Clorinde revient (16)
Récit érotique écrit par Exorium [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Clorinde revient (16)
Elle s’est d’abord offerte quelques instants au soleil. De face. De dos. J’ai mitraillé. Et zoomé. Elle s’est jetée à l’eau. Quelques longueurs de bassin. Et puis encore à plat ventre au bord de la piscine, le maillot mouillé, les cuisses légèrement entrouvertes. J’ai mitraillé. Encore et encore.
Elle est montée me rejoindre.
- Alors ? Ça donne quoi ? Faites voir !
Elle les a longuement examinées, les unes après les autres.
- Ah, oui, pas mal ! Pas mal du tout. Il devrait être content. Bon, ben à vous de jouer maintenant…
J’ai attendu que les deux représentants de commerce en grande conversation au comptoir aient quitté les lieux…- Ça a avancé…- Ah !
Il a jeté un rapide coup d’œil aux trois filles qui riaient aux éclats tout au fond du bar et il s’est approché de moi. Le plus près possible.
- Parlez pas trop fort…- Oui. Ça avance. D’abord maintenant c’est presque tous les jours qu’elle vient profiter de ma piscine. Je lui tiens compagnie. On discute. Elle était un peu méfiante au début. Ben oui, c’est normal, attendez, elle me connaissait pas. Elle était en droit de se demander si j’avais pas des idées derrière la tête. Un type qui déboule comme ça et qui lui propose, de but en blanc, de venir se baigner chez lui, il y a de quoi se poser des questions. Mais bon, petit à petit, elle prend confiance. Elle commence à se livrer. Par bribes. J’y vais sur la pointe des pieds. Je lui ai proposé de venir avec son petit ami, si le cœur lui en disait. Elle a eu un petit sourire désabusé. « Il y a pas ça en magasin, non ! » Et elle a soupiré. « Oh, maintenant, moi, les mecs ! » Ils étaient pas gentils avec elle ? C’était pas qu’ils étaient pas gentils. C’était qu’on pouvait pas leur faire confiance. Un type, ça te promet monts et merveilles avec tout l’amour du monde dans les yeux. Et toi, t’as aucune espèce de raison de pas le croire. Tu te mets à le laisser compter pour toi. Et tu tombes de haut. Parce qu’une fois qu’il t’a sautée, il trouve une excuse bidon pour te mettre sur la touche. Dans le registre : t’es trop bien pour moi comme fille. Je te mérite pas. Ou quelque chose d’approchant. Tu chiales un bon coup, tu mets un mouchoir par-dessus ta fierté et tu te dis que c’est pas parce qu’il y en a un qui te l’a faite à l’envers qu’il faut tous les coller dans le même sac. Et t’y remets le nez avec un autre. Et c’est copie conforme. Alors à force de te faire avoir tu jettes l’éponge. Ça va comme ça. C’est bon. Rideau » Hein ? Mais belle comme était, elle allait tout de même pas jouer à la nonne tout le reste de sa vie ! Elle s’est scandalisée. « Ah, non ! Non ! Sûrement pas alors là ! » Eh ben alors ? « Alors il suffit de les prendre à leur propre jeu, les types, et puis voilà ! »- Et elle entend quoi par là ?
- C’est toute la question. J’ai bien essayé de savoir, mais il y a pas eu moyen. Elle éludait. Ou s’en tirait par une pirouette…Il a froncé les sourcils.
- Chut ! Chut ! La voilà !
En chuchotement.
Elle a poussé du genou la porte saloon, l’a laissée retomber derrière elle. Un bonjour à la cantonade. Et elle s’est tournée vers lui.
- Je voulais vous dire : il y a plus de sucre en réserve.
- Plus du tout ?
- Plus du tout.
- Bien. Je m’en occupe.
Elle est repartie comme elle était venue. On l’a suivie des yeux.
J’ai hoché la tête.
- Il y a pas à dire… Quelle paire de fesses !
