Cinq cousines et deux cousins découvrent que leur grand-oncle était un acteur porno. Ils l’appellent : Papy Christophe. 5

- Par l'auteur HDS Mlkjhg39 -
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Récit libertin : Cinq cousines et deux cousins découvrent que leur grand-oncle était un acteur porno. Ils l’appellent : Papy Christophe. 5 Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-11-2023 dans la catégorie Plus on est
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Cinq cousines et deux cousins découvrent que leur grand-oncle était un acteur porno. Ils l’appellent : Papy Christophe. 5
Cinq cousines et deux cousins découvrent que leur grand-oncle était un acteur porno.
On l’appelle : Papy Christophe.

Il me prend par les épaules et me met à genoux entre ses cuisses. Je ne me fais pas prier pour caresser sa verge qui continue à grossir une fois libérée du pantalon. J’ai extrêmement envie de l’engloutir, de le sucer, de tout lécher mais je retiens encore mes ardeurs, me souvenant de ma dernière expérience infructueuse.
Ses mains caressent mes cheveux et mes épaules. Il ne cherche pas à aller plus loin pour le moment. Son sexe est dressé à quelques centimètres de ma bouche maintenant, très gros et très dur, de grosses veines pulsent sous la peau ultrafine comme s’il allait exploser tant il est gros et gorgé de sang.

Suite :
J’ai faim, faim de lui, hâte d’emplir ma bouche de ce formidable chibre que je désire. Mes mains sur ses cuisses, je dirige ma langue sur le bout de son gland, donnant des petits coups de langue tout autour, le prenant parfois du bout de mes lèvres, titillant le dessous de son gland du bout de ma langue, le faisant gémir de plaisir. J’entre le plus loin possible son gourdin dans ma bouche, bougeant lentement la tête, décapuchonnant de mes lèvres le prépuce, jouant de ma langue tout autour dans la mesure du possible. Je le dévore, déguste avec délice son énorme sucre d’orge, prenant réellement plaisir à le sucer.
Je m’escrime uniquement sur le gland incroyablement dilaté, branlant la partie de la queue qui se trouve hors de ma bouche. A mesure que ma sensuelle fellation se prolonge, je sens son plaisir insensiblement augmenter au niveau de sa verge et de ses couilles, espérant que ces deux caresses simultanées l’amènent à l'extase finale.

Ma main tournoie autour de ses testicules et à la base de son sexe. A force de m’escrimer, je sens son sexe gonfler encore et ses testicules faire du yoyo sous l’effet de mes caresses de plus en plus intenses et comprends aux mouvements saccadés et à ses gémissements qu’il approche de l'orgasme libérateur, j’accélère encore ma voluptueuse fellation. Il doit ressentir un tel plaisir qu'il ne pourra retenir sa jouissance plus longtemps.
Mais une inquiétude m'envahit : Que faire ? Est-ce que je le laisse décharger dans ma bouche ?
Je sens sa verge sur le point d'exploser sans qu'il ne puisse plus rien faire pour l'empêcher, il cherche à retirer son membre de ma bouche mais je m’y oppose.
– Oh putain oui, tu suces trop bien Virginie ! crie-t-il dans un dernier sursaut... Je vais juter, attention !... Aaarrhhh... Aaaahhhh....

Je poursuis en accélérant la cadence, sa bite est vraiment bonne...
-Je vais cracher Virginie ! doucement, doucement !!!!!!! Mais je n'arrête pas, ma bouche au contraire aspire sa verge à fond et je reçois son jus chaud et épais au fond de ma gorge… Je m’y attendais mais son sperme n'arrête pas de jaillir. Dans un grognement inhumain où se mêlent plaisir et crainte de ce qu’il me fait subir, Papy en proie à une jouissance phénoménale décharge à longs jets dans ma cavité buccale tandis que son corps se tétanise de la tête aux pieds. Il saisit brutalement ma tête de ses deux mains et tente de m'enfoncer sa bite au plus profond de la gorge avec de violents coups de reins, je veux hurler mais son sexe obstrue ma bouche, une violente envie de vomir me prend chaque fois que jaillit de sa queue enfoncée très profondément une nouvelle salve de sperme. Je suis au supplice mais je l’ai voulu. Le liquide chaud et poisseux est si abondant que je vomis sur sa bite.
Il gémit encore et encore et je réalise que non je ne vomissais pas, mais il a éjaculé si puissamment dans ma gorge que j’ai des larmes plein les yeux qui coulent sur mes joues à cause de mes hauts le cœur.
Il libère enfin ma tête, soustrayant alors lentement à ma bouche sa lance.
- Oh Mon Dieu, Virginie, excuse-moi, je ne sais pas ce qui m’a pris, ça va ma puce ?

