Chronique de notre vie 5/10 - histoire érotique

5. Le vibromasseur.

Revenant d'un week-end chez sa sœur, je me libéré un peu plus tôt que prévu de mes obligations professionnelles, je pus aller la chercher à la gare ferroviaire, Montparnasse pour tout dire.
Elle était comme d’habitude divine et fraîche, souriante et décontractée, avec le zeste de provocation contenue qui la caractérise, de noir vêtue, quelque peu légèrement pour la saison. Mais Caline est ainsi, elle a toujours chaud !
Après nos papouilles de bienvenue réciproque, nous prîmes le chemin de la sortie vers le taxi le plus proche. Elle ne manqua pas de remarquer qu’un paquet entouré d’un plastique noir opaque sortait de la poche de mon manteau.

Alors que nous attendions à la station, elle ne résista pas à me poser la question.

— Qu’est-ce que as dans la poche Midou ?
— Ohh, çà ?
— Oui,
— Un cadeau.
— Pour moi ?
— Principalement pour toi.
— Je sais ce que c’est !
— Ah oui ?
— Oui, un gode….

Quelque peu surpris de cette perspicacité, mais il est vrai que nous avions évoqué, il y avait quelques semaines, sur le mode humoristique, l’intérêt de ce troisième partenaire dans nos relations, je m’efforçais de sourire finement.

— Perdu ! Lui dis-je.
— Dommage, j’aurai bien aimé, répondit-elle.
— C’est vrai ?
— Ben oui bébé…Hhmmmm oui, ajouta-t-elle en un frisson gourmand (elle est très forte pour les frissons gourmands).
— Ce sera pour une autre fois…
— C’est quoi alors ?
— C’est pas un gode.

Sa réaction m’ayant rassuré quant à la manière d’accueillir mon initiative, je décidai de me lancer.

— Enfin, c’est quand même presque ça ! Lui avouai-je.
— Je le savais… Alors c’est quoi ?
— D’après toi ?
— Je ne sais pas moi, chéri… Je... Laisse moi réfléchir... C'est pas un gode mais c'est "presque ça"... Ahhhh... Ooh oui, j’ai compris... C'est un vibromasseur.
— Tout juste ma coquine.

C’est à ce moment que notre tour de taxi arriva. Je donnai l’adresse de l’Hôtel. Caline était tout excitée. Elle semblait particulièrement pressée de découvrir ce jouet. Elle piaffait d’impatience.

— On ne rentre pas ?
— Non... Ici... On peut faire du bruit sans soucis !
— Et... Il est de quelle couleur ton ami ? demandait-elle.
— Cela à de l’importance ?
— Non pas vraiment, c’était pour savoir. Euh… Il est noir ?
— Non, blanc…Tu aurais préféré un "noir" ou un "jaune" peut-être ?
— Non chéri, du moment que je le prends bien… QU'IL me prend bien !

Sous mon manteau, posé sur mes genoux, la main baladeuse de Caline serrait déjà ma braguette. Pour ma part, relevant sa jupe, je touchai la peau nue de sa cuisse en haut de son dim up.

— Tu crois qu’il va me plaire ? Poursuivit-elle.
— Il a du "sexe à pile"... Hihihi...
— Très drôle… Et question euh dimension ? Demanda-t-elle, se prêtant au jeu (et c’est pour ça aussi qu’elle est géniale ma coquine).
— D’après ce que j’ai pu savoir un bon 20 centimètres.
— Oh.
— Cela ne te fait pas peur ?
— J’ai l’habitude tu sais !
— J'en doute point ma coquine...
— J’ai hâte d’arriver !
— Je vois... Ou alors, tu veux... Euuuh... L’essayer tout de suite ?
— Il est disponible ?
— Oui, certainement.

C’est ainsi que nous arrivâmes devant l’hôtel et que le chauffeur se crut autorisé à dire à Caline tandis qu’elle descendait, après moi d’ailleurs, m’offrant une superbe vision de ses cuisses gainées de noir :

— Je vous souhaite un bon amusement madame !

Aussitôt dans la chambre, Caline se déshabilla, conservant seulement ses bas, et quasiment nue sur le lit, attendait de découvrir la nouveauté. Sa main n’hésitait plus à se porter entre ses cuisses.
J’adore quand elle est ainsi excitée, son impudeur totale, l’expression de son désir, son impatience.