- Oh, pour ça, oui !
On a échangé un regard complice. Et je me suis lancé.
- Vous savez quoi ? J’ai des photos.
- Des photos ?
- Oui. D’elle. En maillot de bains. Prises discrètement. À son insu.
Il a écarquillé les yeux. Dégluti.
- Vous voulez les voir ?
Il a tendu le cou vers mon portable. Je les ai fait défiler. Lentement. Sa respiration s’est emballée.
- Pas mal, hein !
Il a fait signe que oui. Oh, oui !
- Vous les voulez ?
S’il les voulait !
- Eh bien, allez, alors ! C’est quoi, votre numéro ?
Il me l’a donné. Ses mains tremblaient.
- Et voilà ! C’est parti ! Et ce n’est peut-être qu’un avant-goût.
- Comment ça ?
- Ben, supposons que je prétexte un rendez-vous qui doit durer, que je la laisse toute seule au bord de ma piscine. Une nana, les marques de bronzage, elle aime pas. Et il y a alors toutes les chances que le maillot, il fasse pas long feu. Et supposons encore que je sois pas vraiment parti, que je sois au-dessus, à ma fenêtre…J’ai vidé ma tasse.
- Ça peut être sympa, non ?
Ses yeux ont parlé pour lui.
* * *
Clorinde m’a écouté jusqu’au bout, sans m’interrompre, un sourire ravi au coin des lèvres.
- Génial ! Absolument génial ! Et qu’est-ce que vous pariez que, dès qu’elle se sera endormie, sa bonne femme, il ira se réfugier dans un coin pour se palucher tranquillement sur moi. Sur les photos de moi. Toute la nuit je vais y avoir droit. Il aura une de ces têtes demain matin, mais alors là une de ces têtes ! Rien que d’y penser… Bon, mais c’est pas tout ça ! Venez ! Allez, venez ! On y va…- On va où ?
- À l’appart.
- Quoi faire ?
- Boire l’apéro…- Boire l’apéro ?
- Avec Lydie, oui. Et plus si affinités.
On était à peine arrivés qu’elle s’est précipitée à la fenêtre.
- Il est peut-être dans sa chambre, Savoy.
Il n’y était pas.
- Je me demande bien où il est passé.
- Parti dîner. Ou faire un tour.
- Oui, oh, j’m’en fiche n’importe comment. Il fait bien ce qu’il veut.
Elle y est retournée au moins dix f ois en vingt minutes. A soupiré.
- Ça me saoule. J’arrête pas de penser à lui. De me demander comment il s’y prend, tout ça. Non, il est vraiment temps que je monte au créneau. Que je sache à quoi m’en tenir. Et que je puisse passer à autre chose.
Il était dix heures passées quand Lydie nous a rejoints.
- Désolée, mais il y avait un problème de caisse au magasin. Et je voulais pas m’en aller avant qu’il soit résolu. Je tenais pas à ce qu’on m’accuse.
Je lui ai avancé une chaise.
- Entrez ! Entrez ! Asseyez-vous !
Clorinde a soupiré.
- Et il la vouvoie ! Ben, ça promet ! Si je prends pas les choses en mains moi-même, on n’est pas sortis de l’auberge. Bon, alors parlons clair ! On va pas se cacher derrière nos petits doigts. Lydie nous entend de l’autre côté de la cloison. On l’entend. Elle sait ce qu’on fait. On sait ce qu’elle fait. D’autant que, quand elle est lancée, elle est pas discrète. Ni nous non plus. Alors pas la peine de faire comme si de rien n’était. Comme si on savait pas ce qu’on sait les uns sur les autres. Comme si on savait pas non plus qu’on passe tous les trois beaucoup de temps, le soir, à la fenêtre pour profiter des spectacles délicieux qui nous sont généreusement offerts, à l’occasion, par les clients de l’hôtel. À ce propos d’ailleurs, tu sais, Lydie, le beau jeune homme que tu as longuement contemplé en train de bouquiner à poil sur son lit, eh ben tu vas pas tarder à le voir en pleine action.
