Christine 4
Récit érotique écrit par Mimi68 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-01-2024 dans la catégorie Pour la première fois
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Christine 4
Aussitôt Christine repartie, je m’endors d’un sommeil de plomb.
- Coucou, réveille-toi mon bébé.
- Hein, quoi ? mais quelle heure est-il ?
- Midi
- Mais il fallait me réveiller.
- Mais c’est les vacances, d’ailleurs nous sommes que tous les deux, Régis et mon mari sont partis voir une expo de voiture pour deux jours.
- Ah bon ?
- Tu voulais aller avec eux ?
- Oh moi les voitures, bof.
- Tu préfères les femmes ?
- Pas les femmes, toi Christine, tu es si gentille avec moi.
Christine laissa tomber sa robe et monta sur le lit. Elle commença à caresser mon sexe qui ne tardait pas à se dresser.
- Et moi je préfère ton sexe mon bébé.
- Hummmm, ça promet pour les deux jours.
- Ouiiii, je vais m’occuper de toi mon bébé, t’inquiète.
- Christine, je voulais te demander quelque chose
- Oui ? je t’écoute.
- Voilà, je voudrais que tu t’habilles sexy pendant ces deux jours.
- Mais comment ça ?
- Avec des dessous sexy, un porte jarretelles, des bas des talons hauts, une jupe courte, un haut transparent.
- Mais je n’ai pas tout ça, ça fait un peu osé.
- Je sais mais ça t’irait bien.
- Mais dis donc tu es coquin toi. J’ai 45 ans, tu te rends compte ?
- Oui mais tu es belle, séduisante. Stp.
- Il faudrait aller dans une boutique
- Et bien allons y.
- Je ne sais pas si c’est bien prudent, une femme de mon âge avec un ado.
- Tu as honte de moi ?
- Non, pas du tout, mais je crains de rencontrer quelqu’un que je connais. Laisse-moi y aller toute seule.
- D’accord, si tu veux.
- Mais je vais finir ce que j’avais commencé.
- Non Christine, va faire tes courses et je te promets une soirée superbe.
- Oh mon bébé, stp, j’ai trop envie de ton sexe.
- Tout à l’heure Christine, tout à l’heure.
- Bon d’accord, je vais en ville. Toi alors, je ne peux rien te refuser.
- Je veux te mettre en valeur.
- Merci mon bébé, tu es terrible.
- Je sais ma belle. Mais tu vas voir, avec moi tu vas devenir une autre femme.
- Rien que ça.
- Tu verras bien.
- Bisous mon bébé, à tout à l’heure.
Christine : Je démarre la voiture pour me rendre en ville. Je suis toute retournée par ce que je suis en train de faire. Pour la première fois je trompe mon mari et qui plus est avec un copain de mon fils. J’ai honte, mais ce garçon me rend dingue, je perds mes moyens. La vue de son sexe m’a retournée comme une crêpe. Je ne peux pas lui résister. Et maintenant me voilà partie pour acheter des vêtements que je n’ai jamais porté. J’ai l’impression que je deviens une dévergondée, complètement en dehors de mon éducation. J’ai l’impression de faire une grosse bêtise, mais en même temps j’ai envie d’assumer ce que je fais.
J’usqu’où ça va aller ?
Je vais dans une boutique un peu osée. Une vendeuse vient à ma rencontre.
- Bonjour madame, est-ce que je peux vous aider ?
- Heu oui voilà, je cherche des dessous un peu sexy, ainsi qu’une jupe un peu courte. Enfin vous voyez ce que je veux dire ?
- Mais oui madame, n’ayez crainte, je m’occupe de vous. C’est pour une occasion particulière ?
- Ben disons que, enfin je ne sais pas.
- Je vois, c’est personnel ?
- Oui voilà.
- Venez suivez-moi, on va aller dans un salon d’essayage, on sera plus tranquilles.
- Merci pour votre compréhension.
La vendeuse ouvre une porte pour me laisser passer et referme derrière elle en tournant la clé.
- Voilà, nous ne serons pas dérangées.
- Je me sens mieux en effet. Voilà, j’ai fait la connaissance d’un jeune homme qui aimerait que je m’habille un peu sexy quand je suis avec lui, et je dois dire, je n’ai pas pu lui refuser.
- Et vous avez raison, vous êtes séduisante et vous avez l’air d’avoir un corps superbe. Vous voulez bien vous déshabiller ?
- Oui bien sûr.
