Coéquipier
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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J'avais intégré cette entreprise seulement quelques semaines plus tôt, on venait de me mettre en équipe avec Titou, un mec sympa, mais tout le monde rigolait quand je racontais ça.
J'ai pas compris tout de suite compris.
– Tu sais, Titou c'est un branleur ! Me lançais un jour mon collègue Jeanjean.
C'est avec lui que j'avais passé ces premières semaines. L'ambiance dans la boite était plutôt cool, les mecs s'entendaient bien entre eux. Mais à chaque fois que je parlais de Titou, tout le monde rigolait.
On travaillait en équipe de deux, enfin pour les petits chantiers. Il y avait toujours un ouvrier expérimenté, moi j'étais le petit nouveau. J'avais été formé dans une autre entreprise, je n'étais pas le seul à avoir été formé chez cet artisan concurrent, même si le mot concurrent était un mot un peu excessif, notre patron et lui étaient de vieux amis, de longue date.
Nous partions donc vers notre premier client de la journée, il n'y avait qu'un problème de plomberie, et il ne nous a pas fallu la matinée pour le régler et le client était tout content quand on est reparti.
Titou nous conduisait alors dans un parking tranquille pour la pause.
– Dis moi Charly, tu es marié ? Me demandait-il.
– Moi non ! Et toi ?
– Moi oui mais c'est pas ça tous les jours, le grand jour.
Je le regardais sans trop comprendre. Il reprenait.
– Avec bobonne, je veux dire.
– Avec bobonne ! Répétais-je bêtement.
– Et toi alors tu fais comment ?
– Heu ! Répondais-je, je ne comprenais réellement pas ce qu'il me racontait.
– Bein pour te vider les couilles quoi !
– Pour me vider les couilles ?
– On est des mecs, on a tous les même besoins, et quand bobonne ne veut pas … Bééééh … On se branle ?
– Ah oui ! Répondais-je.
– Tu es cool toi au moins, c'est pas comme René, il m'a fait toute une histoire, mais enfin quoi, on est des mecs …
Je n'avais pas tout compris mais à partir de ce moment tout se mettait en place dans ma tête. Quand il avait dit ' On se branle ?', c'était bien une question, je pourrais même dire une proposition. Il avait pensé que j'acquiesçais quand je lui avait répondu ' Ah oui !'.
comme quoi un quiproquo ne tient vraiment à pas grand chose.
Il ouvrait sa braguette et en ressortait sa queue.
Il était bien monté, il avait une belle carrure mais ça je l'avais déjà remarqué, il avait aussi une bonne tête, une beau mec quoi mais avec la queue en plus, là il était super beau mec.
Il était circoncis, il avait un beau gland bien lisse, bien rose, et bien sec. Suivait sa queue, aussitôt après le gland elle était un peu moins large puis devenait plus grosse, c'est au milieu de sa longueur qu'elle était le plus large et redevenait un tout petit peu plus mince vers sa base.
C'était un gros morceau qui se redressait entre ses cuisses, ça faisait envie. Enfin à moi, ça me faisait envie. Il commençait à se masturber.
– Avec toi c'est cool, on te demande et tu es tout de suite d'accord. Me disait-il. Mais ne reste pas comme ça, vas y toi aussi.
Je ne réagissais pas, je le regardais.
– Ne t'inquiète pas, si tu es plus petit, tout le monde me dit que j'en ai une grosse, alors …
Il en avait une grosse en effet, je la voyais se dresser, elle devait faire plus de vingt centimètres, et au plus large devait dépasser les six centimètres de diamètres. J'étais subjugué par ce membre viril d'une très grande beauté. Tout de suite je me l'imaginais glisser dans mon cul. Ça devait être bon, surtout au moment ou elle entrait à plus de la moitié de sa longueur.
Surtout là ou elle était au plus large. J'avalais ma salive.
Je voyais sa main qui glissait sur sa queue, il la massait, avec son pouce il se massait le gland. Je connais bien cette sensation, avec un gland sec c'est un plaisir particulier, il faut y aller avec beaucoup de douceur mais c'est jouissif. Il contrôlait la situation et ne semblait pas pressé de jouir, il savait prendre son temps.
