Un petit tour en porsche
Récit érotique écrit par Lili1972 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Un petit tour en porsche
### Un Tour en Porsche : Le Jeu de la Soumission
Ce dimanche, le soleil de septembre baigne la campagne d’une lumière dorée, douce comme une caresse. Je m’appelle Lili, j’ai 53 ans, et je me tiens devant le miroir de ma chambre, un peu fébrile. Michel, un vieil ami que je n’ai pas vu depuis des années, m’a invitée à faire un tour dans sa vieille Porsche cabriolet. L’idée m’a d’abord amusée, puis intriguée. Ça fait longtemps que je n’ai pas ressenti cette petite étincelle d’excitation, ce frisson d’inconnu. Mon mari et moi vivons sous le même toit, mais notre intimité s’est éteinte il y a trois ans. Depuis, je me suis laissée aller à quelques aventures éphémères avec des femmes, des rencontres légères, sans attaches. Mais aujourd’hui, c’est différent. Aujourd’hui, c’est Michel.
Quand il arrive devant chez moi, je l’attends en bas, vêtue d’un jogging confortable, mes cheveux relevés en un chignon désordonné. Michel sort de sa Porsche, impeccablement vêtu d’un polo bleu marine et d’un pantalon beige, son style BCBG contrastant avec son ventre rond, celui d’un bon vivant assumé. Il me regarde de haut en bas, un sourire malicieux aux lèvres.
« Lili, sérieusement ? Un training ? Dans ma Porsche ? » dit-il, une lueur taquine dans les yeux. « Va mettre une robe, quelque chose d’élégant. Cette voiture mérite mieux. »
Je ris, un peu gênée, mais je remonte chez moi sans protester. Dans mon armoire, je trouve une robe légère, fluide, d’un rouge sombre qui épouse mes formes sans les serrer. Elle est parfaite pour la douceur de l’après-midi. Pas de collants, juste une culotte en dentelle noire, choisie presque par réflexe. Quand je redescends, Michel approuve d’un hochement de tête, ouvre la portière passager avec une galanterie exagérée, et je m’installe sur le cuir souple du siège, sentant l’odeur de vieux luxe qui flotte dans l’habitacle.
Nous démarrons, le moteur ronronne doucement, et le vent s’engouffre dans mes cheveux alors que la capote reste baissée. Michel conduit avec nonchalance, une main sur le volant, l’autre posée sur le levier de vitesse. Nous papotons, d’abord de tout et de rien, puis de la voiture. Il me raconte, avec un sourire en coin, que cette Porsche est un véritable « piège à filles », un aimant à regards et à fantasmes. Je ris, mais je sens une chaleur diffuse monter en moi à l’idée.
« Tu sais, Lili, je ne prends presque jamais de passagères, » dit-il, son ton soudain plus sérieux, presque provocateur. « Les femmes qui montent dans une Porsche cabriolet, eh bien… disons qu’elles ne portent pas souvent de culotte. Et je tiens à mes sièges en cuir, tu comprends. »
Je m’esclaffe, croyant à une blague, mais son regard en coin me fait douter. « Michel, tu plaisantes, non ? » dis-je, un sourcil levé.
Il hausse les épaules, un sourire énigmatique aux lèvres. « Peut-être. Peut-être pas. »
La conversation glisse vers le passé, vers nos vies. Je lui confie que mon mariage est devenu une coquille vide, que j’ai exploré ma bisexualité avec quelques rencontres, mais rien de durable. Lui, il m’avoue que les années et les kilos ont changé la donne pour lui. « Avant, j’étais un séducteur, tu t’en souviens, non ? » dit-il avec un rire nostalgique. « Mais avec ce ventre, disons que j’ai dû… réorienter ma sexualité. Moins de performance, plus de… créativité. »
Ma curiosité s’éveille, piquée par cette confession. « Créativité ? Qu’est-ce que tu veux dire ? » je demande, un sourire en coin, me prêtant au jeu.
Il ralentit la voiture, s’engageant sur une petite route de campagne bordée de champs dorés. Le vent caresse ma peau, fait voler ma robe sur mes cuisses. Michel me jette un regard, ses yeux brillants d’une lueur espiègle. « Si tu veux des détails, Lili, il va falloir jouer le jeu. Retire ta culotte. Là, maintenant, pendant qu’on roule. »
Je reste figée un instant, le cœur battant. Est-il sérieux ? L’idée est absurde, scandaleuse… et pourtant, une partie de moi, celle que je croyais endormie depuis des années, s’éveille. Le vent, la vitesse, le ronronnement du moteur, tout semble amplifier cette sensation. Je le regarde, cherchant un signe de plaisanterie, mais son expression est un mélange de défi et de désir contenu.
« Tu es fou, Michel, » dis-je en riant, mais ma voix tremble légèrement.
« Peut-être, » répond-il, son ton doux mais ferme. « Mais si tu veux savoir, c’est ma condition. »
Je sens une chaleur monter dans mon ventre, un mélange d’appréhension et d’excitation. Lentement, je glisse mes mains sous ma robe, mes doigts effleurant la dentelle. Je me tortille légèrement sur le siège, faisant glisser la culotte le long de mes jambes. Le tissu atterrit à mes pieds, et je le ramasse, le tenant entre mes doigts comme une preuve. « Satisfait ? » dis-je, un peu provocante, en le lui montrant avant de le glisser dans mon sac.
Michel éclate de rire, mais ses yeux s’attardent sur moi, plus sombres, plus intenses. « Pas mal, Lili. Pas mal du tout. »
Quelques kilomètres défilent sous les roues de la Porsche, le vent fouettant mes cheveux et caressant ma peau nue sous la robe. Je sens encore la fraîcheur du cuir contre mes cuisses, un rappel constant de mon audace. Michel conduit en silence, un sourire placide aux lèvres, comme si de rien n’était. Mais moi, je bouillonne. J’ai tenu ma part du marché, j’ai retiré cette fichue culotte sous ses yeux complices, et lui ? Pas un mot sur sa fameuse « réorientation sexuelle ». Juste ce ronronnement du moteur et des regards en coin qui me rendent folle.
« Allez, Michel, crache le morceau ! » je lance enfin, mi-agacée, mi-amusée, en croisant les bras sur ma poitrine. « Tu m’as fait faire un strip-tease en pleine campagne, et toi, tu restes muet comme une carpe ? C’est quoi, ce suspense ? »
Il rit doucement, sans quitter la route des yeux, mais je vois ses joues rosir légèrement sous sa barbe poivre et sel. « Patience, Lili. La vie sexuelle, c’est comme un bon vin : ça se déguste lentement. »
« Patience, mon œil ! » je rétorque, me penchant vers lui, ma robe glissant un peu sur mes épaules. « J’ai rempli ma part du marché. À toi, maintenant. »
Il ralentit la voiture sur une portion déserte de la route, bordée de haies épaisses et de champs endormis. Puis, d’un ton faussement innocent, il me jette : « D’accord, mais si tu veux en savoir plus, il faut que tu ailles plus loin. Retire ton soutien-gorge. »
Je m’étrangle presque. « Quoi ?! Michel, tu délires ! On est en pleine journée, sur une route ouverte ! » Mon cœur s’accélère, un mélange d’indignation et d’un frisson traître qui me chatouille le ventre. C’est absurde, c’est scandaleux… et pourtant, l’idée d’obéir, juste pour le voir craquer, me titille.
