Vacances en gîte - rencontre des charmants propriétaires
Récit érotique écrit par David-91 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-05-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Vacances en gîte - rencontre des charmants propriétaires
Je vous raconte une expérience qui m’est arrivé il y a 3 ans pendant les vacances d’été.
Nous avions loué un gîte dans le Vaucluse. Les charmants propriétaires habitaient à 600 mètres.
Nous avons été super bien reçu par Monique et Jean, les propriétaires.
Des le dimanche, ils nous ont invités a déjeuner.
Monique et Jean s’étaient lancés dans la location de gîtes en plus de leur activité de commerçant. Ils possédaient 8 gîtes dont s’occupait Monique. Jean, lui, s’occupait de ses supérettes. Il en avait 5. Autant dire, qu’ils étaient plutôt à l’aise.
A la traditionnelle question « vous faites quoi dans la vie », j’avais répondu informaticien ce qui provoqua la traditionnelle réplique « oh, j’ai un problème avec mon ordinateur, vous pourriez regarder »….
Rdv était pris pour le lendemain matin à partir de 09h
Le lendemain matin, 09h15, madame faisant sa grasse matinée, je me décidais à faire les 600 m qui nous séparaient de la maison de Monique et Jean pour aller faire ma B.A.
En m’approchant de la maison, je pouvais voir que Monique prenait son petit déjeuner sur la terrasse. Elle était habillée d’une veste de pyjama et d’un short pyjama. Sa veste serrée, bâillait au niveau de sa poitrine, laissant entrevoir un bout de peau d’un sein. Je ne manquais rien de cette vision.
Me voyant arriver, elle se lève et me tend son visage pour me faire la bise. Je suis surpris mais j’accepte volontiers cette bise gourmande.
- merci d’être venu. Ça fait tôt pour toi ! Tu en es vacances, je suis un peu gênée. Je n’ai pas réfléchi en te demandant ce service hier.
Le vouvoiement du jour précédent a laissé place au tutoiement. Je la trouve bien chaleureuse cette Monique.
- non pas d’inquiétude. Je suis debout depuis 7h00. Où est donc cet ordinateur ?
- Viens suis moi, dans mon bureau.
- Et que lui arrive t’il ?
- Je ne retrouve plus mes documents mais je suis certaine de ne pas les avoir effacé.
Je commence mon diagnostic. Le téléphone sonne.
- je peux te laisser ? J’ai un rdv téléphonique avec la banque. J’en ai pour un quart d’heure.
- Oui, donne moi juste le nom d’un de tes fichiers pour que je puisse le rechercher.
- Eh bien par exemple, dans mon dossier Banque, il y a le fichier Suivi de patrimoine. Mais je ne retrouve pas non plus ma musique et mes photos.
- Ok, ça me suffit pour regarder.
- Je te remercie. T’es un amour. Je te laisse. A tout à l’heure.
Décidément, je trouve Monique très avenante.
Une petite recherche sur le pc me permit de trouver très vite le fichier de suivi de patrimoine. Et je comprends rapidement que les fichiers de Monique sont toujours là mais que les raccourcis pour accéder aux fichiers ont disparus.
Je recrée les raccourcis vers Documents, Musique et Image. Je teste mes raccourcis vers Documents puis Musique et … Image. En ouvrant le raccourci Image, je comprends rapidement que les aperçus qui s’affichent seront ma récompense du jour. J’y vois distinctement une femme nue dans diverses positions. Je ne résiste pas à l’envie de profiter du temps qu’il me reste avant le retour de Monique, pour parcourir les photos.
La première que j’ouvre me laisse deviner qu’il s’agit de Monique. Nue, debout, sur des taillons aiguilles, vêtue d’un simple collier style Bdsm. Elle a les lèvres lisses, un joli et large ticket de métro au-dessus, des beaux seins lourds et légèrement tombants. Je bande littéralement. Non pas que je sois en manque, la période de vacances étaient propices à faire de nombreuses fois l’amour avec ma douce. Mais cette Monique, je la trouve vraiment belle, une femme mature superbe.
La photo suivante : Monique est à 4 pattes, les fesses bien tendues, les cuisses écartées, sa petite chatte et son cul fermés. Les photos suivantes la montrent avec un plug dans le cul, un gode dans la chatte et une bite dans la bouche, que je devine être celle de Jean. Une autre la montre toujours à 4 pattes avec les deux trous bien ouverts, la mouille coule de sa chatte. Je bande tellement que j’en ai mal.