Ou nous étions, personne ne pouvait nous voir, je jetais un regard circulaire pour m'assurer qu'on était et qu'on resterait tranquille. Il respirait fort.
C'est alors que sans prévenir je me penchais vers lui. Il n'a pas réagi tout de suite, il ne m'a pas vu venir. Il a retiré son pouce, je passais ma langue sur son gland, il a retiré sa main.
– Ah oué ! C'est pas à ça que je pensais mais c'est bien aussi.
Il posait alors une main sur ma tête mais sans appuyer, il me caressait les cheveux avec douceur. Je me penchais un peu plus et sa queue entrait dans ma bouche jusqu'au fond de ma gorge.
Je ne vous ai peut pas dit mais j'ai une certaine habitude …
Je lui caressait la queue sur toute sa longueur avec ma langue quand elle s'enfonçait puis quand elle ressortait j'insistais lourdement sur son gland. Là je l'entendais gémir. Il aimait, ça ne faisait aucun doute. Je continuais.
Tout se passait en douceur, tous nous mouvements étaient lents et calmes mais devenaient peu à peu un peu plus rapides. Il m'appuyait sur la tête, sans forcer, c'était juste pour m'encourager. Si je résistais il n'insistait pas. J'aime bien cette manière d'agir.
Sa queue était vraiment belle, braiment bonne et c'est dans le cul que je rêvais maintenant de me la prendre bien à fond. J'avais l'impression de mouiller, mais ne nous méprenons pas, c'était juste un désir.
Je ne me laissais pas distraire, je continuais et sans vraiment que je ne m'en rende compte, mes mouvements devenaient plus rapide, ou alors c'étaient les siens. Il soulevait son bassin par a-coups, sans prévenir, un peu comme si ça lui échappait. Moi j'encaissais.
Ses coups devenaient plus fréquents, plus violents et maintenant il me retenait la tête avec un peu plus de force, avec vraiment plus de force. Il fallait que je force pour qu'il me lâche quand je voulais vraiment relever la tête. Il aimait vraiment, mais je replongeais la tête après avoir repris ma respiration. Il appuyait alors sa main avec force. J'avalais sa queue bien à fond. Je la sentais s'écraser au fond de ma gorge.
Il gémissait de plaisir.
– Alors là tu m'épates. Me disait-il. Je m'étais déjà branlé avec mes collègues mais là, c'est mieux, c'est bien mieux.
Je relevais la tête avec force, il me laissait quelques secondes puis appuyais sur ma tête, je me laissais faire. Les coups qu'il donnait en relevant son bassin devenaient maintenant vraiment fort mais j'assurais, j'encaissais sans faiblir. Il prenait son pied et moi je me régalais.
Des queues j'en ai vu, mais des comme ça, il faut bien dire que c'est pas tous les jours.
Je relevais la tête et me redressais en continuant à le masturber. Je voyais le plaisir dans ses yeux. Il ne jouissais pas mais il éprouvait beaucoup de plaisir, là on ne fait pas semblant.
Il me regardait puis se penchant vers moi, il me donnait un baiser passionné.
– Tu sais que tu es mieux que ma femme toi, elle ne veux jamais me faire ça.
– Oh tu sais les filles, et de toutes façons elles ne savent pas faire !
Il me souriait et je replongeais, de nouveau je prenais sa queue entièrement dans la bouche, il me donnait des coups de bassins, des coups de bite dans la gorge avec force. Là il se lâchait, ses coups devenaient violents.
Il me retenait avec force et là ne me laissait pas me redresser.
Sa queue entrait et ressortait très vite, je ne contrôlais plus rien. Mais c'était bon, c'était tellement bon que je me cramponnais, je ne voulais pas lâcher même si c'était dur à ce moment.
Je glissais ma main et lui tripotait les couilles, là aussi il aimait, il ne se calmais pas, j'en prenais plein la gueule, pardon je voulais dire la bouche. Il me baisait littéralement par la bouche. Mon plaisir ne comptait plus, il ne pensait plus qu'à son propre plaisir, le reste ne comptait pas, ne comptait plus.
