Challenge du 10ème mois de l'an 2016

- Par l'auteur HDS Cher Tamis -
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Récit libertin : Challenge du 10ème mois de l'an 2016 Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-10-2025 dans la catégorie Plus on est
Tags : Jeux Triolisme
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Challenge du 10ème mois de l'an 2016
Challenge

Résumé des épisodes précédentes :

Caline et moi avons trouvé deux partenaires exaltants, avec qui nous n’en avons pas fini de naviguer dans les eaux de l'océan des plaisirs charnelles.

__________________


Déjà deux mois que nous avons fait entrer Guillaume dans notre intimité. L’expérience était plus que réussie, mais Caline et moi avions décidé d’un commun accord que nous laisserions passer un peu de temps avant de le recontacter.
Tout ce temps-là, ma femme a fait son possible pour éviter Guillaume au travail. Cela n'était pas trop dur puisque leurs bureaux sont assez éloignés, et ils n’avaient pas de raison d’interagir, bien qu'ils ce soit par le plus grand des hasards deux ou trois fois croisés. Ils en sont restés à un « bonjour » de politesse, pas même une bise, comme cela est de "rigueur" avec des collègues éloignés qui se connaissent à peine.
Je suis reconnaissant à Guillaume d’avoir tenu ce rôle et d'avoirsu protéger notre secret.
Mais voilà que ce week-end, j’ai des envies de vivre de chaudes soirées. Caline n'est pas contre, pour ne pas dire le contraire. Je prends mon handy, compose le numéro, et mets en haut-parleur.
Assez rapidement, Guillaume décroche.

— Salut, Guillaume, c’est Hamed et Caline – elle est avec moi, j’ai mis le haut-parleur.
— Salut les amoureux !
— Dis-moi, ça te dirait une soirée à tous les trois ? Ciné, resto… Et plus si affinités.
— «Et plus si affinités»? Non, je crois pas...

Un silence de mort règne avant qu'il ne poursuive :

— Je plaisante ! Je suis complètement pour. Vous avez un plan précis ?
— Gros con va ! Hurle Caline.
— Non, mais on va trouver. On prévoit ça quand ? Vendredi soir, c’est après-demain, ça irait ?
— OK pour vendredi, mais ne cherchez pas : il y a un petit resto près de chez moi. Très bien, sans chichi. Et un cinéma juste à deux pas. Ensuite, on finit la soirée chez moi. Ça vous dit ?

Caline approuve, et je conclus donc :

— D’accord alors, à venerdi !

Rendez-vous est pris, directement au restaurant.

___________________

Le jour dit, nous nous rendons comme prévu, dans ce restaurant effectivement agréable. Cela me fait tout drôle de me retrouver avec Guillaume et Caline et de ne pas avoir en tête les images d’il y a deux mois. Je me demande s'ils ont aussi ce genre de pensées présentes dans leurs esprits alors que nous prenons tranquillement l’apéritif et attendons patiemment ce rendez-vous coquin, intime.
Ont-ils des projets inavouables sachant, comment va se terminer la soirée ?
Enfin, je l'espère bien, car après tout, les possibilités sont multiples, et ce n’est pas l’imagination qui me manque, qui nous manque.
Je dois d’ailleurs faire un effort pour me reprendre, me recentrer sur la conversation : je suis au restaurant avec ma femme et son amant. Ils sont décontractés, discutent de tout et de rien comme deux vieux copains.
Nous nous trouvons des goûts communs, en musique, et – ça tombe bien – en cinéma. Le repas se passe dans la bonne humeur. Nous en sommes au café lorsque Guillaume se lève pour aller aux toilettes.
Je prends la main à ma coquine, lui dit que je l’aime, et que j'ai l’impression de vivre un rêve.
Je suis heureux qu’elle soit aussi émue, mais notre tête-à-tête est interrompu par Guillaume, qui revient, et arbore d’ailleurs un air un peu coupable. Je devine immédiatement son stratagème : il est en douce passé à la caisse pour payer l’addition.
Nous protestons pour la forme, mais l’attention nous touche.