Il hausse les épaules, imperturbable. « C’est le jeu, Lili. Ou tu arrêtes tout là. »
Je le fixe un instant, les lèvres pincées, puis un rire nerveux m’échappe. « Tu es incorrigible, vieux filou. » Avec un soupir théâtral, je me contorsionne sur le siège, glissant les bretelles de ma robe pour libérer les agrafes dans mon dos. Le tissu en dentelle glisse, et je le fourre prestement dans mon sac, à côté de la culotte. Mes seins se libèrent, lourds et libres sous l’étoffe fine, et la robe, avec son encolure en V, laisse entrevoir un soupçon de décolleté, juste assez pour que le vent y danse.
Michel jette un coup d’œil discret, presque furtif, mais je le surprends. Ses yeux s’attardent une fraction de seconde sur la courbe de ma poitrine, et je sens une chaleur familière monter en moi. Il avale sa salive, détourne le regard, et accélère un peu. « Parfait, » murmure-t-il, la voix un peu rauque.
« Bon, et maintenant ? » je relance, triomphante, en ajustant ma robe d’une main. « J’ai fait ce que tu voulais. Raconte-moi tout : cette créativité, ces réorientations… Qu’est-ce qui a changé avec les kilos et l’âge ? Je veux des détails, Michel. J’ai payé le prix fort ! »
Il ne répond pas. Au lieu de ça, il attrape un petit sac à dos noir posé à l’arrière et me le tend, sans un mot. « Ouvre-le, » dit-il simplement, un éclat malicieux dans les yeux.
Intriguée, je tire sur la fermeture éclair. À l’intérieur, un trésor inattendu : un bandeau de soie noire pour les yeux, lisse et prometteur ; des pinces à tétons, argentées et menaçantes avec leurs petites chaînes ; une paire de menottes en cuir souple, bordées de velours ; une cravache fine, souple comme un serpent ; et, au fond, un plug anal élégant, en verre teinté, avec une base perlée qui scintille au soleil.
Je reste bouche bée un instant, puis un éclat de rire incontrôlable m’échappe. Je le regarde, hilare, en agitant le bandeau comme un drapeau. « Oh mon Dieu, Michel ! C’est ça, ta « réorientation » ? Un kit de domination pour touristes ? Tu comptes me transformer en soumise sur ta Porsche ? Avec ce bedon, tu vas me menotter à quoi, au levier de vitesse ? »
Il rit à son tour, un rire franc et bon enfant qui secoue son ventre, mais je vois une rougeur plus profonde sur ses joues. « Moque-toi tant que tu veux, Lili, mais avoue que ça t’intrigue. C’est pas de la performance brute, c’est de l’art. De la… créativité. »
Je secoue la tête, toujours riant, mais mes doigts s’attardent sur la cravache, imaginant déjà sa morsure légère sur la peau. Le vent s’engouffre, faisant voleter ma robe, et je sens mon corps répondre malgré moi – tétons durcis contre le tissu, un picotement entre les cuisses. « D’accord, maître du BDSM low-cost, » je le taquine, refermant le sac d’un geste théâtral. « Mais si tu veux que je joue, c’est toi qui commences à parler. Ou alors… on teste un de ces jouets ? »
Après ce moment de rire partagé, où je me moque encore un peu de son "kit de domination" improvisé, Michel reprend le sac d’un geste calme, presque solennel, et me le tend à nouveau. Ses yeux, derrière ses lunettes de soleil, sont plus intenses, comme s’il testait ma détermination. « C’est à toi de décider, Lili, » dit-il d’une voix basse, veloutée. « On joue, ou on arrête. Mais si on joue, tu acceptes les règles. Tu te soumets. Complètement. »
Je sens un frisson me parcourir l’échine, un mélange d’appréhension et d’excitation pure. J’ai toujours aimé l’inattendu, ces moments où la vie bascule dans l’imprévu, où les barrières tombent. Mon mariage routinier, mes aventures éphémères avec des femmes – rien n’a jamais été aussi audacieux que ça. « D’accord, » je murmure, ma voix un peu tremblante mais résolue. « On joue. Je me soumets. »
Un sourire victorieux illumine son visage bedonnant, et il fouille dans le sac pour en sortir les pinces à tétons – une chaîne fine reliant trois pinces argentées, comme un Y malicieux. Sans un mot, il tend la main vers mon décolleté, écartant doucement l’encolure de ma robe pour exposer mes seins nus, déjà durcis par l’air frais et l’anticipation. Il me fait signe de les placer moi-même : une sur chaque téton, et la troisième… il glisse un regard vers mon bas-ventre, indiquant clairement où elle doit aller.
Mes doigts tremblent légèrement en pinçant la première pince sur mon téton gauche. Une morsure vive, électrique, me fait haleter, mais la chaleur qui suit est enivrante. Puis la droite, symétrique, amplifiant la sensation. Pour la troisième, je relève un peu ma robe, exposant mon intimité humide au vent de la campagne. Je l’attache délicatement sur mon clitoris, et la chaîne tire légèrement, reliant tout mon corps en une ligne de feu sensuel. La douleur est aiguë au début, mais elle se mue rapidement en une pulsation chaude, qui irradie dans mon ventre. Michel observe, sa respiration plus lourde, et il ralentit encore la Porsche, comme pour savourer chaque seconde.
Nous roulons vers le centre de Stavelot, la petite ville belge avec ses rues pittoresques et ses passants du dimanche. Michel s’amuse à tourner lentement dans les artères les plus fréquentées, slalomant entre les terrasses de cafés et les promeneurs. Je sens les regards se poser sur nous – ou sur moi ? – à travers les vitres ouvertes. Ma robe est sage en apparence, mais la chaîne discrète sous le tissu, les pinces qui mordent, me font rougir. Un homme âgé nous fixe un peu trop longtemps depuis un banc ; une femme avec un chien hausse un sourcil. Michel rit sous cape, comme s’il voulait que le monde entier devine mon secret, que les passants aperçoivent l’éclat argenté si je bouge mal.
Soudain, il s’arrête sur une petite place ombragée, entourée de maisons anciennes. Le moteur se tait, et il fouille à nouveau dans le sac pour en sortir le plug anal, cet objet en métal lisse et teinté, plus imposant que dans mes souvenirs. Sans préambule, il le glisse directement dans ma bouche, ses doigts effleurant mes lèvres. « Humidifie-le bien, Lili, » murmure-t-il d’un ton autoritaire. « Et glisse-le au plus profond de toi. C’est à toi de le faire. »
Je ferme les yeux un instant, suçant l’objet froid, le réchauffant de ma salive pour faciliter l’insertion. Le goût métallique envahit ma bouche, et je sens l’excitation monter d’un cran. Je me tortille sur le siège, relevant ma robe jusqu’aux hanches, exposée dans cette place publique où n’importe qui pourrait passer. Mes doigts guident le plug vers mon anus, pressant doucement. Il est plus gros que prévu, étirant mes chairs avec une résistance qui me fait grimacer. Je pousse un petit gémissement étouffé, me contorsionnant pour l’enfoncer plus profond, jusqu’à ce que la base s’ajuste parfaitement, remplissant mon intimité d’une plénitude déchirante. La douleur est vive, comme un feu intérieur, mais elle se mêle à la morsure des pinces, créant une symphonie de sensations qui me submerge.