Je mettais nue devant cette jeune femme. Je n’étais pas gênée à ma grande surprise. La vendeuse s’approcha pour prendre mes mensurations. Ses mains frôlaient mon corps. Je fermais les yeux, je sentais mes seins durcir, mes tétons se dresser. Les mains de la vendeuse s’attardaient sur mes seins, j’avais la chair de poule. Ses doigts se mirent à rouler mes tétons qui devinrent durs. Je me surprenais à gémir sous ses caresses.
- Le jeune homme a bien de la chance de vous connaitre, et il a bien raison de vouloir vous sublimer.
- Oh merci, excusez-moi, mais vos mains sont si douces.
- Avec plaisir madame. Je vais aller vous choisir des vêtements.
- D’accord.
Je regarde la jeune femme s’éloigner et je pense à Michel qui m’attend. Je veux être séduisante pour lui. Il est gentil et pour un jeune de son âge, il me fait jouir comme jamais je n’ai joui. Il faut dire que son sexe est tellement large et long que dès que j’y pense, je me mets à mouiller comme une dingue. D’ailleurs je suis nue dans ce salon et je sens la cyprine qui humidifie mes petits poils intimes. J’ai honte.
- Voilà madame, je crois que j’ai trouvé ce qu’il vous fallait. On essaye le string ?
- Heu oui si vous voulez, mais je peux me débrouiller.
- Non non, vous allez voire laissez-vous faire.
La vendeuse va tout de suite voir que je suis trempée. Elle s’agenouille devant moi et regarde en direction de ma vulve. Elle voit en effet que celle-ci est luisante de cyprine. Elle passe sa main entre mes cuisses pour la caresser. Je ne fais rien pour la repousser. J’ai le sexe de Michel à l’esprit et j’ai une envie folle de ma faire jouir. La vendeuse s’en doute car elle commence à me caresser.
- Oh c’est bon ce que vous me faites.
- Oui je vois ça, vous êtes trempée. Je peux vous pénétrer le vagin ?
- Oh oui faites, je suis en feu.
- Eh bien, vous alors, vous êtes carrément salope.
- Oh je crois que oui, j’ai honte.
- Mais non, n’ayez pas honte, ça fait du bien de se lâcher de temps en temps.
La vendeuse introduit deux doigts dans ma chatte et commence à faire des va et viens. Je commence à gémir sous ses caresses et fini par être traversée par un orgasme.
- On continue notre essayage ?
- Heu oui.
Je lève un pied puis l’autre pour enfiler mon string. La vendeuse le fait monter le long de mes jambes et le met en place dans ma raie des fesses et sur ma vulve encore trempée.
- Il vous va bien, il met bien en évidence la fente de votre vulve. Votre jeune amant ne va pas pouvoir résister à un tel spectacle.
- Oh merci, c’est vrai qu’on devine ma fente intime. Je n’ai jamais porté ce genre de dessous.
- On essaye le soutien-gorge ?
- Oui d’accord.
- Alors c’est un soutien-gorge demi-sein. Il laissera dépasser vos tétons.
- Oh mais c’est vulgaire, non ?
- Non je dirais plutôt très sexy.
- J’ai l’impression d’être une salope comme ça.
- Je crois c’est ce que vous avez envie d’être avec votre amant.
- Mais non enfin.
- Vous en êtes sûre ? en tout cas vous êtes très séduisante.
- Merci.
- On met le PJ ?
- Au point où j’en suis.
- Voilà, ensuite les bas.
- Oh la vache, on dirait une pute.
- Chutttt, mais pas du tout.
- Les talons ?
- Oui
- Non, mais regardez, on voit la cambrure de mes reins.
- Oh oui vous êtes magnifique.
- La jupe courte en cuir.
- Ah non c’est trop court.
- Oui je suis d’accord, c’est un peu haut.
- Un peu ? mais on voit mes fesses.
- Alors essayons celle-là.
- C’est mieux, un peu haut mais ça va.
- Et le corsage.
- Je ne porterai rien ça ferait pareil.
- Mais non, c’est sexy.
- Je vous offre cette veste longue qui recouvre tout. Comme ça vous pourrez sortir plus à l’aise.
- Mais je ne vais pas sortir comme ça.
- Mais si, prenez l’habitude.
- Bon je vous fais confiance. Merci.
Je ressors de la boutique. J’ai l’impression d’être à poil dehors et que tout le monde me regarde. Je regagne ma voiture. Je repars vers la maison. J’ai hâte de voire l’effet sur Michel.
