Christine 1
Récit érotique écrit par Mimi68 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-12-2023 dans la catégorie Pour la première fois
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Christine 1
Ah les premiers émois. Je me souviens, je venais d’avoir 18 ans. Je vivais dans une petite ville de province.
Un de mes meilleurs copain, Régis, avait la chance d’avoir des parents assez aisés qui possédaient une maison de campagne.
Un jour de juin, Régis m’invitait à passer le week-end à la campagne en sa compagnie et celle de ses parents.
J’accepté avec plaisir car mes parents travaillaient dans le commerce et donc le samedi.
Ses parents vinrent me chercher le vendredi soir après l’école pour partir à la campagne.
Son père, Bernard était très grand et assez cool. Sa mère, Christine était magnifique, brune et très gentille. Je me souviens que je regardais souvent en direction de sa poitrine qu’elle n’avait ni trop grosse ni trop petite.
Arrivés à la maison de campagne, Régis me montrait ma chambre où je pouvais m’installer. Sa mère m’apporta de quoi faire mon lit et me proposa son aide. Je me rappelle qu’elle portait une petite jupe à fleur qui s’arrêtait à mi-cuisses et un t-shirt léger qui laissait deviner son soutien-gorge.
Quand elle se penchait sur le lit pour le border, je voyais son décolleté de toute beauté. Christine avait un parfum envoutant et des yeux d’un noir brillant.
Je sentais quelque chose qui se réveillait dans le bas de mon ventre qui me gênait. Christine s’en aperçut.
- Ça va Michel ? Tu as l’air bizarre.
- Non, ça va, peut-être un peu fatigué.
- Repose-toi un peu avant le diner si tu veux.
- Vous n’avez pas besoin d’aide ?
- Non, j’ai préparé le diner avant de partir.
- Allonge-toi un peu.
- Merci madame.
- Pas de madame ici, appelle moi Christine.
- D’accord Christine, merci.
- A tout à l’heure.
Christine me laissa seul. Je pouvais défaire mon pantalon où j’étais à l’étroit. J’avais une érection qui me faisait mal. Mon sexe se dressa direct.
Je m’allongeai sous les draps pour cacher mon sexe, au cas où, et je m’endormais.
Sans m’en apercevoir, Christine qui devait s’inquiéter, était revenue pour voir si tout allait bien. Je devais rêver à elle car j’étais sur le dos, le sexe toujours dressé mais je dormais. Il devait se deviner sous le drap. Tout un coup, je sentais le côté du lit qui se baissait. C’était Christine qui s’était assise sur le bord du lit. Ce léger mouvement du lit me réveilla.
- Oh excuse moi je t’ai réveillé. Mais ça fait une heure que tu dors, je voulais vérifier si tout allait bien.
- Une heure ? je me suis endormi. Excusez-moi Christine.
- Ce n’est pas grave. Ça va ?
- Oui je devais rêver profondément.
- Et ça devait être agréable si j’en crois ce que je vois.
Elle avait aperçu la bosse sous le drap. J’étais rouge de honte.
Christine avait un petit sourire en coins.
- Et bien dis donc, ça fonctionne bien.
Je n’osais rien dire. Elle posait sa main sur le drap et caressait doucement cette bosse.
- Tu es bien équipé on dirait. Les filles doivent être aux anges avec toi.
- Les filles ?
- Ben oui ta ou tes copines ?
- Je n’ai pas de copines.
- Comment ça tu n’as pas de copines, beau comme tu es ?
- Non Christine, je suis puceau.
- Oh excuse-moi, je ne voulais pas te gêner.
- Mais votre main me fait du bien.
- Ah oui ? petit coquin, tu aimes.
- Oh oui…
Christine avait fermé sa main sur le drap et faisait des mouvements de va et viens doucement. Mon sexe avait augmenté de volume. J’ai un sexe assez développé en érection. Christine ne détournait plus son regard de ce qu’elle tenait dans sa main. Elle tira le drap pour découvrir mon sexe et eu un regard brillant d’envie. Je ne sais pas ce qu’elle aurait fait si son mari ne l’avait pas appelé du rez-de-chaussée.
- Chérie ? tu viens ?
- Oui, j’arrive.
- On va diner Michel, tu nous rejoins ?
- Oui j’arrive.
Quand j’arrivais à table, Régis et ses parents étaient déjà installés. Une place libre était à coté de Christine.
Le diner était agréable, je rigolais avec Régis. Christine discutait avec son mari de choses et d’autres, notamment de la piscine qu’ils devraient démarrer le lendemain.
Tout un coup je senti une main se poser sur ma cuisse et qui se dirigeait doucement vers mon sexe. Je recommençais à bander. La main serrait de mon sexe de temps en temps et mon pantalon devenait trop petit.
J’avais de la peine à rester concentrer sur les paroles de Régis.