J’ai complètement oublié le pincement des crocs sur mes tétons durcis – ou plutôt, il s’est fondu dans cette vague croissante d’excitation. Mon entre-jambe s’humidifie, une chaleur liquide se répandant entre mes cuisses, trempant le cuir du siège. Michel redémarre, un sourire satisfait aux lèvres, et nous quittons la place pour nous engager dans des rues pavées, ces vieux chemins bosselés typiques de Stavelot.
Chaque cahot, chaque pavé irrégulier fait bouger le plug en moi, comme une déchirure au plus profond de mon être. Au début, c’est une torture exquise, un mélange de douleur et de plaisir qui me fait serrer les dents. Je m’agrippe au siège, mes ongles s’enfonçant dans le cuir, tandis que la chaîne des pinces tire avec chaque secousse, amplifiant tout. Mais au bout de quelques rues remuantes, la douleur s’estompe, remplacée par un plaisir lancinant, une pulsation qui monte en vagues. Je sens mon corps s’adapter, s’ouvrir, et un léger sourire effleure mes lèvres malgré moi.
Michel me jette un regard en coin, ralentissant à nouveau. « Alors, Lili ? Tu veux continuer, ou tu arrêtes ? » demande-t-il, sa voix rauque trahissant son propre désir.
Je le fixe, le souffle court, mon corps en feu. « Bien sûr que je veux continuer, » je réponds, presque suppliante, ma voix chargée d’une urgence que je ne reconnais pas. « Ne t’arrête pas maintenant, Michel. Pousse le jeu plus loin. »
On roule maintenant vers le circuit de Francorchamps, la route serpentant à travers les collines ardennaises, le vent portant l’odeur des pins et de la terre humide. Michel conduit avec une assurance croissante, ses mains serrées sur le volant, comme s’il savait exactement où nous mener. Bientôt, il bifurque sur un chemin discret, s’arrêtant à l’entrée d’un bois qui longe le RAVeL, cette voie verte qui relie Stavelot au circuit. Nous ne sommes pas visibles depuis la route en contrebas ; le chemin est purement forestier, enveloppé de silence, seulement troublé par le chant lointain des oiseaux et le bruissement des feuilles.
Une fois arrêté, Michel coupe le moteur et se tourne vers moi, son regard impérieux. « Descends, » m’ordonne-t-il d’une voix ferme, sans appel. Je m’exécute, mes jambes tremblantes sous l’effet du plug qui bouge encore en moi. Il ferme soigneusement sa Porsche, verrouillant les portes avec un bip électronique, et nous marchons lentement entre les arbres, ses pas mesurés contrastant avec les miens, hésitants. Chaque pas fait bouger le plug en moi, me dilatant de plus en plus, envoyant des ondes de plaisir mêlé de gêne à travers mon corps. Je ne sens plus les pinces ni sur mes tétons gonflés ni autour de mon clitoris ; elles se sont fondues dans cette marée montante d’excitation qui me submerge.
Nous arrivons à une petite clairière, un cercle d’herbe douce entouré de troncs centenaires, baigné d’une lumière filtrée par les branches. Michel s’arrête, me fixant intensément. « Enlève ta robe, » ordonne-t-il, sa voix résonnant dans le silence du bois. « Et dépose-la sur une branche. »
Je hésite une fraction de seconde, mais le jeu est lancé, et je me soumets. Mes mains tremblantes saisissent l’ourlet de la robe, la faisant glisser par-dessus ma tête. L’air frais caresse ma peau nue, mes seins lourds et mes hanches exposées au jour. Je la plie soigneusement et la pose sur une branche basse, me tenant là, vulnérable, avec seulement le plug et les pinces comme parure.
D’une voix ferme, il m’ordonne : « Montre-toi. Danse pour moi. »
Je commence doucement, me remuant au rythme imaginaire d’une musique intérieure, mes hanches ondulant, mes bras se levant pour caresser l’air. Me prenant au jeu, je tire ça et là sur la chaînette qui relie les pinces, chaque traction envoyant une décharge électrique à travers mon corps. J’ose même passer mes doigts sur mon bouton endolori, effleurant mon clitoris pincé, frottant doucement pour amplifier la sensation. Je ne sais si c’est le lieu – ce bois isolé, chargé de mystère –, l’attirail qui me transforme en objet de désir, ou le fait de me masturber en public, même si ce public n’est que Michel, mais je suis prise du plus violent orgasme que j’ai connu. Mon corps se convulse, des vagues de plaisir déferlant de mon sexe à mon anus, tous deux détrempés comme jamais. Ce jus chaud me coule le long des cuisses, laissant des traînées brillantes sur ma peau, et je gémis sans retenue, les yeux mi-clos.
Michel ne perd rien du spectacle, ses yeux rivés sur moi, sa respiration lourde. Il s’approche, son corps massif se dressant devant le mien, et retire les pinces sans ménagement. La sensation de brûlure contraste violemment avec l’extase que je viens de subir, me faisant haleter de douleur renouvelée. Il prend mes doigts, encore humides de mon plaisir, et me les fourre en bouche, en disant d’un ton sec : « Je ne t’avais pas donné l’autorisation de jouir maintenant. »
D’un geste décidé, il me repousse contre un arbre, l’écorce rugueuse mordant ma peau nue. Avec les menottes du sac, il m’attache à une branche basse, mes bras tendus au-dessus de ma tête. L’inquiétude se lit maintenant sur mon visage – me voilà suspendue comme un morceau de viande, toujours transpercée par ce gros plug, mon corps offert et vulnérable dans cette clairière isolée. Michel recule d’un pas, admirant son œuvre, un sourire sombre aux lèvres.
Michel se recule et finit par s’éloigner, disparaissant entre les arbres. Je reste seule dans ce sous-bois, même si je sais qu’il n’est pas loin ; moi, je ne le vois plus, je ne l’entends plus. Seule, attachée nue à un arbre, le temps ne passe pas et semble durer une éternité. Chaque craquement de branche ou bruit de feuille me fait être aux aguets, la peur d’être vue sans doute, ou la peur de tomber sur un inconnu pervers. Mon cœur bat la chamade, un mélange d’angoisse et d’une étrange excitation résiduelle, mais l’air frais sur ma peau nue me rappelle ma vulnérabilité totale.
Après un long moment qui me semble infini, Michel réapparaît enfin, émergeant des ombres comme un fantôme. J’avoue être soulagée, mon corps se détendant légèrement à sa vue familière. Mais mon excitation est retombée, et le plug me fait mal maintenant, une pression constante et douloureuse. Je demande donc, d’une voix plaintive, de pouvoir le retirer.