- Avec toi ?
- Évidemment, avec moi, ça !
- Quand ?
- Demain matin. C’est décidé.
- Wouah ! Super…Elle s’est levée.
- Rosé pour tout le monde, je suppose, non ? Avec cette chaleur…Elle nous a servis. S’est rassise.
- Quand j’y réfléchis, je sais pas ce qui m’excite le plus en fait. De faire ça pendant mon boulot. Un peu comme si le patron me payait pour baiser. Ou bien que ce soit la fenêtre ouverte avec plein de gens de l’immeuble qui pourraient se rincer l’œil s’ils voulaient. Et qui le feront, certains. Vous êtes bien placés pour le savoir, tous les deux… Ou bien encore l’idée que ce type, il a fait des centaines de kilomètres rien que pour moi sans même être sûr qu’il arriverait à quoi que ce soit avec moi. Peut-être qu’il est rentré maintenant d’ailleurs…Elle est allée voir.
- Toujours pas, non.
Elle est revenue. S’est tournée vers moi.
- Vous savez ce que je suis en train de me dire ? C’est que ce que j’aimerais, cerise sur le gâteau, c’est que mon patron aussi, il en profite demain matin. Suffirait que vous me dénonciez. La chambre d’à côté est libre. Il va s’y précipiter aussi sec. Vous l’appelez ?
Il n’a pas répondu tout de suite.
- Allô… C’est moi… Le client… Vous savez… Les photos… Votre serveuse… Clorinde… Vous êtes tout seul ? Vous pouvez parler ?
- Oui. Qu’est-ce qu’il se passe ?
- Il y a du nouveau. Je vous passe les détails, mais apparemment elle entretient une relation avec un client de l’hôtel. Un certain Savoy. Vous voyez qui c’est ?
- Très bien, oui.
- C’est le matin que ça se passe. Dans la chambre. Quand elle lui monte son petit déjeuner. Alors je voulais vous prévenir.
- Merci, oui. Vous avez bien fait.
- Bonne soirée.
- Oui. À vous aussi…
Elle est montée me rejoindre.
- Alors ? Ça donne quoi ? Faites voir !
Elle les a longuement examinées, les unes après les autres.
- Ah, oui, pas mal ! Pas mal du tout. Il devrait être content. Bon, ben à vous de jouer maintenant…
J’ai attendu que les deux représentants de commerce en grande conversation au comptoir aient quitté les lieux…- Ça a avancé…- Ah !
Il a jeté un rapide coup d’œil aux trois filles qui riaient aux éclats tout au fond du bar et il s’est approché de moi. Le plus près possible.
- Parlez pas trop fort…- Oui. Ça avance. D’abord maintenant c’est presque tous les jours qu’elle vient profiter de ma piscine. Je lui tiens compagnie. On discute. Elle était un peu méfiante au début. Ben oui, c’est normal, attendez, elle me connaissait pas. Elle était en droit de se demander si j’avais pas des idées derrière la tête. Un type qui déboule comme ça et qui lui propose, de but en blanc, de venir se baigner chez lui, il y a de quoi se poser des questions. Mais bon, petit à petit, elle prend confiance. Elle commence à se livrer. Par bribes. J’y vais sur la pointe des pieds. Je lui ai proposé de venir avec son petit ami, si le cœur lui en disait. Elle a eu un petit sourire désabusé. « Il y a pas ça en magasin, non ! » Et elle a soupiré. « Oh, maintenant, moi, les mecs ! » Ils étaient pas gentils avec elle ? C’était pas qu’ils étaient pas gentils. C’était qu’on pouvait pas leur faire confiance. Un type, ça te promet monts et merveilles avec tout l’amour du monde dans les yeux. Et toi, t’as aucune espèce de raison de pas le croire. Tu te mets à le laisser compter pour toi. Et tu tombes de haut. Parce qu’une fois qu’il t’a sautée, il trouve une excuse bidon pour te mettre sur la touche. Dans le registre : t’es trop bien pour moi comme fille. Je te mérite pas. Ou quelque chose d’approchant. Tu chiales un bon coup, tu mets un mouchoir par-dessus ta fierté et tu te dis que c’est pas parce qu’il y en a un qui te l’a faite à l’envers qu’il faut tous les coller dans le même sac. Et t’y remets le nez avec un autre. Et c’est copie conforme. Alors à force de te faire avoir tu jettes l’éponge. Ça va comme ça. C’est bon. Rideau » Hein ? Mais belle comme était, elle allait tout de même pas jouer à la nonne tout le reste de sa vie ! Elle s’est scandalisée. « Ah, non ! Non ! Sûrement pas alors là ! » Eh ben alors ? « Alors il suffit de les prendre à leur propre jeu, les types, et puis voilà ! »- Et elle entend quoi par là ?
