Cinq cousines et deux cousins découvrent que leur grand-oncle était un acteur porno. On l’appelle : Papy Christophe. 8

- Par l'auteur HDS Mlkjhg39 -
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Récit libertin : Cinq cousines et deux cousins découvrent que leur grand-oncle était un acteur porno. On l’appelle : Papy Christophe. 8 Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-11-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Cinq cousines et deux cousins découvrent que leur grand-oncle était un acteur porno. On l’appelle : Papy Christophe. 8
Cinq cousines et deux cousins découvrent que leur grand-oncle était un acteur porno.
On l’appelle : Papy Christophe.


Je m'ouvre à lui, je veux que cet énorme sexe qui entre tout juste dans ma chatte, me transperce et puisse aller encore plus loin au fond de mon utérus. Une fois le gland passé l’ouverture de ma grotte, chaque centimètre que ma matrice doit s’adapter à ce calibre hors-norme. Heureusement que pour la première fois, il nous laisse la main, si je puis dire, nous permettant suivant nos possibilités d’absorber en nous la totalité ou seulement une section plus ou moins importante de ce véritable manche de pioche.

Suite :
Je ne ralentis la cadence que pour prendre la pleine mesure de la bête, je ne sais plus où j'en suis sur sa colonne, ressentant chaque centimètre de cet énorme marteau pilon pas encore en marche qui me pénètre encore et encore, plus loin que tout autre. Je garde les yeux mi-clos, fixant son regard, jetant parfois un coup d'œil sur ce sexe énorme qui m'emplit. Au bout d'une éternité, je sens monter le plaisir, un plaisir aussi énorme que sa bite, j’entame un va et vient incessant, ne pouvant retenir mes muscles intimes de se contracter et enserrer ce sexe monstrueux qui me donne tant de plaisir. Maintenant sans aucun scrupule d’être empalée sur le chibre de mon grand-oncle, j’enfonce d'un coup sec le monstrueux tuyau sur toute la longueur que ma chatte peut supporter. C’est terrifiant, c’est sublime, je crie de plaisir, les mains solidement posées sur sa poitrine et commence une série de va et vient, ponctués de han et de borborismes. Comment ma chatte peut supporter un tel pal ?
Je suis détruite et me poignarde sauvagement sur l’organe de mon papy adoré. Il donne des coups de reins et ses coups de bites sont hallucinants de violence et de puissance retenues. Mais malgré toute la souffrance que j’endure c’est le Nirvana, le plaisir nait peu à peu et monte crescendo, je gémis de plaisir et coule comme une pisseuse dans sa couche de bébé. Il ralentit soudainement la cadence, prend le sifflet et le porte à sa bouche. Nooonnn !!! Il me force à me relever, finissant par retirer son gros mandrin de ma fente béante et inconsolable, se libérant de moi pour la prochaine chevauchée avec unes de mes cousines.

La parole est à Virginie.
Virginie/virginité, deux mots très proches…
Pour moi, c’est le grand soir, malheureusement, (ou heureusement ?), j’ai tiré la plus courte paille, je suis donc la dernière de la file. J’espérais y aller crescendo pour ma première fois. D’abord avec Jules, la plus petite queue du trio, puis avec Bruno et enfin avec Papy et son monstre pour moi, mais bernique… Jules est une couille molle, après deux éjacs, il a les bourses définitivement vides pour la journée. J’en espérais un peu plus de Bruno mais Eva vient d’attraper le pompon, lui aussi vient de cracher pour la deuxième fois et il est hors service pour un certain temps. Je croyais que les jeunes étalons seraient plus vaillants mais c’est la vieille « carne » qui leur dame le pion.
Je vais donc pour ma « première » être obligée de me faire mon grand-oncle Christophe…Ou le contraire. Tout est petit chez moi, la taille, ma poitrine digne d’une ado de quatorze printemps, un petit cul mais qui a supporté vaillamment la première bataille. Mais cette fois je vais connaître le loup, le « vieux » loup à la pelisse grisâtre. Je m’avance prudemment vers Papy, lève la jambe droite que je passe au-dessus de lui pour me retrouver assise sur ses cuisses. Ensuite comme je l’ai vu dans ses vidéos, je pose mes mains sur son torse et mes pieds sur ses cuisses au niveau des genoux. Son sexe épais n’a pas perdu un millimètre que ça soit en longueur ou en circonférence après le passage de quatre « cavalières ». Je n’en reviens pas qu’après avoir été sucé par nous cinq et servi de « selle » par quatre furies, il n’ait pas encore joui. Déformation professionnelle sans doute, et de bons restes malgré les années. Il me demande :
-Virginie, tu es prête ? Tu sais, je ne voudrais pas que tu regrettes ta première fois car tu t’en souviendras toute ta vie. Dommage que tes cousins soient déjà en berne. Je te laisse faire comme bon te sembleras, et vous les filles et les garçons, soutenez-là et s’il le faut, mettez la main à la pâte.