Michel me regarde, un éclat calculateur dans les yeux. « Ok, » dit-il calmement, « mais ce sera sans être détachée. »
Je comprends alors que c’est en poussant que je vais devoir l’expulser, sans l’aide de mes mains. Le regard de Michel est tellement insistant, chargé d’une autorité muette, que je n’ose pas rouspéter. Je m’appuie tant bien que mal sur l’arbre, l’écorce grattant mon dos, pliant légèrement mes jambes écartées pour trouver une position stable. Je me contracte, poussant de toutes mes forces pour expulser ce plug de mon anus. L’objet étant volumineux, je dois m’y reprendre à plusieurs reprises, mes muscles se tendant, mon visage rougissant sous l’effort. À force de pousser, je laisse échapper un long jet d’urine, chaud et incontrôlable, dégoulinant le long de mes cuisses en même temps que le plug tombe enfin par terre avec un bruit sourd. L’humiliation est totale, mais dans les yeux de Michel, je lis une satisfaction perverse qui ravive un frisson traître en moi.
Michel emporte mes vêtements, les pliant avec soin et les glissant dans son sac, me laissant là, encore attachée, sans un mot d’explication. Avant de partir définitivement, il fouille une dernière fois dans le sac et en sort un collier en cuir épais, orné d’un gros anneau métallique qui pend comme un pendentif menaçant. Il s’approche, ses doigts effleurant ma gorge, et l’attache autour de mon cou, serrant juste assez pour que je sente sa présence constante, comme un rappel de ma soumission. « Parfait, » murmure-t-il, un sourire sadique aux lèvres. Puis, il détache enfin les menottes, libérant mes bras endoloris.
« Rendez-vous au bout du chemin de terre qui passe entre les prairies, » dit-il d’un ton ferme, indiquant la direction d’un geste du menton. « C’est à environ 800 mètres d’ici. Je t’attends de l’autre côté avec la voiture. Ne traîne pas. »
Il tourne les talons, emportant le sac et mes vêtements, et disparaît vers la Porsche. J’entends le moteur ronronner au loin, puis s’éloigner. Me voilà complètement nue, avec ce collier de chien autour du cou, l’anneau froid cognant contre ma clavicule à chaque mouvement. La soirée tombe doucement, le ciel virant au crépuscule, mais la lumière résiduelle suffit pour que je sente visible si quelqu’un passe. Le chemin forestier se transforme en un sentier de terre battue, serpentant entre des prairies ouvertes, bordées de haies sporadiques qui offrent peu de couverture. Je dois me déplacer au risque de croiser quelqu’un – un promeneur, un joggeur, ou pire.
Le parcours commence dans le sous-bois, où les feuilles mortes craquent sous mes pieds nus, envoyant des picotements douloureux le long de mes plantes. Chaque pas me rappelle ma nudité : l’air frais caresse mes seins, durcit mes tétons encore sensibles des pinces, et effleure mon intimité humide et endolorie. Le collier pèse sur ma nuque, l’anneau tintant légèrement, comme un marqueur de ma déchéance. Mon anus palpite encore de l’expulsion du plug, une sensation de vide mêlée à une brûlure résiduelle, et les traces d’urine séchée collent à mes cuisses, me faisant me sentir sale, exposée. À mesure que je sors du bois, le sentier s’ouvre sur les prairies, l’herbe haute chatouillant mes mollets, et le vent du soir porte l’odeur de la terre humide, amplifiant ma vulnérabilité. Mon cœur bat à tout rompre, chaque bruit – un oiseau qui s’envole, un lointain aboiement – me fait sursauter, imaginant des yeux invisibles sur mon corps nu.
Soudain, au milieu du chemin, une rencontre honteuse surgit : un jeune homme, peut-être dans la vingtaine, apparaît au détour d’une courbe, promenant son chien sur le sentier. Il porte un jogging et des écouteurs, mais quand il me voit, il s’arrête net, les yeux écarquillés. Son regard glisse sur ma nudité totale, s’attardant sur mes seins, mon ventre, mes cuisses encore luisantes, et enfin sur le collier avec son anneau, qui me donne l’air d’une chienne en fuite. Je rougis violemment, essayant de croiser les bras pour me couvrir, mais c’est futile – je suis exposée, humiliée. Il bredouille quelque chose comme « Oh merde, excusez-moi ! », mais je vois un sourire en coin se former, un mélange de surprise et d’amusement pervers. Son chien tire sur la laisse, aboyant joyeusement, et il repart en jetant des regards par-dessus son épaule, me laissant mortifiée, les joues en feu, l’humiliation ravivant une chaleur traître entre mes jambes.
Cette rencontre me pousse à accélérer, mon empressement à retrouver le siège de la Porsche de Michel devenant désespéré. Je trottine presque, ignorant les cailloux qui mordent mes pieds, le collier rebondissant contre ma poitrine. Les 800 mètres me semblent infinis, mais enfin, au bout du chemin, j’aperçois la silhouette familière de la voiture, capote toujours baissée, et Michel assis au volant, un sourire victorieux aux lèvres. Je me précipite vers le siège passager, m’y laissant tomber avec un soulagement immense, le cuir frais apaisant ma peau échauffée. « Tu as été parfaite, » murmure-t-il, démarrant le moteur, et je sais que le jeu n’est pas encore fini.
Michel me ramène chez moi, la Porsche filant à travers les routes maintenant sombres, le vent du soir rafraîchissant ma peau encore nue. Il ne dit pas grand-chose pendant le trajet, mais ses regards en coin, chargés de satisfaction, me font frissonner. Arrivés devant ma maison, il s’arrête et fouille dans le sac pour en sortir ma robe, qu’il me tend avec un geste théâtral. « Tu peux te rhabiller, Lili, » dit-il d’un ton magnanime, « mais sans les sous-vêtements. Je les garde en trophée. Un souvenir de notre petite balade. »
Je rougis, mais j’obéis, enfilant la robe directement sur ma peau nue, sentant le tissu effleurer mes seins sensibles et mon intimité encore humide. L’absence de culotte et de soutien-gorge me rend consciente de chaque mouvement, comme si le jeu continuait même chez moi. En me déposant, Michel me remercie d’une voix chaude : « Merci pour cette journée inoubliable, Lili. Tu as été une soumise exemplaire. »
Puis, avec un clin d’œil complice, il ajoute : « Je te convie à une prochaine balade, entre porschistes avertis. On ira plus loin, je te le promets. »
Je sens un frisson d’anticipation me parcourir, malgré la fatigue et les courbatures. « J’en réjouirai d’avance, Michel, » je réponds, ma voix un peu rauque. « Je suis prête à recevoir les consignes pour le prochain rendez-vous. Dis-moi ce que je dois faire. »
Il rit doucement, démarre la voiture et s’éloigne dans la nuit, me laissant sur le seuil de ma porte, la robe flottant autour de moi, le collier encore autour de mon cou comme un secret partagé. Cette balade n’était que le début, et je sais déjà que j’attends la suite avec une impatience fiévreuse.
