Couple complice - Baise Hard - histoire érotique

- J’ai envie que tu me baises- Hein ?

Nous étions devant la télé à regarder une série, moi allongé dans notre canapé d’angle et Marie, assise sur le canapé, les genoux remontés, les pieds sur le canapé, une couverture sur ses jambes.

- Tu as bien entendu. J’ai envie que tu me baises. Pas me faire l’amour, mais que tu me baises.

Nous avions décidé depuis quelques temps, de nous mettre en pause sur nos jeux de baise et de reprendre des rapports amoureux, d’échanges plus soft. Ça faisait deux mois que nos rapports étaient plus orientés amour et caresse. Nous avions remarqué jusque là, que nos rapports étaient devenus plus hard.

- J’ai envie d’être baisée, ça me manque !
- Ok, quand tu veux, je suis toujours partant, tu le sais- Maintenant alors !
- Euh, c’était soirée calme ce soir, non …
Sur ces mots, Marie enleva la couverture et écarta ses jambesElle avait pris sa douche. Elle était en tee-shirt et petite culotte.
J’ai tout de suite remarqué que sa petite culotte était mise sur le côté, laissant libre sa chatte déjà ouverte.

- eh bein , tu étais en train de te caresser ?
- Oui, j’ai une boule de feu dans le ventre. Baise moi maintenant- Te baiser ma chérie….. comment tu veux être baisée ?
- Comme tu sais faire- A ma façon ?
- Oui- Tout ce que j’ai envie ?
- Oui, dans les limites que tu connais …- On verra bien. Tu utiliseras le mot magique si je vais trop loin.
- Oui
Elle se caressait la chatte, écartant ses lèvres. Elle était déjà toute mouillée.

- déshabille toi entièrement
Marie se leva, enleva son tee-shirt et sa petite culotte.

- et maintenant, tu vas faire ce que je te dis.
- Oui- Monte à la douche. J’arrive
Marie monta à la douche.
Je passais récupérer ma camera dans mon bureau.

Dans la salle de bains, Marie était debout dans la douche et attendait sagement, tout en caressant ses lèvres.

- agenouille toi- Comme ça - Oui comme ça, écarte les cuisses que je vois bien ta chatte. Penche toi en arrière sur tes mains.

Marie avait pris sa pose impudique, offrant sa chatte à ma vue.

Je démarrais la camera
- Pisse- Je vais essayer- Je te prépare un entraînement de championne. Je veux pouvoir t’emmener en forêt, pisser comme une chienne devant des voyeurs
C’était le fantasme de Marie. Être sous mon contrôle total, lui exigeant de faire des choses impudiques, devant un parterre de voyeurs en foret, chacun ayant sorti sa queue et se masturbant.

Le jet sorti de son sexe, chaud, abondant, puis diminuant, jusqu’a couler le long de ses cuisses.

- C’est bien ma championne. Tu les vois déjà, tous ses voyeurs excités par ton impudeur.
- Oh oui.
- Remets toi agenouillé, les cuisses écartés. Montre à tout le monde, comme tu es chienne quand tu es excitée. Branle toi la chatte.

Marie recommença à se caresser.

- bien. Fais bien la femelle. Prends tes seins, pince tes tétons. Joue avec tes mamelles.

Marie s’exécutait. Elle me regardait droit dans les yeux, tripotant ses seins et sa chatte.

- a 4 pattes maintenant.
- Oui, que vas tu me faire ? Ne me laisse pas comme ça, ma chatte veut être caressée.
- Cambre bien, je vais préparer ton cul à recevoir un plug.

Je pris du lubrifiant et commença à lui caresser sa jolie rondelle rose. Puis je poussa un doigt et deux, pour la dilater. Enfin, vient le plug qu’elle avala d’un coup, preuve de son excitation.
La camera tournait toujours.

- branle toi la chatte. Montre à ces messieurs comment ton cul encaisse bien les plugs. Donne leur envie de venir remplacer ton plug avec leur bite. Tourne la tête qu’on voit bien ton visage.

Marie accéléra ses caresses sur la chatte, bougeant son bassin, faisant danser son fessier, montrant bien le plug planté dans son cul et son visage excité qui faisait d’elle, une belle salope.

- C’est bien. Tu es une bonne femelle obéissante. Ce petit film de promotion va nous assurer beaucoup de voyeurs. Ça va attirer tous les baiseurs du coin. Ça va être un bain de sperme pour toi.
- Oh oui, j’ai hâte.
- Tu en veux combien des queues autour de toi.
- Hummmm, une dizaine.
- Une dizaine à t’arroser de leur foutre.
- Oui, hummmm et a me baiser devant toi.
- A te baiser par tous les trous, pilonner ta chatte, limer ton petit trou du cul, baiser ta bouche.
- OH oui, OH oui, être leur pute ……ah ah ah, je suis une grosse salope. Baisez moiiiiiiii
Sa jouissance fut explosive, dura bien 3 minutes, puis elle s’écroula dans la douche.

Je l’ai laissé reprendre ses esprits.

- je crois que j’étais hors de contrôle. Oh, le lâcher prise. Ce que tu me fais faire. Tu m’as transformé en salope ….
- Je n’ai rien transformé du tout ….. tu es une salope et ça me rend fier de toi.
- Je n’imaginais pas que tu me baiserais comme ça mais c’était très bon.
- Tu t’es baisée toute seule, rêvant à une dizaine de queue rien que pour toi.
- Oui …. J’étais trop excitée.
- Mais ce n’est fini- Euh pour moi … si …. tu m’as vidée. Et toi, tu n’as pas envie de te vider,- Si et tu vas encore m’obéir. Lève toi. Face contre le mur, allume la douche en position pluie.

Je me déshabilla, rentra dans la douche, me colla à Marie, la poussant contre le mur.

- tu as encore été te faire sauter par des mecs …. Et tu crois que cela ne mérite pas que je te traite comme une salope de bas étage.

Je passa ma main devant elle, lui attrapant le cou et faisant mine de la soulever. Elle a eu le réflexe de se mettre sur la pointe des pieds.

- tu es à moi. Je fais ce que je veux de toi.
- Oui, je t’appartiens- Tu peux continuer à te faire baiser en forêt par tes mâles mais ensuite c’est à moi que tu paies l’addition.
Je colla mon gland contre ses reins. Je me masturbais.

- C’est comme ça, qu’on traite les putes par chez moi.

Marie mImait bien l’emprise, penchant sa tête en arrière, offrant sa gorge à ma main. Je la tenais sans la serrer. Elle était telle, une vulgaire esclave sexuelle. Elle gardait la position, en étant toujours sur la pointe des pieds.

J’explosa dans son dos, dirigeant ma bite pour qu’elle prenne un maximum de jets sur tout son dos. Elle m’ avait fortement excité, mon sperme est sorti en abondance.

Je repris mes esprits. Je me suis recollais a elle, nos peaux couvertes de sperme.

- je t’ai bien baisé ?
- Oh oui - Tu aurais préféré une grosse queue dans la chatte et le cul- Ça aurait été pas mal aussi …. Mais le fantasmer avec ton aide me suffit bien.
- Pour l’instant …..

Nous partîmes dans un rire complice.

- je t’aime - Moi aussi, je t’aime- On fait plus calme la prochaine fois.
- Oui, si mes pulsions ne m’entraine pas à te demander de me baiser ….
- Coquine, je t’aime
On prit notre douche. La nuit fut bonne, d’un profond sommeil pour l’un et l’autre.

C’était hier soir et c’était très bon.