Coloc Ep01 Un appartement somptueux
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Coloc Ep01 Un appartement somptueux
Coloc Ep01
Un appartement somptueux
Et quand je dis somptueux, c'est rien de le dire. Huit chambres, quatre salles d'eau dont une grande avec baignoire. Un salon grand comme un terrain d'atterrissage ( bon là j'exagère un peu … ) une cuisine moderne et suffisante pour nourrir la moitié du stade de France ( bon là aussi j'exagère un peu ), une grande terrasse sans vis à vis.
C'est ainsi qu'on m'avait présenté le truc. Et le gars n'avait pas vraiment exagéré lui au moins.
Ça s'était fait d'une manière un peu étrange, j'avais lu une petite annonce, ça semblait trop beau. C'est simple, on me proposait de payer en nature !
Le mec que j'avais rencontré était beau comme un dieu. Il m'expliquait qu'ils seraient six dans l'appartement et qu'ils voulaient pouvoir baiser tranquillement, ils recherchaient deux vides couilles.
C'était dit d'une manière crue et directe mais voilà c'était tentant, et le '' tentant '' était terriblement beau comme je vous disais. Je me laissais tenter !
Ils seraient six, ils n'avaient pas encore trouvé de locataire, enfin les vides couilles je veux dire. Je connaissais le gars qui m'avait contacté, enfin je l'avais déjà vu et j'avais déjà rêvé de le connaître de plus près, plus intimement, et c'est ce qu'il me proposait. Ça s'était fait tout à fait par hasard dans un bar privé.
Lui aussi m'avait déjà remarqué et il m'avait abordé d'une manière un peu cavalière.
– On m'a dit que tu aimais bien de faire défoncer le cul ? Me demandait-il.
J'avais dit cavalière, j'aurais peut être du dire, directe. Simplement directe. Et peut être pas aussi par hasard que je le pensais en fait …
– Tu veux me … Lui répondais-je.
– Pas que moi ! Me répondait-il.
Dans l'après midi je me retrouvais chez lui et je pouvais voir qu'il n'avait pas exagéré dans la description de l'appartement. Rapidement je me disais que je ne n'aurais plus besoin de sortir pour me trouver quelqu'un avec une grosse bite.
Bein oui quoi, j'aime bien les grosse bites et surtout j'aime bien me les prendre dans le cul. Là on me faisait une proposition très honnête. Je n'aurais qu'à me faire défoncer le cul que, seulement, uniquement, au maximum deux fois par jours. Si j'en voulais plus, ce serait à moi de voir …
j'y croyais pas !
Les chambres étaient spacieuses et très confortable, c'était moderne. Il y avait une télé grande comme un écran de cinéma. Enfin en un mot, c'était trop beau. Luidji me faisait visiter, Luidji c'était le gars qui m'avait contacté.
On se retrouvait au salon, le canapé était terriblement confortable, c'est simple, assis on était plus détendu que sur mon lit dans ma chambre d'étudiant. On discutait quand Roméo, Francis, et Raphaël débarquaient, je ne reconnaissais que Francis, je l'avais déjà vu à plusieurs reprises. Il était sexy lui aussi, les trois autres me faisaient bander.
Je ne vous cacherais pas que là mon cul frétillait de penser que ces quatre gaillards allaient abuser de moi. Ils s'installaient avec nous et on continuait à discuter. On enfilait quelques bières et brusquement Luidji se relevait …
– Bon, si on faisait plus ample connaissance !
Et sans attendre, il commençait à retirer ses vêtements. J'étais tétanisé, je le regardais sans savoir comment réagir. Je ne remarquais même pas tout de suite que les trois autres faisaient pareil. Je ne l'ai remarqué que quand Roméo, qui lui aussi se déshabillait s'exprimait.
– Tu sais Charly, ici on a le droit de se balader à poil !
Quelques instants plus tard je me retrouvais avec les quatre lascars entièrement nus devant moi. Ils avaient tous les trois une belle grosse queue qui se balançait lourdement à chacun de leurs mouvement. La je parle des trois autres.
J'avais l'impression que je rêvais, ils étaient quatre, pour moi tout seul. Bon c'est beaucoup mais pour une fois, je peux bien faire un effort. Et puis ça va me changer.
Du regard je parcourais ce que j'avais sous les yeux, les corps nus, les bites énormes, les corps nus ( oui bon ça je l'ai déjà dit ) oui mais c'est que je les regardais plutôt deux fois qu'une, et comme ils étaient quatre ça prenait plus de temps.