Ce dimanche, le soleil de septembre baigne la campagne d’une lumière dorée, douce comme une caresse. Je m’appelle Lili, j’ai 53 ans, et je me tiens devant le miroir de ma chambre, un peu fébrile. Michel, un vieil ami que je n’ai pas vu depuis des années, m’a invitée à faire un tour dans sa vieille Porsche cabriolet. L’idée m’a d’abord amusée, puis intriguée. Ça fait longtemps que je n’ai pas ressenti cette petite étincelle d’excitation, ce frisson d’inconnu. Mon mari et moi vivons sous le même toit, mais notre intimité s’est éteinte il y a trois ans. Depuis, je me suis laissée aller à quelques aventures éphémères avec des femmes, des rencontres légères, sans attaches. Mais aujourd’hui, c’est différent. Aujourd’hui, c’est Michel.
Quand il arrive devant chez moi, je l’attends en bas, vêtue d’un jogging confortable, mes cheveux relevés en un chignon désordonné. Michel sort de sa Porsche, impeccablement vêtu d’un polo bleu marine et d’un pantalon beige, son style BCBG contrastant avec son ventre rond, celui d’un bon vivant assumé. Il me regarde de haut en bas, un sourire malicieux aux lèvres.
« Lili, sérieusement ? Un training ? Dans ma Porsche ? » dit-il, une lueur taquine dans les yeux. « Va mettre une robe, quelque chose d’élégant. Cette voiture mérite mieux. »
Je ris, un peu gênée, mais je remonte chez moi sans protester. Dans mon armoire, je trouve une robe légère, fluide, d’un rouge sombre qui épouse mes formes sans les serrer. Elle est parfaite pour la douceur de l’après-midi. Pas de collants, juste une culotte en dentelle noire, choisie presque par réflexe. Quand je redescends, Michel approuve d’un hochement de tête, ouvre la portière passager avec une galanterie exagérée, et je m’installe sur le cuir souple du siège, sentant l’odeur de vieux luxe qui flotte dans l’habitacle.
Nous démarrons, le moteur ronronne doucement, et le vent s’engouffre dans mes cheveux alors que la capote reste baissée. Michel conduit avec nonchalance, une main sur le volant, l’autre posée sur le levier de vitesse. Nous papotons, d’abord de tout et de rien, puis de la voiture. Il me raconte, avec un sourire en coin, que cette Porsche est un véritable « piège à filles », un aimant à regards et à fantasmes. Je ris, mais je sens une chaleur diffuse monter en moi à l’idée.
« Tu sais, Lili, je ne prends presque jamais de passagères, » dit-il, son ton soudain plus sérieux, presque provocateur. « Les femmes qui montent dans une Porsche cabriolet, eh bien… disons qu’elles ne portent pas souvent de culotte. Et je tiens à mes sièges en cuir, tu comprends. »
Je m’esclaffe, croyant à une blague, mais son regard en coin me fait douter. « Michel, tu plaisantes, non ? » dis-je, un sourcil levé.
Il hausse les épaules, un sourire énigmatique aux lèvres. « Peut-être. Peut-être pas. »
La conversation glisse vers le passé, vers nos vies. Je lui confie que mon mariage est devenu une coquille vide, que j’ai exploré ma bisexualité avec quelques rencontres, mais rien de durable. Lui, il m’avoue que les années et les kilos ont changé la donne pour lui. « Avant, j’étais un séducteur, tu t’en souviens, non ? » dit-il avec un rire nostalgique. « Mais avec ce ventre, disons que j’ai dû… réorienter ma sexualité. Moins de performance, plus de… créativité. »
Ma curiosité s’éveille, piquée par cette confession. « Créativité ? Qu’est-ce que tu veux dire ? » je demande, un sourire en coin, me prêtant au jeu.
Il ralentit la voiture, s’engageant sur une petite route de campagne bordée de champs dorés. Le vent caresse ma peau, fait voler ma robe sur mes cuisses. Michel me jette un regard, ses yeux brillants d’une lueur espiègle. « Si tu veux des détails, Lili, il va falloir jouer le jeu. Retire ta culotte. Là, maintenant, pendant qu’on roule. »
Je reste figée un instant, le cœur battant. Est-il sérieux ? L’idée est absurde, scandaleuse… et pourtant, une partie de moi, celle que je croyais endormie depuis des années, s’éveille. Le vent, la vitesse, le ronronnement du moteur, tout semble amplifier cette sensation. Je le regarde, cherchant un signe de plaisanterie, mais son expression est un mélange de défi et de désir contenu.
« Tu es fou, Michel, » dis-je en riant, mais ma voix tremble légèrement.
« Peut-être, » répond-il, son ton doux mais ferme. « Mais si tu veux savoir, c’est ma condition. »
Je sens une chaleur monter dans mon ventre, un mélange d’appréhension et d’excitation. Lentement, je glisse mes mains sous ma robe, mes doigts effleurant la dentelle. Je me tortille légèrement sur le siège, faisant glisser la culotte le long de mes jambes. Le tissu atterrit à mes pieds, et je le ramasse, le tenant entre mes doigts comme une preuve. « Satisfait ? » dis-je, un peu provocante, en le lui montrant avant de le glisser dans mon sac.
Michel éclate de rire, mais ses yeux s’attardent sur moi, plus sombres, plus intenses. « Pas mal, Lili. Pas mal du tout. »
Quelques kilomètres défilent sous les roues de la Porsche, le vent fouettant mes cheveux et caressant ma peau nue sous la robe. Je sens encore la fraîcheur du cuir contre mes cuisses, un rappel constant de mon audace. Michel conduit en silence, un sourire placide aux lèvres, comme si de rien n’était. Mais moi, je bouillonne. J’ai tenu ma part du marché, j’ai retiré cette fichue culotte sous ses yeux complices, et lui ? Pas un mot sur sa fameuse « réorientation sexuelle ». Juste ce ronronnement du moteur et des regards en coin qui me rendent folle.
« Allez, Michel, crache le morceau ! » je lance enfin, mi-agacée, mi-amusée, en croisant les bras sur ma poitrine. « Tu m’as fait faire un strip-tease en pleine campagne, et toi, tu restes muet comme une carpe ? C’est quoi, ce suspense ? »
Il rit doucement, sans quitter la route des yeux, mais je vois ses joues rosir légèrement sous sa barbe poivre et sel. « Patience, Lili. La vie sexuelle, c’est comme un bon vin : ça se déguste lentement. »
« Patience, mon œil ! » je rétorque, me penchant vers lui, ma robe glissant un peu sur mes épaules. « J’ai rempli ma part du marché. À toi, maintenant. »
Il ralentit la voiture sur une portion déserte de la route, bordée de haies épaisses et de champs endormis. Puis, d’un ton faussement innocent, il me jette : « D’accord, mais si tu veux en savoir plus, il faut que tu ailles plus loin. Retire ton soutien-gorge. »
Je m’étrangle presque. « Quoi ?! Michel, tu délires ! On est en pleine journée, sur une route ouverte ! » Mon cœur s’accélère, un mélange d’indignation et d’un frisson traître qui me chatouille le ventre. C’est absurde, c’est scandaleux… et pourtant, l’idée d’obéir, juste pour le voir craquer, me titille.
