Rencontre avec Sonia ma nouvelle voisine - histoire érotique

Je vous raconte l’histoire de ma rencontre avec ma nouvelle voisine, Sonia,
Une superbe rencontre d’ailleurs. C’était, il y a un an.

Je venais de changer de boulot et de région.

Je louais une maison dans un secteur résidentiel. 

Dès le premier soir, souhaitant découvrir le quartier en me promenant, j’aperçu ma voisine d’en face qui rentrait probablement du boulot. Elle revenait en voiture et entrait dans sa propriété, voisine et mitoyenne à la mienne.

Elle attira tout de suite mon regard. Elle était très classe dans son tailleur avec une jupe assez courte et un chemisier blanc. Des chaussures à talons aux pieds. Ses cheveux courts semblaient chatain, elle devait avoir moins d’1,70 m et à ce que je pouvais deviner, un 90D. Je me laissais rêver à des seins lourds …… je lui donnais plus de 55 ans, une femme d’expérience comme celles qui me font fantasmer.

J’avais pris 2 semaines de vacances pour bien m’installer avant de prendre mon nouveau job. Aussi, tous les jours, je me laissais aller à observer cette voisine qui ne me laissait pas indifférent.

Elle était tous les jours, toujours aussi classe. Je la voyais régulièrement le matin et en fin d’après-midi. Au bout du troisième jour, je vis un homme assez âgé rentrant dans la maison de ma voisine. Sa voiture resta plusieurs jours garée devant la maison. 

L’homme passa le week-end et partit le dimanche soir. Je constatais que je ne pouvais m’empêcher d’observer les allées et venues de ma voisine.

Le lundi suivant, je décidais d’aller me présenter. Ma voisine rentrait ce jour là du travail vers 17h30.

18h00, je sonne à sa porte.

Elle venait m’ouvrir, souriante. Enfin je la voyais de près. Son chemisier blanc à dentelles était légèrement transparent, me laissant deviner le galbe de ses seins et un soutien gorge qui ne cachait pas grand chose. Elle semblait surprise.
• Je suis David, votre nouveau voisin d’en face. Je tenais à me présenter.
• Sonia, votre nouvelle voisine donc.
• Je me suis installé la semaine dernière. Je viens de changer de région et de travail.
• Eh bien écoutez, rentrez donc. Je suis toute seule ce soir. Venez faire connaissance autour d’un verre.
• Je ne veux pas vous déranger.
• Vous ne me dérangez pas. Je n’attends personne et je n’avais rien de prévu ce soir.
• Merci, j’accepte volontiers.

Sonia m’invite à passer au salon. Elle me demande ce que je veux boire et nous sert en versant à boire dans nos verres.

Je m’assois dans un fauteuil faisant face au canapé sur lequel s’assoit Sonia.
• Alors que venez vous faire dans notre belle région ?
• J’ai pris un nouveau poste. J’avais décidé de quitter la région parisienne.
• Et vous êtes venu seul ?
• Oui, seul. Un changement de vie complet. Et vous ?
• Moi, je vis ici depuis tout le temps. Et je vis seule aussi. Mon ami a sa maison et moi la mienne. Je veux rester indépendante et pouvoir faire ce dont j’ai envie.
• Très bien, c’est le monsieur que j’ai aperçu probablement ce week-end ?
• Oh vilain curieux, vous nous surveillez me dit-elle en souriant. Oui c’est bien mon ami. Il vient passer quelques jours et repart. Parfois, c’est moi qui vais chez lui.

Nous avons discuté de tout et de rien, de la région. Nous avons aussi enchaîné les verres. J'ai remarqué que sa poitrine se tendait et que ses seins gonflaient sous le tissu. Les tétons pointaient. Ils semblaient épais. La présence de cette femme m’était agréable et je dois dire que mes yeux passaient beaucoup de temps à regarder sa poitrine.

Sonia relança la discussion sur un point plus intime.
• Et pas de femme ?
• Non, je suis comme qui dirait un célibataire, plus très jeune, 45 ans mais un célibataire quand même.
• 45 ans. Eh bien ! Et moi, combien me donneriez vous ?
• C’est toujours un sujet sensible dis-je en souriant.
• Non non allez y, dites moi.
• Alors, je me lance, je dirais 55 ans !
• Presque ! J’ai 60 ans.
• Noooon, je ne le crois pas. Vous faites plus jeune.
• Eh si, 60 ans mais encore jeune dans ma tête.

J’osai moi aussi, une question plus intime.
• Votre ami paraît plus âgé.
• Oui, il approche des 80 ans. C’est un vieux monsieur très agréable mais fatigué. Il a souvent du mal à me suivre.
• Une aussi jolie femme que vous devrait trouver un homme plus jeune dis-je en souriant, tout en pensant, que j’avais peut-être été un peu loin avec cette réflexion qui dépassait ma pensée.

Je fus surpris de la réponse de Sonia. Je pensais qu’elle allait me répondre que cela ne me regardait pas, tout en m’indiquant gentiment la sortie. Ce ne fut pas le cas puisqu'elle me dit :
• Oui, ça doit être pour cela que les hommes plus jeunes m’attirent. Je dois bien avouer qu’il me manque quelque chose dans la vie.