— Tu me sembles drôlement excitée, Ninou... Tu as donc si hâte de me tromper ?
— Tais-toi et sors l’engin !

Je vins enfin à côté d’elle et lui tendis la boîte de laquelle, fébrilement, elle retira un joli vibromasseur de couleur ivoire, d’une dimension moyenne. Je dévissai le fond pour glisser les deux piles fournies, et appuyant sur le bouton, l’engin se mit effectivement à vibrer…

— Hummm... Ça a l’air de marcher.
— Ohh donnes-le moi Hamed, s’il te plait…
— Tiens ma coquine, il est à toi…

Elle le prit en main et comme elle ne fait jamais les choses à moitié (surtout ce genre de choses) alors que je m’attendais à ce qu’elle le porte entre ses cuisses maintenant écartées, elle stoppa la vibration, et, devant moi, me regardant dans les yeux, elle se mit à sucer le vibromasseur, langue sortie, avec son air le plus vicieux…
Je me penchai vers elle pour poser ma bouche sur sa chatte que je découvris absolument trempée. Rarement, je l’avais découverte aussi mouillée.

Elle sortit l’engin de sa bouche, tout luisant de sa salive et appuya de nouveau sur le vibreur, commençant à descendre doucement l’engin sur ses seins, dont elle s’excita les mamelons, puis sur son ventre, puis enfin sur son sexe, sursautant au moment où le vibromasseur entra en contact avec son clitoris excité.
Elle se toucha ainsi devant moi, les cuisses écartées, passant délicatement d’abord le vibro, puis plus franchement. Elle fermait les yeux de plaisir. Après quelques minutes d’apprivoisement, elle commença à se l’enfoncer doucement, alors qu’à côté d’elle, je lui caressai le ventre et les seins.
De sa main libre, elle empoigna ma queue et me caressa, me masturba avec le même rythme qu’elle bougeait le vibro planté en elle. Elle était tellement excitée qu’elle jouit au bout de 15 secondes, son orgasme explosant à l’idée de disposer de deux queues en même temps.
Elle n’était nullement satisfaite par cette première jouissance et bientôt, je me trouvai devant elle, en train de moi-même manipuler ce délicieux engin, dans son fourreau alors qu’en même temps je lui mangeais son clitoris.


— Ohh, oui c’est génial comme çà, mange-moi bébé, bouffe-moi bien avec le gode enfoncé comme çà, fait le vibrer à fond… C’est super… Ouiiiii, n’arrêtes pas… Oooh je vais encore jouir…

Elle explosa de plaisir au moins trois ou quatre fois avant de considérer que cela suffisait comme inauguration.

Elle me gratifia d’une superbe pipe, éperdue de plaisir nouveau, et comme à l’accoutumée, n’en laissa échapper aucune goutte lorsque je giclai longuement dans sa bouche close sur ma hampe.

L’heure du dîner était proche et après une petite douche (normale), nous partions en quête d’une table pour reprendre les forces nécessaires à la poursuite de nos travaux pratiques, sachant bien que nous n’avions pas encore exploré toutes les possibilités de ce troisième homme !
Effectivement, nous étions pressés de rentrer pour remettre le couvert si j’ose dire.

Dès notre retour, notre partenaire nous attendait, vibrant d’impatience !

Alors que Caline me suçait, et que de mon côté, je manipulais le vibro dans sa chatte, elle s’interrompit soudain.

— S’il te plait Hamidou...
— Oui ?
— Encules-moi chéri, s’il te plait, j’en ai envie.
— Avec le vibro ou …
— Avec ta grosse bite, bébé. Et après tu me mettras le vibro dans la chatte, je veux dire en même temps…

Ce fut absolument délicieux. Caline était déchaînée, ouverte à toutes les audaces, et j’alternai les pénétrations, un coup naturel, par-devant puis par derrière, l’espace libre étant aussitôt comblé par le vibromasseur réglé sur la vibration maximale. Caline criait, feulait, pleurait, gémissait, haletait.

Nous passâmes ainsi quelques heures à jouer avec cet instrument magique et Caline jouissait comme une folle, sans arrêt. Je crois bien que ce jour-là, elle battit son record…