Il hausse les épaules, imperturbable. « C’est le jeu, Lili. Ou tu arrêtes tout là. »
Je le fixe un instant, les lèvres pincées, puis un rire nerveux m’échappe. « Tu es incorrigible, vieux filou. » Avec un soupir théâtral, je me contorsionne sur le siège, glissant les bretelles de ma robe pour libérer les agrafes dans mon dos. Le tissu en dentelle glisse, et je le fourre prestement dans mon sac, à côté de la culotte. Mes seins se libèrent, lourds et libres sous l’étoffe fine, et la robe, avec son encolure en V, laisse entrevoir un soupçon de décolleté, juste assez pour que le vent y danse.
Michel jette un coup d’œil discret, presque furtif, mais je le surprends. Ses yeux s’attardent une fraction de seconde sur la courbe de ma poitrine, et je sens une chaleur familière monter en moi. Il avale sa salive, détourne le regard, et accélère un peu. « Parfait, » murmure-t-il, la voix un peu rauque.
« Bon, et maintenant ? » je relance, triomphante, en ajustant ma robe d’une main. « J’ai fait ce que tu voulais. Raconte-moi tout : cette créativité, ces réorientations… Qu’est-ce qui a changé avec les kilos et l’âge ? Je veux des détails, Michel. J’ai payé le prix fort ! »
Il ne répond pas. Au lieu de ça, il attrape un petit sac à dos noir posé à l’arrière et me le tend, sans un mot. « Ouvre-le, » dit-il simplement, un éclat malicieux dans les yeux.
Intriguée, je tire sur la fermeture éclair. À l’intérieur, un trésor inattendu : un bandeau de soie noire pour les yeux, lisse et prometteur ; des pinces à tétons, argentées et menaçantes avec leurs petites chaînes ; une paire de menottes en cuir souple, bordées de velours ; une cravache fine, souple comme un serpent ; et, au fond, un plug anal élégant, en verre teinté, avec une base perlée qui scintille au soleil.
Je reste bouche bée un instant, puis un éclat de rire incontrôlable m’échappe. Je le regarde, hilare, en agitant le bandeau comme un drapeau. « Oh mon Dieu, Michel ! C’est ça, ta « réorientation » ? Un kit de domination pour touristes ? Tu comptes me transformer en soumise sur ta Porsche ? Avec ce bedon, tu vas me menotter à quoi, au levier de vitesse ? »
Il rit à son tour, un rire franc et bon enfant qui secoue son ventre, mais je vois une rougeur plus profonde sur ses joues. « Moque-toi tant que tu veux, Lili, mais avoue que ça t’intrigue. C’est pas de la performance brute, c’est de l’art. De la… créativité. »
Je secoue la tête, toujours riant, mais mes doigts s’attardent sur la cravache, imaginant déjà sa morsure légère sur la peau. Le vent s’engouffre, faisant voleter ma robe, et je sens mon corps répondre malgré moi – tétons durcis contre le tissu, un picotement entre les cuisses. « D’accord, maître du BDSM low-cost, » je le taquine, refermant le sac d’un geste théâtral. « Mais si tu veux que je joue, c’est toi qui commences à parler. Ou alors… on teste un de ces jouets ? »
Après ce moment de rire partagé, où je me moque encore un peu de son "kit de domination" improvisé, Michel reprend le sac d’un geste calme, presque solennel, et me le tend à nouveau. Ses yeux, derrière ses lunettes de soleil, sont plus intenses, comme s’il testait ma détermination. « C’est à toi de décider, Lili, » dit-il d’une voix basse, veloutée. « On joue, ou on arrête. Mais si on joue, tu acceptes les règles. Tu te soumets. Complètement. »
Je sens un frisson me parcourir l’échine, un mélange d’appréhension et d’excitation pure. J’ai toujours aimé l’inattendu, ces moments où la vie bascule dans l’imprévu, où les barrières tombent. Mon mariage routinier, mes aventures éphémères avec des femmes – rien n’a jamais été aussi audacieux que ça. « D’accord, » je murmure, ma voix un peu tremblante mais résolue. « On joue. Je me soumets. »
Un sourire victorieux illumine son visage bedonnant, et il fouille dans le sac pour en sortir les pinces à tétons – une chaîne fine reliant trois pinces argentées, comme un Y malicieux. Sans un mot, il tend la main vers mon décolleté, écartant doucement l’encolure de ma robe pour exposer mes seins nus, déjà durcis par l’air frais et l’anticipation. Il me fait signe de les placer moi-même : une sur chaque téton, et la troisième… il glisse un regard vers mon bas-ventre, indiquant clairement où elle doit aller.
Mes doigts tremblent légèrement en pinçant la première pince sur mon téton gauche. Une morsure vive, électrique, me fait haleter, mais la chaleur qui suit est enivrante. Puis la droite, symétrique, amplifiant la sensation. Pour la troisième, je relève un peu ma robe, exposant mon intimité humide au vent de la campagne. Je l’attache délicatement sur mon clitoris, et la chaîne tire légèrement, reliant tout mon corps en une ligne de feu sensuel. La douleur est aiguë au début, mais elle se mue rapidement en une pulsation chaude, qui irradie dans mon ventre. Michel observe, sa respiration plus lourde, et il ralentit encore la Porsche, comme pour savourer chaque seconde.
Nous roulons vers le centre de Stavelot, la petite ville belge avec ses rues pittoresques et ses passants du dimanche. Michel s’amuse à tourner lentement dans les artères les plus fréquentées, slalomant entre les terrasses de cafés et les promeneurs. Je sens les regards se poser sur nous – ou sur moi ? – à travers les vitres ouvertes. Ma robe est sage en apparence, mais la chaîne discrète sous le tissu, les pinces qui mordent, me font rougir. Un homme âgé nous fixe un peu trop longtemps depuis un banc ; une femme avec un chien hausse un sourcil. Michel rit sous cape, comme s’il voulait que le monde entier devine mon secret, que les passants aperçoivent l’éclat argenté si je bouge mal.
Soudain, il s’arrête sur une petite place ombragée, entourée de maisons anciennes. Le moteur se tait, et il fouille à nouveau dans le sac pour en sortir le plug anal, cet objet en métal lisse et teinté, plus imposant que dans mes souvenirs. Sans préambule, il le glisse directement dans ma bouche, ses doigts effleurant mes lèvres. « Humidifie-le bien, Lili, » murmure-t-il d’un ton autoritaire. « Et glisse-le au plus profond de toi. C’est à toi de le faire. »
Je ferme les yeux un instant, suçant l’objet froid, le réchauffant de ma salive pour faciliter l’insertion. Le goût métallique envahit ma bouche, et je sens l’excitation monter d’un cran. Je me tortille sur le siège, relevant ma robe jusqu’aux hanches, exposée dans cette place publique où n’importe qui pourrait passer. Mes doigts guident le plug vers mon anus, pressant doucement. Il est plus gros que prévu, étirant mes chairs avec une résistance qui me fait grimacer. Je pousse un petit gémissement étouffé, me contorsionnant pour l’enfoncer plus profond, jusqu’à ce que la base s’ajuste parfaitement, remplissant mon intimité d’une plénitude déchirante. La douleur est vive, comme un feu intérieur, mais elle se mêle à la morsure des pinces, créant une symphonie de sensations qui me submerge.
