Week-end au Camping la licorne
Récit érotique écrit par Lili1972 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-06-2023 dans la catégorie Pour la première fois
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Week-end au Camping la licorne
Je m'appelle Lili, j'ai 52 ans mariée depuis toujours, 1m62 65 kg, des cheveux châtains.. Ma vie intime s'est éteinte au fur et à mesure de la routine quotidienne. Les enfants sont grands, mon mari bedonnant et j'ai envie de profiter des plaisirs et de vivre à nouveau. Fantasmer, je l'ai toujours fait, mais jamais plus loin que seule dans mon lit avec mes jouets préférés. Passer à l'acte, je n'aurais jamais dû dire jamais, en fait c'est comme pour tout, le première fois est toujours la plus difficile, après cela passe tout seul (lol). Je vais donc vous raconter mes expériences vécues, avec le bien et le moins bien. Puisse ces récits vous inspirer mesdames, ou vous faire exploser messieurs.
Week-end au camping.
Mon mari et moi avons pris l'habitude de partir en camping-car dès qu'un beau week-end s'annonce. Cette fois nous sommes dans un camping près de Dunkerque le long des dunes. L'activité du week-end est simple repos et apéro. Mon mari dort dans le transat et moi je m'allonge sur le lit surélevé du camping-car. Le soleil étant de la partie je me mets à mon aise, en culotte et soutien-gorge, rien de plus et m'installe au-dessus des draps. Il fait chaud et je ne trouve pas le sommeil. Afin de faire circuler l'air j'ouvre la fenêtre et écarte le fin voile blanc. Un discret courant d'air s'écoule contre ma peau. Mais rien n'y fait, pas envie de dormir. C'est donc assez banalement que mes mains parcourent mon corps des hanches jusqu'au cou. Le passage de mon bras contre mon téton l'a fait se durcir subitement, et c'est naturellement que je glisse la main dans mon soutif pour aller le titiller délicatement . Aimant beaucoup jouer avec mes seins j'entreprends d'oublier la délicatesse et de commencer à pincer ces tétons si rebelles. Je passe de l'un à l'autre en serrant de plus en plus mes doigts sur cette adorable turgescence. ce petit jeu à vite fait de me mettre le feu dans la culotte, couchée sur le dos, je plie les genoux et écarte correctement les cuisses. Ma culotte est humide et ma vulve dégoulinante. Aussitôt ma main droite écarte le bout de tissus gênant et effectue de grands va er vient sur ma chatte épilée. Les doigts sont vites dégoulinant et ne pouvant les essuyer sur les draps, je me fais un plaisir de les lécher. Mais cela ne me suffit pas , je commence alors à titiller mon bouton magique de bas et haut et ensuite avec une alternance de mouvements circulaires et de pressions bien ajustée
Je sens mon sexe dégoulinant et décide d'y enfoncer 1 puis 2 doigts. Mon autre main a remonté mon soutien-gorge jusqu'au épaules et serre fermement mon sein gauche j'ai toujours apprécié que l'on joue avec mes seins surtout avec fermeté. Mon mari n'y touchant plus j'ai continué seule. Il m'arrive d'y mettre des pinces à linge ou de les étirer au maximum ou encore de les serrer fort. Cela a toujours décuplé mes sensations lorsque je me masturbe. Autant dire qu'à ce moment plus rien ne compte sauf le chemin qui m'amènera à la jouissance. mes doigts s'agitent dans ma chatte et ma mouille dégouline de plus belle. Essayant de rattraper ce filet humide avec qu'il ne laisse des traces de mon plaisir solitaire, je frôle ma rondelle inondée, elle est chaude et déjà souple. Mon index s'y aventure très vite et est rejoint par le majeur. Autant vous dire qu'avec le téton torturé et deux doigts dans le cul, il ne me faut pas longtemps pour atteindre l'orgasme. Heureusement je ne suis pas bruyante quand je prends mon pied.
Il me faut 2-3 minutes pour reprendre mes esprits et étendre mes jambes. C'est à ce moment précis que je m'aperçois qu'un camping-car est venu s'installer parallèlement au nôtre sur la parcelle d'à côté et que le monsieur me sourit. Je ne sais pas quand il est arrivé ou ce qu'il a pu apercevoir, mais j'avoue que je ne sais pas pressée de me relever de ma sieste.
