Cette jeune voisine se joue de moi #3
Récit érotique écrit par Marcolegaucho [→ Accès à sa fiche auteur]
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Cette jeune voisine se joue de moi #3
Note : Je m’excuse pour le temps écoulé depuis le dernier chapitre. Une année mouvementée m’a tenue à l’écart de la confession de mes souvenirs. Je tiens à remercier celles et ceux qui ont pris le temps de commenter les chapitres précédents, certains messages m’ont profondément touché. C’est d’ailleurs l’un d’eux qui m’a décidé à reprendre la plume.
Oui. À la question de savoir si j’avais conscience qu’envoyer ce premier message allait bouleverser ma vie, la réponse est oui. Évidemment.
Mais l'appel a été irrésistible.
Ma volonté ? Trop faible.
J’ai tout de même résisté quarante-huit heures avant d’envoyer ces quelques mots. Une éternité.
- Bonjour Sabine, c’est Marc, le voisin. Je ne sais pas trop pourquoi je vous écris mais me voilà…
Pas 5 minutes ne passent avant sa réponse :
- Fé moi rire tu sais pas ! T en as mi du temps. Je te plais pas assez ?
Je vous l’accorde, elle a beau être à priori en études de droit, pour le français on repassera…
- Oui vous me plaisez beaucoup, mais je ne sais pas où ça nous mène…
- A mes pieds, c la ou ca te mène. Je v sortir de chez moi, monte maintenant par les escaliers. G pas intéré a t’attendre !
Deux messages et la voilà à me donner des ordres. Et moi déjà dans une situation de merde. Ma femme est à côté, mais heureusement, elle est enfermée dans son bureau en télétravail. J’en profite pour chausser des tennis et m’esquiver silencieusement.
Je monte les deux premiers étages et commence à gravir le troisième, quand je la vois, assise là, à même les marches. Mon cœur s’emballe — et je peux vous assurer que ce ne sont pas les escaliers qui en sont la cause. Toujours aussi belle, toujours aussi farouche, elle porte un jean et les mêmes bottes à talons noirs que je lui ai déjà vues. Ses jambes sont ouvertes, ses bras posés sur ses genoux. Elle me regarde sourire aux lèvres, sûre de sa victoire.
Pas un mot n’est prononcé. Le doigt vers le bas, elle m’invite à me prosterner. Je fonds. Je m’assoie deux marches plus bas qu’elle. Elle me toise, son sourire s’est estompé.
- À mes pieds.
Son ordre claque. Je marque un temps d’arrêt, conscient d’être sur le point de franchir un point de non-retour. L’excitation et la peur se livrent un duel sans merci. J’ose la regarder dans les yeux. Elle ne laisse place à aucun doute. De nouveau sans un mot, son doigt descend en indiquant ses bottes. L’image d’une impératrice baissant le pouce pour condamner à mort surgit dans ma tête.
Je rends les armes en même temps que le peu de dignité qui me reste. Je me prosterne. Je ne sais pas ce qu’elle attend au juste de moi mais je prends les devants : je baise une botte plusieurs fois, puis l’autre. J’ai de nouveau ce flash d’une impératrice sur son trône. L’excitation gagne tout mon corps, j’ai une érection fulgurante, tellement intense que ça me fait mal au ventre. Elle fredonne quant à elle un air comme si la situation était on ne peut plus banale…
- C’est bien. Dit-elle au bout d’un moment. J’ai de suite senti que tu serais à moi. Espèce de pervers va…Dis que t’es à moi !
- Je suis à vous.
- Je m’appelle Sabine.
- Sabine.
Elle me prend l’arrière de la tête d’une main et m’oblige à la regarder. Elle plante son regard dans le mien. Le vert de ses yeux me transperce.
- Dis-le en entier.
- Je suis à vous Sabine.
- C’est bien, maintenant baise ma main.
Elle me parle sans agressivité. Juste avec un ton sans appel. Il y a dans sa voix une autorité innée, celle de quelqu’un qui a toujours su se faire obéir. Comment une gamine de 20 ans peut irradier une telle autorité ? Ça me sidère...
Je prends sa main droite entre les miennes et obéis. Bizarrement, c’est à ce moment-là qu’un brin de lucidité me traverse. On est vendredi, il doit être 18h30. Un voisin pourrait passer par ces escaliers à tout moment. C’est n’importe quoi ! Je ne sais pas si elle a senti une hésitation chez moi, mais elle retire sa main, me donne deux petites tapes à la joue comme on tapoterait un chien et se relève.
Elle reste un temps debout au-dessus de moi, comme pour mieux célébrer ma capitulation. J’ai du mal à déchiffrer son expression : un étrange mélange de plaisir et de cruauté, où perce pourtant une lueur d’estime. Je la regarde se retourner, remonter les marches puis disparaître dans le virage.
