Sur la route

Récit érotique écrit par Lili1972 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Sur la route
On s’est arrêtés dans un routier paumé, au bord de la nationale. La lumière blafarde, les tables collantes, des routiers qui mangent seuls en silence. Rien de sexy, en apparence.
Et pourtant, dès que j’ai croisé son regard, j’ai su que ce soir ne serait pas comme les autres. Il a glissé sa main sous la table, lentement, jusqu’à ma cuisse nue. Puis il a soufflé à mon oreille, sans me regarder : — Ce soir, tu vas être vue. Touchée. Baisée. Offerte.
Mon cœur s’est mis à battre plus fort. Mes jambes ont frissonné. Il n’a rien ajouté. Juste ce regard. Celui qui me fait tout oublier.
De retour dans la voiture, garée à l’arrière du parking, il a éteint les phares. Puis, calmement : — Enlève tout. Culotte. Soutien-gorge. Tu gardes juste la robe.
Je me suis exécutée. L’air tiède sur mes seins m’a fait frissonner. J’étais déjà mouillée.
Il a démarré. On a roulé en silence. Quelques minutes. Jusqu’à une ancienne aire de repos, abandonnée, entre deux lignes droites. Il s’est garé à l’écart. Le moteur coupé.
— Ils ne sont pas encore là. Mais ils viendront. Prépare-toi.
Je n’ai pas répondu. Juste tiré lentement sur mon décolleté. Mes seins sont sortis à la lumière de la lune. Durs. Tendus. Offerts.
Une voiture est arrivée. Puis une deuxième. Les phares se sont éteints. Des ombres se sont approchées. L’une d’elles, un homme, est venu près de ma portière. La vitre était entrouverte.
— Montre-toi, m’a soufflé mon homme.
J’ai tiré ma robe plus bas, exposant mes seins entièrement. Je sentais le regard brûlant de l’étranger. Il n’a pas parlé. Il a simplement approché sa main à travers la vitre.
Je l’ai laissée faire. Sa paume rugueuse a effleuré mon sein gauche. J’ai gémi doucement. Puis mon homme m’a guidé la main vers la vitre : — Prends-le. Montre-lui ce que tu sais faire.
J’ai saisi sa verge. Dure. Lourde. Je l’ai caressée lentement, fermement. Il a grogné doucement. J’ai accéléré le rythme, le regard planté dans ses yeux. Mon autre main entre mes jambes, je me caressais en même temps.
Puis il a ouvert ma portière.
— Sors.
Je suis descendue, pieds nus sur l’asphalte tiède. Ma robe glissait déjà. Il s’est placé derrière moi, l’a soulevée d’un seul geste. Mon sexe et mon anus exposés à l’air libre.
— Ne bouge pas.
Il a glissé deux doigts dans ma chatte, lentement. Puis deux autres dans mon anus. J’ai crié. Fort. Je ne savais plus où j’étais. J’étais ouverte. Remplie. Vibrante.
Les autres hommes s’étaient rapprochés. L’un s’est mis devant moi. Je me suis agenouillée. J’ai pris sa bite dans la bouche sans réfléchir. J’ai sucé comme une affamée. Pendant qu’un autre me baisait par derrière, fort, rapide. Ma chair claquait contre ses hanches.
Mon mari est venu à son tour. Il m’a pris la tête entre les mains, a enfoncé sa queue profondément dans ma bouche. Sans douceur. Comme pour me marquer.
L’homme dans mon cul a joui le premier. Fort. Il est sorti. Mon mari l’a remplacé aussitôt. Ma chatte dégoulinait déjà. Il m’a prise comme jamais. Une bête. Un roi.
Devant moi, un troisième se branlait. Il a joui sur mon visage, en gémissant. Son sperme a coulé sur mes lèvres, mon menton, ma gorge.
Je n’ai pas bronché. J’ai souri, langue sortie. J’étais offerte. Prête à être utilisée encore.
Mon mari a joui en moi. Lentement. Profondément. Il est resté là, figé, les mains sur mes hanches, le souffle coupé.
Puis il m’a redressée. Rhabillée. Comme une poupée qu’on protège après l’avoir salie.
Les hommes sont repartis. Discrets. Silencieux. Respectueux.
Dans la voiture, j’étais nue sous ma robe, couverte de foutre, le corps tremblant encore. Il m’a regardée.
— Tu es à moi. Mais ce soir, tu les as rendus fous.