Que n’a-t-il pas dit là ? Je suis encerclée de toutes parts, des mains et des bouches s’occupent de mes tétons, de mes lèvres, de mes reins, me forcent à me dresser sur les genoux pour se servir du jonc massif de Papy comme d’un pinceau et d’un marteau pour caresser ma fente ou bien de claquer son engin sur mon bas-ventre, de se servir de son gland pour titiller mon bouton gorgé de sang comme jamais qu’il en est hyper-sensible.
Soudain, le chibre est immobile, à la porte de ma vulve, près à explorer ma grotte. J’hésite mais Léa a posé ses mains sur mes épaules pendant que Louise tient la verge de Papy centrée sur mon conduit. Je prends une grande respiration, plie lentement les genoux pour faire pénétrer son gland dans mon vagin. Pour le moment, je n’éprouve aucun plaisir car ma chatte est comme le reste, petite… Et c’est encore moins agréable quand « la bête » frappe à la porte. Mais mon hymen ne fait pas le poids face à l’intrus et se déchire.
Putain ce que je dérouille… Je pousse un long râle, bien que je sois bien lubrifiée, me demandant s’il faut que je persévère. Sa bite aussi grosse que mon poignet fait au moins 17cm de circonférence, bon sang, c’est pas rien ! Comment mon vagin va pouvoir encaisser un tel soc ? Mais je continue quand-même à me poignarder proprement et consciencieusement malgré mon manque de savoir sexuel.
La douleur est diffuse mais plus supportable que je le redoutais. J'ai mal, ne voyant pas comment l'inverse pourrait être possible. Je pèse 45 kilos toute mouillée, je suis toute fine, ma chatte aussi et un gros engin est en train de me perforer ma choupinette sans pitié, Pourtant j'éclate mon fourreau sans me soucier de ma santé physique. Dans le miroir, je me vois, jeune fille se faire démonter par mon Papy membré comme un taureau. Heureusement que c’est moi qui suis aux manettes, enfin si l’on peut dire… car la seule manette dont je dispose est en train de me ruiner le berlingot.
Malgré toute ma volonté, mon vagin contrairement à mon anus ne peut absorber la totalité de ce sabre car mon fourreau n’est pas adapté à une telle lame. Papy reste patient et attend que je reprenne mes esprits et que mon conduit s’adapte au calibre qui l’encombre. Je me relève jusqu’à ce que son dard quitte ma moule, il est tacheté de mon sang et mes cousines, comme attirées par le miel telles des abeilles, se précipitent pour le rendre brillant de leur salive. Je prends sur moi et tente une deuxième approche, écarte ces mouches du coche et redresse son gourdin pour le rentrer en force dans ma chatte encore endolorie tel un manche inséré de force dans un outil.
- Sers-toi du tube de gel lubrifiant cette fois Virginie, me conseille Papy… ça va aller ? Je te sens hésitante.
-Je, je veux ta queue papy... Mais je ne sais pas si c’est par manque d’expérience ou de pratique ou aussi parce que tu es monté comme un taureau en rut, mais je ne sais pas si je vais pouvoir…

Je me décide et essaie une deuxième fois de me faire démonter centimètre-carré par centimètre-carré le moindre recoin de ma caverne, me ramonant les muqueuses de son énorme mandrin pour son unique plaisir, car de la douleur, j'en ai encore à revendre. Le plaisir est là aussi, mais la balance de souffrance exercée par mon grand-père penche toujours du mauvais côté, ça en serait risible si ce n’était pas si pitoyable.
Je me domine durant de très longues minutes, durant lesquelles j’agis comme un automate où seul l'incroyable gourdin de papy dilatant sévèrement mon sexe compte réellement.
Mais Papy s’aperçoit de mon désarroi et me console :
-Virginie, n’insiste-pas, je te donnerai des leçons particulières, je ne veux pas que tu gardes une si mauvaise impression presque imposée devant tes cousins et cousines. Cède la place à quelqu’un de plus aguerri.

Je suis déçue et en même temps rassurée. Pour l’avoir déjà connu avec lui quand il m’a sodomisé, je sais qu’il peut se montrer d’une extrême douceur et préfère connaître ma première jouissance avec le sexe d’un homme sans être sous le regard inquisiteur de mes cousines.

La parole est à Eva :
Quelle chance ! Je vais pouvoir faire un deuxième tour de manège, et avec seulement mon Papy en plus ! Contrairement à Virginie, la verge massive de mon grand-père ne me fait pas peur, pourtant dans ma vie sexuelle, je n’ai jamais été confronté à un tel pal, et l’anneau qui enserre sa bite entre les bourses et son bas-ventre rend sa verge encore plus imposante, et surtout d’une dureté que je n’ai jamais connue, un vrai tison.
Mais cette fois-ci, il ne veut plus resté passif et me demande de me mettre à quatre pattes sur le parquet. L’effet a l’air de le rendre encore plus excité et il me fesse copieusement en me traitant de petite dévergondée avant de me flairer le cul.
-Tu pues la mouille pas fraiche. Il va falloir que je nettoie ça !

A suivre :

Ps : On me reproche souvent d’affubler mes héros d’un sexe hors-norme. Si vous voulez voir sur quel sujet je m’appuie, (moi pour tout vous dire), je vous invite à visionner deux vidéos que j’ai posté sur le net, tapez sur votre clavier : « hors-normes2folie » et « belles éjaculations au ralenti » et une fois votre idée faite, postez votre commentaire.

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Histoire Libertine
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