Je tremble. Mon cœur bat fort. J’ai les mains moites. Que vient-il de se passer ? Un vertige me saisit. Ce genre de scènes ont beau avoir fait partie de mes fantasmes, je n’aurai jamais pensé en vivre une… Bon Marc, faut que tu te ressaisisses ! Je prends deux minutes pour me calmer et retourne à l’appartement. Par chance, ma femme Léa n’a pas quitté son bureau.
Ce soir-là, je lui fais l’amour avec une tendresse dont je fais rarement preuve. D’habitude j’aime le sexe brusque, bestial. Mais là j’ai besoin de tendresse. Bien que très excitante, l’aventure de l’après-midi m’a désarçonné. Je suis fébrile, encore sous le choc, avec l’oppressante sensation que mon monde peut vaciller à tout moment. Après tout, que sais-je de cette Sabine ? Qui me dit qu’elle ne va pas tout déballer à ma femme à la moindre occasion ?
Moins de 24 heures de fébrilité plus tard, j’ai pris une décision. J’ai trop à perdre pour une histoire aussi imprévisible qui n’a aucun futur. Je préfère reprendre le contrôle et couper net. Je saisis le téléphone et ouvre Whatsapp :
- Sabine, serait-ce possible que l’on se voit, j’aimerai discuter de ce qui s’est passé hier.
- Passe chez moi, jsuis seule.
Aussi simple ? Je suis sur mes gardes et redoute un guet-apens…Il y a un endroit idéal pour une discussion sensible.
- Je préfère que ce soit dans un lieu plus neutre, pourriez-vous descendre au local du parking ?
- Tu te fous de ma gueule ?! Tu vien chez moi, c tout !
Non, ça ne sera pas aussi simple. Bon, au moins Léa bosse, je suis tranquille de ce côté-là. Ça ne me rend pas moins nerveux pour autant. Je me refais le plan dans la tête : j’arrive, je reste au pas de la porte, je lui dis qu’il ne s’est rien passé hier, qu’on oublie tout et ni une ni deux je repars.
Je monte par les escaliers et repasse par le lieu du crime de la veille. Un pincement au cœur que je chasse aussitôt. Il faut que je sois fort ! Allez, c’est parti : je sonne chez elle, prêt à balancer ma première phrase sans sommation. La porte s’ouvre.
Sa mère ! Littéralement.
Je me pétrifie.
- Oh, bonjour, vous êtes le voisin du rez de chaussée c’est ça ? J’ai rencontré votre femme la dernière fois.
Pas un son ne sort de ma bouche.
- Ça va ? Vous êtes tout pâle…
Reprends toi bordel !!
- Oui ça va, désolé, ça doit être les escaliers…
- Oh d’accord vous me rassurez…Je peux faire quelque chose pour vous ?
- Auriez-vous un peu de sucre à dépanner ?
- Oui bien sûr, bougez-pas, j’arrive.
Ouf, je m’en suis sorti de justesse… J’attends un moment, l’intérieur à vif. Des pas s’approchent. Et voilà Sabine qui se pointe, un paquet de sucre à la main. Elle porte un tee-shirt ample, un short de sport et des tennis. Elle est hilare.
- Oh, bonjour Marc, comment ça va ? J’ai dit à maman que je vous connaissais.
Pour la première fois, je la fusille du regard. Et je profite de l’élan de colère pour me lancer :
- Sabine ! …
Elle met un doigt sur ses lèvres pour m’intimer le silence, puis referme la porte derrière elle. Elle garde ce sourire, visiblement ravie de sa petite blague… Tout est donc un jeu, pour elle ?
- Sabine, je venais vous dire qu’hier il ne s’est rien passé. On arrête tout. Ces conneries ne mènent à rien. Voilà.
Ma colère s’est évaporée au fil de mon piteux discours. Elle me fixe, ce pli moqueur toujours accroché aux lèvres, sans rien répondre. Rah, la garce ! Toujours ces silences qu’elle manie à la perfection pour reprendre le dessus…
- Viens avec moi.
Ni une ni deux, elle se dirige vers la porte des escaliers. Je la referme derrière moi, le cœur battant, décidé à en rajouter une couche.
- On peut pas cont…
Je m’arrête net. D’un geste naturel, Sabine a relevé son tee-shirt. Ses seins, pleins et fermes, s’offrent à moi sans détour. Le spectacle est magnifique, presque irréel. Elle guide ma main gauche vers sa poitrine, puis plante son regard dans le mien.
- T’as 30 secondes pour me dire « on arrête tout » et je disparais de ta vie…
- …
- Vas-y Marc, « on arrête tout » c’est pas compliqué !
