Confession d'une épouse offerte
Récit érotique écrit par Lili1972 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-07-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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Confession d'une épouse offerte
🖤 Confession d’une femme offerte
par une épouse de 50 ans
Thèmes : domination, exhibition, sexe anal, multi-partenaire, liberté sexuelle tardive
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Je ne m’étais jamais vue comme une soumise. Ni comme une femme qu’on expose, qu’on domine, qu’on ouvre. Et pourtant, à 50 ans, je me suis redécouverte. Par lui. Par ce regard. Ce ton. Cette maîtrise qui m’a retournée de l’intérieur.
Tout a commencé un soir, chez nous, avec une lumière tamisée et un bandeau sur les yeux. Il m’a demandé de lui confier le contrôle. J’ai dit oui. J’étais nue. Immobile. Attachée. Et ce qu’il a fait, ce n’était pas brutal, c’était lent… méthodique… brûlant. Il m’a bandé les yeux. Il m’a guidée. Il a parlé doucement, puis il m’a introduit un petit plug. J’étais nerveuse. Puis j’ai compris. L’abandon. Le vrai.
Je me suis offerte à son regard, sans rien voir. Et c’est là que j’ai joui pour la première fois comme ça. Profondément. Dans mon cul. Debout, guidée par sa voix.
---
Une semaine plus tard, il m’a emmenée dans une soirée privée, dans un jardin. Je portais une robe noire. En dessous ? Rien. Juste un plug plus long, bien en place. Chaque pas me rappelait que j’étais sa chose.
Devant des inconnus, il m’a fait me cambrer. Il m’a caressée, remplie, masturbée… Je suis venue debout, en silence, pendant que quelqu’un me regardait.
Et je n’ai rien dit. Parce que j’adorais ça.
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La troisième fois, il m’a fait dîner au restaurant. Élégante. Souriante. Les jambes croisées, les cheveux coiffés. Et à l’intérieur, un plug en métal. Il m’a caressée sous la table. Il m’a interdit de jouir.
Puis, dans un parking souterrain, il m’a prise. Analement. Fort. Profond. Comme une pute bien élevée. Ma robe relevée contre une voiture. Sa main sur ma nuque. Et l’orgasme m’a dévastée.
---
Mais ce n’est rien comparé à la dernière fois.
Il m’a emmenée dans les bois. Une clairière cachée. Et là, ils étaient là. Trois hommes. Une femme. Des inconnus. Sélectionnés. Silencieux.
Il m’a déshabillée. Attachée. Placée à genoux, les jambes écartées, plug bien enfoncé. Et il a dit :
> "Elle est à moi. Mais je vous la prête. Un peu."
J’ai été caressée. Admirée. Utilisée. Et puis l’un d’eux a retiré le plug, et m’a pénétrée. Lentement. Dans mon cul. Pendant que mon mari me tenait par les cheveux, me murmurait des ordres.
Je n’ai rien vu. J’ai tout senti.
Et j’ai joui. Fort. Devant eux. Pour lui.
---
Depuis, je ne suis plus tout à fait la même femme.
Je suis mère. Je suis épouse. Mais je suis aussi ça : une soumise libre, offerte, fière.
Mon corps ne m’avait jamais autant appartenu que le jour où je l’ai confié entièrement à celui qui le regardait… comme une œuvre.
Et il continue. À me dresser. À me remplir. À m’offrir.
Et moi, je continue de dire oui.
par une épouse de 50 ans
Thèmes : domination, exhibition, sexe anal, multi-partenaire, liberté sexuelle tardive
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Je ne m’étais jamais vue comme une soumise. Ni comme une femme qu’on expose, qu’on domine, qu’on ouvre. Et pourtant, à 50 ans, je me suis redécouverte. Par lui. Par ce regard. Ce ton. Cette maîtrise qui m’a retournée de l’intérieur.
Tout a commencé un soir, chez nous, avec une lumière tamisée et un bandeau sur les yeux. Il m’a demandé de lui confier le contrôle. J’ai dit oui. J’étais nue. Immobile. Attachée. Et ce qu’il a fait, ce n’était pas brutal, c’était lent… méthodique… brûlant. Il m’a bandé les yeux. Il m’a guidée. Il a parlé doucement, puis il m’a introduit un petit plug. J’étais nerveuse. Puis j’ai compris. L’abandon. Le vrai.
Je me suis offerte à son regard, sans rien voir. Et c’est là que j’ai joui pour la première fois comme ça. Profondément. Dans mon cul. Debout, guidée par sa voix.
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Une semaine plus tard, il m’a emmenée dans une soirée privée, dans un jardin. Je portais une robe noire. En dessous ? Rien. Juste un plug plus long, bien en place. Chaque pas me rappelait que j’étais sa chose.
Devant des inconnus, il m’a fait me cambrer. Il m’a caressée, remplie, masturbée… Je suis venue debout, en silence, pendant que quelqu’un me regardait.
Et je n’ai rien dit. Parce que j’adorais ça.
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La troisième fois, il m’a fait dîner au restaurant. Élégante. Souriante. Les jambes croisées, les cheveux coiffés. Et à l’intérieur, un plug en métal. Il m’a caressée sous la table. Il m’a interdit de jouir.
Puis, dans un parking souterrain, il m’a prise. Analement. Fort. Profond. Comme une pute bien élevée. Ma robe relevée contre une voiture. Sa main sur ma nuque. Et l’orgasme m’a dévastée.
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Mais ce n’est rien comparé à la dernière fois.
Il m’a emmenée dans les bois. Une clairière cachée. Et là, ils étaient là. Trois hommes. Une femme. Des inconnus. Sélectionnés. Silencieux.
Il m’a déshabillée. Attachée. Placée à genoux, les jambes écartées, plug bien enfoncé. Et il a dit :
> "Elle est à moi. Mais je vous la prête. Un peu."
J’ai été caressée. Admirée. Utilisée. Et puis l’un d’eux a retiré le plug, et m’a pénétrée. Lentement. Dans mon cul. Pendant que mon mari me tenait par les cheveux, me murmurait des ordres.
Je n’ai rien vu. J’ai tout senti.
Et j’ai joui. Fort. Devant eux. Pour lui.
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Depuis, je ne suis plus tout à fait la même femme.
Je suis mère. Je suis épouse. Mais je suis aussi ça : une soumise libre, offerte, fière.
Mon corps ne m’avait jamais autant appartenu que le jour où je l’ai confié entièrement à celui qui le regardait… comme une œuvre.
Et il continue. À me dresser. À me remplir. À m’offrir.
Et moi, je continue de dire oui.
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