Les petites stagiaires: Leslie IV,2

- Par l'auteur HDS Exorium -
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Récit libertin : Les petites stagiaires: Leslie IV,2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-07-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les petites stagiaires: Leslie IV,2
C’est la première fois !
La première fois que je voyais Leslie en robe. Une petite robe rouge à parements noirs qui la mettait magnifiquement en valeur.
– Vous devriez plus souvent. Ça vous va à ravir.
Elle m’a souri.
– Merci.
Et on s’est mis au travail. Le dossier Zalinski pour elle, le dossier Lemaire pour moi. Un dossier urgent auquel je me suis entièrement consacré. Sur lequel j’ai passé toute la matinée. Et encore l’après-midi. Sans me préoccuper le moins du monde de ce qu’elle pouvait faire.
À cinq heures, j’ai repoussé ma souris.
– Là ! Ça y est. C’est bouclé. Il était temps. Et vous, de votre côté ?
Elle n’a pas répondu. Elle fronçait les sourcils, l’air absorbé.
Je suis passé derrière elle, me suis penché par-dessus son épaule.
– Hein ? Mais qu’est-ce que c’est que ça ? Descendez la page. Encore ! Encore ! Ah, non, mais alors là, cette fois, ça atteint des sommets. Vous étiez prévenue, Leslie. Vous n’étiez pas prévenue ?
– Si !
D’une toute petite voix, à peine audible.
– Attendez-moi là !
Je suis allé passer la tête dans le bureau de Javeau.
– On reste un peu. Un dossier à finir. Je fermerai.
Elle n’avait pas bougé.
Des portes ont claqué. Des pas se sont éloignés dans le couloir. Il y a eu de grands « À demain » retentissants.
Je l’ai prise par le bras, fait lever. Elle n’a pas opposé la moindre résistance.
– Regardez-moi !
Elle l’a fait. Une fraction de seconde. Et puis, elle a baissé la tête.
D’un doigt sous le menton, je l’ai obligée à la relever. À soutenir mon regard.
– C’est quand même malheureux, avouez, d’être obligés d’en arriver là. Si seulement vous aviez accepté d’y mettre un peu du vôtre. Seulement, ça ! Bon, mais vous savez ce qui vous attend ?
– Oui.
– Quoi ? Dites !
– Une fessée.
– Méritée, reconnaissez !
– Si ! Oui.
Au-dehors, le calme était revenu. Tout le monde était vraisemblablement parti.
Je lui ai fermement enserré le poignet, l’ai fait basculer en travers de mes genoux. Je l’y ai calée, confortablement installée.
Elle s’est abandonnée.
J’ai relevé la robe. Haut. Très haut. Bien au-dessus des reins. J’ai énergiquement tiré sur la ravissante petite culotte blanche, pour la ramener, le plus possible, dans la raie entre les fesses. Pour que ses deux délicieuses rotondités soient bien à découvert. Offertes. Je les ai brièvement contemplées, avec délectation, avant d’y lancer une première claque. Pas bien forte. Une claque-échantillon qui l’a néanmoins fait sursauter. Une deuxième, presque aussitôt, plus appuyée, plus vigoureuse, lui a arraché un petit cri. Une autre encore. Plus déterminée. Et j’ai poursuivi, méthodiquement, une fesse après l’autre, en alternance. À rythme régulier, soutenu. Elle ponctuait chacun de mes coups d’un ahanement rauque. En cadence. Sous mes doigts, la tendre chair se tapissait, sur toute sa surface, d’un rouge ardent du plus bel effet. Je me suis interrompu, quelques instants, pour contempler amoureusement mon œuvre. J’y ai délicatement posé la main. C’était tout chaud. Brûlant.
– Voilà ce qui arrive, Leslie, quand on refuse obstinément de prendre son travail au sérieux. Qu’on fait preuve de la plus mauvaise volonté du monde.
Elle a frissonné. D’un interminable frisson.
– Je… Je vais faire des efforts. Je vous promets.
– J’espère bien ! Mais il ne s’agit pas seulement de promettre. C’est facile, les promesses. Il faut tenir.
– Je tiendrai.
– Vaudrait mieux pour vous, parce que sinon…Encore une dizaine de claques bien senties. En apothéose. En bouquet final. Pour que ça rentre bien. Elle s’est raidie. A doucement gémi, en arrière-fond.
– Là ! Simple avertissement. Parce que la prochaine fois, si prochaine fois il y a, ce sera beaucoup plus sévère. Et la culotte descendue.

