Les punitions d'Olga T. (2)
Récit érotique écrit par Exorium [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-06-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les punitions d'Olga T. (2)
Elle est restée sage. Très sage. Aussi sage que possible. Trois jours. Quatre. À se contenter d’elle-même. De ses doigts. De ses joujoux. De ses caresses. Et puis, le cinquième jour, c’était un dimanche, elle est descendue à la plage. Elle s’y est offerte au soleil. Et aux regards pleins de convoitise des mâles qui se trouvaient là. Ils passaient. Ils repassaient. Ils s’efforçaient d’attirer son attention. De la retenir. Ils sont venus s’installer tout près. De plus en plus près. Elle les a ignorés. Elle a fait semblant. Bonheur d’être désirée. D’effleurer discrètement du regard des queues qui, sous les maillots, se tendaient obstinément vers elle. Elle a savouré. Longtemps. Et puis elle s’est levée. Envie d’un cornet de glace. Elle a tranquillement chaloupé, en prenant tout son temps, jusqu’à la petite camionnette grise là-bas, en bordure de plage.
Eh, mais c’est qu’il était craquant comme tout, le vendeur ! Un beau mec. La trentaine. Bien bronzé. Bien musclé. Sous les étreintes duquel il devait être si bon de s’abandonner.
Elle l’a voulue à la fraise, sa glace.
- Deux boules !
Deux boules qu’elle s’est mise à lécher voluptueusement, accoudée au comptoir. Il l’a regardée faire. Et il a constaté. Avec un petit sourire gourmand.
- Vous sucez bien, Mademoiselle.
- Il paraît, oui.
Il s’est un peu rapproché.
- Et… vous ne sucez que les glaces ?
Elle ne s’est pas démontée.
- Ça dépend. Faut voir…Lui non plus ne s’est pas démonté.
- Faut voir ? Oh, ben regardez alors !
Elle s’est penchée à l’intérieur.
Il avait baissé son short. Il se l’était sortie. Un beau calibre. Qui pointait résolument vers elle. Qu’il a décalottée à son intention.
- Alors ?
- Alors il devrait y avoir moyen d’en tirer quelque chose, oui.
Il a dégluti.
- Les cabines de bain, là-bas… La troisième. Va m’y attendre. J’arrive.
Et il a baissé en toute hâte le volet de sa camionnette.
Il l’a rejointe. Il a fermé la porte. Fait retomber le loquet. Elle s’est agenouillée. La lui a d’abord longuement modelée à travers le short. Qu’elle a fini par lui faire descendre le long des cuisses. Il a enfoui ses doigts dans ses cheveux. Ses doigts à elle, elle les a refermés sur ses couilles. Qu’elle a enserrées. Malaxées. Elle lui a décalotté la queue.
- Tu sais que t’es pas mal pourvu du tout ? Ça donne envie…Il a approché sa bite de ses lèvres. Les a effleurées avec. Et il a supplié.
- Vas-y ! Vas-y ! Suce-moi !
Elle a relevé la tête.
- T’es bien pressé ! Elle te le fait pas ça, ta copine ? T’en as une au moins ?
Oui, il en avait une, oui ! Seulement…Il en avait une ? Génial ! Elle allait la faire voluptueusement cocue.
- Seulement quoi ?
Il n’a pas répondu. Il s’est fait plus insistant encore contre ses lèvres. Qu’elle a entrouvertes. Il s’est glissé entre elles avec un rugissement de triomphe. Et il s’y est furieusement élancé à la recherche de son plaisir. Il s’est servi d’elle. De sa bouche. Comme d’une chatte. Dans laquelle il est résolument allé et venu. À grands coups de boutoir. Contre ses joues. Contre son palais. Plus loin. Tout en lui pétrissant énergiquement la tête. Il a déchargé très vite. Presque aussitôt. Dans un grand râle. À grandes giclées chaudes. Qu’elle a dégustées jusqu’à la dernière goutte. Il avait bon goût. Très.
Il s’est retiré.
- T’es une sacrée bonne salope, il y a pas à dire…Elle s’est relevée. Et elle est revenue à la charge.
- Elle te le laisse faire, ça, ta copine ?
- Des fois, oui.
- Mais pas très souvent. Pas autant que tu voudrais. Et c’est moins bien qu’avec moi…- Oh, pour ça, oui !