J’ai complètement oublié le pincement des crocs sur mes tétons durcis – ou plutôt, il s’est fondu dans cette vague croissante d’excitation. Mon entre-jambe s’humidifie, une chaleur liquide se répandant entre mes cuisses, trempant le cuir du siège. Michel redémarre, un sourire satisfait aux lèvres, et nous quittons la place pour nous engager dans des rues pavées, ces vieux chemins bosselés typiques de Stavelot.
Chaque cahot, chaque pavé irrégulier fait bouger le plug en moi, comme une déchirure au plus profond de mon être. Au début, c’est une torture exquise, un mélange de douleur et de plaisir qui me fait serrer les dents. Je m’agrippe au siège, mes ongles s’enfonçant dans le cuir, tandis que la chaîne des pinces tire avec chaque secousse, amplifiant tout. Mais au bout de quelques rues remuantes, la douleur s’estompe, remplacée par un plaisir lancinant, une pulsation qui monte en vagues. Je sens mon corps s’adapter, s’ouvrir, et un léger sourire effleure mes lèvres malgré moi.
Michel me jette un regard en coin, ralentissant à nouveau. « Alors, Lili ? Tu veux continuer, ou tu arrêtes ? » demande-t-il, sa voix rauque trahissant son propre désir.
Je le fixe, le souffle court, mon corps en feu. « Bien sûr que je veux continuer, » je réponds, presque suppliante, ma voix chargée d’une urgence que je ne reconnais pas. « Ne t’arrête pas maintenant, Michel. Pousse le jeu plus loin. »
On roule maintenant vers le circuit de Francorchamps, la route serpentant à travers les collines ardennaises, le vent portant l’odeur des pins et de la terre humide. Michel conduit avec une assurance croissante, ses mains serrées sur le volant, comme s’il savait exactement où nous mener. Bientôt, il bifurque sur un chemin discret, s’arrêtant à l’entrée d’un bois qui longe le RAVeL, cette voie verte qui relie Stavelot au circuit. Nous ne sommes pas visibles depuis la route en contrebas ; le chemin est purement forestier, enveloppé de silence, seulement troublé par le chant lointain des oiseaux et le bruissement des feuilles.
Une fois arrêté, Michel coupe le moteur et se tourne vers moi, son regard impérieux. « Descends, » m’ordonne-t-il d’une voix ferme, sans appel. Je m’exécute, mes jambes tremblantes sous l’effet du plug qui bouge encore en moi. Il ferme soigneusement sa Porsche, verrouillant les portes avec un bip électronique, et nous marchons lentement entre les arbres, ses pas mesurés contrastant avec les miens, hésitants. Chaque pas fait bouger le plug en moi, me dilatant de plus en plus, envoyant des ondes de plaisir mêlé de gêne à travers mon corps. Je ne sens plus les pinces ni sur mes tétons gonflés ni autour de mon clitoris ; elles se sont fondues dans cette marée montante d’excitation qui me submerge.
Nous arrivons à une petite clairière, un cercle d’herbe douce entouré de troncs centenaires, baigné d’une lumière filtrée par les branches. Michel s’arrête, me fixant intensément. « Enlève ta robe, » ordonne-t-il, sa voix résonnant dans le silence du bois. « Et dépose-la sur une branche. »
Je hésite une fraction de seconde, mais le jeu est lancé, et je me soumets. Mes mains tremblantes saisissent l’ourlet de la robe, la faisant glisser par-dessus ma tête. L’air frais caresse ma peau nue, mes seins lourds et mes hanches exposées au jour. Je la plie soigneusement et la pose sur une branche basse, me tenant là, vulnérable, avec seulement le plug et les pinces comme parure.
D’une voix ferme, il m’ordonne : « Montre-toi. Danse pour moi. »
Je commence doucement, me remuant au rythme imaginaire d’une musique intérieure, mes hanches ondulant, mes bras se levant pour caresser l’air. Me prenant au jeu, je tire ça et là sur la chaînette qui relie les pinces, chaque traction envoyant une décharge électrique à travers mon corps. J’ose même passer mes doigts sur mon bouton endolori, effleurant mon clitoris pincé, frottant doucement pour amplifier la sensation. Je ne sais si c’est le lieu – ce bois isolé, chargé de mystère –, l’attirail qui me transforme en objet de désir, ou le fait de me masturber en public, même si ce public n’est que Michel, mais je suis prise du plus violent orgasme que j’ai connu. Mon corps se convulse, des vagues de plaisir déferlant de mon sexe à mon anus, tous deux détrempés comme jamais. Ce jus chaud me coule le long des cuisses, laissant des traînées brillantes sur ma peau, et je gémis sans retenue, les yeux mi-clos.
Michel ne perd rien du spectacle, ses yeux rivés sur moi, sa respiration lourde. Il s’approche, son corps massif se dressant devant le mien, et retire les pinces sans ménagement. La sensation de brûlure contraste violemment avec l’extase que je viens de subir, me faisant haleter de douleur renouvelée. Il prend mes doigts, encore humides de mon plaisir, et me les fourre en bouche, en disant d’un ton sec : « Je ne t’avais pas donné l’autorisation de jouir maintenant. »
D’un geste décidé, il me repousse contre un arbre, l’écorce rugueuse mordant ma peau nue. Avec les menottes du sac, il m’attache à une branche basse, mes bras tendus au-dessus de ma tête. L’inquiétude se lit maintenant sur mon visage – me voilà suspendue comme un morceau de viande, toujours transpercée par ce gros plug, mon corps offert et vulnérable dans cette clairière isolée. Michel recule d’un pas, admirant son œuvre, un sourire sombre aux lèvres.
Michel se recule et finit par s’éloigner, disparaissant entre les arbres. Je reste seule dans ce sous-bois, même si je sais qu’il n’est pas loin ; moi, je ne le vois plus, je ne l’entends plus. Seule, attachée nue à un arbre, le temps ne passe pas et semble durer une éternité. Chaque craquement de branche ou bruit de feuille me fait être aux aguets, la peur d’être vue sans doute, ou la peur de tomber sur un inconnu pervers. Mon cœur bat la chamade, un mélange d’angoisse et d’une étrange excitation résiduelle, mais l’air frais sur ma peau nue me rappelle ma vulnérabilité totale.
Après un long moment qui me semble infini, Michel réapparaît enfin, émergeant des ombres comme un fantôme. J’avoue être soulagée, mon corps se détendant légèrement à sa vue familière. Mais mon excitation est retombée, et le plug me fait mal maintenant, une pression constante et douloureuse. Je demande donc, d’une voix plaintive, de pouvoir le retirer.