Le lendemain, on n’en a pas reparlé. Sans doute avait-on instinctivement conscience, l’un comme l’autre, que ça aurait tout gâché. Ce n’en était pas moins obstinément là, entre nous, avec nous. Ça s’imposait de toutes ses forces. Ça ne nous a pas, de toute la matinée, laissé le moindre instant de répit. Je la regardais, du coin de l’œil, et j’imaginais. Je la voyais, se précipitant la veille au soir, à peine rentrée, devant une grande glace en pied. Elle avait forcément ça chez elle. Se déshabillant en toute hâte et contemplant, le cœur battant, l’étendue des « dégâts ». Se palpant les fesses, s’attardant aux endroits les plus sensibles, les plus douloureux, ravivant les sensations autant que faire se pouvait. Combien de temps avait-elle passé devant cette glace ? Une heure ? Deux ? Davantage ? Est-ce que c’était là, devant cette glace, que, n’y pouvant plus tenir, elle s’était caressée ? Qu’elle s’était regardée jouir, à longs sanglots hoquetés ? Ou bien plutôt, est-ce qu’elle avait attendu de s’être réfugiée dans son lit pour pouvoir, dans l’obscurité, les yeux clos, revivre encore et encore la scène tout en pianotant tant et plus son plaisir ? Et maintenant ? Le rouge écarlate, sur son derrière, allait virer au violacé par endroits, puis au bleu, au jaune, au noir. Elle allait en suivre de très près, au jour le jour, avec délectation, les métamorphoses. Attendrait-elle que les marques aient complètement disparu pour faire en sorte que je sévisse à nouveau ? Ou bien, au contraire, ne leur laisserait-elle pas le temps de s’estomper ? Une foule d’images et de questions m’ont assailli toute la journée tant et si bien que mon travail en a considérablement pâti. En quantité comme en qualité. Pour le coup, je n’avais rien à lui envier. J’ai intérieurement souri : si elle avait su !

Aglaé voulait qu’on remonte discuter avec Camille.
‒ Encore !
– Ben oui, attends ! On n’a rien pu lui demander de ce qu’on voulait l’autre soir, rapport à Élodie ! Parce que découvrir, comme ça, qu’une nana, elle a une queue, faut le temps de s’en remettre.
– C’est quand même pas si exceptionnel que ça !
– Je sais bien, je suis pas idiote, n’empêche que c’est la première fois que j’en rencontre un en vrai, moi !
– Et, du coup, tu l’as examiné sous toutes les coutures.
– S’il avait pas laissé bâiller sans arrêt son peignoir aussi ! Bon, mais allez ! On y va ? Je voudrais bien en avoir le cœur net.
Il savait pas trop quoi nous dire.
– Non, parce que tu connais Élodie…Il s’adressait à moi.
– Oui. Et alors ?
– Alors elle aime voir, c’est pas un scoop. Elle préfère ça à n’importe quoi d’autre.
– Qu’est-ce tu essaies de nous dire, là ? Qu’elle passe ses soirées à contempler amoureusement la queue d’Ewin ?
– C’est pas ça, non, mais c’est un peu ça quand même.
– C’est-à-dire ? Quand t’auras fini de jouer aux énigmes…– Pour faire bref, disons qu’il y a un club, quelque part, qu’ils fréquentent assidûment tous les deux. Où je les accompagne quelquefois.
– Un truc échangiste ?
– Pas vraiment. C’est plutôt… Bon, je vous explique : c’est un truc avec deux entrées séparées. Une pour les femmes et une pour les hommes. Dans deux rues différentes. À l’intérieur, il y a une cloison, dans laquelle une douzaine de trous ont été percés. Les hommes y introduisent leurs queues. Et, de l’autre côté, les femmes s’amusent avec. Il y en a qui branlent, il y en a qui sucent, il y en a qui se contentent simplement de regarder. Alors vous comprenez bien que, lâchée là-dedans, Élodie, elle sait plus où donner de la tête. C’est pas qu’elle veuille pas venir coucher avec lui ici, c’est que c’est pas sa priorité. C’est que là-bas, au milieu de toutes ces bites dressées, elle est comme un poisson dans l’eau. Il y a plus rien d’autre qui compte. Alors elle retarde, elle diffère. D’autant qu’Ewin, toutes les nanas sont après lui là-dedans, vu comment il est monté. Et il finit sur les rotules.
Ah, ça, elle avait remarqué Aglaé ! Il lui revenait tout chiffonné. Et qui c’est qu’avait eu cette idée lumineuse ? C’était Élodie ou c’était Ewin ?