Il gémissait fort, je devinais qu'il devait faire une grimace à entendre les bruits qu'ils faisait. Puis sans prévenir il a éjaculé dans ma gorge. Une fois, puis une seconde fois, la troisième c'était dans la bouche mais la quatrième dans ma gorge, directement dans ma gorge, il continuait à me limer la bouche tout en éjaculant.
Là moi je suçais tout ce que je pouvais, je ne voulais rien perdre.
Il appuyait sur ma tête très fort et sa queue qui lentement reprenait des proportions plus modestes. Je me retrouvais avec une grosse molle dans la bouche. Je continuais à sucer, je ne voulais rien perdre comme je vous disais.
Puis doucement je me retirais, encore quelques coups de langue et c'est une grosse molle toujours très belle taille que je laissais. Elle était mouillée mais c'est tout, je n'avais rien perdu.
Maintenant son gland était mouillé mais c'est à peu près tout ce qui avait changé.
– Et si on allait manger quelque chose ? Me lançait-il.
Il remballait tout, il n'y avait plus aucune trace de notre petit moment de délire. Je sentais encore le goût de son sperme dans ma bouche. Il était bon. Je m'essuyais la figure.
Il me regardait avec un large sourire satisfait et mettait le moteur en marche.
On démarrait, il avait pris son plaisir et ne s'inquiétait pas du tout du mien , les mecs vous savez une fois qu'ils ont pris leur plaisir … Enfin toutes les femmes le savent !
Il avait l'air content de lui. Je savais qu'il avait pris du plaisir, je connaissais désormais le goût de son plaisir et j'avais moi aussi aimé, sa queue était une merveille et je me disais que je ne tarderais pas à criser si je ne me la prenais pas dans le cul rapidement.
Je le regardais conduire, il avait un large sourire, il était content.
– Viens c'est moi qui t'invite ! Me disait-il.
Je pouffais de rire, le repas était payé par notre entreprise. Mais il était content et je ne voulais pas lui gâcher son plaisir en le lui faisant remarquer.
– Un de ces jours il faudra que je te pète le cul à toi ! Me déclarait-il en me lançant un regard un rien vicieux.
Je lui répondais par un large sourire, moi aussi j'étais content de cette promesse !
Fin
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
J'avais intégré cette entreprise seulement quelques semaines plus tôt, on venait de me mettre en équipe avec Titou, un mec sympa, mais tout le monde rigolait quand je racontais ça.
J'ai pas compris tout de suite compris.
– Tu sais, Titou c'est un branleur ! Me lançais un jour mon collègue Jeanjean.
C'est avec lui que j'avais passé ces premières semaines. L'ambiance dans la boite était plutôt cool, les mecs s'entendaient bien entre eux. Mais à chaque fois que je parlais de Titou, tout le monde rigolait.
On travaillait en équipe de deux, enfin pour les petits chantiers. Il y avait toujours un ouvrier expérimenté, moi j'étais le petit nouveau. J'avais été formé dans une autre entreprise, je n'étais pas le seul à avoir été formé chez cet artisan concurrent, même si le mot concurrent était un mot un peu excessif, notre patron et lui étaient de vieux amis, de longue date.
Nous partions donc vers notre premier client de la journée, il n'y avait qu'un problème de plomberie, et il ne nous a pas fallu la matinée pour le régler et le client était tout content quand on est reparti.
Titou nous conduisait alors dans un parking tranquille pour la pause.
– Dis moi Charly, tu es marié ? Me demandait-il.
– Moi non ! Et toi ?
– Moi oui mais c'est pas ça tous les jours, le grand jour.
Je le regardais sans trop comprendre. Il reprenait.
– Avec bobonne, je veux dire.
– Avec bobonne ! Répétais-je bêtement.
– Et toi alors tu fais comment ?
– Heu ! Répondais-je, je ne comprenais réellement pas ce qu'il me racontait.
– Bein pour te vider les couilles quoi !
– Pour me vider les couilles ?
– On est des mecs, on a tous les même besoins, et quand bobonne ne veut pas … Bééééh … On se branle ?
– Ah oui ! Répondais-je.