Trop concentré sur ce que je vois, je n’entends pas Monique revenir.
- ah je vois que tu as retrouvé mes fichiers.
Je sursaute.
- oui- Tu profites de la vue.
- Euh oui, désolé, je suis tombé dessus. Je n’ai pas pu résister. Ces photos sont très belles.
- Elles te plaisent ?
- Oui, tu y es superbe !
- Continue, regarde.
- Elle s’approche de moi, pose sa main sur la souris et fait défiler les autres photos. On la voit dans différentes tenues, dans différentes positions, se faire goder, baiser, doigter avec trois doigts dans la chatte, lécher l’anus.
Elle est derrière moi penchée. Je sens ses seins lourds sur mon épaule. Je n’en peux plus. Je me lève, lui fait face, l’attrape par les fesses et l’embrasse à pleine bouche. Elle ne résiste pas bien au contraire.
Je me ressaisis, je déserre mon étreinte.
- Désolé, excuse moi, je ne sais pas ce qui m’a pris. Tu es tellement sexy, très sexe sur ces photos.
- T’excuser ? Non …. Pourquoi tu t’arrêtes ? Ça me plaît, j’en ai envie et j’en ai même besoin.
- Oui mais je suis marié et toi aussi.
- Ne t’inquiète pas pour ça. Ta femme n’en saura rien et Jean non plus. J’ai des gros besoins. Eh oui, même à mon âge cher Monsieur. L’été, Jean, c’est boulot 6j/7 et 15 heures par jour. Alors, comme il ne trouve pas la force de s’occuper de moi, il m’autorise des aventures et ne me demande pas de compte. Et l’hiver, il participe !
- Il est candauliste ?
- Oui et moi, chienne !
Monique me prend les poignets et me pose les mains sur sa généreuse poitrine. Je sens ses tétons très durs au travers du tissu.
- allez ouvre ma veste. Ne me laisse pas comme ça- Je déboutonne sa veste me laissant découvrir en réel, ses jolis seins lourds, légèrement tombants, les seins d’une femme d’expérience. Elle a de gros et longs tétons qui pointent forts.
- J’aime être prise comme une femelle. Prends mes tétons, pince les, tire mes seins.
Je pince ses tetons fort, très fort. Elle gémit. Je tire ses tétons vers le bas.
- oui comme ça, reste comme ça, ne relâche pas.
Elle est debout devant moi. Je ne bouge plus. Je tire toujours ses seins. Elle se baisse pour enlever son short. Elle attrape mes poignets pour m’entrainer. Elle recule son bassin, se penche légèrement en avant, écarte ses jambes.
- regarde mon pubis, regarde mes lèvres, elle sont déjà gonflées.
Elle est superbement épilée avec son large ticket de métro de poils blonds. Elle commence à se masturber.
- tire plus fort, oui comme ça, pince mes tétons, relâche les, repince les, fais ce mouvement. Continue à tirer sur mes mamelles.
Je m’exécute. Elle se met à gémir, puis crier.
- regarde ma chatte, regarde Je quitte son regard et porte mes yeux sur sa chatte, un jet de mouille sort de sa chatte. Elle est fontaine. C’est ma première fois avec une fontaine. Elle jouit. Elle attrape mes poignets, je lâche ses tétons.
Elle se recule et s’affale dans le fauteuil derrière elle.
- putain que c’est bon. Ça fait une semaine que je me suis pas sentie chienne devant un mec. J’en pouvais plus.
- heureux de t’avoir aidé- A toi, viens.
- Je m’approche, elle baisse mon short et mon caleçon, attrape mon sexe, le décalotte et engloutit mon gland dans sa bouche. Cette pipe est divine.
- tu veux quoi ? Je te finis à la bouche ou tu veux m’explorer ?
- Je suis un explorateur.
- Alors autant te prévenir, tu te sentiras plus à l’étroit derrière que devant. Des années à me faire fouiller la chatte, des jeux de dilatation, forcément je suis large.
- Cette fois, aucun doute. Elle est plus que libérée, Monique. Elle ne ment pas quand elle dit qu’elle est chienne. Elle réveille en moi, tous les instants de mâle primaire.