Le temps s'écoule et j'écoute mon mari discuter avec le couple qui s'installe à côté. Ils échangent des banalités puis mon mari leur propose de prendre l'apéritif avec nous ce soir. Il ne se doute pas de ce qui a pu se passer juste avant et moi je n'ai aucun argument avouable pour m'y opposer.
Il est 18h et je ne suis pas encore sortie de ma couchette et mon mari commence à m'appeler avec insistance. J'enfile donc la première robe accessible et me présente autour de la table de jardin. C'est une petite robe légère sans décolleté particulier et qui s'arrête au-dessus du genou la robe type de la bonne épouse quoi.
Je n'ose pas regarder nos invités un couple dans la cinquantaine comme nous, mais qui a un superbe camping-car
Poliment je leur serre la main, le regard fuyant et quelle ne fut pas ma surprise lorsque notre voisin me complimente sur la beauté et la longueur de mes doigts. Et pire il renifle ses doigts après m'avoir serré la main, comme s'il traquait une odeur. Je deviens rouge écarlate, ce qui intrigue mon mati qui me demande ce qu'il se passe. Je lui réponds que c'est dû à la chaleur de l'après-midi. Directement le voisin confirme en disant qu'en effet il avait fait fort chaud cet après-midi.
Marie, l'épouse de Paul (oui le voisin s'appelle Paul) est une souriante petite bonne femme, pas très sexy, quelques kilos en trop mais avec une vraie poitrine (enfin par rapport à mon bonnet B).
Nous discutons de tout et de rien et finalement j'arrive à les regarder normalement même si le sourire de Paul m'intrigue, mais bon ce qui est fait est fait
Leur camping-car semble gigantesque et je leur fais part de ma curiosité. Ni une ni deux, Paul me propose de venir le visiter. C'est en répondant spontanément oui avec plaisir que je me rends compte que je viens d'accepter d'aller dans le camping-car d'un couple qui m'a peut-être vue avec 2 doigts dans le cul en train d'étirer mon téton de toutes mes forces. Mais bon sa femme et mon mari sont là , il sera facile de me défiler si problème.
Poliment il me propose de passer devant pour rentrer dans le camping-car, ce que je fis tout en me doutant, qu'au-delà de la galanterie il voulait surtout mater mes fesses dodues. "Quelles jolies courbes vous avez" me dit-il en refermant la porte. "Quel beau camping-car vous avez là " lui dis-je. L'espace est vraiment bien conçu et le lit est également en hauteur (au-dessus de la soute). Le ton de Paul a changé et je sens son souffle dans mon cou. Avant que je ne puisse dire quoi que ce soit ses mains remontent le long de mes cuisses et soulèvent ma robe."chuuut" me dit-il, "monte les 2 marches vers le lit petite cochonne, c'est l'heure de ma visite " pétrifiée je m'exécute, un sentiment entre la peur et l'excitation me traverse. Paul a maintenant mon cul à hauteur de son visage. D'un geste rapide il descend et enlève ma culotte, ses mains agrippent mes fesses et les écartes sans ménagement. Me voilà à moitié nue, la rondelle exposée à un homme que je connais pas. Plutôt que d'appeler ou de fuir, je me surprend à me pencher en avant et à écarter les jambes. Je sens le feu envahir mon ventre et l'impatience venir. Après avoir bien admiré mon petit trou, j'ai senti sa langue glisser dans le pli pour venir se poser sur mon orifice auréolé. Après un timide baiser sur la fesse, sa langue a commencé à venir titiller mon trou et à se faire un passage afin d'y pénétrer. Jamais quelqu'un ne m'avait léché l'anus et j'avoue que c'était divin, je souhaitais que cet instant dure le plus longtemps possible
A peine a t-il retiré sa langue que j'entendis son short tomber, et son gland venir appuyer sur ma rondelle. Bien que je sois quelqu'un qui prend beaucoup de plaisir à être sodomisée, l'être par un inconnu dans un camping-car avec nos conjoint juste à côté était très perturbant. Paul, lui n'a pas hésité, et d'un coup de rein maîtrisé il a enfoncé sa bite dans mon cul jusqu'au couilles du premier coup. Waouw, cette sensation d'être prise est divine et pas trop douloureuse (il faut dire que mes doigts et sa langue avaient bien préparé le terrain.). Il commença à me labourer le fion lentement en profondeur jusqu'à ce que je le sente éjaculer dans mon fondement. J'avais l'impression que les giclèes ne s'arrêteraient jamais
Lorsque Paul ressorti son membre, je sentais un courant d'air me parcourir les reins et le foutre dégouliner.