Je les voyais, ils rigolaient à moitié, c'est Roméo, je crois, qui s'approchait de moi. Il me mettait sa queue sous le nez, j'étais toujours assis sur le canapé, je n'avais pas bougé et j'étais toujours entièrement habillé. Il avait une très belle queue, elle pendait juste devant mon visage et prenait du volume.
Je tendais la langue, et lui caressais le bout de son gland, puis j'ouvrais la bouche largement, j'aspirais et comme une nouille, une grosse nouille d'accord mais une nouille tout de même, elle glissait dans ma bouche. Je la sentais qui prenait plus de place, là il bandait.
Rapidement elle prenait toute la place, il passait sa main derrière ma tête et me retenait contre lui. Il poussait, il avançait son bassin avec régularité, avec sa main il me tirait quand il avançait son bassin. Il me tirait même très fort quand il poussait fort sa queue dans ma gorge.
Il s'amusait, je ne dis pas que moi je ne me m'amusais pas mais c'était pas pareil. J'avais du mal à respirer, pas lui. Je ne pouvais pas parler, lui si. Puis il s'énervait, il se retirait et revenait en force et me tirait la tête vers lui et de nouveau sa queue s'enfonçait jusque dans ma gorge.
– Il est bon ! S'exclamait-il. Tiens vas y essaye ! Disait-il à un de ses camarade qui prenait sa place, je ne sais plus lequel c'était, j'ai pas vu.
C'est une nouvelle grosse queue qui glissait jusque dans ma gorge. Elle n'était pas moins grosse que la première. Je sentais les deux autre qui me prenaient la main et plaçaient leurs queues dans mes mains. Je me laissais aller à les tripoter, c'étaient là encore deux grosses queues. Ils étaient bien montés tous les quatre, un instant je me suis demandé si les deux autres seraient eux aussi bien montés.
Puis je ne pensais plus à rien. Je suçais une grosse queue comme je pouvais. Elle était grosse, très grosse. Celles que j'avais dans les mains aussi. Puis tout le monde m'a lâché. Ils m'ont alors empoigné par les bras, relevé et ouvert ma chemise. Un ouvrait mon ceinturon avant de me baisser mon pantalon. Rapidement et sans ménagement ils me retiraient tous mes vêtements, je ne comprenait plus ce qui se passait mais je laissais faire.
On me caressait, on me tripotait, des mains glissaient un peu partout sur mon corps, sur mes couilles, sur mes fesses, sur mon visage, dans ma bouche, un doigt se glissait dans mon cul avec force. Puis on me reposait sur le tapis, à quatre patte, sur les genoux. Un d'entre eux me saisissait la tête et m'enfonçait sa queue dans la gorge, un autre le caressait les fesses et me glissait plusieurs doigts dans le cul. Je sentais une sorte de liquide froid, il me lubrifiait et ça glissait tout seul.
Il me glissait au moins deux doigts, c'était sans aucune résistance, ça glissait et je trouvais ça très agréable. J'avais toujours un peu peur, il en avait une grosse, ils en avaient tous une grosse et je me demandais en m'inquiétant un peu s'il serait tendre ou violent. Il avait ce qu'il faut pour faire mal.
Par moment j'avais du mal à respirer. Il me massait la prostate, et rapidement ça devenait très agréable.
– On le retourne ! Déclarait un d'entre eux. Je ne sais plus lequel.
A partir de ce moment je ne savais plus qui faisait quoi. On me saisissait, on me soulevait, on me retournait et on me reposait de nouveau sur le tapis, il était très épais et très confortable.
Deux mains me saisissaient les chevilles et me repliaient les jambes, les genoux sur les côtes. En même temps je sentais une pression sur mon anus. La pression augmentait et mon cul ne résistait pas bien longtemps, je le sentais se dilater et lâcher contre la poussée. Il se dilatait et je gémissais de plaisir.
– Mais c'est qu'il encaisse bien ! Déclarait un des garçons.
Ensuite il poussait bien plus fort, je sentais mon anus se dilater et se remplir. Une masse énorme glissait en moi. C'était incroyablement bon. Je vous rassure, ce n'était pas la première fois qu'on m'enculait.
Je ne parvenais pas à voir qui faisait quoi, j'avais une queue que je tripotais dans chaque main. Elles étaient fermes et massives et j'avais les couilles du dernier sur les yeux. Je voyais rien mais je voyais bien qu'il se masturbait, enfin quand je dis, je voyais, c'est une manière de parler.
Il me caressait doucement la joue en me disant.
– Vas y tourne la tête complètement.
Je m'exécutais et aussitôt après il m'enfonçait sa queue dans la gorge.
