Cette jeune voisine se joue de moi #4
Récit érotique écrit par Marcolegaucho [→ Accès à sa fiche auteur]
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Cette jeune voisine se joue de moi #4
Les semaines suivantes, les escaliers de l’immeuble deviennent notre point de rendez-vous régulier. Sabine m’envoie à chaque fois un message pour savoir si je suis disponible et m’ordonne de monter cinq minutes plus tard si c’est le cas.
Elle m’attend là, assise ou debout, entre le deuxième et le troisième étage. Sa vue m’enflamme invariablement. Bien qu’elle porte toujours des pantalons, elle est systématiquement chaussée de talons différents. Ça me touche, car je sais qu’elle ne le fait rien que pour moi. Bottes, escarpins, sandales, bottines, elle m’en fait voir de toutes les couleurs… Fin connaisseur, je trouve qu’elle a vraiment du goût, car cela ne verse jamais dans le vulgaire. Ça la rend élégante, souveraine et bien sûr ô combien sexy.
Le protocole est toujours le même : du doigt elle m’enjoint à me prosterner. Je dois baiser chacun de ses pieds puis rester en position, en silence, jusqu’à qu’elle me congédie d’une parole ou en se levant elle-même. Il lui arrive même, parfois, de poser un pied sur ma tête et d’utiliser son talon pour m’écraser légèrement le visage contre l’escalier durant plusieurs minutes.
Les érections que ça me provoque sont toutes aussi intenses, douloureuses je dirai même. Et même si je surprends, à deux ou trois reprises, son regard se poser sur mon entrejambe, elle reste parfaitement impassible. Le comble, c’est que — ne me demandez pas pourquoi — cette indifférence à mes besoins m’humilie... et m’excite d’autant plus. C’est comme si elle se nourrissait du simple fait de me tenir sous contrôle
Et ça marche ! Je sens au fil de ces rencontres son emprise me coloniser, s’enraciner toujours plus profondément en moi. Bien qu’il ne s’y passe pas grand-chose, je ne manquerai ces rendez-vous pour rien au monde. L’épisode de sa poitrine m’a de toute façon complètement retourné le cerveau. Plus question désormais de mettre un terme à cette « relation ». D’autant que ma libido s’en trouve décuplée : les rapports avec ma femme sont devenus quasi quotidiens. Manière pour moi de décharger les pics de frustration intense que me fait subir Sabine…
Il est 16h50 samedi après-midi. Je marche dans le quartier Saint-Pierre vers mon lieu de rendez-vous. La veille au soir, j’ai reçu un SMS dénotant de Sabine qui disait lapidairement :
- Demain a 17h tu me retrouve à Saint Pierre, au café Bruxelles (nom changé)
Je suis anxieux. Je m’étais habitué au rituel de nos rencontres et ce changement m’a pris au dépourvu. J’allonge le pas ne voulant pas être en retard et arrive à l’endroit convenu à 17h pile. Le café est plutôt clairsemé à cette heure-là. Pas de Sabine en vue, je choisis une table au fond de l’établissement, histoire de pouvoir guetter son arrivée.
Un serveur s’approche et me demande ce que je souhaite. Je lui réponds que j’attends quelqu’un. Un couple de personnes âgées entre, suivi d’un groupe de femmes dans la quarantaine.
17h10, 17h15… Je scrolle le téléphone sans y porter d’attention. Une nouvelle bande de jeunes femmes rentre… et voilà Sabine ! Merde, il y a quelque chose qui cloche… Elle discute avec les trois autres qui sont rentrées avant elle. N’y comprenant rien, je les vois s’avancer vers moi puis tourner vers une table à ma diagonale. Sabine qui ferme la marche profite de son passage devant moi pour me lancer un rapide clin d’œil. Et les voilà qui s’installent à cinq ou six mètres d’où je me trouve.
Sous le choc, je les vois ôter leurs manteaux une à une, et j’en profite pour les détailler. Elles ont toutes la vingtaine, et elles sont superbes. Trois d’entre elles affichent un style décontracté : deux portent des baskets, la troisième a opté pour des Doc Martens. Sabine, elle, est la seule à avoir mis des talons. Je me sens instantanément flatté car je sens que c’est une intention qui m’est destinée. Elle porte une robe noire lui descendant jusqu’aux genoux, des collants sombres et des bottines en cuir noir. Ses cheveux lisses lui tombent jusqu’au bas du dos. Quelle classe… Je sens l’emprise qu’elle a sur moi resserrer son étreinte.