"Interdiction de remettre ta culotte" me lança-t-il, "viens, on sort et je veux voir mon sperme couler sur tes jambes" avant que je réagisse il avait ouvert la porte et me poussait devant lui.
"Alors comment c'est dedans ?" Interrogea mon mari.
"Très grand et confortable, une fois dedans c'est géant" lui répondis je. Curieusement personne ne lui a proposé une visite guidée.
Paul et sa femme se regardaient en souriant, un doute s'est installé en moi.
L'apéritif s'est mué en repas improvisé moi sans culotte, et l'anus dilaté qui laissait s'écouler le sperme toujours chaud. Mon mari me demandant régulièrement pourquoi j'étais assise bizarrement, difficile de lui que je venais de me faire enculer par la grosse bite du voisin. Heureusement il n'a pas remarqué la coulée sur mes cuisses. Coulée qui n'a cependant pas échappé à la femme de Paul qui me souriait et me regardait intensément
Pendant que les hommes parlaient foot, elle me proposa de m'accompagner aux sanitaires afin de prendre une douche pour chasser cette moiteur. J'acceptais avec soulagement, l'idée de pouvoir enfin effacer les traces de son mari m'aidait à avancer.
Nous partîmes donc ensemble nous rafraîchir aux douches.
Arrivées sur place, c'est l'heure de pointe. Plus de cabine disponible après hésitation nous entrons dans la cabine pmr car pas de personne à mobilité réduite en vue, et il faut vraiment que je me débarrasse du sperme séché.
A peine entrée elle me demande si je me suis bien amusé avec son mari. Je ne sais pas quoi dire. Elle soulève ma robe et me dit "et ça c'est quoi? Tu ne savais pas t'asseoir et ton cul est toujours dilaté, à mon tour maintenant !" Elle enlève le peu de robe qui me restait et arrache mon soutif. Me voilà complètement nue devant elle. "Écarte les jambes et penche toi en avant salope!" Je m'exécute sans broncher, et je prends appui sur les parois pour bien exposer ma rondelle. Elle fouille alors son sac pour un sortir un gros plug argenté avec un gros brillant mauve. "Lèche le avant qu'il ne soit dans ton cul" après l'avoir mis dans ma bouche et elle me le plante d'un coup dans les fesses. Il est gros et tient bien en place . D'une main ferme elle me retourne face à elle, son regard me fait peur car il a quelque chose de sévère et vicieux. Elle attrape mes tétons et les pince sans aucun ménagement. "Tu aimes çà salope! Ecartes tes cuisses que je voie si ta chatte est digne de moi" Avant que j'aie eu le temps de bouger, sa main s'abat sur mon sexe. "Ecarte je te dis!" Tremblante j'obéis immédiatement cette fois. Avec l'âge, mes grandes lèvres sont pendantes et ma fente n'est plus aussi ferme qu'à mes 20 ans, mais j'ai toujours pris soin d'être parfaitement épilée. "Pas très ferme tout cela me lance-t-elle, je vais arranger cela!" Elle sort alors une poignée de pinces à linges de son sac, aussitôt je comprends ce qui m'attends. Sans ménagement elle attrape mes grandes lèvres et y accroche 2 puis trois pinces sur chaque. La sensation de brûlure est intense, mais la fréquentation des douches du camping m'empêchent de lâcher le moindre gémissement. Ma vulve se retrouve bordée de pinces et la sensation de brûlure s'atténue, Marie commence alors à me frotter le clitoris délicatement avant d'y aller franchement et de me masturber à pleine main. L'anus dilaté par le plug et le sexe torturé, je commence à sentir le plaisir monter en moi et esquisse un timide sourire en la regardant. "Déshabille moi petite pute!" me lance-t-elle. 2 boutons plus tard elle est dans la même tenue d'Eve que moi. Ses seins sont magnifiques avec de gros tétons.