L'autre me burinait le cul, il se retirait lentement avec des mouvements amples et longs. Il se retirait puis revenait lentement. Il ne forçait pas, il y avait ce qu'il fallait pour que ça glisse. Et ça glissait, le plaisir montait, il accélérait ses mouvements devenaient rapides. Le plaisir continuait à monter.
Il continuait ainsi pendant un long moment, et je ne sais pas qui finissait par s'amuser avec mes couilles et ma queue. Je ne sais pas lequel me masturbait. Lui aussi il mettait du gel et sa main glissait avec autant de douceur que de force. Il s'attardait sur mon gland en refermant sa main très fort, mais ça glissait tout de même le plaisir augmentait encore.
J'avais la bouche pleine et je ne pouvais pas vraiment gémir mais je pence qu'ils surveillaient mes réaction et que rien ne leur échappait.
Dans mon cul c'était chaud. Un plaisir qui venait de ma prostate envahissait tout mon corps, il rayonnait jusque dans mes membre, et mes bras et mes jambes tremblaient, c'était presque des convulsion.
Les mouvement dans mon cul devenaient violents, on me défonçait le cul rapidement, avec violence et avec force. Son ventre frappait contre mes fesses avec tellement de force que le son raisonnait dans toute la pièce et si je manquais d'air ce n'est pas seulement à cause de la queue qui glissait dans ma bouche jusqu'à ma gorge.
Quelques coups de bite dans le cul particulièrement violents me laissait supposer que le gars jutait et que ça allait se finir. Là il m'a fait un peu mal, mais en effet, après il ne bougeait plus et se retirait.
Ses camarades me laissaient également, je me retrouvais allongé sur le dos au milieu de la pièce.
– On fait une petite pause ! Déclarait un des mecs, ça y était j'avais oublié leurs noms.
Un d'entre eux partait chercher quelques bières, le gars qui m'avait généreusement enculé m'invitait à me ' rafraîchir le cul '. C'était une bonne idée, il en profitait pour me demander ce que je pensais de la soirée.
– Alors, cette proposition t'intéresse ?
Je lui confirmais en hochant la tête de haut en bas avec un sourire un peu idiot comme je pouvais le voir dans le miroir. Quand on revenait deux bières nous attendaient.
On s'est installé, certains sur un fauteuil, d'autre sur le tapis et on discutait, on apprenait à se connaître.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Un appartement somptueux
Et quand je dis somptueux, c'est rien de le dire. Huit chambres, quatre salles d'eau dont une grande avec baignoire. Un salon grand comme un terrain d'atterrissage ( bon là j'exagère un peu … ) une cuisine moderne et suffisante pour nourrir la moitié du stade de France ( bon là aussi j'exagère un peu ), une grande terrasse sans vis à vis.
C'est ainsi qu'on m'avait présenté le truc. Et le gars n'avait pas vraiment exagéré lui au moins.
Ça s'était fait d'une manière un peu étrange, j'avais lu une petite annonce, ça semblait trop beau. C'est simple, on me proposait de payer en nature !
Le mec que j'avais rencontré était beau comme un dieu. Il m'expliquait qu'ils seraient six dans l'appartement et qu'ils voulaient pouvoir baiser tranquillement, ils recherchaient deux vides couilles.
C'était dit d'une manière crue et directe mais voilà c'était tentant, et le '' tentant '' était terriblement beau comme je vous disais. Je me laissais tenter !
Ils seraient six, ils n'avaient pas encore trouvé de locataire, enfin les vides couilles je veux dire. Je connaissais le gars qui m'avait contacté, enfin je l'avais déjà vu et j'avais déjà rêvé de le connaître de plus près, plus intimement, et c'est ce qu'il me proposait. Ça s'était fait tout à fait par hasard dans un bar privé.
Lui aussi m'avait déjà remarqué et il m'avait abordé d'une manière un peu cavalière.
– On m'a dit que tu aimais bien de faire défoncer le cul ? Me demandait-il.
J'avais dit cavalière, j'aurais peut être du dire, directe. Simplement directe. Et peut être pas aussi par hasard que je le pensais en fait …
– Tu veux me … Lui répondais-je.
– Pas que moi ! Me répondait-il.
Dans l'après midi je me retrouvais chez lui et je pouvais voir qu'il n'avait pas exagéré dans la description de l'appartement. Rapidement je me disais que je ne n'aurais plus besoin de sortir pour me trouver quelqu'un avec une grosse bite.