Michel me regarde, un éclat calculateur dans les yeux. « Ok, » dit-il calmement, « mais ce sera sans être détachée. »
Je comprends alors que c’est en poussant que je vais devoir l’expulser, sans l’aide de mes mains. Le regard de Michel est tellement insistant, chargé d’une autorité muette, que je n’ose pas rouspéter. Je m’appuie tant bien que mal sur l’arbre, l’écorce grattant mon dos, pliant légèrement mes jambes écartées pour trouver une position stable. Je me contracte, poussant de toutes mes forces pour expulser ce plug de mon anus. L’objet étant volumineux, je dois m’y reprendre à plusieurs reprises, mes muscles se tendant, mon visage rougissant sous l’effort. À force de pousser, je laisse échapper un long jet d’urine, chaud et incontrôlable, dégoulinant le long de mes cuisses en même temps que le plug tombe enfin par terre avec un bruit sourd. L’humiliation est totale, mais dans les yeux de Michel, je lis une satisfaction perverse qui ravive un frisson traître en moi.
Michel emporte mes vêtements, les pliant avec soin et les glissant dans son sac, me laissant là, encore attachée, sans un mot d’explication. Avant de partir définitivement, il fouille une dernière fois dans le sac et en sort un collier en cuir épais, orné d’un gros anneau métallique qui pend comme un pendentif menaçant. Il s’approche, ses doigts effleurant ma gorge, et l’attache autour de mon cou, serrant juste assez pour que je sente sa présence constante, comme un rappel de ma soumission. « Parfait, » murmure-t-il, un sourire sadique aux lèvres. Puis, il détache enfin les menottes, libérant mes bras endoloris.
« Rendez-vous au bout du chemin de terre qui passe entre les prairies, » dit-il d’un ton ferme, indiquant la direction d’un geste du menton. « C’est à environ 800 mètres d’ici. Je t’attends de l’autre côté avec la voiture. Ne traîne pas. »
Il tourne les talons, emportant le sac et mes vêtements, et disparaît vers la Porsche. J’entends le moteur ronronner au loin, puis s’éloigner. Me voilà complètement nue, avec ce collier de chien autour du cou, l’anneau froid cognant contre ma clavicule à chaque mouvement. La soirée tombe doucement, le ciel virant au crépuscule, mais la lumière résiduelle suffit pour que je sente visible si quelqu’un passe. Le chemin forestier se transforme en un sentier de terre battue, serpentant entre des prairies ouvertes, bordées de haies sporadiques qui offrent peu de couverture. Je dois me déplacer au risque de croiser quelqu’un – un promeneur, un joggeur, ou pire.
Le parcours commence dans le sous-bois, où les feuilles mortes craquent sous mes pieds nus, envoyant des picotements douloureux le long de mes plantes. Chaque pas me rappelle ma nudité : l’air frais caresse mes seins, durcit mes tétons encore sensibles des pinces, et effleure mon intimité humide et endolorie. Le collier pèse sur ma nuque, l’anneau tintant légèrement, comme un marqueur de ma déchéance. Mon anus palpite encore de l’expulsion du plug, une sensation de vide mêlée à une brûlure résiduelle, et les traces d’urine séchée collent à mes cuisses, me faisant me sentir sale, exposée. À mesure que je sors du bois, le sentier s’ouvre sur les prairies, l’herbe haute chatouillant mes mollets, et le vent du soir porte l’odeur de la terre humide, amplifiant ma vulnérabilité. Mon cœur bat à tout rompre, chaque bruit – un oiseau qui s’envole, un lointain aboiement – me fait sursauter, imaginant des yeux invisibles sur mon corps nu.
Soudain, au milieu du chemin, une rencontre honteuse surgit : un jeune homme, peut-être dans la vingtaine, apparaît au détour d’une courbe, promenant son chien sur le sentier. Il porte un jogging et des écouteurs, mais quand il me voit, il s’arrête net, les yeux écarquillés. Son regard glisse sur ma nudité totale, s’attardant sur mes seins, mon ventre, mes cuisses encore luisantes, et enfin sur le collier avec son anneau, qui me donne l’air d’une chienne en fuite. Je rougis violemment, essayant de croiser les bras pour me couvrir, mais c’est futile – je suis exposée, humiliée. Il bredouille quelque chose comme « Oh merde, excusez-moi ! », mais je vois un sourire en coin se former, un mélange de surprise et d’amusement pervers. Son chien tire sur la laisse, aboyant joyeusement, et il repart en jetant des regards par-dessus son épaule, me laissant mortifiée, les joues en feu, l’humiliation ravivant une chaleur traître entre mes jambes.
Cette rencontre me pousse à accélérer, mon empressement à retrouver le siège de la Porsche de Michel devenant désespéré. Je trottine presque, ignorant les cailloux qui mordent mes pieds, le collier rebondissant contre ma poitrine. Les 800 mètres me semblent infinis, mais enfin, au bout du chemin, j’aperçois la silhouette familière de la voiture, capote toujours baissée, et Michel assis au volant, un sourire victorieux aux lèvres. Je me précipite vers le siège passager, m’y laissant tomber avec un soulagement immense, le cuir frais apaisant ma peau échauffée. « Tu as été parfaite, » murmure-t-il, démarrant le moteur, et je sais que le jeu n’est pas encore fini.
Michel me ramène chez moi, la Porsche filant à travers les routes maintenant sombres, le vent du soir rafraîchissant ma peau encore nue. Il ne dit pas grand-chose pendant le trajet, mais ses regards en coin, chargés de satisfaction, me font frissonner. Arrivés devant ma maison, il s’arrête et fouille dans le sac pour en sortir ma robe, qu’il me tend avec un geste théâtral. « Tu peux te rhabiller, Lili, » dit-il d’un ton magnanime, « mais sans les sous-vêtements. Je les garde en trophée. Un souvenir de notre petite balade. »
Je rougis, mais j’obéis, enfilant la robe directement sur ma peau nue, sentant le tissu effleurer mes seins sensibles et mon intimité encore humide. L’absence de culotte et de soutien-gorge me rend consciente de chaque mouvement, comme si le jeu continuait même chez moi. En me déposant, Michel me remercie d’une voix chaude : « Merci pour cette journée inoubliable, Lili. Tu as été une soumise exemplaire. »
Puis, avec un clin d’œil complice, il ajoute : « Je te convie à une prochaine balade, entre porschistes avertis. On ira plus loin, je te le promets. »
Je sens un frisson d’anticipation me parcourir, malgré la fatigue et les courbatures. « J’en réjouirai d’avance, Michel, » je réponds, ma voix un peu rauque. « Je suis prête à recevoir les consignes pour le prochain rendez-vous. Dis-moi ce que je dois faire. »
Il rit doucement, démarre la voiture et s’éloigne dans la nuit, me laissant sur le seuil de ma porte, la robe flottant autour de moi, le collier encore autour de mon cou comme un secret partagé. Cette balade n’était que le début, et je sais déjà que j’attends la suite avec une impatience fiévreuse.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Encore une histoire écrite pour essayer de faire bander des libidineux impuissants...
Soumettre et humilier une femme, quel plaisir !..
L'auteur nous fait croire au consentement de cette pauvre femme, il doit rêver lui aussi.
A vomir.
Soumettre et humilier une femme, quel plaisir !..
L'auteur nous fait croire au consentement de cette pauvre femme, il doit rêver lui aussi.
A vomir.
