Cette jeune voisine se joue de moi #2

- Par l'auteur HDS Marcolegaucho -
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Récit libertin : Cette jeune voisine se joue de moi #2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-05-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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Cette jeune voisine se joue de moi #2
Les jours suivants, Sabine habite mes pensées… Au sein de mon couple, j’ai un net regain de libido mais tous nos ébats terminent invariablement avec les souvenirs de la voisine en détonateur d’orgasme. Je suis plus que jamais à l’affût de toute possibilité de nouvelle rencontre.

Or, une fois de plus, le soufflet redescend au fil du temps. Le jeudi suivant, d’abord, Léa m’apprend que la mère de Sabine est passée la veille au soir ramener des œufs, alors que j’étais au sport. J’ai l’impression que mon « ah, très bien » un peu râpeux trahit ma déception.

Durant les deux semaines suivantes, j’ai ensuite par deux fois l’occasion de croiser Sabine sur le parking de la résidence. Ces rencontres sont pour moi un véritable dégrisement. Elle me salue comme un parfait inconnu. Un bonjour banal sans aucune trace ni de chaleur ni d’animosité. Rien. J’ai l’impression d’être transparent.

Et je dois bien me l’avouer, ça me déchire. Je ressens de la tristesse mais plus encore de la colère. Qu’est-ce que je suis encore aller m’imaginer ? T’es pas dans un film de cul là Marco ! Cette voisine elle n’en a rien à carrer de ta gueule de vieux, t’as le double de son âge bordel… Les deux fois, je finis par aller courir pour expulser un tant soit peu ma frustration…

Je conclus qu’il en est mieux ainsi. J’ai l’intime conviction que la magnitude du séisme déclenché par cette voisine mettrait ma vie sans dessus dessous. Je ne suis vraiment pas l’as de la dissimulation en plus, et je tiens à ma femme. D’ailleurs on a basé notre relation sur le dialogue et dans la mesure du possible la transparence. Étant conscients qu’un accident de parcours peut toutefois vite arriver, on a décidé de préserver l’autre le cas échéant. Bref, vu l’intensité de mes ressentis dès que je m’approche de Sabine, je me dis que la frustration est préférable à une tempête.

Mais voilà, comme bien souvent, c’est au moment où on s’y attend le moins que ça arrive…
Je m’en souviens comme si c’était hier. Mercredi soir, comme chaque semaine, Léa se rend vers 18h30 à sa séance de natation. Cinq minutes se sont écoulées depuis son départ quand la sonnette retentit. J’ouvre la porte et me retrouve pour la deuxième fois nez à nez avec Sabine.

Elle est cette fois toute de noire vêtue. Elle porte un pull à col roulé, un pantalon taille haute ceinturé et des baskets beiges comme seule touche de couleur. Une tenue classique qui n’en laisse pas moins transparaître des courbes bien dessinées au niveau de la poitrine et des hanches. Elle me flatte d’un sourire charmeur, à l’opposé de la froideur des dernières fois où je l’ai croisée.

- Salut Marc, ça te dérangerai de monter deux minutes à l’appart ? J’ai plus de connexion internet et j’ai un devoir à absolument envoyer ce soir à mon prof de droit. Ma mère m’a dit que tu travaillais dans l’informatique non ?
- Euh…oui oui. Tu veux qu’on monte maintenant ?

Tiens, mon cerveau qui se remet à fonctionner en mode bulot…

- Bin oui ! Me répond-elle d’un ton sec avant qu’un nouveau sourire vienne rapidement adoucir ses paroles.
- Euh, ok, j’arrive.

Alors que j’enfile une paire de baskets, je sens mon excitation monter. Sabine m’invite à rentrer chez elle, alors qu’elle est à priori seule… J’ai du mal à croire au simple coup de la panne internet, elle envisage sans doute autre chose… D’ailleurs, comment sa mère sait-elle que je bosse en informatique ? Elle a dû en discuter avec Léa mais je trouve bizarre que ma femme ne m’en ait rien dit.

Je la rejoins et sans un mot nous nous dirigeons vers l’ascenseur. Marchant un pas devant moi, j’en profite pour admirer sa démarche gracieuse, ses cheveux ondulants le long de son dos au rythme de son déhanché. Arrivés dans l’ascenseur, elle presse le bouton du troisième étage et les portes se referment. Durant toute la montée, dans un silence lourd, elle me fixe du regard. Incapable pour ma part de redresser la tête, je scrute péniblement mes pieds.

Une fois arrivés au troisième, elle m’amène jusqu’à son appartement toujours sans une parole. Le silence me met de plus en plus mal à l’aise. Je ne trouve pourtant pas la force de briser la glace. Je sens en revanche par son attitude qu’elle prend plaisir de mon inconfort. Elle ouvre la porte d’entrée et s’engouffre à l’intérieur. Voyant qu’elle enlève les chaussures, j’en fais machinalement de même et m’avance avec elle vers le salon.

- Ça fait six mois qu’on vit ici avec ma mère. C’est plutôt cool, surtout de plus assister à la guéguerre quotidienne avec mon connard de père…

Alors qu’elle continue à parler, j’ai le regard attiré vers un coin du salon où un meuble à étagères accueille une trentaine de paires de chaussures de différentes typologies. La grande majorité sont à talons. Alors, vous commencez à me connaitre, je les regarde une seconde de trop.

- Putain t’es pas la moitié d’un fétichiste toi !
- Euh…quoi ?