Au cinéma, Caline s’assied, bien sûr, entre les deux hommes. La salle est agréablement climatisée, et encore éclairée quand nous nous installons. Le public arrive peu à peu. Le film "ANNA" bien qu'il soit de Luc Besson, il n’est pas le même succès que son précédent film "NIKITA", mais nous en avons lu de bonnes critiques. Ce qui promet qu'il n'y aura pas foule dans la salle, du moins je le souhaite secrètement. Mais, je ne m’en soucie pas plus que ça, bien que je me sens comme assis entre deux chaises : une chaise de la pudeur et une chaise de l'exhibition. Quand je me tourne pour dire quelque chose à ma femme, je croise le regard de Guillaume qui l'a mangé toute crue.
Son instinct féminin, son 6ème sens, fait que sans nous jeter un regard, elle sais que les hommes qui sont à ses cotés n'ont qu'un seul desir...
Réalisant la puissance de son pouvoir de séduction, elle bombe encore plus la poitrine, l'exposant à celui ou celle qui voudrait bien s'en saisir. Plus facile à dire qu'à faire !
Mais les plaisirs charnels viendront plus tard dans la soirée... Pour le moment, place au spectacle, la lumière baisse et le film commence.
Comme prévu, un drame assez bien réalisé, avec quelques passages d’humour, souvent un peu grinçant.
Je reste sage pendant une bonne heure, mais ensuite je trouve que le scénario s’enlise et je commence à m’ennuyer un peu. Je n’ai pas envie de bâiller pour autant, au contraire : je réalise que je suis tout excité.
D’ailleurs, ce sont, peut-être bien, les idées qui me viennent qui me font trouver, par comparaison, le film un peu insipide. Dans la pénombre, je regarde à droite, à gauche. Comme je l'avais supposais les sièges sur ma droite sont inoccupés. Caline, tout comme Guillaume, a l’air absorbé par l’histoire. Concentrés comme ils le sont, je m’en veux déjà un peu de les déranger, vu que si je dérange l'un (et cela ne peut être que Caline) cela va automatiquement déranger l'autre mais je décide qu’on peut trouver plus amusant à faire que de rester passif devant une toile !

Je commence à tendre ma main à gauche, et je la laisse se balader sur cette cuisse que je rencontre. À vrai dire ça tombe bien que le film n’ait pas trop de succès, car je ne suis pas certain que j'aurais pu avoir l'audace de faire ce que je fais, s'il y avait des voisins assis près de nous. Au fond je ne suis pas un vrai exhibitionniste... À méditer et à corriger !
Ah oui... Il y a cette femme, mais elle est assise à au moins cinq sièges de Guillaume... Pas trop de soucis à ce faire...
Ma main, explore, de suite, le bas-ventre de ma compagne... Elle se laissent faire, écartent les jambes pour que je puisse à mon aise, caresser de haut en bas cette vulve couverte par le ridicule tissu de son string. Je sens bientôt les effets de mes attouchements : ça mouille !
Puis je jette un œil vers la voisine éloignée de Guillaume. Elle regarde bien droit devant elle, et je me dis qu’il n’y a pas de risque qu’elle se détourne de l’action du film. Alors, non sans quelques difficultés, j'écarte l'élastique de son string et j'y glisse deux doigts aventureux, qui ne demandaient que ça.
Caline est très excitée par ce qu'on est entrain de faire, car Guillaume n'a rien raté de mes "explorations" digitales sur les cuisses de ma chérie. Il relève doucement la jupe de son côté. Nos mains se rapprochent de son intimité, qui est déjà en feu. Je regarde tour à tour leurs visages, et la main de ma femme qui est arrivée à saisir (difficilement) nos sexes.
Caline serre plus ou moins fort, mon gland tandis que son autre main fait des allers et retours.
Nous nous "efforçons" de caresser la fente de cette chatte à travers sa culotte, et que de l'autre main, avec quelques acrobaties j'emprisonne un sein. Mon excitation est amplifiée par l’idée qu’on puisse surprendre notre manège. J’ai d’ailleurs l’impression que la femme, qui est à quelques sièges, a tourné la tête vers nous. Elle a peut-être vu ce que nous faisions, mais n’a pas osé s’attarder et il me semble qu'elle fixe maintenant l’écran avec une attention redoublée.
Caline étouffe péniblement le son d'un orgasme qui la secoue quand elle sent quatre doigts qui avaient glissé sous l’élastique de sa culotte pour jouer tour à tour avec son clitoris, ou parcourir délicatement ses lèvres. Mais pour éloigner toute suspicion, elle essaye de faire mine d'être concentrée sur le film qui se joue sur la toile. En réalité, je sens que Caline a un autre objectif en tête en essayant de doser l’intensité de ses caresses sur les sexes qu'elle a en main. Par moment elle m’enflamme et par moment elle passe en mode frôlement. Et je suppose qu'il en est de même avec son amant qui est assis sur à gauche de ma belle...
Avec application, que seule une femme qui aime le "sexe", elle maintient la pression sur nos sexes : comme une équilibriste de la branlette. Un équilibre précaire, car de mon côté, les caresses sur ma tube, plus, les images et les projets qui traversent font monter la tension de mon membre reproducteur.
Oufff... Caline nous accorde un petit moment de répit, en se laissant aller à profiter des caresses que nous lui procurons. J’ai du mal à me retenir de juter quand Caline reprend bien vite son rôle de chef d’orchestre. En harmonie elle joue en même temps avec les deux membres.
Je sens que le final n’est pas loin.
Elle accentue la pression, maintient la cadence.
Je m’agrippe à mon sein quand elle serre le poing, monte et redescend sur mon manche et finalement... J'éjacule presque au même moment que le voisin de siège de notre coquine de Caline. L'objectif de ma meuf est atteint : sentir en même temps le sperme inonder ses deux mains. Je ferme les yeux, profitant de la sensation.