Elle me tend un préservatif.
- fais ce qu’il te plait.
- On va dans ta chambre
Elle se lève.
- non, a quatre pattes jusque la chambre.
- C’est à l’étage. Emmène-moi plutôt sur la méridienne du salon.
- Je te suis alors. Tu bouges bien ton cul a 4 pattes.
Elle s’exécute et je me délecte de ce spectacle. Elle vient jusqu’a la méridienne et grimpe dessus à 4 pattes. Elle se met bien au bord et tend son cul.
- fouille moi avant pour me dilater.
Je fouille sa chatte, je prend s sa mouille et je rentre, sans peine, un doigt dans son trou du cul. Je replonge mes doigts dans sa chatte, un puis deux, puis trois, puis quatre.
- C’est vrai que tu es large !
- Des années d’entrainement comme je t’ai dit
Je rentre, deux doigts puis trois doigts dans son cul et je la branle.
- oh oui, comme une chienne, branle mon cul.
Je ressors mes doigts et je plante sans difficulté mon sexe dans son cul. Je la tringle.
- je parie que tu n’y a jamais été aussi fort dans le cul de ta dame.
- Oui clair ! T trop bonne.
- Crache ta semence au fond de mon cul
L’excitation est trop forte et je ne me retiens pas longtemps. Je crache au fond de son cul mais dans le préservatif !
Je débande et me retire. A mon tour de m’affaler sur un fauteuil, la queue molle pendante entre les jambes.
- merci, tu m’as fait du bien. J’espère que c’était bien pour toi aussi.
- Oui clair. Quelle expérience !
- Suis je une bonne salope ?
- Oui comme j’en rêve !
- Ta femme ne l’est pas autant ?
- Pas encore assez à mon goût mais elle se défend bien.
- Je te prépare un petit cadeau : mes meilleures photos et vidéos. Tu pourras voir mes exploits !
- Ah.
- Oui, comment j’aime être dilatée avec des monstres de Gods. Repasse me voir pour que je te donne ça. Maintenant, tu devrais filer. Madame est peut être réveillée.
- oui, tu as raison.
Je m’approche d’elle. On se la prend la bouche longuement et je la quitte en espérant pouvoir revenir avant la fin des vacances.
Nous avions loué un gîte dans le Vaucluse. Les charmants propriétaires habitaient à 600 mètres.
Nous avons été super bien reçu par Monique et Jean, les propriétaires.
Des le dimanche, ils nous ont invités a déjeuner.
Monique et Jean s’étaient lancés dans la location de gîtes en plus de leur activité de commerçant. Ils possédaient 8 gîtes dont s’occupait Monique. Jean, lui, s’occupait de ses supérettes. Il en avait 5. Autant dire, qu’ils étaient plutôt à l’aise.
A la traditionnelle question « vous faites quoi dans la vie », j’avais répondu informaticien ce qui provoqua la traditionnelle réplique « oh, j’ai un problème avec mon ordinateur, vous pourriez regarder »….
Rdv était pris pour le lendemain matin à partir de 09h
Le lendemain matin, 09h15, madame faisant sa grasse matinée, je me décidais à faire les 600 m qui nous séparaient de la maison de Monique et Jean pour aller faire ma B.A.
En m’approchant de la maison, je pouvais voir que Monique prenait son petit déjeuner sur la terrasse. Elle était habillée d’une veste de pyjama et d’un short pyjama. Sa veste serrée, bâillait au niveau de sa poitrine, laissant entrevoir un bout de peau d’un sein. Je ne manquais rien de cette vision.
Me voyant arriver, elle se lève et me tend son visage pour me faire la bise. Je suis surpris mais j’accepte volontiers cette bise gourmande.
- merci d’être venu. Ça fait tôt pour toi ! Tu en es vacances, je suis un peu gênée. Je n’ai pas réfléchi en te demandant ce service hier.
Le vouvoiement du jour précédent a laissé place au tutoiement. Je la trouve bien chaleureuse cette Monique.
- non pas d’inquiétude. Je suis debout depuis 7h00. Où est donc cet ordinateur ?
- Viens suis moi, dans mon bureau.
- Et que lui arrive t’il ?
- Je ne retrouve plus mes documents mais je suis certaine de ne pas les avoir effacé.