- …
- Non ?
- … Vous êtes belle !
Je me suis connu avec plus de répartie…
Oui. À la question de savoir si j’avais conscience qu’envoyer ce premier message allait bouleverser ma vie, la réponse est oui. Évidemment.
Mais l'appel a été irrésistible.
Ma volonté ? Trop faible.
J’ai tout de même résisté quarante-huit heures avant d’envoyer ces quelques mots. Une éternité.
- Bonjour Sabine, c’est Marc, le voisin. Je ne sais pas trop pourquoi je vous écris mais me voilà…
Pas 5 minutes ne passent avant sa réponse :
- Fé moi rire tu sais pas ! T en as mi du temps. Je te plais pas assez ?
Je vous l’accorde, elle a beau être à priori en études de droit, pour le français on repassera…
- Oui vous me plaisez beaucoup, mais je ne sais pas où ça nous mène…
- A mes pieds, c la ou ca te mène. Je v sortir de chez moi, monte maintenant par les escaliers. G pas intéré a t’attendre !
Deux messages et la voilà à me donner des ordres. Et moi déjà dans une situation de merde. Ma femme est à côté, mais heureusement, elle est enfermée dans son bureau en télétravail. J’en profite pour chausser des tennis et m’esquiver silencieusement.
Je monte les deux premiers étages et commence à gravir le troisième, quand je la vois, assise là, à même les marches. Mon cœur s’emballe — et je peux vous assurer que ce ne sont pas les escaliers qui en sont la cause. Toujours aussi belle, toujours aussi farouche, elle porte un jean et les mêmes bottes à talons noirs que je lui ai déjà vues. Ses jambes sont ouvertes, ses bras posés sur ses genoux. Elle me regarde sourire aux lèvres, sûre de sa victoire.
Pas un mot n’est prononcé. Le doigt vers le bas, elle m’invite à me prosterner. Je fonds. Je m’assoie deux marches plus bas qu’elle. Elle me toise, son sourire s’est estompé.
- À mes pieds.
Son ordre claque. Je marque un temps d’arrêt, conscient d’être sur le point de franchir un point de non-retour. L’excitation et la peur se livrent un duel sans merci. J’ose la regarder dans les yeux. Elle ne laisse place à aucun doute. De nouveau sans un mot, son doigt descend en indiquant ses bottes. L’image d’une impératrice baissant le pouce pour condamner à mort surgit dans ma tête.
Je rends les armes en même temps que le peu de dignité qui me reste. Je me prosterne. Je ne sais pas ce qu’elle attend au juste de moi mais je prends les devants : je baise une botte plusieurs fois, puis l’autre. J’ai de nouveau ce flash d’une impératrice sur son trône. L’excitation gagne tout mon corps, j’ai une érection fulgurante, tellement intense que ça me fait mal au ventre. Elle fredonne quant à elle un air comme si la situation était on ne peut plus banale…
- C’est bien. Dit-elle au bout d’un moment. J’ai de suite senti que tu serais à moi. Espèce de pervers va…Dis que t’es à moi !
- Je suis à vous.
- Je m’appelle Sabine.
- Sabine.
Elle me prend l’arrière de la tête d’une main et m’oblige à la regarder. Elle plante son regard dans le mien. Le vert de ses yeux me transperce.
- Dis-le en entier.
- Je suis à vous Sabine.
- C’est bien, maintenant baise ma main.
Elle me parle sans agressivité. Juste avec un ton sans appel. Il y a dans sa voix une autorité innée, celle de quelqu’un qui a toujours su se faire obéir. Comment une gamine de 20 ans peut irradier une telle autorité ? Ça me sidère...
Je prends sa main droite entre les miennes et obéis. Bizarrement, c’est à ce moment-là qu’un brin de lucidité me traverse. On est vendredi, il doit être 18h30. Un voisin pourrait passer par ces escaliers à tout moment. C’est n’importe quoi ! Je ne sais pas si elle a senti une hésitation chez moi, mais elle retire sa main, me donne deux petites tapes à la joue comme on tapoterait un chien et se relève.
Elle reste un temps debout au-dessus de moi, comme pour mieux célébrer ma capitulation. J’ai du mal à déchiffrer son expression : un étrange mélange de plaisir et de cruauté, où perce pourtant une lueur d’estime. Je la regarde se retourner, remonter les marches puis disparaître dans le virage.
Je tremble. Mon cœur bat fort. J’ai les mains moites. Que vient-il de se passer ? Un vertige me saisit. Ce genre de scènes ont beau avoir fait partie de mes fantasmes, je n’aurai jamais pensé en vivre une… Bon Marc, faut que tu te ressaisisses ! Je prends deux minutes pour me calmer et retourne à l’appartement. Par chance, ma femme Léa n’a pas quitté son bureau.