"A genou feignante bouffe moi la chatte!" Ses mots sont accompagnés d'un tirage de cheveux dans les règles. Je n'ai jamais été avec une femme et refuse de lui obéir la sanction fut immédiate une baffe s'abat sur chacun de mes seins. "Alors, dépêche-toi!" Me lance-t-elle. La position est très inconfortable au vu des pinces sur mon sexe. J'approche alors timidement ma bouche de sa vulve béante, son clitoris est tellement saillant que je ne vois que lui, elle se cambre légèrement et je commence un timide léchage de son sexe. Curieusement le goût ne me dégoûte pas. "Ouvre bien ta bouche de pute" je comprends alors qu'elle veut m'humilier pour avoir céder à son mari. Avec ses doigts elle tire sur son sexe et commence à me pisser dans la bouche, je recrache et reçoit une baffe pour mon insolence.
Une fois sa miction finie, elle me relève et arrache sans ménagement les pinces à linge. La douleur fut terrible, mais la délivrance était cependant réconfortante. Marie m'ordonne ensuite de remettre ma robe "tu as eu la douche que tu méritais ! Tu resteras ainsi jusqu'à demain et hors de question de retirer ton bijou anal!".
Nous retournons alors près de nos maris, le plug me dilate à chaque pas et ma chatte me brûle, mais j'ai vécu la journée la plus chaude de ma vie. Nous retournons chacun nous coucher moi toujours couverte de sperme et de pisse séchée et le cul dilaté. Je me demande ce que dirais mon mari si je lui disais, lui qui a toujours voulu me soumettre. Je me suis couchée en nuisette rose, sans culotte, afin de laisser reposer mon sexe. Je passe cependant ma main dans ma fente et découvre avec délectation des sensations jusque-là inconnues, sensations qui ne me quitteront pas de toute la nuit.
Week-end au camping.
Mon mari et moi avons pris l'habitude de partir en camping-car dès qu'un beau week-end s'annonce. Cette fois nous sommes dans un camping près de Dunkerque le long des dunes. L'activité du week-end est simple repos et apéro. Mon mari dort dans le transat et moi je m'allonge sur le lit surélevé du camping-car. Le soleil étant de la partie je me mets à mon aise, en culotte et soutien-gorge, rien de plus et m'installe au-dessus des draps. Il fait chaud et je ne trouve pas le sommeil. Afin de faire circuler l'air j'ouvre la fenêtre et écarte le fin voile blanc. Un discret courant d'air s'écoule contre ma peau. Mais rien n'y fait, pas envie de dormir. C'est donc assez banalement que mes mains parcourent mon corps des hanches jusqu'au cou. Le passage de mon bras contre mon téton l'a fait se durcir subitement, et c'est naturellement que je glisse la main dans mon soutif pour aller le titiller délicatement . Aimant beaucoup jouer avec mes seins j'entreprends d'oublier la délicatesse et de commencer à pincer ces tétons si rebelles. Je passe de l'un à l'autre en serrant de plus en plus mes doigts sur cette adorable turgescence. ce petit jeu à vite fait de me mettre le feu dans la culotte, couchée sur le dos, je plie les genoux et écarte correctement les cuisses. Ma culotte est humide et ma vulve dégoulinante. Aussitôt ma main droite écarte le bout de tissus gênant et effectue de grands va er vient sur ma chatte épilée. Les doigts sont vites dégoulinant et ne pouvant les essuyer sur les draps, je me fais un plaisir de les lécher. Mais cela ne me suffit pas , je commence alors à titiller mon bouton magique de bas et haut et ensuite avec une alternance de mouvements circulaires et de pressions bien ajustée
Je sens mon sexe dégoulinant et décide d'y enfoncer 1 puis 2 doigts. Mon autre main a remonté mon soutien-gorge jusqu'au épaules et serre fermement mon sein gauche j'ai toujours apprécié que l'on joue avec mes seins surtout avec fermeté. Mon mari n'y touchant plus j'ai continué seule. Il m'arrive d'y mettre des pinces à linge ou de les étirer au maximum ou encore de les serrer fort. Cela a toujours décuplé mes sensations lorsque je me masturbe. Autant dire qu'à ce moment plus rien ne compte sauf le chemin qui m'amènera à la jouissance. mes doigts s'agitent dans ma chatte et ma mouille dégouline de plus belle. Essayant de rattraper ce filet humide avec qu'il ne laisse des traces de mon plaisir solitaire, je frôle ma rondelle inondée, elle est chaude et déjà souple. Mon index s'y aventure très vite et est rejoint par le majeur. Autant vous dire qu'avec le téton torturé et deux doigts dans le cul, il ne me faut pas longtemps pour atteindre l'orgasme. Heureusement je ne suis pas bruyante quand je prends mon pied.