Elle a ri.
- Le cri du cœur… Et qu’est-ce qu’elle te laisse faire d’autre ?
- Des trucs.
- Quoi, comme trucs ? Elle te laisse aller dans son cul ?
Il a soupiré.
- Oh, ça !
- Non, hein ? Et t’en crèves d’envie…Elle lui a pris la main. L’a posée sur son ventre. Juste à la lisière du maillot.
Il s’est empressé de s’engouffrer à l’intérieur. Y a musardé. Et il a constaté.
- Tu te rases la moule. J’adore…Il a poursuivi son exploration.
- Tu mouilles ! Et tu fais pas semblant…Il a introduit un doigt dans sa fente. Un autre.
Il rebandait. Son souffle s’est fait court.
- Déculotte-toi ! Allez ! Déculotte-toi !
Il l’y a aidée.
- Je vais t’enfiler… Comme la bonne petite pute que tu es.
Il l’a prise par le bras.
- Et en levrette. Ce n’en sera que meilleur. Tourne-toi !
Il lui a appuyé sur le dos. L’a fait mettre à quatre pattes.
- Ah, pour te défoncer, je peux te dire que je vais te défoncer.
Et il l’a pénétrée. D’un coup. Il l’a emplie toute.
Elle a gémi.
- Oh, c’est bon ! Que c’est bon !
- Oui, hein !
Et il l’a sauvagement pilonnée.
- Bourre-moi ! Bourre-moi bien !
- Ah, pour ça, tu vas être servie.
À grands coups de reins. À grands coups de queue, ses couilles venant battre, chaque fois, contre ses fesses.
- Tu vas avoir ton compte, ma petite !
Elle l’a eu. Un orgasme qui s’est follement déployé. Qui l’a fait hurler une première fois de bonheur. Une autre.
Elle a imploré.
- Ta semence ! Donne-moi ta semence !
Il la lui a lâchée.
- Merci ! Oh, merci !
Encore une salve de plaisir. Intense. Bruyant. Interminable.
Elle est retombée, anéantie et comblée.
Il s’est reculotté, lui a lancé une petite claque sur les fesses.
- La prochaine fois je te fais le cul.
Et il s’est enfui.
* * *
Quand elle en est à son tour sortie, il y avait trois types, l’air rigolard, aux abords de la cabine. Ils ont sifflé entre leurs dents.
- Tssss… Tssss…Et deux femmes, deux vieilles, qui ont lancé, sur son passage.
- Si c’est pas honteux de voir ça !
Elle les a gratifiées d’un « Jalouses ! » retentissant. Et elle a éclaté de rire.
Harold saurait. Harold saurait forcément.
Eh, mais c’est qu’il était craquant comme tout, le vendeur ! Un beau mec. La trentaine. Bien bronzé. Bien musclé. Sous les étreintes duquel il devait être si bon de s’abandonner.
Elle l’a voulue à la fraise, sa glace.
- Deux boules !
Deux boules qu’elle s’est mise à lécher voluptueusement, accoudée au comptoir. Il l’a regardée faire. Et il a constaté. Avec un petit sourire gourmand.
- Vous sucez bien, Mademoiselle.
- Il paraît, oui.
Il s’est un peu rapproché.
- Et… vous ne sucez que les glaces ?
Elle ne s’est pas démontée.
- Ça dépend. Faut voir…Lui non plus ne s’est pas démonté.
- Faut voir ? Oh, ben regardez alors !
Elle s’est penchée à l’intérieur.
Il avait baissé son short. Il se l’était sortie. Un beau calibre. Qui pointait résolument vers elle. Qu’il a décalottée à son intention.
- Alors ?
- Alors il devrait y avoir moyen d’en tirer quelque chose, oui.
Il a dégluti.
- Les cabines de bain, là-bas… La troisième. Va m’y attendre. J’arrive.
Et il a baissé en toute hâte le volet de sa camionnette.
Il l’a rejointe. Il a fermé la porte. Fait retomber le loquet. Elle s’est agenouillée. La lui a d’abord longuement modelée à travers le short. Qu’elle a fini par lui faire descendre le long des cuisses. Il a enfoui ses doigts dans ses cheveux. Ses doigts à elle, elle les a refermés sur ses couilles. Qu’elle a enserrées. Malaxées. Elle lui a décalotté la queue.