Je tousse comme une poitrinaire, recrachant ce que je n’ai pas pu avaler tellement la dose était conséquente.
À ma grande surprise, quand j’arrive à revoir entre mes larmes, son énorme chibre est toujours aussi gros, épais, ayant à peine débandé, comme s'il ne venait pas d'éjaculer comme un taureau de concours. Juste à peine croyable, mais je n’en attendais pas moins de Papy.

J’ai tellement envie qu’il m’encule avec sa grosse bite tout autant que je le redoute… Putain, comment pourrait-elle rentrer, elle est énorme ! J’enduis la grosse queue de lubrifiant, la tartine copieusement, profitant de l’occasion pour lui masser les gros sacs qui lui tiennent lieu de couilles. La bite de Papy est superbe, longue, épaisse, bien cambrée, surmontée d’un gland large qui la coiffe comme le chapeau d’un champignon. Mon désir vient autant de cette queue magnifique que de l’interdit que je vais franchir. Je me prépare à un enculage magistral.
Il pose ses mains sur mes fesses et les écarte pour me tartiner aussi le fion puis il vient se plaquer contrer ma croupe dénudée, son énorme boudin de chair ne bandant pas encore au maximum s'insinue entre mes cuisses, frotte doucement contre la fente de mon sexe. Je commence à me joindre au mouvement, en essayant de le faire pénétrer un peu plus profondément entre mes lèvres vaginales. Je désire de plus en plus qu'il me pénètre. De ma main, j'essaie de diriger le sexe massif à l'intérieur de mon vagin qui est maintenant abondamment lubrifié par ma cyprine mais il s’y oppose. La glace de l’armoire me renvoie la vue de cet énorme sexe qui glisse le long de ma vulve pour viser plus bas. Je commence à avoir le trouillomètre à zéro, me demandant, vu la taille de son défonce-cul, s’il est humainement possible de le recevoir au plus profond de mon cul. Je le désire ardemment mais le redoute encore plus.
Son gland est maintenant contre mon anneau fripé et tente une progression, Papy pousse doucement, centimètre par centimètre, tenant la hampe demi-molle qui a tendance à plier sous l’effort qui lutte contre mon sphincter.
Heureusement que mes cousins ont ouvert la voie ! Mon anus cède enfin sous la pression et la tête de son nœud disparait à ma vue entre mes fesses. Son gland est à l'intérieur de ce passage étroit et Papy marque une pause pour que je m’habitue à l’intrus. La douleur augmente mais est encore supportable. Mes muscles anaux cherchent à repousser l’intrus mais ne réussissent qu’à redonner du gourdin à la bête qui redevient dur comme une barre de fer portée au rouge. Il retire sa main devenue inutile et j’ai la vision d’un papillon épinglé par une monstrueuse épingle qui transperce son corps.
- Nooonnn !!! Ooohhhh !!! Ooohhhh ! Je le supplie. Je t’en prie ...Arrête ! Arggghhh ! Tu me casses le cul ! Ta bite est trop grosse pour mon pauvre petit cul ! Mais l'épais gourdin s'enfouit toujours plus dans mon étroit conduit sombre.

Papy me poignarde de plus en plus profondément avec une extrême lenteur, son chibre forant impitoyablement son chemin dans mes boyaux, souriant à mes suppliques angoissées alors que son plantoir s'immisce toujours plus loin dans mon étroit conduit.
Centimètre par centimètre, il s'enfonce toujours dans le fourreau étroit pas fait pour ça, je sanglote mais il n’en a cure, s'agrippant de ses mains à mes hanches, se préparant sûrement à me défoncer d'un brutal coup de reins.
-Non Papy, je t’en prie ..... J'ai mal ... J'ai trop mal .... t’es beaucoup trop gros !... Ooohhhh ... Oh mon Dieu. Nonnnnnnn ouuuiii !... Que m'arrive-t-il ?