Une fois de plus, je ne trouve rien de mieux à répliquer à cet assaut fulgurant. Je suis soufflé. Pourtant, en la regardant bouche bée, je ne décèle pas de méchanceté. Elle affiche au contraire un air malicieux :

- C’est les chaussures de ma daronne. Les miennes sont dans ma chambre. Mais t’as du bol, on fait la même taille. Allez, choisis lesquelles tu veux que je mette.
- Non non…je regardai ça comme ça…
- C’est bon Marc, il n’y a pas de mal…dit-elle en rigolant.

Voyant que je ne réponds rien, elle s’approche du meuble et commence à inspecter les différentes paires.

- Voyons, lesquelles pourraient te plaire…
- J’étais pas venu ici pour un problème de connexion ?

J’essaie timidement de reprendre un peu de contenance en prononçant ma première phrase structurée...

- Bah, on peut joindre l’utile à l’agréable non ? me rétorque-elle d’un ton espiègle. Oui, celles-là…

Elle se saisit d’une paire de bottines couleur argent et s’assoit naturellement sur une chaise pour les chausser. Devant la beauté de la scène se déroulant sous mes yeux, je sens la tension s’apaiser. Quelque chose se libère en moi. Je suis enfin dans la mesure d’apprécier le moment fugace que je vis… Je la contemple enfiler avec grâce une bottine, puis l’autre. Elle se lève et me fait face.

- Alors, t’en penses quoi ?
- Elles sont très belles
- Elles me vont bien non ?

Elle se met à arpenter la pièce, les talons frappent le parquet d’un son mat et régulier. Aux anges, je m’apprête à répondre mais quelque chose me retient. J’hésite à utiliser le tutoiement. Ayant peur de briser le charme, j’opte pour la deuxième option.

- Elles vous vont à ravir.

Elle me considère un instant et éclate de rire.

- On se calme hein Marc, tu crois que t’as trouvé ta dominatrice SM ? Tu t’attends à quoi ? À lécher mes pieds ? À compter les coups de fouets ? À signer un contrat d’appartenance ?

Elle s’esclaffe de nouveau. Pour le coup, le charme est rompu. Un sentiment de honte me colonise instantanément. Je bredouille deux onomatopées inaudibles, je ne sais pas où me foutre… Postée devant moi, les mains sur les hanches, elle m’observe et se délecte de ma décomposition, rendant l’humiliation encore plus cuisante. Après ce qui me semble être une éternité, elle se dirige vers la table basse.

- Bon c’est pas tout mais t’es venu pour arranger ma connexion ! Mon ordi bug depuis ce matin, je sais pas ce qu’il a. Viens voir.

Je m’approche tel un automate. Alors que je m’assoie sur un pouf adjacent et commence à analyser l’ordinateur, je la sens faire le tour et s’installer sur un fauteuil à ma gauche. Je la soupçonne de s’être mise délibérément à un endroit où je peux l’observer. Elle croise lentement ses jambes et se met à pianoter son téléphone. Décidément, elle se joue bien de moi.

Tout en prenant l’ordinateur en main, j’en profite pour jeter de nombreux regards dérobés. Le problème réseau est bien réel. M’a-t-elle vraiment fait monter sans préméditation ? Malgré ma confusion, je sens de nouveau une certaine détente se repropager en moi. Bien que les circonstances soient ubuesques, je décide d’en profiter. Après tout, ne suis-je pas en train de vivre une situation que j’ai appelé de mes vœux ?

A peine cette pensée me traverse-t-elle l’esprit que Sabine détend ses jambes et les pose sur la table basse juste à côté de l’ordinateur. Une bouffée de désir monte en moi. Je fais toutefois mine d’être concentré sur ma tâche. En fait, je n’ai pas mis longtemps à résoudre la panne mais je fais semblant de batailler encore un moment pour faire durer le plaisir.

- Je crois que c’est bon. Dis-je cinq minutes plus tard.

Elle se lève et se penche sur mon épaule pour regarder l’écran. Son parfum vanillé vient m’enivrer.

- Cool ! Je vais pouvoir envoyer ce putain de devoir !

Elle se saisit de l’ordinateur et se rassoit sur son fauteuil. À nouveau, je ne sais pas où me mettre. Je me lève et reste quelques instants bêtement debout. Elle se tourne vers moi, son sourire a disparu.

- C’est bon Marc, tu peux y aller.

Je suis sidéré tant par l’affront que par le ton employé. Elle me traite en domestique qu’elle vient de congédier ! Une force invisible me fait pourtant courber l’échine. L’autorité qui émane de cette jeune femme est sauvage, incontestable. Comment peut-on être si sûr de soi à 20 ans ? Ça me dépasse complètement. Meurtri, je fais demi-tour, marche jusqu’à l’entrée, remets mes baskets, m’apprête à saisir la poignée de porte…

- Attends !

Je me retourne et la vois se rendre à la table à manger. Elle s’empare d’un stylo et paraît griffonner quelque chose. Elle vient ensuite vers moi d’une démarche conquérante. Comme lors de notre première rencontre, je vis la scène au ralenti. Il émane de Sabine une aura tout simplement indescriptible.

- Tu l’ouvres quand t’es chez toi.

Elle me tend un bout de papier plié. Toute en le saisissant, je m’aventure à la regarder furtivement dans les yeux. Le regard est froid, presque dédaigneux. Je comprends que c’est le moment d’y aller. Je lui lance un timide merci et sors de chez elle. Notons au passage l’ironie de la situation : celui qui rend service se retrouve au final à remercier…

Comme ordonné, j’attends d’être chez moi pour ouvrir fébrilement le papier.

Me voilà en possession de son 06.

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Histoire Erotique
Un suspens érotique très excitant, cette jeune fille fait rêver … Hâte de lire la suite



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