Guillaume et moi n'avons pas cessé de caresser celle qui a adopté toutes les consignes de la secte des libertins. Je reconnais que c’est bon, mais je dois les interrompre pour passer à quelque chose d’un peu plus terre-à-terre : je leur demande à voix basse qui a un mouchoir en papier, car...
Guillaume se contorsionne un instant pour atteindre sa veste, et en sort un paquet de mouchoirs.
Le film touche à sa fin, heureusement.

__________________


Lorsque nous arrivons dans l’appartement de Guillaume. Nous prenons d'assaut à la salle de bains pour rafraîchir nos corps. Tandis que, entre hommes, on se nettoit, Caline va dans la chambre et se déshabille entièrement et vient nous rejoindre dans la salle de bains. Plutôt que d'entrer, bien que la porte, soit entr’ouvert, elle reste dans le couloir, à mater ce qui se passe. Et... Il s’en passe de belles : nous sommes nus sous la douche, et chacun savonne le sexe de l’autre, tout en douceur. Bien évidemment, on ne tarde pas à bander. Elle nous regarde un moment, puis décide de nous laisser à notre occupation de "branlage".
Elle retourne donc dans la chambre, s’allonge sur le lit.
On ne tarde pas à la suivre, et on stoppe au pas de la porte admiratif que l'on est devant un tel spectacle. Caline en nous voyant, laisse paresseusement ses mains parcourir son corps, caresse ses seins, ses cuisses, son ventre, ses fesses... Se touche délicatement le clitoris.
Nos sexes, qui avaient déjà eu une manipulation excitante, sont encore plus en érection. Sans mot dire, on s’allongent près de notre méga coquine, chacun d’un côté. Nos mains remplacent les siennes sur son corps. Ses mains s’occupent de suite de nos deux tiges, bien tendues. Nous échangeons des caresses.
C’est un doux moment de tendresse comme je les aime. C’est magique de se sentir ainsi en intimité avec Guillaume, que nous connaissons après tout depuis peu de temps.
Tout en caressant nos deux verges, elle demande :

— Dites moi les mecs .. Le film vous a plu ?
— J’ai pas tout compris, vers la fin, réponds ai-je avec un grand sourire, je devais être distrait, va savoir pourquoi ?
— Moi aussi, j’ai un peu décroché, renchérit Guillaume, mais c’est quand même la dernière demi-heure que j’ai préférée.
— Un peu paradoxal, je dirais. En tout cas, moi, je m’étais rarement sentie aussi excitée au ciné. Même les fois où, avec mon Hamidou, on a vu des films très chauds !
— Qu’est-ce qui était le plus excitant ? Demande Guillaume. Être dans un lieu public ? Ou avoir le corps stimulé par deux amants ?
— Oui, ça joue, forcément. D’ailleurs, je me demande si la nana ne nous a pas surpris. Mais en y repensant, je dirais que ce qui m’a le plus plu, c’était de vous faire la même chose à tous les deux. J’essayais d’oublier qui était à droite et qui était à gauche.
— Tu aurais pu nous confondre ? Demande Guillaume.

Elle regarde les deux sexes, dans mes mains.

— Non, quand même pas. Vous êtes assez différents. D’ailleurs, je vous ai vu... Vous ne m’avez pas attendue pour le vérifier, nous fait-elle remarquer, non sans malice.