- Coucou, réveille-toi mon bébé.
- Hein, quoi ? mais quelle heure est-il ?
- Midi
- Mais il fallait me réveiller.
- Mais c’est les vacances, d’ailleurs nous sommes que tous les deux, Régis et mon mari sont partis voir une expo de voiture pour deux jours.
- Ah bon ?
- Tu voulais aller avec eux ?
- Oh moi les voitures, bof.
- Tu préfères les femmes ?
- Pas les femmes, toi Christine, tu es si gentille avec moi.
Christine laissa tomber sa robe et monta sur le lit. Elle commença à caresser mon sexe qui ne tardait pas à se dresser.
- Et moi je préfère ton sexe mon bébé.
- Hummmm, ça promet pour les deux jours.
- Ouiiii, je vais m’occuper de toi mon bébé, t’inquiète.
- Christine, je voulais te demander quelque chose
- Oui ? je t’écoute.
- Voilà, je voudrais que tu t’habilles sexy pendant ces deux jours.
- Mais comment ça ?
- Avec des dessous sexy, un porte jarretelles, des bas des talons hauts, une jupe courte, un haut transparent.
- Mais je n’ai pas tout ça, ça fait un peu osé.
- Je sais mais ça t’irait bien.
- Mais dis donc tu es coquin toi. J’ai 45 ans, tu te rends compte ?
- Oui mais tu es belle, séduisante. Stp.
- Il faudrait aller dans une boutique
- Et bien allons y.
- Je ne sais pas si c’est bien prudent, une femme de mon âge avec un ado.
- Tu as honte de moi ?
- Non, pas du tout, mais je crains de rencontrer quelqu’un que je connais. Laisse-moi y aller toute seule.
- D’accord, si tu veux.
- Mais je vais finir ce que j’avais commencé.
- Non Christine, va faire tes courses et je te promets une soirée superbe.
- Oh mon bébé, stp, j’ai trop envie de ton sexe.
- Tout à l’heure Christine, tout à l’heure.
- Bon d’accord, je vais en ville. Toi alors, je ne peux rien te refuser.
- Je veux te mettre en valeur.
- Merci mon bébé, tu es terrible.
- Je sais ma belle. Mais tu vas voir, avec moi tu vas devenir une autre femme.
- Rien que ça.
- Tu verras bien.
- Bisous mon bébé, à tout à l’heure.
Christine : Je démarre la voiture pour me rendre en ville. Je suis toute retournée par ce que je suis en train de faire. Pour la première fois je trompe mon mari et qui plus est avec un copain de mon fils. J’ai honte, mais ce garçon me rend dingue, je perds mes moyens. La vue de son sexe m’a retournée comme une crêpe. Je ne peux pas lui résister. Et maintenant me voilà partie pour acheter des vêtements que je n’ai jamais porté. J’ai l’impression que je deviens une dévergondée, complètement en dehors de mon éducation. J’ai l’impression de faire une grosse bêtise, mais en même temps j’ai envie d’assumer ce que je fais.
J’usqu’où ça va aller ?
Je vais dans une boutique un peu osée. Une vendeuse vient à ma rencontre.
- Bonjour madame, est-ce que je peux vous aider ?
- Heu oui voilà, je cherche des dessous un peu sexy, ainsi qu’une jupe un peu courte. Enfin vous voyez ce que je veux dire ?
- Mais oui madame, n’ayez crainte, je m’occupe de vous. C’est pour une occasion particulière ?
- Ben disons que, enfin je ne sais pas.
- Je vois, c’est personnel ?
- Oui voilà.
- Venez suivez-moi, on va aller dans un salon d’essayage, on sera plus tranquilles.
- Merci pour votre compréhension.
La vendeuse ouvre une porte pour me laisser passer et referme derrière elle en tournant la clé.
- Voilà, nous ne serons pas dérangées.
- Je me sens mieux en effet. Voilà, j’ai fait la connaissance d’un jeune homme qui aimerait que je m’habille un peu sexy quand je suis avec lui, et je dois dire, je n’ai pas pu lui refuser.
- Et vous avez raison, vous êtes séduisante et vous avez l’air d’avoir un corps superbe. Vous voulez bien vous déshabiller ?
- Oui bien sûr.