Bein oui quoi, j'aime bien les grosse bites et surtout j'aime bien me les prendre dans le cul. Là on me faisait une proposition très honnête. Je n'aurais qu'à me faire défoncer le cul que, seulement, uniquement, au maximum deux fois par jours. Si j'en voulais plus, ce serait à moi de voir …
j'y croyais pas !
Les chambres étaient spacieuses et très confortable, c'était moderne. Il y avait une télé grande comme un écran de cinéma. Enfin en un mot, c'était trop beau. Luidji me faisait visiter, Luidji c'était le gars qui m'avait contacté.
On se retrouvait au salon, le canapé était terriblement confortable, c'est simple, assis on était plus détendu que sur mon lit dans ma chambre d'étudiant. On discutait quand Roméo, Francis, et Raphaël débarquaient, je ne reconnaissais que Francis, je l'avais déjà vu à plusieurs reprises. Il était sexy lui aussi, les trois autres me faisaient bander.
Je ne vous cacherais pas que là mon cul frétillait de penser que ces quatre gaillards allaient abuser de moi. Ils s'installaient avec nous et on continuait à discuter. On enfilait quelques bières et brusquement Luidji se relevait …
– Bon, si on faisait plus ample connaissance !
Et sans attendre, il commençait à retirer ses vêtements. J'étais tétanisé, je le regardais sans savoir comment réagir. Je ne remarquais même pas tout de suite que les trois autres faisaient pareil. Je ne l'ai remarqué que quand Roméo, qui lui aussi se déshabillait s'exprimait.
– Tu sais Charly, ici on a le droit de se balader à poil !
Quelques instants plus tard je me retrouvais avec les quatre lascars entièrement nus devant moi. Ils avaient tous les trois une belle grosse queue qui se balançait lourdement à chacun de leurs mouvement. La je parle des trois autres.
J'avais l'impression que je rêvais, ils étaient quatre, pour moi tout seul. Bon c'est beaucoup mais pour une fois, je peux bien faire un effort. Et puis ça va me changer.
Du regard je parcourais ce que j'avais sous les yeux, les corps nus, les bites énormes, les corps nus ( oui bon ça je l'ai déjà dit ) oui mais c'est que je les regardais plutôt deux fois qu'une, et comme ils étaient quatre ça prenait plus de temps.
Je les voyais, ils rigolaient à moitié, c'est Roméo, je crois, qui s'approchait de moi. Il me mettait sa queue sous le nez, j'étais toujours assis sur le canapé, je n'avais pas bougé et j'étais toujours entièrement habillé. Il avait une très belle queue, elle pendait juste devant mon visage et prenait du volume.
Je tendais la langue, et lui caressais le bout de son gland, puis j'ouvrais la bouche largement, j'aspirais et comme une nouille, une grosse nouille d'accord mais une nouille tout de même, elle glissait dans ma bouche. Je la sentais qui prenait plus de place, là il bandait.
Rapidement elle prenait toute la place, il passait sa main derrière ma tête et me retenait contre lui. Il poussait, il avançait son bassin avec régularité, avec sa main il me tirait quand il avançait son bassin. Il me tirait même très fort quand il poussait fort sa queue dans ma gorge.
Il s'amusait, je ne dis pas que moi je ne me m'amusais pas mais c'était pas pareil. J'avais du mal à respirer, pas lui. Je ne pouvais pas parler, lui si. Puis il s'énervait, il se retirait et revenait en force et me tirait la tête vers lui et de nouveau sa queue s'enfonçait jusque dans ma gorge.
– Il est bon ! S'exclamait-il. Tiens vas y essaye ! Disait-il à un de ses camarade qui prenait sa place, je ne sais plus lequel c'était, j'ai pas vu.
C'est une nouvelle grosse queue qui glissait jusque dans ma gorge. Elle n'était pas moins grosse que la première. Je sentais les deux autre qui me prenaient la main et plaçaient leurs queues dans mes mains. Je me laissais aller à les tripoter, c'étaient là encore deux grosses queues. Ils étaient bien montés tous les quatre, un instant je me suis demandé si les deux autres seraient eux aussi bien montés.
Puis je ne pensais plus à rien. Je suçais une grosse queue comme je pouvais. Elle était grosse, très grosse. Celles que j'avais dans les mains aussi. Puis tout le monde m'a lâché. Ils m'ont alors empoigné par les bras, relevé et ouvert ma chemise. Un ouvrait mon ceinturon avant de me baisser mon pantalon. Rapidement et sans ménagement ils me retiraient tous mes vêtements, je ne comprenait plus ce qui se passait mais je laissais faire.