Je proposais alors à Christine de débarrasser la table.
Un de mes meilleurs copain, Régis, avait la chance d’avoir des parents assez aisés qui possédaient une maison de campagne.
Un jour de juin, Régis m’invitait à passer le week-end à la campagne en sa compagnie et celle de ses parents.
J’accepté avec plaisir car mes parents travaillaient dans le commerce et donc le samedi.
Ses parents vinrent me chercher le vendredi soir après l’école pour partir à la campagne.
Son père, Bernard était très grand et assez cool. Sa mère, Christine était magnifique, brune et très gentille. Je me souviens que je regardais souvent en direction de sa poitrine qu’elle n’avait ni trop grosse ni trop petite.
Arrivés à la maison de campagne, Régis me montrait ma chambre où je pouvais m’installer. Sa mère m’apporta de quoi faire mon lit et me proposa son aide. Je me rappelle qu’elle portait une petite jupe à fleur qui s’arrêtait à mi-cuisses et un t-shirt léger qui laissait deviner son soutien-gorge.
Quand elle se penchait sur le lit pour le border, je voyais son décolleté de toute beauté. Christine avait un parfum envoutant et des yeux d’un noir brillant.
Je sentais quelque chose qui se réveillait dans le bas de mon ventre qui me gênait. Christine s’en aperçut.
- Ça va Michel ? Tu as l’air bizarre.
- Non, ça va, peut-être un peu fatigué.
- Repose-toi un peu avant le diner si tu veux.
- Vous n’avez pas besoin d’aide ?
- Non, j’ai préparé le diner avant de partir.
- Allonge-toi un peu.
- Merci madame.
- Pas de madame ici, appelle moi Christine.
- D’accord Christine, merci.
- A tout à l’heure.
Christine me laissa seul. Je pouvais défaire mon pantalon où j’étais à l’étroit. J’avais une érection qui me faisait mal. Mon sexe se dressa direct.
Je m’allongeai sous les draps pour cacher mon sexe, au cas où, et je m’endormais.
Sans m’en apercevoir, Christine qui devait s’inquiéter, était revenue pour voir si tout allait bien. Je devais rêver à elle car j’étais sur le dos, le sexe toujours dressé mais je dormais. Il devait se deviner sous le drap. Tout un coup, je sentais le côté du lit qui se baissait. C’était Christine qui s’était assise sur le bord du lit. Ce léger mouvement du lit me réveilla.
- Oh excuse moi je t’ai réveillé. Mais ça fait une heure que tu dors, je voulais vérifier si tout allait bien.
- Une heure ? je me suis endormi. Excusez-moi Christine.
- Ce n’est pas grave. Ça va ?
- Oui je devais rêver profondément.
- Et ça devait être agréable si j’en crois ce que je vois.
Elle avait aperçu la bosse sous le drap. J’étais rouge de honte.
Christine avait un petit sourire en coins.
- Et bien dis donc, ça fonctionne bien.
Je n’osais rien dire. Elle posait sa main sur le drap et caressait doucement cette bosse.
- Tu es bien équipé on dirait. Les filles doivent être aux anges avec toi.
- Les filles ?
- Ben oui ta ou tes copines ?
- Je n’ai pas de copines.
- Comment ça tu n’as pas de copines, beau comme tu es ?
- Non Christine, je suis puceau.
- Oh excuse-moi, je ne voulais pas te gêner.
- Mais votre main me fait du bien.
- Ah oui ? petit coquin, tu aimes.
- Oh oui…
Christine avait fermé sa main sur le drap et faisait des mouvements de va et viens doucement. Mon sexe avait augmenté de volume. J’ai un sexe assez développé en érection. Christine ne détournait plus son regard de ce qu’elle tenait dans sa main. Elle tira le drap pour découvrir mon sexe et eu un regard brillant d’envie. Je ne sais pas ce qu’elle aurait fait si son mari ne l’avait pas appelé du rez-de-chaussée.
- Chérie ? tu viens ?
- Oui, j’arrive.
- On va diner Michel, tu nous rejoins ?
- Oui j’arrive.
Quand j’arrivais à table, Régis et ses parents étaient déjà installés. Une place libre était à coté de Christine.
Le diner était agréable, je rigolais avec Régis. Christine discutait avec son mari de choses et d’autres, notamment de la piscine qu’ils devraient démarrer le lendemain.
Tout un coup je senti une main se poser sur ma cuisse et qui se dirigeait doucement vers mon sexe. Je recommençais à bander. La main serrait de mon sexe de temps en temps et mon pantalon devenait trop petit.
J’avais de la peine à rester concentrer sur les paroles de Régis.
Je proposais alors à Christine de débarrasser la table.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Mmmmhhhh
Une agréable entrée en matière
Cyrille
Une agréable entrée en matière
Cyrille