Nous nous jetons un regard complice. J’enchaîne :

— Non... Ils sont différents… C’est vrai, mais aussi par moments, j'ai sentis une sorte de symétrie.
— Eh, j’ai une idée, dit Guillaume : si on te bandait les yeux, tu arriveras à nous reconnaître ?

Pourquoi je n'y avais pas pensé ?

— Ouais... Bonne idée mec... Mais je dois ajouter une règle à ce jeu : tu dois nous identifier lors de plusieurs épreuves successives. Tu marques un point à chaque fois que tu trouves, et inversement quand tu te trompes. Et cerise sur le gâteau, si te finis avec un solde positif, tu auras le droit d’exiger de nous un gage... Sinon, nous nous concertons et nous t’imposons un gage !
— Pas de perdant ?
— On verra bien... Guillaume à toi !

Guillaume trouve rapidement un bout de tissu en guise de bandeau. Nous avons débandé pendant ces préparatifs. Mais cela n'est pas bien grave, car le jeu devra nous redonner de la vigueur.
Après bien avoir ajuster le bandeaude fortune, Caline s’allonge sur le dos.

Nous nous concertons à voix basse, puis deux mains se posent sur le ventre de notre victime du soir. Explorent, s’attardent sur ses seins, ses cuisses.
Caline se laisse le temps de profiter un peu avant de se prononcer. Mais les mains se retirent, bientôt remplacées par d’autres. Elles parcourent les mêmes régions, effleurent et massent. Les mêmes gestes, mais différents.
Dès que ces mains se retirent, elle donne sa réponse :

— D’abord Hamed, puis Guillaume.
— Bravo, un point pour toi, dit ce dernier.

Toujours aveuglée par mon bandeau, on la fait s'asseoir en tailleur sur le lit. Une main prend la sienne, l'ouvre et pose son pénis contre ma paume.
Cette queue est au repos, mais elle se fait un plaisir, non dissimulé, pour le ranimer. Elle le caresse, approche l’autre main pour compléter le geste avec les testicules.
L’érection ne tarde pas.
Le proprio de cette verge, s’écarte pour lancer la place à l’autre bite...
Je suis presque certain qu’elle a reconnu quelle bite appartient à quel acteur... Mais elle joue le jeu !

Elle s’applique à caresser cette dernière bite. La connaissant assez bien, je doute bien qu'elle a une envie de sucer ce bâton de Merguez.

— Caline... Pas sucer !

Mais quel con que je suis... En entendant moi voix elle va savoir où j'me trouve. Et bien entendu, elle remporte son deuxième point.

Pour l’épreuve suivante, on la fait s'allonger à nouveau sur le dos, jambes légèrement écartées. Un doigt se pose sur son clitoris... Excitée comme elle l’était, ce seul contact, précis, la secoue en un spasme instantané... C’est comme une décharge électrique.
À peine a-t-elle repris son souffle que le doigt explore, s’immisce entre ses lèvres humides... Elle gémit de plaisir.
Le rythme de la caresse varie, parfois lent, puis plus rapide. Deux doigts se saisissent de son bouton si sensible, le pincent légèrement.
Puis un majeur se glisse en elle, il va et vient, remonte vers le clitoris. Ce sont ensuite deux doigts qui la pénètrent, entrent, sortent. Caline se mord la lèvre. Les doigts ressortent, remontent jusqu’au clito, le font rouler. Elle ne peux s’empêcher de caresser ses seins tout en ondulant du bassin. Les doigts s'échappent puis retournent dans son con, cherchant à lui donner un orgasme fou, puis ressortent, passent sur le clito et brusquement ils disparaissent. Laissée en suspension, elle attend, mais plus rien ne se passe. Hébétée, comme un poisson comme un poisson qu'on sort du bocal, elle s’écrie :

— Je crois que j’ai trouvé, mais j’attends confirmation avec le deuxième. Allez !

Ils rient :

—Oui c'est ça ! Dis-je... Tu dois donner ta réponse !

Elle dit au hasard :

— Euh...Bon, alors, euh… Hamed puis Guillaume !
— Perdu, c’était le contraire, dit Guillaume.
— Tu retombes à un point !
— Ah, tant pis alors. On passe à la suite.