Et moi, j’ai souri.
Parce que je n’avais jamais joui aussi fort… sans jamais toucher mon clito.
Et pourtant, dès que j’ai croisé son regard, j’ai su que ce soir ne serait pas comme les autres. Il a glissé sa main sous la table, lentement, jusqu’à ma cuisse nue. Puis il a soufflé à mon oreille, sans me regarder : — Ce soir, tu vas être vue. Touchée. Baisée. Offerte.
Mon cœur s’est mis à battre plus fort. Mes jambes ont frissonné. Il n’a rien ajouté. Juste ce regard. Celui qui me fait tout oublier.
De retour dans la voiture, garée à l’arrière du parking, il a éteint les phares. Puis, calmement : — Enlève tout. Culotte. Soutien-gorge. Tu gardes juste la robe.
Je me suis exécutée. L’air tiède sur mes seins m’a fait frissonner. J’étais déjà mouillée.
Il a démarré. On a roulé en silence. Quelques minutes. Jusqu’à une ancienne aire de repos, abandonnée, entre deux lignes droites. Il s’est garé à l’écart. Le moteur coupé.
— Ils ne sont pas encore là. Mais ils viendront. Prépare-toi.
Je n’ai pas répondu. Juste tiré lentement sur mon décolleté. Mes seins sont sortis à la lumière de la lune. Durs. Tendus. Offerts.
Une voiture est arrivée. Puis une deuxième. Les phares se sont éteints. Des ombres se sont approchées. L’une d’elles, un homme, est venu près de ma portière. La vitre était entrouverte.
— Montre-toi, m’a soufflé mon homme.
J’ai tiré ma robe plus bas, exposant mes seins entièrement. Je sentais le regard brûlant de l’étranger. Il n’a pas parlé. Il a simplement approché sa main à travers la vitre.
Je l’ai laissée faire. Sa paume rugueuse a effleuré mon sein gauche. J’ai gémi doucement. Puis mon homme m’a guidé la main vers la vitre : — Prends-le. Montre-lui ce que tu sais faire.
J’ai saisi sa verge. Dure. Lourde. Je l’ai caressée lentement, fermement. Il a grogné doucement. J’ai accéléré le rythme, le regard planté dans ses yeux. Mon autre main entre mes jambes, je me caressais en même temps.
Puis il a ouvert ma portière.
— Sors.
Je suis descendue, pieds nus sur l’asphalte tiède. Ma robe glissait déjà. Il s’est placé derrière moi, l’a soulevée d’un seul geste. Mon sexe et mon anus exposés à l’air libre.
— Ne bouge pas.
Il a glissé deux doigts dans ma chatte, lentement. Puis deux autres dans mon anus. J’ai crié. Fort. Je ne savais plus où j’étais. J’étais ouverte. Remplie. Vibrante.
Les autres hommes s’étaient rapprochés. L’un s’est mis devant moi. Je me suis agenouillée. J’ai pris sa bite dans la bouche sans réfléchir. J’ai sucé comme une affamée. Pendant qu’un autre me baisait par derrière, fort, rapide. Ma chair claquait contre ses hanches.
Mon mari est venu à son tour. Il m’a pris la tête entre les mains, a enfoncé sa queue profondément dans ma bouche. Sans douceur. Comme pour me marquer.
L’homme dans mon cul a joui le premier. Fort. Il est sorti. Mon mari l’a remplacé aussitôt. Ma chatte dégoulinait déjà. Il m’a prise comme jamais. Une bête. Un roi.
Devant moi, un troisième se branlait. Il a joui sur mon visage, en gémissant. Son sperme a coulé sur mes lèvres, mon menton, ma gorge.
Je n’ai pas bronché. J’ai souri, langue sortie. J’étais offerte. Prête à être utilisée encore.
Mon mari a joui en moi. Lentement. Profondément. Il est resté là, figé, les mains sur mes hanches, le souffle coupé.
Puis il m’a redressée. Rhabillée. Comme une poupée qu’on protège après l’avoir salie.
Les hommes sont repartis. Discrets. Silencieux. Respectueux.
Dans la voiture, j’étais nue sous ma robe, couverte de foutre, le corps tremblant encore. Il m’a regardée.
— Tu es à moi. Mais ce soir, tu les as rendus fous.
Et moi, j’ai souri.
Parce que je n’avais jamais joui aussi fort… sans jamais toucher mon clito.
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