Bon, en attendant, me voilà bien dans l’embarras. Je suis sensé faire quoi moi ?! Je décide de patienter en ménageant les apparences. J’appelle le serveur, lui commande une bière et joue le mec concentré sur son téléphone. 10 minutes passent, 15, 20…Une des quatre filles se lève et descend à priori aux toilettes. J’en profite pour reluquer une fois de plus Sabine, magnifique dans sa tenue, jambes croisées, laissant une bottine dépasser de la table.
Lorsque la quatrième revient, Sabine se lève à son tour et prend la direction des escaliers. Il me semble percevoir un léger mouvement de tête lorsqu’elle passe devant moi. Merde ! C’était un signal de la suivre ou j’ai rêvé ? Je jette un œil aux trois autres femmes toujours plongées dans leur conversation et me décide à descendre. Mon dieu, j’ai l’impression que mon cœur va exploser, il cogne tellement fort…
En bas, deux portes se font face l’une à l’autre. Celle des toilettes des filles est légèrement entrouverte. Il semblerait que j’ai bien saisi le signal, mais ça ne me rend pas moins nerveux pour autant. Je pousse fébrilement la porte et découvre Sabine m’attendant debout, sourire malicieux aux lèvres.
- Sabine bordel, c’est quoi ce plan ?! dis-je en refermant la porte derrière moi.
- Shhhhhh… On dirait bien que t’oublies les bonnes manières Marc…
Sa voix, contrairement à la mienne, est calme, posée… Son doigt entame ce geste que je commence à trop bien connaître… Je me prosterne dans le peu d’espace que j’ai en cognant au passage la porte de mes coudes. L’excitation habituelle se répand dans mes veines telle une trainée de poudre.
- En plus je t’ai fait venir pour te récompenser de ta bonne conduite. Me le fait pas regretter…
Je baise consciencieusement son pied droit, puis le gauche… une odeur de cuir neuf vient caresser mes narines. Je me raidis ! Quelqu’un tente d’ouvrir la porte ! Je lève la tête et l’implore du regard. Son calme est déconcertant. Comment fait-elle ?!
- Donne-moi tes mains…
Elle se penche pour les saisir et me les pose sur ses bottines. Me prenant ensuite par les poignets, elle commence à les remonter. Je ferme les yeux et sens mes doigts effleurer le bois de ses talons, le cuir de ses chaussures, puis glisser sur le nylon de ses collants sous lesquels je perçois la fermeté de ses mollets. Elle remonte lentement jusqu’aux genoux et continue son ascension. De légers reliefs accrochent mes doigts. Une bombe explose dans ma tête : c’est pas des collants qu’elle porte… mais des bas ! Je suis aux abois, ma respiration est bruyante.
- Ça te plaît ?
- Oh, oui, c’est magnifique…
Elle lâche mes mains des deux côtés de ses jambes.
- Maintenant, tu vas m’enlever mon string. Attention Marc, rien de plus, tu m’enlèves juste mon string.
Aux anges, je m’exécute le plus doucement possible. Je me saisis de son string tout en me délectant du moindre contact de mes doigts avec sa peau… Je le descends jusqu’aux mollets et Sabine lève un pied puis l’autre pour s’en défaire.
- Je le porte depuis hier soir. Profite bien mon cochon. Maintenant relève toi et laisse-moi passer.
Je reviens à la réalité, me redresse précipitamment en cognant de nouveau la porte. Je glisse d’une main tremblante son string dans ma poche. Sabine passe devant moi, effleure mon corps. Sa main frôle mon entrejambe en feu… et s’y attarde une fraction de seconde de trop pour que ce soit accidentel.
Elle ouvre la porte et sort naturellement, ses talons claquant sur le carrelage du sous-sol. Malgré une érection énorme, je n’ai pas d’autre choix que de sortir, pour me retrouver nez à nez avec une inconnue visiblement persuadée que les toilettes étaient libres. Je rougis ? Je blanchis ? Aucune idée ... Tout ce que je sais, c’est que je baisse la tête, baragouine des excuses et me précipite dans les toilettes des hommes histoire de reprendre un minimum mes esprits.
Au bout de deux, trois minutes, la respiration calmée, mon érection contrôlée, je remonte, fonce récupérer mon anorak, m’arrête au comptoir pour régler ma bière et sors en trombe sans un regard pour le groupe des jeunes femmes.