– Tu es cool toi au moins, c'est pas comme René, il m'a fait toute une histoire, mais enfin quoi, on est des mecs …
Je n'avais pas tout compris mais à partir de ce moment tout se mettait en place dans ma tête. Quand il avait dit ' On se branle ?', c'était bien une question, je pourrais même dire une proposition. Il avait pensé que j'acquiesçais quand je lui avait répondu ' Ah oui !'.
comme quoi un quiproquo ne tient vraiment à pas grand chose.
Il ouvrait sa braguette et en ressortait sa queue.
Il était bien monté, il avait une belle carrure mais ça je l'avais déjà remarqué, il avait aussi une bonne tête, une beau mec quoi mais avec la queue en plus, là il était super beau mec.
Il était circoncis, il avait un beau gland bien lisse, bien rose, et bien sec. Suivait sa queue, aussitôt après le gland elle était un peu moins large puis devenait plus grosse, c'est au milieu de sa longueur qu'elle était le plus large et redevenait un tout petit peu plus mince vers sa base.
C'était un gros morceau qui se redressait entre ses cuisses, ça faisait envie. Enfin à moi, ça me faisait envie. Il commençait à se masturber.
– Avec toi c'est cool, on te demande et tu es tout de suite d'accord. Me disait-il. Mais ne reste pas comme ça, vas y toi aussi.
Je ne réagissais pas, je le regardais.
– Ne t'inquiète pas, si tu es plus petit, tout le monde me dit que j'en ai une grosse, alors …
Il en avait une grosse en effet, je la voyais se dresser, elle devait faire plus de vingt centimètres, et au plus large devait dépasser les six centimètres de diamètres. J'étais subjugué par ce membre viril d'une très grande beauté. Tout de suite je me l'imaginais glisser dans mon cul. Ça devait être bon, surtout au moment ou elle entrait à plus de la moitié de sa longueur.
Surtout là ou elle était au plus large. J'avalais ma salive.
Je voyais sa main qui glissait sur sa queue, il la massait, avec son pouce il se massait le gland. Je connais bien cette sensation, avec un gland sec c'est un plaisir particulier, il faut y aller avec beaucoup de douceur mais c'est jouissif. Il contrôlait la situation et ne semblait pas pressé de jouir, il savait prendre son temps.
Ou nous étions, personne ne pouvait nous voir, je jetais un regard circulaire pour m'assurer qu'on était et qu'on resterait tranquille. Il respirait fort.
C'est alors que sans prévenir je me penchais vers lui. Il n'a pas réagi tout de suite, il ne m'a pas vu venir. Il a retiré son pouce, je passais ma langue sur son gland, il a retiré sa main.
– Ah oué ! C'est pas à ça que je pensais mais c'est bien aussi.
Il posait alors une main sur ma tête mais sans appuyer, il me caressait les cheveux avec douceur. Je me penchais un peu plus et sa queue entrait dans ma bouche jusqu'au fond de ma gorge.
Je ne vous ai peut pas dit mais j'ai une certaine habitude …
Je lui caressait la queue sur toute sa longueur avec ma langue quand elle s'enfonçait puis quand elle ressortait j'insistais lourdement sur son gland. Là je l'entendais gémir. Il aimait, ça ne faisait aucun doute. Je continuais.
Tout se passait en douceur, tous nous mouvements étaient lents et calmes mais devenaient peu à peu un peu plus rapides. Il m'appuyait sur la tête, sans forcer, c'était juste pour m'encourager. Si je résistais il n'insistait pas. J'aime bien cette manière d'agir.
Sa queue était vraiment belle, braiment bonne et c'est dans le cul que je rêvais maintenant de me la prendre bien à fond. J'avais l'impression de mouiller, mais ne nous méprenons pas, c'était juste un désir.
Je ne me laissais pas distraire, je continuais et sans vraiment que je ne m'en rende compte, mes mouvements devenaient plus rapide, ou alors c'étaient les siens. Il soulevait son bassin par a-coups, sans prévenir, un peu comme si ça lui échappait. Moi j'encaissais.
Ses coups devenaient plus fréquents, plus violents et maintenant il me retenait la tête avec un peu plus de force, avec vraiment plus de force. Il fallait que je force pour qu'il me lâche quand je voulais vraiment relever la tête. Il aimait vraiment, mais je replongeais la tête après avoir repris ma respiration. Il appuyait alors sa main avec force. J'avalais sa queue bien à fond. Je la sentais s'écraser au fond de ma gorge.