Je commence mon diagnostic. Le téléphone sonne.
- je peux te laisser ? J’ai un rdv téléphonique avec la banque. J’en ai pour un quart d’heure.
- Oui, donne moi juste le nom d’un de tes fichiers pour que je puisse le rechercher.
- Eh bien par exemple, dans mon dossier Banque, il y a le fichier Suivi de patrimoine. Mais je ne retrouve pas non plus ma musique et mes photos.
- Ok, ça me suffit pour regarder.
- Je te remercie. T’es un amour. Je te laisse. A tout à l’heure.
Décidément, je trouve Monique très avenante.
Une petite recherche sur le pc me permit de trouver très vite le fichier de suivi de patrimoine. Et je comprends rapidement que les fichiers de Monique sont toujours là mais que les raccourcis pour accéder aux fichiers ont disparus.
Je recrée les raccourcis vers Documents, Musique et Image. Je teste mes raccourcis vers Documents puis Musique et … Image. En ouvrant le raccourci Image, je comprends rapidement que les aperçus qui s’affichent seront ma récompense du jour. J’y vois distinctement une femme nue dans diverses positions. Je ne résiste pas à l’envie de profiter du temps qu’il me reste avant le retour de Monique, pour parcourir les photos.
La première que j’ouvre me laisse deviner qu’il s’agit de Monique. Nue, debout, sur des taillons aiguilles, vêtue d’un simple collier style Bdsm. Elle a les lèvres lisses, un joli et large ticket de métro au-dessus, des beaux seins lourds et légèrement tombants. Je bande littéralement. Non pas que je sois en manque, la période de vacances étaient propices à faire de nombreuses fois l’amour avec ma douce. Mais cette Monique, je la trouve vraiment belle, une femme mature superbe.
La photo suivante : Monique est à 4 pattes, les fesses bien tendues, les cuisses écartées, sa petite chatte et son cul fermés. Les photos suivantes la montrent avec un plug dans le cul, un gode dans la chatte et une bite dans la bouche, que je devine être celle de Jean. Une autre la montre toujours à 4 pattes avec les deux trous bien ouverts, la mouille coule de sa chatte. Je bande tellement que j’en ai mal.
Trop concentré sur ce que je vois, je n’entends pas Monique revenir.
- ah je vois que tu as retrouvé mes fichiers.
Je sursaute.
- oui- Tu profites de la vue.
- Euh oui, désolé, je suis tombé dessus. Je n’ai pas pu résister. Ces photos sont très belles.
- Elles te plaisent ?
- Oui, tu y es superbe !
- Continue, regarde.
- Elle s’approche de moi, pose sa main sur la souris et fait défiler les autres photos. On la voit dans différentes tenues, dans différentes positions, se faire goder, baiser, doigter avec trois doigts dans la chatte, lécher l’anus.
Elle est derrière moi penchée. Je sens ses seins lourds sur mon épaule. Je n’en peux plus. Je me lève, lui fait face, l’attrape par les fesses et l’embrasse à pleine bouche. Elle ne résiste pas bien au contraire.
Je me ressaisis, je déserre mon étreinte.
- Désolé, excuse moi, je ne sais pas ce qui m’a pris. Tu es tellement sexy, très sexe sur ces photos.
- T’excuser ? Non …. Pourquoi tu t’arrêtes ? Ça me plaît, j’en ai envie et j’en ai même besoin.
- Oui mais je suis marié et toi aussi.
- Ne t’inquiète pas pour ça. Ta femme n’en saura rien et Jean non plus. J’ai des gros besoins. Eh oui, même à mon âge cher Monsieur. L’été, Jean, c’est boulot 6j/7 et 15 heures par jour. Alors, comme il ne trouve pas la force de s’occuper de moi, il m’autorise des aventures et ne me demande pas de compte. Et l’hiver, il participe !
- Il est candauliste ?
- Oui et moi, chienne !
Monique me prend les poignets et me pose les mains sur sa généreuse poitrine. Je sens ses tétons très durs au travers du tissu.
- allez ouvre ma veste. Ne me laisse pas comme ça- Je déboutonne sa veste me laissant découvrir en réel, ses jolis seins lourds, légèrement tombants, les seins d’une femme d’expérience. Elle a de gros et longs tétons qui pointent forts.