Il me faut 2-3 minutes pour reprendre mes esprits et étendre mes jambes. C'est à ce moment précis que je m'aperçois qu'un camping-car est venu s'installer parallèlement au nôtre sur la parcelle d'à côté et que le monsieur me sourit. Je ne sais pas quand il est arrivé ou ce qu'il a pu apercevoir, mais j'avoue que je ne sais pas pressée de me relever de ma sieste.
Le temps s'écoule et j'écoute mon mari discuter avec le couple qui s'installe à côté. Ils échangent des banalités puis mon mari leur propose de prendre l'apéritif avec nous ce soir. Il ne se doute pas de ce qui a pu se passer juste avant et moi je n'ai aucun argument avouable pour m'y opposer.
Il est 18h et je ne suis pas encore sortie de ma couchette et mon mari commence à m'appeler avec insistance. J'enfile donc la première robe accessible et me présente autour de la table de jardin. C'est une petite robe légère sans décolleté particulier et qui s'arrête au-dessus du genou la robe type de la bonne épouse quoi.
Je n'ose pas regarder nos invités un couple dans la cinquantaine comme nous, mais qui a un superbe camping-car
Poliment je leur serre la main, le regard fuyant et quelle ne fut pas ma surprise lorsque notre voisin me complimente sur la beauté et la longueur de mes doigts. Et pire il renifle ses doigts après m'avoir serré la main, comme s'il traquait une odeur. Je deviens rouge écarlate, ce qui intrigue mon mati qui me demande ce qu'il se passe. Je lui réponds que c'est dû à la chaleur de l'après-midi. Directement le voisin confirme en disant qu'en effet il avait fait fort chaud cet après-midi.
Marie, l'épouse de Paul (oui le voisin s'appelle Paul) est une souriante petite bonne femme, pas très sexy, quelques kilos en trop mais avec une vraie poitrine (enfin par rapport à mon bonnet B).
Nous discutons de tout et de rien et finalement j'arrive à les regarder normalement même si le sourire de Paul m'intrigue, mais bon ce qui est fait est fait
Leur camping-car semble gigantesque et je leur fais part de ma curiosité. Ni une ni deux, Paul me propose de venir le visiter. C'est en répondant spontanément oui avec plaisir que je me rends compte que je viens d'accepter d'aller dans le camping-car d'un couple qui m'a peut-être vue avec 2 doigts dans le cul en train d'étirer mon téton de toutes mes forces. Mais bon sa femme et mon mari sont là , il sera facile de me défiler si problème.
Poliment il me propose de passer devant pour rentrer dans le camping-car, ce que je fis tout en me doutant, qu'au-delà de la galanterie il voulait surtout mater mes fesses dodues. "Quelles jolies courbes vous avez" me dit-il en refermant la porte. "Quel beau camping-car vous avez là " lui dis-je. L'espace est vraiment bien conçu et le lit est également en hauteur (au-dessus de la soute). Le ton de Paul a changé et je sens son souffle dans mon cou. Avant que je ne puisse dire quoi que ce soit ses mains remontent le long de mes cuisses et soulèvent ma robe."chuuut" me dit-il, "monte les 2 marches vers le lit petite cochonne, c'est l'heure de ma visite " pétrifiée je m'exécute, un sentiment entre la peur et l'excitation me traverse. Paul a maintenant mon cul à hauteur de son visage. D'un geste rapide il descend et enlève ma culotte, ses mains agrippent mes fesses et les écartes sans ménagement. Me voilà à moitié nue, la rondelle exposée à un homme que je connais pas. Plutôt que d'appeler ou de fuir, je me surprend à me pencher en avant et à écarter les jambes. Je sens le feu envahir mon ventre et l'impatience venir. Après avoir bien admiré mon petit trou, j'ai senti sa langue glisser dans le pli pour venir se poser sur mon orifice auréolé. Après un timide baiser sur la fesse, sa langue a commencé à venir titiller mon trou et à se faire un passage afin d'y pénétrer. Jamais quelqu'un ne m'avait léché l'anus et j'avoue que c'était divin, je souhaitais que cet instant dure le plus longtemps possible
A peine a t-il retiré sa langue que j'entendis son short tomber, et son gland venir appuyer sur ma rondelle. Bien que je sois quelqu'un qui prend beaucoup de plaisir à être sodomisée, l'être par un inconnu dans un camping-car avec nos conjoint juste à côté était très perturbant. Paul, lui n'a pas hésité, et d'un coup de rein maîtrisé il a enfoncé sa bite dans mon cul jusqu'au couilles du premier coup. Waouw, cette sensation d'être prise est divine et pas trop douloureuse (il faut dire que mes doigts et sa langue avaient bien préparé le terrain.). Il commença à me labourer le fion lentement en profondeur jusqu'à ce que je le sente éjaculer dans mon fondement. J'avais l'impression que les giclèes ne s'arrêteraient jamais
Lorsque Paul ressorti son membre, je sentais un courant d'air me parcourir les reins et le foutre dégouliner.
