’amener au bord de l’orgasme. Puis quand elle le sens venir, elle se jette en arrière sur moi et offre tout son buste à son amant, les cuisses écartées sur son pubis, les bras enlaçant ma tête. Il lui éjacule sur le ventre et la poitrine. Ayant compris le concept, il s’abaisse de suite pour nettoyer ma belle qui continue de se dodeliner sur ma queue.
Une fois nettoyée, elle se lève et va vers la septième cabine dont elle ouvre la cloison. « Vous n’avez le droit qu’à mes jambes. Faites ce que vous voulez, mais que sur mes jambes ! »
Le nouvel amant se met à genou devant elle et lui caresse les mollets tout en embrassant le peu de cuisses dévoilées par les cuissardes. Elle se cambre pour s’offrir à moi. Je glisse ma main entre ses lèvres offertes, et je les écarte. J’enfonce doucement mon gland entre ses lèvres gonflées et ruisselantes. Son amant se masturbe en frottant son gland sur ses cuissardes tout en lui léchant les cuisses. « Relevez-vous ! » L’homme s’exécute non sans regret pour le contact de sa queue entre ses jambes. Elle se penche encore plus vers lui pour baisser ses cuissardes jusqu’à ses genoux, puis se suspend à ses larges épaules, m’offrant encore un peu plus son cul. L’homme s’arc-boute pour avoir toujours son sexe en contact avec les jambes de ma femme. Et c’est donc sur cuisses qu’il éjacule tout son foutre. Et c’est tout aussi naturellement qu’il nettoie ses souillures. Elle se redresse contre moi, et je lui attrape une jambe pour la lui écarter. L’homme lèche allégrement sa douce peau. Sa langue glissant à l’intérieur de ses cuisses sans jamais sortir de la zone autorisée. Elle lui tient la tête tout en m’embrassant passionnément.
Il ne lui en reste plus qu’un ! Elle remets ses cuissardes et va lui ouvrir la cloison. Puis elle s’allonge face à lui, les jambes pliées, comme si elle se refusait. Mais ses lèvres étaient, pour le coup, bien offertes. Elle lui fait signe de s’approcher. Il monte sur le lit à genou et s’approche d’elle, la queue pointée vers le Saint Graal. Elle lève ses jambes et pose ses pieds sur son torse. Elle le caresse avec ses talons aiguilles, laissant de rougissantes griffures sur ce corps musclé. L’amant grimace un peu. « Il faut souffrir si vous en voulez plus de moi ! » L’amant compris et s’avança encore un peu plus, enfonçant les talons dans ses muscles. Mais en avançant, il pliait les jambes de ma femme qui s’écartent de plus en plus. Sa chatte si près, si offerte, lui fait surmonter la douleur et il s’allonge presque sur elle, la queue à la main, et les talons meurtrissant sa chaire. Elle se tourne vers moi et me demande de me branler dans sa bouche. Je m’allonge au dessus d’elle, le gland presque posé sur sa bouche ouverte et je me masturbe pendant qu’elle balade sa langue sur mon gland, tout en regardant son amant. Elle lève légèrement ses hanches pour que son clitoris soit en contact avec ces doigts qui masturbent ce beau chibre. Et c’est ensemble qu’ils jouissent. L’amant, consciencieux, nettoie ma femme de la poitrine maculée jusqu’à son pubis que peu épargné.
Elle - « Maintenant c’est à toi. Va dans une cabine ! »
Je m’installe dans un fauteuil, et regarde ma femme inviter tous ses amants à la rejoindre sur le lit. Elle se place naturellement au milieu de ses mâles en rut et commence à se déhancher. Ils se placent autour d’elle, le sexe à la main, commençant tous à se masturber. Ca l’excite encore plus et elle se mets à danser lascivement au milieu de ces sexes tendus vers elle. Elle voit que je commence à vouloir jouir, alors elle me fait signe de m’approcher. Quand j’arrive près d’elle, elle se mets à genoux tout en offrant une bouche grande ouverte. Ses amants se rapprochent. Elle se masturbe non pas pour se donner du plaisir mais se donner en spectacle, telle une actrice porno. Elle fait de même avec sa poitrine, avec tout son corps. Elle pose le but de sa langue sur mon méat et appuie fort dessus. Puis elle relâche la pression quand mon foutre sort sous pression directement dans sa bouche. Elle aspire mon gland et les dernières gouttes de sperme. Rassasiée, elle se relève et m’embrasse tendrement. Elle décolle sa bouche de la mienne, remercie ses amants pour leur prestation, et les invite à nous laisser. Il était temps de faire l’amour pour nous deux maintenant.
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