- Tu sais que t’es pas mal pourvu du tout ? Ça donne envie…Il a approché sa bite de ses lèvres. Les a effleurées avec. Et il a supplié.
- Vas-y ! Vas-y ! Suce-moi !
Elle a relevé la tête.
- T’es bien pressé ! Elle te le fait pas ça, ta copine ? T’en as une au moins ?
Oui, il en avait une, oui ! Seulement…Il en avait une ? Génial ! Elle allait la faire voluptueusement cocue.
- Seulement quoi ?
Il n’a pas répondu. Il s’est fait plus insistant encore contre ses lèvres. Qu’elle a entrouvertes. Il s’est glissé entre elles avec un rugissement de triomphe. Et il s’y est furieusement élancé à la recherche de son plaisir. Il s’est servi d’elle. De sa bouche. Comme d’une chatte. Dans laquelle il est résolument allé et venu. À grands coups de boutoir. Contre ses joues. Contre son palais. Plus loin. Tout en lui pétrissant énergiquement la tête. Il a déchargé très vite. Presque aussitôt. Dans un grand râle. À grandes giclées chaudes. Qu’elle a dégustées jusqu’à la dernière goutte. Il avait bon goût. Très.
Il s’est retiré.
- T’es une sacrée bonne salope, il y a pas à dire…Elle s’est relevée. Et elle est revenue à la charge.
- Elle te le laisse faire, ça, ta copine ?
- Des fois, oui.
- Mais pas très souvent. Pas autant que tu voudrais. Et c’est moins bien qu’avec moi…- Oh, pour ça, oui !
Elle a ri.
- Le cri du cœur… Et qu’est-ce qu’elle te laisse faire d’autre ?
- Des trucs.
- Quoi, comme trucs ? Elle te laisse aller dans son cul ?
Il a soupiré.
- Oh, ça !
- Non, hein ? Et t’en crèves d’envie…Elle lui a pris la main. L’a posée sur son ventre. Juste à la lisière du maillot.
Il s’est empressé de s’engouffrer à l’intérieur. Y a musardé. Et il a constaté.
- Tu te rases la moule. J’adore…Il a poursuivi son exploration.
- Tu mouilles ! Et tu fais pas semblant…Il a introduit un doigt dans sa fente. Un autre.
Il rebandait. Son souffle s’est fait court.
- Déculotte-toi ! Allez ! Déculotte-toi !
Il l’y a aidée.
- Je vais t’enfiler… Comme la bonne petite pute que tu es.
Il l’a prise par le bras.
- Et en levrette. Ce n’en sera que meilleur. Tourne-toi !
Il lui a appuyé sur le dos. L’a fait mettre à quatre pattes.
- Ah, pour te défoncer, je peux te dire que je vais te défoncer.
Et il l’a pénétrée. D’un coup. Il l’a emplie toute.
Elle a gémi.
- Oh, c’est bon ! Que c’est bon !
- Oui, hein !
Et il l’a sauvagement pilonnée.
- Bourre-moi ! Bourre-moi bien !
- Ah, pour ça, tu vas être servie.
À grands coups de reins. À grands coups de queue, ses couilles venant battre, chaque fois, contre ses fesses.
- Tu vas avoir ton compte, ma petite !
Elle l’a eu. Un orgasme qui s’est follement déployé. Qui l’a fait hurler une première fois de bonheur. Une autre.
Elle a imploré.
- Ta semence ! Donne-moi ta semence !
Il la lui a lâchée.
- Merci ! Oh, merci !
Encore une salve de plaisir. Intense. Bruyant. Interminable.
Elle est retombée, anéantie et comblée.
Il s’est reculotté, lui a lancé une petite claque sur les fesses.
- La prochaine fois je te fais le cul.
Et il s’est enfui.
* * *
Quand elle en est à son tour sortie, il y avait trois types, l’air rigolard, aux abords de la cabine. Ils ont sifflé entre leurs dents.
- Tssss… Tssss…Et deux femmes, deux vieilles, qui ont lancé, sur son passage.
- Si c’est pas honteux de voir ça !
Elle les a gratifiées d’un « Jalouses ! » retentissant. Et elle a éclaté de rire.
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