Il gémissait de plaisir.
– Alors là tu m'épates. Me disait-il. Je m'étais déjà branlé avec mes collègues mais là, c'est mieux, c'est bien mieux.
Je relevais la tête avec force, il me laissait quelques secondes puis appuyais sur ma tête, je me laissais faire. Les coups qu'il donnait en relevant son bassin devenaient maintenant vraiment fort mais j'assurais, j'encaissais sans faiblir. Il prenait son pied et moi je me régalais.
Des queues j'en ai vu, mais des comme ça, il faut bien dire que c'est pas tous les jours.
Je relevais la tête et me redressais en continuant à le masturber. Je voyais le plaisir dans ses yeux. Il ne jouissais pas mais il éprouvait beaucoup de plaisir, là on ne fait pas semblant.
Il me regardait puis se penchant vers moi, il me donnait un baiser passionné.
– Tu sais que tu es mieux que ma femme toi, elle ne veux jamais me faire ça.
– Oh tu sais les filles, et de toutes façons elles ne savent pas faire !
Il me souriait et je replongeais, de nouveau je prenais sa queue entièrement dans la bouche, il me donnait des coups de bassins, des coups de bite dans la gorge avec force. Là il se lâchait, ses coups devenaient violents.
Il me retenait avec force et là ne me laissait pas me redresser.
Sa queue entrait et ressortait très vite, je ne contrôlais plus rien. Mais c'était bon, c'était tellement bon que je me cramponnais, je ne voulais pas lâcher même si c'était dur à ce moment.
Je glissais ma main et lui tripotait les couilles, là aussi il aimait, il ne se calmais pas, j'en prenais plein la gueule, pardon je voulais dire la bouche. Il me baisait littéralement par la bouche. Mon plaisir ne comptait plus, il ne pensait plus qu'à son propre plaisir, le reste ne comptait pas, ne comptait plus.
Il gémissait fort, je devinais qu'il devait faire une grimace à entendre les bruits qu'ils faisait. Puis sans prévenir il a éjaculé dans ma gorge. Une fois, puis une seconde fois, la troisième c'était dans la bouche mais la quatrième dans ma gorge, directement dans ma gorge, il continuait à me limer la bouche tout en éjaculant.
Là moi je suçais tout ce que je pouvais, je ne voulais rien perdre.
Il appuyait sur ma tête très fort et sa queue qui lentement reprenait des proportions plus modestes. Je me retrouvais avec une grosse molle dans la bouche. Je continuais à sucer, je ne voulais rien perdre comme je vous disais.
Puis doucement je me retirais, encore quelques coups de langue et c'est une grosse molle toujours très belle taille que je laissais. Elle était mouillée mais c'est tout, je n'avais rien perdu.
Maintenant son gland était mouillé mais c'est à peu près tout ce qui avait changé.
– Et si on allait manger quelque chose ? Me lançait-il.
Il remballait tout, il n'y avait plus aucune trace de notre petit moment de délire. Je sentais encore le goût de son sperme dans ma bouche. Il était bon. Je m'essuyais la figure.
Il me regardait avec un large sourire satisfait et mettait le moteur en marche.
On démarrait, il avait pris son plaisir et ne s'inquiétait pas du tout du mien , les mecs vous savez une fois qu'ils ont pris leur plaisir … Enfin toutes les femmes le savent !
Il avait l'air content de lui. Je savais qu'il avait pris du plaisir, je connaissais désormais le goût de son plaisir et j'avais moi aussi aimé, sa queue était une merveille et je me disais que je ne tarderais pas à criser si je ne me la prenais pas dans le cul rapidement.
Je le regardais conduire, il avait un large sourire, il était content.
– Viens c'est moi qui t'invite ! Me disait-il.
Je pouffais de rire, le repas était payé par notre entreprise. Mais il était content et je ne voulais pas lui gâcher son plaisir en le lui faisant remarquer.
– Un de ces jours il faudra que je te pète le cul à toi ! Me déclarait-il en me lançant un regard un rien vicieux.
Je lui répondais par un large sourire, moi aussi j'étais content de cette promesse !
Fin
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
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