C’est seulement après avoir fait une centaine de pas, la brise fraîche me détendant, que je m’autorise à mettre la main à la poche pour effleurer le bout de tissu. Qu’est-ce qu’il me tarde d’être chez moi pour pouvoir gouter son odeur…
Elle m’attend là, assise ou debout, entre le deuxième et le troisième étage. Sa vue m’enflamme invariablement. Bien qu’elle porte toujours des pantalons, elle est systématiquement chaussée de talons différents. Ça me touche, car je sais qu’elle ne le fait rien que pour moi. Bottes, escarpins, sandales, bottines, elle m’en fait voir de toutes les couleurs… Fin connaisseur, je trouve qu’elle a vraiment du goût, car cela ne verse jamais dans le vulgaire. Ça la rend élégante, souveraine et bien sûr ô combien sexy.
Le protocole est toujours le même : du doigt elle m’enjoint à me prosterner. Je dois baiser chacun de ses pieds puis rester en position, en silence, jusqu’à qu’elle me congédie d’une parole ou en se levant elle-même. Il lui arrive même, parfois, de poser un pied sur ma tête et d’utiliser son talon pour m’écraser légèrement le visage contre l’escalier durant plusieurs minutes.
Les érections que ça me provoque sont toutes aussi intenses, douloureuses je dirai même. Et même si je surprends, à deux ou trois reprises, son regard se poser sur mon entrejambe, elle reste parfaitement impassible. Le comble, c’est que — ne me demandez pas pourquoi — cette indifférence à mes besoins m’humilie... et m’excite d’autant plus. C’est comme si elle se nourrissait du simple fait de me tenir sous contrôle
Et ça marche ! Je sens au fil de ces rencontres son emprise me coloniser, s’enraciner toujours plus profondément en moi. Bien qu’il ne s’y passe pas grand-chose, je ne manquerai ces rendez-vous pour rien au monde. L’épisode de sa poitrine m’a de toute façon complètement retourné le cerveau. Plus question désormais de mettre un terme à cette « relation ». D’autant que ma libido s’en trouve décuplée : les rapports avec ma femme sont devenus quasi quotidiens. Manière pour moi de décharger les pics de frustration intense que me fait subir Sabine…
Il est 16h50 samedi après-midi. Je marche dans le quartier Saint-Pierre vers mon lieu de rendez-vous. La veille au soir, j’ai reçu un SMS dénotant de Sabine qui disait lapidairement :
- Demain a 17h tu me retrouve à Saint Pierre, au café Bruxelles (nom changé)
Je suis anxieux. Je m’étais habitué au rituel de nos rencontres et ce changement m’a pris au dépourvu. J’allonge le pas ne voulant pas être en retard et arrive à l’endroit convenu à 17h pile. Le café est plutôt clairsemé à cette heure-là. Pas de Sabine en vue, je choisis une table au fond de l’établissement, histoire de pouvoir guetter son arrivée.
Un serveur s’approche et me demande ce que je souhaite. Je lui réponds que j’attends quelqu’un. Un couple de personnes âgées entre, suivi d’un groupe de femmes dans la quarantaine.
17h10, 17h15… Je scrolle le téléphone sans y porter d’attention. Une nouvelle bande de jeunes femmes rentre… et voilà Sabine ! Merde, il y a quelque chose qui cloche… Elle discute avec les trois autres qui sont rentrées avant elle. N’y comprenant rien, je les vois s’avancer vers moi puis tourner vers une table à ma diagonale. Sabine qui ferme la marche profite de son passage devant moi pour me lancer un rapide clin d’œil. Et les voilà qui s’installent à cinq ou six mètres d’où je me trouve.
Sous le choc, je les vois ôter leurs manteaux une à une, et j’en profite pour les détailler. Elles ont toutes la vingtaine, et elles sont superbes. Trois d’entre elles affichent un style décontracté : deux portent des baskets, la troisième a opté pour des Doc Martens. Sabine, elle, est la seule à avoir mis des talons. Je me sens instantanément flatté car je sens que c’est une intention qui m’est destinée. Elle porte une robe noire lui descendant jusqu’aux genoux, des collants sombres et des bottines en cuir noir. Ses cheveux lisses lui tombent jusqu’au bas du dos. Quelle classe… Je sens l’emprise qu’elle a sur moi resserrer son étreinte.
Bon, en attendant, me voilà bien dans l’embarras. Je suis sensé faire quoi moi ?! Je décide de patienter en ménageant les apparences. J’appelle le serveur, lui commande une bière et joue le mec concentré sur son téléphone. 10 minutes passent, 15, 20…Une des quatre filles se lève et descend à priori aux toilettes. J’en profite pour reluquer une fois de plus Sabine, magnifique dans sa tenue, jambes croisées, laissant une bottine dépasser de la table.