J’halète comme une femme en train d’accoucher qui veux expulser son bébé, serrant et desserrant les cuisses sur la bite fureteuse qui continue toujours et encore sa progression interminable. Je suis si terrassée par la douleur mêlée à un je ne sais quoi de plaisir que je m’écroule comme un automate que l’on vient de mettre sur pose. Quelques instants plus tard, complètement paniquée, je retrouve mes esprits toujours épinglée sur le lit par la grosse mentule de mon Papy entièrement disparue dans mon fondement.
-Près pour la suite, Virginie ? Me demande Papy, le plus dur est passé, maintenant tu vas vivre un instant inoubliable.

Il reprend alors ses allées et venues en moi, je suis toujours sanglotante mais constate que mon corps réagit mécaniquement et lubriquement à ses assauts de plus en plus vigoureux. Je sens la grosse bite palpiter follement dans mes boyaux et ressens enfin les prémices d’un plaisir difficile à concevoir. Papy retire brutalement sa queue d’entre mes fesses. Pendant un court instant, je suis vide, je n’ai plus rien dans le cul. Papy s’assied sur le bord du lit, je lui tourne le dos, enjambe ses cuisses et de moi-même m’empale sur son sexe dressé pour ressentir à nouveau la plénitude d’être remplie par son défonce-cul. Mais je ne m’attendais pas à la suite, il passe son bras sur mon ventre et se redresse en me soulevant. J’ai tout le haut de mon corps dans le vide, je suis uniquement retenue par son bras et sa verge plantée dans mon cul, les fesses collées sur son bas-ventre. Il s’active et son sexe glisse entre mes fesses. La position est malaisée alors Papy place ses mains sous mes cuisses pour me soulever et me laisser retomber sur sa poutre comme s’il voulait enfoncer un piquet de plus en plus profond dans le sol. Mon œillet brun et fripé devient la terre vierge et son chibre le morceau d’acacia que la masse frappe et frappe encore. Mon Dieu, malgré la violence et cette position acrobatique et très inconfortable, je sens le plaisir monter, l’orgasme arriver et je coule comme une fontaine.

Je croyais qu’il allait se vider en moi mais il n'en est rien. Quand il se sent prêt à jouir, il se retire et mon trou du cul qui ressent l'absence de son énorme cheville, restant encore ouvert et palpitant tellement il a été alésé. Je me hâte de me retourner pour être en face de son bas-ventre. Une de mes mains tient la base de son pénis et l’autre astique la formidable hampe, je caresse avec ma langue le gland en attente de sa laitance, je branle sa pine, l'aspire dans ma gorge, ne pouvant m'empêcher de jouer avec mon sucre d’orge. Je ressens alors les soubresauts de l'éjaculation de Papy, le sperme chaud qui coule dans ma bouche avec abondance et le râle assourdi de son énorme jouissance résonne à l'intérieur de la pièce.
J'ai dans ma tête la vision charnelle et incestueuse de nous deux, le grand-oncle et la petite fille, jouant à des jeux que la morale réprouve. Mais Papy n’est pas un grand-père comme les autres…
-Papy, pourquoi tu ne m’as pas déflorée ? Je suis la seule vierge parmi mes cousines et j’étais prête, pourquoi ?

A suivre…

Ps : On me reproche souvent d’affubler mes héros d’un sexe hors-norme. Si vous voulez voir sur quel sujet je m’appuie, (moi pour tout vous dire), je vous invite à visionner deux vidéos que j’ai posté sur le net, tapez sur votre clavier : « hors-normes2folie » et « belles éjaculations au ralenti » et une fois votre idée faite, postez votre commentaire.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Il faut savoir lire les textes...
C'est une suite fantastique..
Merci

Cyrille

Histoire Libertine
Sacré papy. Et il ne faut pas confondre fantasme et réalité ou alors il ne faut plus regarder aucune série policière.

Histoire Erotique
Il y a vraiment des lecteurs excités par l'inceste ?..
C'est totalement pervers et ignoble.



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Histoire sexe : Une rose rouge
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