- J’aime être prise comme une femelle. Prends mes tétons, pince les, tire mes seins.
Je pince ses tetons fort, très fort. Elle gémit. Je tire ses tétons vers le bas.
- oui comme ça, reste comme ça, ne relâche pas.
Elle est debout devant moi. Je ne bouge plus. Je tire toujours ses seins. Elle se baisse pour enlever son short. Elle attrape mes poignets pour m’entrainer. Elle recule son bassin, se penche légèrement en avant, écarte ses jambes.
- regarde mon pubis, regarde mes lèvres, elle sont déjà gonflées.
Elle est superbement épilée avec son large ticket de métro de poils blonds. Elle commence à se masturber.
- tire plus fort, oui comme ça, pince mes tétons, relâche les, repince les, fais ce mouvement. Continue à tirer sur mes mamelles.
Je m’exécute. Elle se met à gémir, puis crier.
- regarde ma chatte, regarde Je quitte son regard et porte mes yeux sur sa chatte, un jet de mouille sort de sa chatte. Elle est fontaine. C’est ma première fois avec une fontaine. Elle jouit. Elle attrape mes poignets, je lâche ses tétons.
Elle se recule et s’affale dans le fauteuil derrière elle.
- putain que c’est bon. Ça fait une semaine que je me suis pas sentie chienne devant un mec. J’en pouvais plus.
- heureux de t’avoir aidé- A toi, viens.
- Je m’approche, elle baisse mon short et mon caleçon, attrape mon sexe, le décalotte et engloutit mon gland dans sa bouche. Cette pipe est divine.
- tu veux quoi ? Je te finis à la bouche ou tu veux m’explorer ?
- Je suis un explorateur.
- Alors autant te prévenir, tu te sentiras plus à l’étroit derrière que devant. Des années à me faire fouiller la chatte, des jeux de dilatation, forcément je suis large.
- Cette fois, aucun doute. Elle est plus que libérée, Monique. Elle ne ment pas quand elle dit qu’elle est chienne. Elle réveille en moi, tous les instants de mâle primaire.
Elle me tend un préservatif.
- fais ce qu’il te plait.
- On va dans ta chambre
Elle se lève.
- non, a quatre pattes jusque la chambre.
- C’est à l’étage. Emmène-moi plutôt sur la méridienne du salon.
- Je te suis alors. Tu bouges bien ton cul a 4 pattes.
Elle s’exécute et je me délecte de ce spectacle. Elle vient jusqu’a la méridienne et grimpe dessus à 4 pattes. Elle se met bien au bord et tend son cul.
- fouille moi avant pour me dilater.
Je fouille sa chatte, je prend s sa mouille et je rentre, sans peine, un doigt dans son trou du cul. Je replonge mes doigts dans sa chatte, un puis deux, puis trois, puis quatre.
- C’est vrai que tu es large !
- Des années d’entrainement comme je t’ai dit
Je rentre, deux doigts puis trois doigts dans son cul et je la branle.
- oh oui, comme une chienne, branle mon cul.
Je ressors mes doigts et je plante sans difficulté mon sexe dans son cul. Je la tringle.
- je parie que tu n’y a jamais été aussi fort dans le cul de ta dame.
- Oui clair ! T trop bonne.
- Crache ta semence au fond de mon cul
L’excitation est trop forte et je ne me retiens pas longtemps. Je crache au fond de son cul mais dans le préservatif !
Je débande et me retire. A mon tour de m’affaler sur un fauteuil, la queue molle pendante entre les jambes.
- merci, tu m’as fait du bien. J’espère que c’était bien pour toi aussi.
- Oui clair. Quelle expérience !
- Suis je une bonne salope ?
- Oui comme j’en rêve !
- Ta femme ne l’est pas autant ?
- Pas encore assez à mon goût mais elle se défend bien.
- Je te prépare un petit cadeau : mes meilleures photos et vidéos. Tu pourras voir mes exploits !
- Ah.
- Oui, comment j’aime être dilatée avec des monstres de Gods. Repasse me voir pour que je te donne ça. Maintenant, tu devrais filer. Madame est peut être réveillée.
- oui, tu as raison.
Je m’approche d’elle. On se la prend la bouche longuement et je la quitte en espérant pouvoir revenir avant la fin des vacances.
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