C’est maintenant une bouche qui se pose sur sa chatte toute lisse. Je me laisse aller. Ma langue longe ses lèvres, s’y introduit, revient vers le clitoris. Je fais tourner ma langue autour de mon clitoris, exerce de petites pressions dessus... Je sens qu'elle commence à jouir, mais je m’arrête, pour un changement de partenaire.
La "nouvelle" langue sur ce sexe lui lèche longuement les lèvres, puis la bouche remonte vers son bouton d'amour.
Ces lèvres y déposent de petits baisers jusqu'à que Caline s’affole. La bouche se colle à son clito, l’aspire. Je vois comment le plaisir monte vite vers le point ultime. Mais l’aspiration s’interrompt, remplacée par de petits coups de langue. Caline est sur le point de jouir grave. Soudain, interruption et question de Guillaume :

— Alors, tu dis quoi ?
— Je dis que je sais pas. Il me faut encore un peu de temps. Vous pouvez recommencer ? Dit-elle, presque en suppliant.
— Accordé !

Aussitôt dit, aussitôt fait, la première bouche revient la lécher à nouveau. On sent trop facilement que Caline ne peut plus se concentrer sur le jeu, une jouissance la reprend.

— Quel boooo...heuuuuur !

Une langue, entre ses lèvres, parcourt toute sa fente.
Caline hurle de plaisir quand cette langue trouve son clitoris, elle danse follement du bassin. La bouche reste soudée contre son sexe, le temps qu'elle reprenne mes esprits. Quelques minutes s’écoulent avant que la victime de notre jeu dise :

— Je suis pas sûre, mais je dirais Hamed puis Guillaume !
— Tu as une chance de... C’est la bonne réponse... Tu repasses à 2 points !

Pour l’épreuve suivante, Guillaume prévenient Caline :

— Caline... Assis toi en bord du lit... Et il est... Interdit de t'aider de tes mains !

Une fois en position un sexe se présente contre sa bouche. Il est à moitié érigé. Elle dépose de petits bisous sur ce gland qui vient lui rendre ses hommages, puis elle lui offre des coups de langue. Cette tube commence à gonfler... Arrivée à ce stade, elle le prends en bouche... Puis elle le ressors et le lèche, en insistant sur le gland. Cette bite est à présent totalement bandée. Coquine, elle ne s'attarde pas à le reprends dans sa bouche, l’aspire en faisant tourner sa langue sur l’extrémité... Après quelques secondes, elle abandonne la verge encore vibrante, et attend que la seconde veuille bien se présenter. Elle me fait une fellation comme je les aime : tout en douceur !
Cela ne dure même pas 30 secondes, qu'elle déclare :

— Guillaume puis Hamed... Doigts dans l'nez... Facile !
— 3ème point ! Dit Guillaume.

Pour l’épreuve suivante, Guillaume lui demande de s’allonger sur le dos. Sans sourciller, elle s’exécute… Jambes hors du lit. Ce qu'elle envisageait, attendait se produit car elle n'émet aucune reproche quand on lui écarte les jambes. Un sexe se pose sur ses lèvres, et étale cette bave qui en découle. Puis ce sexe, tout lentement, plonge dans cette cave en feu... Je ne saurais le dire mais en voyant ces grimaces qui ce dessinent sur son visage, je serais prêt à mettre ma main au feu, qu'elle kiffe de chez kiffe cette pénétration. Après tout, je me dis, étant un mari amoureux, qu'elle a bien mérité ce sexe bien dur qui va remplir. L’homme qui est entrain de la pénétrer (je ne vous dis pas encore de qui il s'agit) lui soulève les jambes pour mieux la prendre. Il fait coulisser son membre, tout en lui caressant les fesses. Mais cela ne dure pas très longtemps, il se retire, et est remplacé par son compagnon.
Elle croise les jambes derrière les reins de son nouveau partenaire pour l’attirer en elle et l’oblige à s'immobiliser quelques instants, puis elle relâche la pression pour qu’il puisse aller et venir. Ce qu’il fait sans précipitation, avec des gestes lents et profonds. Puis il se retire, et nouveau changement de "baiseur"!

— Oh oui ! Quel plaisir !