- C’est toute la question. J’ai bien essayé de savoir, mais il y a pas eu moyen. Elle éludait. Ou s’en tirait par une pirouette…Il a froncé les sourcils.
- Chut ! Chut ! La voilà !
En chuchotement.
Elle a poussé du genou la porte saloon, l’a laissée retomber derrière elle. Un bonjour à la cantonade. Et elle s’est tournée vers lui.
- Je voulais vous dire : il y a plus de sucre en réserve.
- Plus du tout ?
- Plus du tout.
- Bien. Je m’en occupe.
Elle est repartie comme elle était venue. On l’a suivie des yeux.
J’ai hoché la tête.
- Il y a pas à dire… Quelle paire de fesses !
- Oh, pour ça, oui !
On a échangé un regard complice. Et je me suis lancé.
- Vous savez quoi ? J’ai des photos.
- Des photos ?
- Oui. D’elle. En maillot de bains. Prises discrètement. À son insu.
Il a écarquillé les yeux. Dégluti.
- Vous voulez les voir ?
Il a tendu le cou vers mon portable. Je les ai fait défiler. Lentement. Sa respiration s’est emballée.
- Pas mal, hein !
Il a fait signe que oui. Oh, oui !
- Vous les voulez ?
S’il les voulait !
- Eh bien, allez, alors ! C’est quoi, votre numéro ?
Il me l’a donné. Ses mains tremblaient.
- Et voilà ! C’est parti ! Et ce n’est peut-être qu’un avant-goût.
- Comment ça ?
- Ben, supposons que je prétexte un rendez-vous qui doit durer, que je la laisse toute seule au bord de ma piscine. Une nana, les marques de bronzage, elle aime pas. Et il y a alors toutes les chances que le maillot, il fasse pas long feu. Et supposons encore que je sois pas vraiment parti, que je sois au-dessus, à ma fenêtre…J’ai vidé ma tasse.
- Ça peut être sympa, non ?
Ses yeux ont parlé pour lui.
* * *
Clorinde m’a écouté jusqu’au bout, sans m’interrompre, un sourire ravi au coin des lèvres.
- Génial ! Absolument génial ! Et qu’est-ce que vous pariez que, dès qu’elle se sera endormie, sa bonne femme, il ira se réfugier dans un coin pour se palucher tranquillement sur moi. Sur les photos de moi. Toute la nuit je vais y avoir droit. Il aura une de ces têtes demain matin, mais alors là une de ces têtes ! Rien que d’y penser… Bon, mais c’est pas tout ça ! Venez ! Allez, venez ! On y va…- On va où ?
- À l’appart.
- Quoi faire ?
- Boire l’apéro…- Boire l’apéro ?
- Avec Lydie, oui. Et plus si affinités.
On était à peine arrivés qu’elle s’est précipitée à la fenêtre.
- Il est peut-être dans sa chambre, Savoy.