On me caressait, on me tripotait, des mains glissaient un peu partout sur mon corps, sur mes couilles, sur mes fesses, sur mon visage, dans ma bouche, un doigt se glissait dans mon cul avec force. Puis on me reposait sur le tapis, à quatre patte, sur les genoux. Un d'entre eux me saisissait la tête et m'enfonçait sa queue dans la gorge, un autre le caressait les fesses et me glissait plusieurs doigts dans le cul. Je sentais une sorte de liquide froid, il me lubrifiait et ça glissait tout seul.
Il me glissait au moins deux doigts, c'était sans aucune résistance, ça glissait et je trouvais ça très agréable. J'avais toujours un peu peur, il en avait une grosse, ils en avaient tous une grosse et je me demandais en m'inquiétant un peu s'il serait tendre ou violent. Il avait ce qu'il faut pour faire mal.
Par moment j'avais du mal à respirer. Il me massait la prostate, et rapidement ça devenait très agréable.
– On le retourne ! Déclarait un d'entre eux. Je ne sais plus lequel.
A partir de ce moment je ne savais plus qui faisait quoi. On me saisissait, on me soulevait, on me retournait et on me reposait de nouveau sur le tapis, il était très épais et très confortable.
Deux mains me saisissaient les chevilles et me repliaient les jambes, les genoux sur les côtes. En même temps je sentais une pression sur mon anus. La pression augmentait et mon cul ne résistait pas bien longtemps, je le sentais se dilater et lâcher contre la poussée. Il se dilatait et je gémissais de plaisir.
– Mais c'est qu'il encaisse bien ! Déclarait un des garçons.
Ensuite il poussait bien plus fort, je sentais mon anus se dilater et se remplir. Une masse énorme glissait en moi. C'était incroyablement bon. Je vous rassure, ce n'était pas la première fois qu'on m'enculait.
Je ne parvenais pas à voir qui faisait quoi, j'avais une queue que je tripotais dans chaque main. Elles étaient fermes et massives et j'avais les couilles du dernier sur les yeux. Je voyais rien mais je voyais bien qu'il se masturbait, enfin quand je dis, je voyais, c'est une manière de parler.
Il me caressait doucement la joue en me disant.
– Vas y tourne la tête complètement.
Je m'exécutais et aussitôt après il m'enfonçait sa queue dans la gorge.
L'autre me burinait le cul, il se retirait lentement avec des mouvements amples et longs. Il se retirait puis revenait lentement. Il ne forçait pas, il y avait ce qu'il fallait pour que ça glisse. Et ça glissait, le plaisir montait, il accélérait ses mouvements devenaient rapides. Le plaisir continuait à monter.
Il continuait ainsi pendant un long moment, et je ne sais pas qui finissait par s'amuser avec mes couilles et ma queue. Je ne sais pas lequel me masturbait. Lui aussi il mettait du gel et sa main glissait avec autant de douceur que de force. Il s'attardait sur mon gland en refermant sa main très fort, mais ça glissait tout de même le plaisir augmentait encore.
J'avais la bouche pleine et je ne pouvais pas vraiment gémir mais je pence qu'ils surveillaient mes réaction et que rien ne leur échappait.
Dans mon cul c'était chaud. Un plaisir qui venait de ma prostate envahissait tout mon corps, il rayonnait jusque dans mes membre, et mes bras et mes jambes tremblaient, c'était presque des convulsion.
Les mouvement dans mon cul devenaient violents, on me défonçait le cul rapidement, avec violence et avec force. Son ventre frappait contre mes fesses avec tellement de force que le son raisonnait dans toute la pièce et si je manquais d'air ce n'est pas seulement à cause de la queue qui glissait dans ma bouche jusqu'à ma gorge.
Quelques coups de bite dans le cul particulièrement violents me laissait supposer que le gars jutait et que ça allait se finir. Là il m'a fait un peu mal, mais en effet, après il ne bougeait plus et se retirait.
Ses camarades me laissaient également, je me retrouvais allongé sur le dos au milieu de la pièce.
– On fait une petite pause ! Déclarait un des mecs, ça y était j'avais oublié leurs noms.
Un d'entre eux partait chercher quelques bières, le gars qui m'avait généreusement enculé m'invitait à me ' rafraîchir le cul '. C'était une bonne idée, il en profitait pour me demander ce que je pensais de la soirée.
– Alors, cette proposition t'intéresse ?
Je lui confirmais en hochant la tête de haut en bas avec un sourire un peu idiot comme je pouvais le voir dans le miroir. Quand on revenait deux bières nous attendaient.
On s'est installé, certains sur un fauteuil, d'autre sur le tapis et on discutait, on apprenait à se connaître.
A suivre
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