Lorsque la quatrième revient, Sabine se lève à son tour et prend la direction des escaliers. Il me semble percevoir un léger mouvement de tête lorsqu’elle passe devant moi. Merde ! C’était un signal de la suivre ou j’ai rêvé ? Je jette un œil aux trois autres femmes toujours plongées dans leur conversation et me décide à descendre. Mon dieu, j’ai l’impression que mon cœur va exploser, il cogne tellement fort…
En bas, deux portes se font face l’une à l’autre. Celle des toilettes des filles est légèrement entrouverte. Il semblerait que j’ai bien saisi le signal, mais ça ne me rend pas moins nerveux pour autant. Je pousse fébrilement la porte et découvre Sabine m’attendant debout, sourire malicieux aux lèvres.
- Sabine bordel, c’est quoi ce plan ?! dis-je en refermant la porte derrière moi.
- Shhhhhh… On dirait bien que t’oublies les bonnes manières Marc…
Sa voix, contrairement à la mienne, est calme, posée… Son doigt entame ce geste que je commence à trop bien connaître… Je me prosterne dans le peu d’espace que j’ai en cognant au passage la porte de mes coudes. L’excitation habituelle se répand dans mes veines telle une trainée de poudre.
- En plus je t’ai fait venir pour te récompenser de ta bonne conduite. Me le fait pas regretter…
Je baise consciencieusement son pied droit, puis le gauche… une odeur de cuir neuf vient caresser mes narines. Je me raidis ! Quelqu’un tente d’ouvrir la porte ! Je lève la tête et l’implore du regard. Son calme est déconcertant. Comment fait-elle ?!
- Donne-moi tes mains…
Elle se penche pour les saisir et me les pose sur ses bottines. Me prenant ensuite par les poignets, elle commence à les remonter. Je ferme les yeux et sens mes doigts effleurer le bois de ses talons, le cuir de ses chaussures, puis glisser sur le nylon de ses collants sous lesquels je perçois la fermeté de ses mollets. Elle remonte lentement jusqu’aux genoux et continue son ascension. De légers reliefs accrochent mes doigts. Une bombe explose dans ma tête : c’est pas des collants qu’elle porte… mais des bas ! Je suis aux abois, ma respiration est bruyante.
- Ça te plaît ?
- Oh, oui, c’est magnifique…
Elle lâche mes mains des deux côtés de ses jambes.
- Maintenant, tu vas m’enlever mon string. Attention Marc, rien de plus, tu m’enlèves juste mon string.
Aux anges, je m’exécute le plus doucement possible. Je me saisis de son string tout en me délectant du moindre contact de mes doigts avec sa peau… Je le descends jusqu’aux mollets et Sabine lève un pied puis l’autre pour s’en défaire.
- Je le porte depuis hier soir. Profite bien mon cochon. Maintenant relève toi et laisse-moi passer.
Je reviens à la réalité, me redresse précipitamment en cognant de nouveau la porte. Je glisse d’une main tremblante son string dans ma poche. Sabine passe devant moi, effleure mon corps. Sa main frôle mon entrejambe en feu… et s’y attarde une fraction de seconde de trop pour que ce soit accidentel.
Elle ouvre la porte et sort naturellement, ses talons claquant sur le carrelage du sous-sol. Malgré une érection énorme, je n’ai pas d’autre choix que de sortir, pour me retrouver nez à nez avec une inconnue visiblement persuadée que les toilettes étaient libres. Je rougis ? Je blanchis ? Aucune idée ... Tout ce que je sais, c’est que je baisse la tête, baragouine des excuses et me précipite dans les toilettes des hommes histoire de reprendre un minimum mes esprits.
Au bout de deux, trois minutes, la respiration calmée, mon érection contrôlée, je remonte, fonce récupérer mon anorak, m’arrête au comptoir pour régler ma bière et sors en trombe sans un regard pour le groupe des jeunes femmes.
C’est seulement après avoir fait une centaine de pas, la brise fraîche me détendant, que je m’autorise à mettre la main à la poche pour effleurer le bout de tissu. Qu’est-ce qu’il me tarde d’être chez moi pour pouvoir gouter son odeur…
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Eh oui , la vie peut nous jouer de drôles de tours , ce n’est pas qu’un long fleuve tranquille , et heureusement . Merci pour ce charmant moment de lecture , bien écrit !
vivement la suite