Il n’y était pas.
- Je me demande bien où il est passé.
- Parti dîner. Ou faire un tour.
- Oui, oh, j’m’en fiche n’importe comment. Il fait bien ce qu’il veut.
Elle y est retournée au moins dix f ois en vingt minutes. A soupiré.
- Ça me saoule. J’arrête pas de penser à lui. De me demander comment il s’y prend, tout ça. Non, il est vraiment temps que je monte au créneau. Que je sache à quoi m’en tenir. Et que je puisse passer à autre chose.
Il était dix heures passées quand Lydie nous a rejoints.
- Désolée, mais il y avait un problème de caisse au magasin. Et je voulais pas m’en aller avant qu’il soit résolu. Je tenais pas à ce qu’on m’accuse.
Je lui ai avancé une chaise.
- Entrez ! Entrez ! Asseyez-vous !
Clorinde a soupiré.
- Et il la vouvoie ! Ben, ça promet ! Si je prends pas les choses en mains moi-même, on n’est pas sortis de l’auberge. Bon, alors parlons clair ! On va pas se cacher derrière nos petits doigts. Lydie nous entend de l’autre côté de la cloison. On l’entend. Elle sait ce qu’on fait. On sait ce qu’elle fait. D’autant que, quand elle est lancée, elle est pas discrète. Ni nous non plus. Alors pas la peine de faire comme si de rien n’était. Comme si on savait pas ce qu’on sait les uns sur les autres. Comme si on savait pas non plus qu’on passe tous les trois beaucoup de temps, le soir, à la fenêtre pour profiter des spectacles délicieux qui nous sont généreusement offerts, à l’occasion, par les clients de l’hôtel. À ce propos d’ailleurs, tu sais, Lydie, le beau jeune homme que tu as longuement contemplé en train de bouquiner à poil sur son lit, eh ben tu vas pas tarder à le voir en pleine action.
- Avec toi ?
- Évidemment, avec moi, ça !
- Quand ?
- Demain matin. C’est décidé.
- Wouah ! Super…Elle s’est levée.
- Rosé pour tout le monde, je suppose, non ? Avec cette chaleur…Elle nous a servis. S’est rassise.
- Quand j’y réfléchis, je sais pas ce qui m’excite le plus en fait. De faire ça pendant mon boulot. Un peu comme si le patron me payait pour baiser. Ou bien que ce soit la fenêtre ouverte avec plein de gens de l’immeuble qui pourraient se rincer l’œil s’ils voulaient. Et qui le feront, certains. Vous êtes bien placés pour le savoir, tous les deux… Ou bien encore l’idée que ce type, il a fait des centaines de kilomètres rien que pour moi sans même être sûr qu’il arriverait à quoi que ce soit avec moi. Peut-être qu’il est rentré maintenant d’ailleurs…Elle est allée voir.
- Toujours pas, non.
Elle est revenue. S’est tournée vers moi.
- Vous savez ce que je suis en train de me dire ? C’est que ce que j’aimerais, cerise sur le gâteau, c’est que mon patron aussi, il en profite demain matin. Suffirait que vous me dénonciez. La chambre d’à côté est libre. Il va s’y précipiter aussi sec. Vous l’appelez ?
Il n’a pas répondu tout de suite.
- Allô… C’est moi… Le client… Vous savez… Les photos… Votre serveuse… Clorinde… Vous êtes tout seul ? Vous pouvez parler ?
- Oui. Qu’est-ce qu’il se passe ?
- Il y a du nouveau. Je vous passe les détails, mais apparemment elle entretient une relation avec un client de l’hôtel. Un certain Savoy. Vous voyez qui c’est ?
- Très bien, oui.
- C’est le matin que ça se passe. Dans la chambre. Quand elle lui monte son petit déjeuner. Alors je voulais vous prévenir.
- Merci, oui. Vous avez bien fait.
- Bonne soirée.
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