Ce soir-là, je lui fais l’amour avec une tendresse dont je fais rarement preuve. D’habitude j’aime le sexe brusque, bestial. Mais là j’ai besoin de tendresse. Bien que très excitante, l’aventure de l’après-midi m’a désarçonné. Je suis fébrile, encore sous le choc, avec l’oppressante sensation que mon monde peut vaciller à tout moment. Après tout, que sais-je de cette Sabine ? Qui me dit qu’elle ne va pas tout déballer à ma femme à la moindre occasion ?
Moins de 24 heures de fébrilité plus tard, j’ai pris une décision. J’ai trop à perdre pour une histoire aussi imprévisible qui n’a aucun futur. Je préfère reprendre le contrôle et couper net. Je saisis le téléphone et ouvre Whatsapp :
- Sabine, serait-ce possible que l’on se voit, j’aimerai discuter de ce qui s’est passé hier.
- Passe chez moi, jsuis seule.
Aussi simple ? Je suis sur mes gardes et redoute un guet-apens…Il y a un endroit idéal pour une discussion sensible.
- Je préfère que ce soit dans un lieu plus neutre, pourriez-vous descendre au local du parking ?
- Tu te fous de ma gueule ?! Tu vien chez moi, c tout !
Non, ça ne sera pas aussi simple. Bon, au moins Léa bosse, je suis tranquille de ce côté-là. Ça ne me rend pas moins nerveux pour autant. Je me refais le plan dans la tête : j’arrive, je reste au pas de la porte, je lui dis qu’il ne s’est rien passé hier, qu’on oublie tout et ni une ni deux je repars.
Je monte par les escaliers et repasse par le lieu du crime de la veille. Un pincement au cœur que je chasse aussitôt. Il faut que je sois fort ! Allez, c’est parti : je sonne chez elle, prêt à balancer ma première phrase sans sommation. La porte s’ouvre.
Sa mère ! Littéralement.
Je me pétrifie.
- Oh, bonjour, vous êtes le voisin du rez de chaussée c’est ça ? J’ai rencontré votre femme la dernière fois.
Pas un son ne sort de ma bouche.
- Ça va ? Vous êtes tout pâle…
Reprends toi bordel !!
- Oui ça va, désolé, ça doit être les escaliers…
- Oh d’accord vous me rassurez…Je peux faire quelque chose pour vous ?
- Auriez-vous un peu de sucre à dépanner ?
- Oui bien sûr, bougez-pas, j’arrive.
Ouf, je m’en suis sorti de justesse… J’attends un moment, l’intérieur à vif. Des pas s’approchent. Et voilà Sabine qui se pointe, un paquet de sucre à la main. Elle porte un tee-shirt ample, un short de sport et des tennis. Elle est hilare.
- Oh, bonjour Marc, comment ça va ? J’ai dit à maman que je vous connaissais.
Pour la première fois, je la fusille du regard. Et je profite de l’élan de colère pour me lancer :
- Sabine ! …
Elle met un doigt sur ses lèvres pour m’intimer le silence, puis referme la porte derrière elle. Elle garde ce sourire, visiblement ravie de sa petite blague… Tout est donc un jeu, pour elle ?
- Sabine, je venais vous dire qu’hier il ne s’est rien passé. On arrête tout. Ces conneries ne mènent à rien. Voilà.
Ma colère s’est évaporée au fil de mon piteux discours. Elle me fixe, ce pli moqueur toujours accroché aux lèvres, sans rien répondre. Rah, la garce ! Toujours ces silences qu’elle manie à la perfection pour reprendre le dessus…
- Viens avec moi.
Ni une ni deux, elle se dirige vers la porte des escaliers. Je la referme derrière moi, le cœur battant, décidé à en rajouter une couche.
- On peut pas cont…
Je m’arrête net. D’un geste naturel, Sabine a relevé son tee-shirt. Ses seins, pleins et fermes, s’offrent à moi sans détour. Le spectacle est magnifique, presque irréel. Elle guide ma main gauche vers sa poitrine, puis plante son regard dans le mien.
- T’as 30 secondes pour me dire « on arrête tout » et je disparais de ta vie…
- …
- Vas-y Marc, « on arrête tout » c’est pas compliqué !
- …
- Non ?
- … Vous êtes belle !
Je me suis connu avec plus de répartie…
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Il est enfin de retour j'étais désespéré
C'était la meilleure histoire depuis longtemps
J'attendais ça depuis tellement longtemps !
C'était la meilleure histoire depuis longtemps
J'attendais ça depuis tellement longtemps !
Vite la suite..j'adore, je fantasme a vivre une telle expérience