N’écoutant que mon envie de serrer le corps de cette femme dans mes bras, je me suis levé pour m’assoir à côté d’elle.
• Vous permettez ?
• Oui me dit elle timidement.
• Je dois vous avouer un truc.
• Ah me dit elle.
• Depuis que je vous ai vu pour la première fois, je vous ai trouvée très attirante.
• Ah, je …. Euh, merci me dit-elle en rougissant.
• Vous êtes classe. Et j’ai toujours été attiré par des femmes plus âgées. 
• Je …. Merci, vous me troublez.
• Vous aussi dois-je bien avouer.

N’écoutant que mon courage et probablement grâce à l’alcool, je tendis mes lèvres pour l’embrasser tout en portant ma main sur son ventre. Sonia eu un geste de recul puis avança ses lèvres vers moi.

Ce baiser fut délicieux.

Je remontais ma main, passant de son ventre très doux, un peu mou jusque sous ses seins, sentant son soutien gorge, puis remontant, pouvant sentir un téton dur, pointant au-dessus du soutien gorge directement sous son léger chemisier. 
J’entrepris de caresser ce téton. Je sentais Sonia se relâcher, mettant sa main sur ma cuisse. Je sentais les frissons envahir sa peau.

J’ouvris un puis deux boutons de son chemisier. Je glissais ma main sous son chemisier attrapant son téton que je découvrais avec mes yeux : gros et brun, avec une aréole large et foncée. Je le pinçais délicatement, le faisant tourner sous mes doigts, tirant délicatement dessus pour m'assurer qu'elle aimait cela. Elle ne me repoussait pas. J’imaginais déjà Sonia lâchant prise, m’obéir, lui ordonnant de se mettre à 4 pattes pour m’offrir ses trous...
Mais je savais que je ne devais pas aller aussi vite et que je devais contenir mon goût pour la soumission soft pour ne pas l'effrayer. Je décidais de relâcher mon baiser et mon étreinte.
• Je …. J’en avais envie, c’était très bon.
• Je … oui, j’ai aimé aussi.
• Je peux voir vos seins, les embrasser ?

Sans rien dire, Sonia se leva, déboutonna entièrement son chemisier. Elle avait un soutien-gorge quart de sein, laissant ses tétons libres. Elle enleva son soutien-gorge, se rassit, ferma les yeux, laissant aller sa tête en arrière. 

Ses seins étaient lourds et  denses, comme je me les étais imaginés. Des mamelles de femme mature.. La peau de ses seins était parcourue de frissons. Je passa une main sous son sein pour bien sentir le poids de ses belles mamelles.  Sa poitrine était généreuse. Je décidais que pour ce soir, j’allais essentiellement m’occuper de ses seins.

Je collais ma bouche sur un téton et pris l’autre entre mes doigts.

Je sentis la main de Sonia caresser la bosse de mon pantalon. Je sentais que ma queue était bien raide. 

L’autre main de Sonia essayait de passer sous sa jupe. Je sentais chez elle, une envie irrépressible de se toucher, de caresser son sexe. 
• Enlève ta jupe, tu seras mieux.

Sonia se releva, glissa sa jupe jusqu’à ses pieds puis se rassit.

J’étais à côté d’une femme que je ne connaissais pas deux semaines avant, simplement en petite culotte et en talons, en train de caresser ses seins lourds, de lui aspirer les tétons l’un après l’autre. Et elle gémissais, les yeux fermés. La main de Sonia s’était glissée sous l’élastique de sa petite culotte et elle frottait énergiquement son sexe, j'imaginais que c'était son clitoris. Je sentais cette femme s’abandonner sous mes caresses. Ses gémissements annonçaient  une jouissance proche.

Tout à coup, son corps fut prit de spasmes et elle cria sa jouissance. Elle était bruyante. Elle bougeait beaucoup. 

Enfin je la sentis se relâcher, se calmer.

Je sortis alors ma queue et commençai  à me masturber. Sonia regardait ma queue épaisse, de bonne longueur (17 cm) avec envie. J’étais comme à mon habitude totalement rasé.
• Tu veux la prendre en bouche ?

Elle ne répondit pas mais pencha la tête. Je sentis sa bouche aspirer mon gland. Elle poussa ma main et prit ma queue. Elle me suçait en me branlant. 

Ne pouvant me retenir, je me retirai pour laisser la semence gicler. J’ejaculais sur son visage collant mon gland contre sa joue. Mon jet était puissant et abondant, signe de ma forte excitation.

Il nous fallut 5 minutes pour reprendre nos esprits. Sonia pris un kleenex pour essuyer son visage. Je la serrais dans mes bras tout en l’embrassant dans le cou.

Je brisais le silence.
• C’était exquis.
• Pour moi aussi, c’était bon.
• Je t’invite au restaurant ?
• Il est déjà tard, une autre fois. Reste manger avec moi.
• Avec plaisir.

Elle remis son chemisier mais son soutien gorge et durant tout le repas je pouvais admirer ses gros nichons qui ballotaient en fonction de ses déplacements et de ses mouvements. Je la quittais après le dîner en m’assurant que je pourrais revenir le lendemain.

Je me sentais chanceux et je me demandais jusqu’où je pourrais l’emmener dans le lâcher prise et dans ses pratiques sexuelles.