Je mettais nue devant cette jeune femme. Je n’étais pas gênée à ma grande surprise. La vendeuse s’approcha pour prendre mes mensurations. Ses mains frôlaient mon corps. Je fermais les yeux, je sentais mes seins durcir, mes tétons se dresser. Les mains de la vendeuse s’attardaient sur mes seins, j’avais la chair de poule. Ses doigts se mirent à rouler mes tétons qui devinrent durs. Je me surprenais à gémir sous ses caresses.
- Le jeune homme a bien de la chance de vous connaitre, et il a bien raison de vouloir vous sublimer.
- Oh merci, excusez-moi, mais vos mains sont si douces.
- Avec plaisir madame. Je vais aller vous choisir des vêtements.
- D’accord.
Je regarde la jeune femme s’éloigner et je pense à Michel qui m’attend. Je veux être séduisante pour lui. Il est gentil et pour un jeune de son âge, il me fait jouir comme jamais je n’ai joui. Il faut dire que son sexe est tellement large et long que dès que j’y pense, je me mets à mouiller comme une dingue. D’ailleurs je suis nue dans ce salon et je sens la cyprine qui humidifie mes petits poils intimes. J’ai honte.
- Voilà madame, je crois que j’ai trouvé ce qu’il vous fallait. On essaye le string ?
- Heu oui si vous voulez, mais je peux me débrouiller.
- Non non, vous allez voire laissez-vous faire.
La vendeuse va tout de suite voir que je suis trempée. Elle s’agenouille devant moi et regarde en direction de ma vulve. Elle voit en effet que celle-ci est luisante de cyprine. Elle passe sa main entre mes cuisses pour la caresser. Je ne fais rien pour la repousser. J’ai le sexe de Michel à l’esprit et j’ai une envie folle de ma faire jouir. La vendeuse s’en doute car elle commence à me caresser.
- Oh c’est bon ce que vous me faites.
- Oui je vois ça, vous êtes trempée. Je peux vous pénétrer le vagin ?
- Oh oui faites, je suis en feu.
- Eh bien, vous alors, vous êtes carrément salope.
- Oh je crois que oui, j’ai honte.
- Mais non, n’ayez pas honte, ça fait du bien de se lâcher de temps en temps.
La vendeuse introduit deux doigts dans ma chatte et commence à faire des va et viens. Je commence à gémir sous ses caresses et fini par être traversée par un orgasme.
- On continue notre essayage ?
- Heu oui.
Je lève un pied puis l’autre pour enfiler mon string. La vendeuse le fait monter le long de mes jambes et le met en place dans ma raie des fesses et sur ma vulve encore trempée.
- Il vous va bien, il met bien en évidence la fente de votre vulve. Votre jeune amant ne va pas pouvoir résister à un tel spectacle.
- Oh merci, c’est vrai qu’on devine ma fente intime. Je n’ai jamais porté ce genre de dessous.
- On essaye le soutien-gorge ?
- Oui d’accord.
- Alors c’est un soutien-gorge demi-sein. Il laissera dépasser vos tétons.
- Oh mais c’est vulgaire, non ?
- Non je dirais plutôt très sexy.
- J’ai l’impression d’être une salope comme ça.
- Je crois c’est ce que vous avez envie d’être avec votre amant.
- Mais non enfin.
- Vous en êtes sûre ? en tout cas vous êtes très séduisante.
- Merci.
- On met le PJ ?
- Au point où j’en suis.
- Voilà, ensuite les bas.
- Oh la vache, on dirait une pute.
- Chutttt, mais pas du tout.
- Les talons ?
- Oui
- Non, mais regardez, on voit la cambrure de mes reins.
- Oh oui vous êtes magnifique.
- La jupe courte en cuir.
- Ah non c’est trop court.
- Oui je suis d’accord, c’est un peu haut.
- Un peu ? mais on voit mes fesses.
- Alors essayons celle-là.
- C’est mieux, un peu haut mais ça va.
- Et le corsage.
- Je ne porterai rien ça ferait pareil.
- Mais non, c’est sexy.
- Je vous offre cette veste longue qui recouvre tout. Comme ça vous pourrez sortir plus à l’aise.
- Mais je ne vais pas sortir comme ça.
- Mais si, prenez l’habitude.
- Bon je vous fais confiance. Merci.
Je ressors de la boutique. J’ai l’impression d’être à poil dehors et que tout le monde me regarde. Je regagne ma voiture. Je repars vers la maison. J’ai hâte de voire l’effet sur Michel.
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Quelle douce et érotique histoire