"Interdiction de remettre ta culotte" me lança-t-il, "viens, on sort et je veux voir mon sperme couler sur tes jambes" avant que je réagisse il avait ouvert la porte et me poussait devant lui.
"Alors comment c'est dedans ?" Interrogea mon mari.
"Très grand et confortable, une fois dedans c'est géant" lui répondis je. Curieusement personne ne lui a proposé une visite guidée.
Paul et sa femme se regardaient en souriant, un doute s'est installé en moi.
L'apéritif s'est mué en repas improvisé moi sans culotte, et l'anus dilaté qui laissait s'écouler le sperme toujours chaud. Mon mari me demandant régulièrement pourquoi j'étais assise bizarrement, difficile de lui que je venais de me faire enculer par la grosse bite du voisin. Heureusement il n'a pas remarqué la coulée sur mes cuisses. Coulée qui n'a cependant pas échappé à la femme de Paul qui me souriait et me regardait intensément
Pendant que les hommes parlaient foot, elle me proposa de m'accompagner aux sanitaires afin de prendre une douche pour chasser cette moiteur. J'acceptais avec soulagement, l'idée de pouvoir enfin effacer les traces de son mari m'aidait à avancer.
Nous partîmes donc ensemble nous rafraîchir aux douches.
Arrivées sur place, c'est l'heure de pointe. Plus de cabine disponible après hésitation nous entrons dans la cabine pmr car pas de personne à mobilité réduite en vue, et il faut vraiment que je me débarrasse du sperme séché.
A peine entrée elle me demande si je me suis bien amusé avec son mari. Je ne sais pas quoi dire. Elle soulève ma robe et me dit "et ça c'est quoi? Tu ne savais pas t'asseoir et ton cul est toujours dilaté, à mon tour maintenant !" Elle enlève le peu de robe qui me restait et arrache mon soutif. Me voilà complètement nue devant elle. "Écarte les jambes et penche toi en avant salope!" Je m'exécute sans broncher, et je prends appui sur les parois pour bien exposer ma rondelle. Elle fouille alors son sac pour un sortir un gros plug argenté avec un gros brillant mauve. "Lèche le avant qu'il ne soit dans ton cul" après l'avoir mis dans ma bouche et elle me le plante d'un coup dans les fesses. Il est gros et tient bien en place . D'une main ferme elle me retourne face à elle, son regard me fait peur car il a quelque chose de sévère et vicieux. Elle attrape mes tétons et les pince sans aucun ménagement. "Tu aimes çà salope! Ecartes tes cuisses que je voie si ta chatte est digne de moi" Avant que j'aie eu le temps de bouger, sa main s'abat sur mon sexe. "Ecarte je te dis!" Tremblante j'obéis immédiatement cette fois. Avec l'âge, mes grandes lèvres sont pendantes et ma fente n'est plus aussi ferme qu'à mes 20 ans, mais j'ai toujours pris soin d'être parfaitement épilée. "Pas très ferme tout cela me lance-t-elle, je vais arranger cela!" Elle sort alors une poignée de pinces à linges de son sac, aussitôt je comprends ce qui m'attends. Sans ménagement elle attrape mes grandes lèvres et y accroche 2 puis trois pinces sur chaque. La sensation de brûlure est intense, mais la fréquentation des douches du camping m'empêchent de lâcher le moindre gémissement. Ma vulve se retrouve bordée de pinces et la sensation de brûlure s'atténue, Marie commence alors à me frotter le clitoris délicatement avant d'y aller franchement et de me masturber à pleine main. L'anus dilaté par le plug et le sexe torturé, je commence à sentir le plaisir monter en moi et esquisse un timide sourire en la regardant. "Déshabille moi petite pute!" me lance-t-elle. 2 boutons plus tard elle est dans la même tenue d'Eve que moi. Ses seins sont magnifiques avec de gros tétons.