Je me demande si ce n’est pas un changement de partenaire qu'elle préfère... Jalousie que fais tu ici???
Tout en restant en elle, "baiseur" Nr1 lui impose de changer de position : elle est dans une position plus confortable. On en avait parlé avec Guillaume entre deux exercices de "reconnaissance", qu'on se devait de la prendre dans une position de façon à ce qu'elle ne puisse pas nous reconnaître.
Encore changement de... "Baiseur" (eh oui... On veut gagner et lui imposer un gage).
Les mouvements sont plus amples. Cette queue se retire, jusqu’à sortir complètement de son con, pour rentrer immédiatement jusqu’à la garde. Cela la fait gémir à chaque fois.
Et... Nouveau changement de partenaire !
Il la prend aux hanches pour la pénétrer de plus en plus loin, de plus en plus fort. Je pose un doigt sur son clitoris, je le frotte en rythme. Je suis à la limite de l’orgasme lorsque je me retire.

— Non ! Qu'elle hurle sans cacher sa frustration.

Une frustration qui ne dure pas longtemps, car elle est à nouveau pénétrée. Le changement de partenaire va avoir raison d'elle. La nouvelle bite est à peine entrée qu'elle explose et part dans un orgasme libérateur.

— Je crois que la 1ère bite c'était mon chéri… Non... C'était Guillaume. Euh, je sais pas en fait...
— Faut se décider !
— Guillaume d’abord, Hamed ensuite.
— Tu es sûre de ta réponse ?
— Pas du tout... Mais faut bien dire quelque chose !
— Alors désolé, mais tu perds un point.
—Pufff... D'façon j'ai des points d’avance... Et il reste une épreuve, non ? Mais avant de continuer... Un petit intermède... Allez venez !

On s’allonge côte à côte, et elle vient sur nous. Elle nous suce, tous les deux, en y mettant les mains, cette fois. Les deux sexes, bandent si fort pour elle. Salope un jour, salope toujours... Caline se relève et nous dit :

— On enchaîne ?
— OK, dit Guillaume. Tu veux bien te mettre à quatre pattes ?

Si "elle veux bien" ? Mais bien sûr qu'elle le veut, car elle adore être prise dans cette position. Guillaume l’installe, et je n’ai pas longtemps à attendre avant qu’un ma queue, bien raide, se présente à l’entrée de son sexe. Elle ne cache pas son plaisir quand elle reçoit cette verge en elle en laissant échapper un vrai soupir de plaisir. Je fais entrer petit à petit mon tuyau cracheur de lait, puis je recule, je le fais rentre e nouveau mais un peu plus profond.
Chaque nouvelle pénétration me procure de nouvelles sensations.
Je ne suis pas pressé de me faire remplacer, car je me sens bien. Je profite de chaque instant. Je laisse tranquillement monter le plaisir. Tandis que je la prends, mes mains s’attardent sur ses fesses. J’aime la tenir par les hanches et imprimer un mouvement brusque pour la fourrer bien à fond.
Quand elle gémit un peu plus fort, je me retire, et l’autre bite bien raide la pénètre à son tour... Cette queue trouve tout de suite le rythme qui remet Caline sur le droit chemin : celui de la jouissance.

La seconde verge accélère progressivement, puis s’immobilise presque lorsqu’il est entièrement dans le puits de notre coquine. Le maître de la deuxième (Guillaume vous l'aurez compris) s’agrippe à ses hanches et bouge lentement en restant bien au fond. Elle râle de plaisir quand Guillaume reprend un mouvement de va-et-vient un peu plus rapide, ils haletent ensemble... Tout à coup, changement de partenaire, je reviens en elle. Je rentre et ressors mon manche à toute vitesse. J’ai du mal à rester stable, mais je me tient fermement en la limant. Je respire de plus en plus fort, je gémis essayant de me faire discret. Je sors et Maxime le remplace. Il adopte le même rythme effréné, plus rapide même, et plus ample. Caline est au comble du plaisir et elle finit par crier :

— T’arrêtes pas ... Vas... Fais... Jouir !

Je ne peux que m'imaginer qu’il ne soit pas heureux d’exécuter cet ordre. Notre nymphe rajoute :

— Eh Hamed... Viens que j'te "souce"... J'chai qui est qui  !

Déçu je m’exécute, viens à genoux sur le lit, ma bite devant son visage... Guillaume râle, je gémis et Caline pousse des cris qui sont étouffés par mon sexe dans la bouche. Soudain, Guillaume a un spasme, et gicle dans sa grotte. Je ne sais pas s'il est là cause de ce "top départ" mais on s’envole dans un long orgasme, et nous nous écroulons sur le lit.

Lorsque nous reprenons nos esprits, Caline enlève son bandeau et nous donne la réponse pour cette dernière épreuve. Elle a largement gagné la partie,

Quel gage va-t-elle imposer ?
Vous le découvrirez bientôt !

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