– Ni l’un ni l’autre, c’est moi ! En fait, c’est un endroit que je fréquentais pas mal à une époque. J’en ai parlé à Élodie. Qui, à son tour, en a parlé à Ewin. Et de fil en aiguille…– Et à moi, elle m’en a pas parlé. J’étais quand même la première concernée, non ?
– C’était bien dans ses intentions. Seulement, elle savait pas trop comment s’y prendre. Parce que c’était pas vraiment ce qu’avait été convenu avec toi. Et elle se demandait comment t’allais le prendre. C’est ton mec…– Oui, oh, mon mec ! C’est UN mec. Avec qui il est, de toute façon, absolument exclu que je fasse ma vie. Avec qui je me paie du bon temps. Point. Un mec que j’adorerais voir s’envoyer en l’air avec Élodie – ou une autre, d’ailleurs – sans qu’il s’en doute, c’est vrai. Mais je bloque pas là-dessus. Je suis ouverte à tout. Du moment que j’y trouve mon compte. Et je dois bien reconnaître que cette histoire de club, là, j’en ai l’eau à la bouche. Et quand je dis à la bouche… Si on y allait ?
– Là ? Maintenant ? Ça va fermer. Il y a les soirées privées qu’attaquent, à neuf heures, le jeudi.
– Demain alors ? Ah, non, zut ! Demain, il part dans le Midi, Ewin. Chez ses parents. Lundi alors ! Sans faute. Tu me promets ?
– Va pour lundi.
– Non, mais vous vous rendez compte, les garçons ? Je vais être là, planquée, à regarder tout un tas de nanas s’occuper goulûment de lui. Ce pied que je vais prendre !
– Surtout que je peux te dire qu’elles y mettent vraiment tout leur cœur. Elles lui font ça comme si leur vie en dépendait.
– C’est vrai que tu peux jouer sur les deux tableaux, toi, petit veinard ! Quoique… T’es quasiment toujours du côté femmes, je suis sûre. Non ? Je me trompe ?
– C’est beaucoup plus intéressant. À tous points de vue.
– Ben, voyons ! Et tu dois pas être le dernier – la dernière – à t’activer sur les bites qui s’offrent à toi.
– Avec modération. Je suis quelqu’un de très sélectif au fond.
– Et mon Ewin ? Il y a attrapé avec toi ?
– J’aurais bien aimé. Mais c’est une véritable foire d’empoigne pour s’approcher de lui. Ça a quand même failli. Deux fois. Et les deux fois ça m’est passé sous le nez. D’un rien. Oh, mais je désespère pas, hein !
– Encore heureux ! Parce que je veux absolument voir ça ! Ewin, se faire sucer par un mec, non, mais alors là ! Et sans s’en douter en plus ! T’en bandes déjà, toi, hein, mon cochon ! Rien qu’à l’idée. Ben si, tu bandes, si ! Faut pas mettre des trucs serrés comme ça si tu veux pas que ça se voie. Bon, mais si vous me donniez un petit avant-goût, les garçons ?
– Un avant-goût de quoi ?
– Fais bien l’idiot ! Toi aussi, tu bandes n’importe comment !
– Ce que femme veut…Je me suis levé. Camille aussi. On s’est enlacés. Nos lèvres se sont jointes, nos bassins pressés l’un contre l’autre. Il m’a posé les mains sur les fesses, me les a malaxées. J’ai fourragé dans son corsage. J’en ai fait surgir un sein dont la pointe a roulé entre mes doigts. Et puis l’autre. En bas, je l’ai mis à découvert. À nu. Ses seins, doucement sollicités. De la main. De la langue. Des dents. Et, en même temps, sa queue, amoureusement cernée. Déployée. Palpitante. Il a libéré la mienne, l’a doucement fait aller et venir.
Aglaé nous a rejoints. Elle était nue. Elle s’est emparée de nous. De nos deux queues orgueilleusement dressées.
– Laissez-moi faire !
Elle les a arrimées l’une à l’autre, doucement lissées, bout contre bout. De plus en plus vite. De plus en plus fort. Camille a respiré plus fort, renversé la tête en arrière.
– Attends ! Attendez !
Elle est descendue. Elle nous a pris en bouche. Tous les deux. En même temps. Nos deux queues bien pressées l’une contre l’autre. Elle a fermé les yeux, nous a enrobés de sa langue, a réuni dans l’une de ses mains nos deux paires de roubignolles qu’elle a voluptueusement pétries. Camille s’est lâché le premier. Ses spasmes de plaisir ont résonné dans ma queue. Elle l’a bu. Et je me suis déversé à mon tour.

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