"A genou feignante bouffe moi la chatte!" Ses mots sont accompagnés d'un tirage de cheveux dans les règles. Je n'ai jamais été avec une femme et refuse de lui obéir la sanction fut immédiate une baffe s'abat sur chacun de mes seins. "Alors, dépêche-toi!" Me lance-t-elle. La position est très inconfortable au vu des pinces sur mon sexe. J'approche alors timidement ma bouche de sa vulve béante, son clitoris est tellement saillant que je ne vois que lui, elle se cambre légèrement et je commence un timide léchage de son sexe. Curieusement le goût ne me dégoûte pas. "Ouvre bien ta bouche de pute" je comprends alors qu'elle veut m'humilier pour avoir céder à son mari. Avec ses doigts elle tire sur son sexe et commence à me pisser dans la bouche, je recrache et reçoit une baffe pour mon insolence.
Une fois sa miction finie, elle me relève et arrache sans ménagement les pinces à linge. La douleur fut terrible, mais la délivrance était cependant réconfortante. Marie m'ordonne ensuite de remettre ma robe "tu as eu la douche que tu méritais ! Tu resteras ainsi jusqu'à demain et hors de question de retirer ton bijou anal!".
Nous retournons alors près de nos maris, le plug me dilate à chaque pas et ma chatte me brûle, mais j'ai vécu la journée la plus chaude de ma vie. Nous retournons chacun nous coucher moi toujours couverte de sperme et de pisse séchée et le cul dilaté. Je me demande ce que dirais mon mari si je lui disais, lui qui a toujours voulu me soumettre. Je me suis couchée en nuisette rose, sans culotte, afin de laisser reposer mon sexe. Je passe cependant ma main dans ma fente et découvre avec délectation des sensations jusque-là inconnues, sensations qui ne me quitteront pas de toute la nuit.
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11 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
tres excitant j'attents la suite!
John La Semelle a eu un très grand plaisir à la lecture de ce récit, et si d'aventure il y a une suite, on va se régaler avec une trique en main.
Trés belle histoire
Bonjour .
Merci pour cette magnifique histoire .
Vivement la suite .
Franck
Merci pour cette magnifique histoire .
Vivement la suite .
Franck
Bonjour .
Merci pour cette magnifique histoire .
Vivement la suite .
Franck
Merci pour cette magnifique histoire .
Vivement la suite .
Franck
excitante, mais entre les femmes rude et un gout de vengeance !
Moi j'ai beaucoup aimé jjsqu'au moment avec la femme. Que ça plaise ou pas ça sert à rien d'être méprisant, que se soit réel ou irréel qu'est ce que ça peux faire, va les ecrires toi les histoires au lieu de cracher sjr ceux qui écrivent.
Récit très sympa, hâte de lire la suite de vos aventures
Pisse froid non je suis réaliste. Elle se plaint de son mari mais ne fait rien pour changer la situation.
Ensuite elle nique sans capotes histoire de te fourguer des MST.
J’ai donc raison que ça vous plaise ou pas.
Ensuite elle nique sans capotes histoire de te fourguer des MST.
J’ai donc raison que ça vous plaise ou pas.
Très excitant. A suivre. N’écoutez pas le commentaire pisse-froid précédent.
Je m’attendais à de la complicité au final que dalle. Ce n’est pas du candaulisme mais de l’adultère.
Bref encore 1 bourgeoise coincée du cul qui se plaint de son mari et ne branle rien pour autant pour changer la situation.
Par contre pour niquer sans capotes avec les risques encourus ça elle sait le faire.
Bref encore 1 bourgeoise coincée du cul qui se plaint de son mari et ne branle rien pour autant pour changer la situation.
Par contre pour niquer sans capotes avec les risques encourus ça elle sait le faire.