Sonia, de nouvelle voisine à nouvelle amante - histoire érotique

Après notre première rencontre, pendant laquelle nous avons brûlé plusieurs étapes, nous avions prévu de se revoir en fin de semaine, un samedi.

Sonia occupait totalement mon esprit depuis ce premier jour. Elle était en tout point conforme à mon fantasme, d’une femme d’expérience, classe mais pas guindée, jolie avec de très beaux seins. Et pour moi, de beaux seins, ce sont des seins bien remplis.

J’avais depuis ce premier jour, dans l’idée d’aller plus loin pour en faire ma soumise en lui faisant lâcher prise pour que nous profitions pleinement des cadeaux que la nature lui avait offerts.

J’avais compris qu’elle était portée sur le sexe mais je ne savais pas encore à quel point elle me suivrait dans mon désir de faire d’elle une soumise. Je voulais lui faire passer un test sans risquer de la perdre. Il ne fallait pas que je la brusque.

Samedi, 18h, je me présentais de nouveau chez Sonia.Sonia m’ouvrit, vêtue d’un mini short qui me permettait d’admirer ses jolies jambes et d’un polo à manches courtes. Ses tétons pointaient au travers du tissu. Je compris vite qu’elle n’avait pas mis de soutien-gorge.

A peine la porte fermée que nous nous dévorions la bouche. Je résistais à la tentation de lui caresser les seins au travers de son polo. J’avais un plan en tête et il fallait que je m’y tienne.

J’avais prévu de lui faire passer le test de l’exhibition. Je voulais qu’elle s’exhibe pour moi.

Nous avons passé une première heure à boire des verres, assis dans son séjour. Je sentais que Sonia était interloquée par mon comportement. J’étais distant et ne tentais rien, ayant même repoussé sa main se posant sur ma cuisse. Je sentais qu’elle avait envie de faire l’amour. Avait-elle envie d’une bonne baise ?

 - J’ai une surprise- Ah ??? Quelle surprise ?
- Nous sortons- Tu m’emmènes au restaurant ?
- Non mieux que ça mais c’est une surprise.
- D’accord …. Je te suis- Il faudrait te changer. J’aimerais que tu mettes une robe bien moulante.
- Que me prépares-tu ?
- Je veux que les gens voient comme tu es belle.
- Tu m’aides à la choisir, alors ?
- Oui si tu veux- Dans sa chambre, Sonia commença par enlever son polo, laissant ses seins libres, sans gêne. Ma queue se raidit immédiatement à la vue de ses nichons gonflés, tendus.
J’avais trop envie de les prendre, les embrasser, les malaxer mais je résistais. Sonia enleva son short me laissant découvrir un très joli string rouge.
Elle ouvrit son dressing et me montra ses robes. J’en choisis une très moulante dans un tissu souple qui me permettrait de passer mes mains en dessous à l’envie.
- Tu gardes ton string ?
- Euh oui. Pourquoi il ne te plait pas ? Tu veux aussi choisir ma culotte ? - Non. Je me disais que tu pouvais sortir sans culotte.
- Sans culotte ? Mais ? Que me prépares tu ? Je ne suis pas habituée à sortir sans culotte.
- A toi de voir. La soirée n'en serait que plus délicieuse pour moi de te savoir sans culotte et pour toi, ce serait de nouvelles sensations.

Sans rien dire, Sonia enleva sa culotte et se mit face à moi. Son sexe était parfaitement épilé me laissant voir de grandes lèvres toutes lisses et roses. Sur son pubis, elle avait taillé un petit triangle de poils courts très mignon.
- Tu es sûr de vouloir sortir ? Tu n’as pas envie de moi ? - Oh que si …. On a toute la soirée alors je vais résister à l’envie de te prendre là tout de suite.
Sonia enfila sa robe sans rien mettre en dessous. Elle prit une petite veste et nous sortîmes.
J’allais bientôt savoir si elle était prête à aller plus loin dans une sexualité débridée, à s’abandonner totalement pour moi et vivre de nouvelles expériences.
J’avais mis à profit les quelques jours qui séparaient notre première rencontre de cette soirée pour repérer un coin à voyeurs dans les bois, à quelques kilomètres de nos domiciles. Je voulais lui faire connaître l’exhibition en tant que spectatrice pour commencer.
Mon plan ne s’est finalement pas passé comme prévu. Ce fut encore mieux.
Je me garais sur un parking proche de la forêt. - C’est ici, ta surprise ?
- Oui- Mais que m’as tu préparé ?
- Ça pour le savoir, il te suffit de me suivre.
- Ok !
Nous avons marché un petit quart d’heure avant d’atteindre l’endroit que j’avais repéré. J’espérais tomber sur un couple avec des voyeurs autour mais malheureusement pour moi, il n’y avait personne. Il me fallait m’adapter à la situation.
Je passai derrière Sonia, posant mes mains sur ses bras, posant mes lèvres sur sa nuque.
- Hummmm, c’est bon.

Je glissai mes mains sur ses seins. Sonia se laissait faire.
- Ferme les yeux, ne bouge plus.
- Qu’est ce qui va se passer ? C’est quoi ta surprise ?
- J’ai envie de passer mes mains sur ton corps, te caresser, t'entendre gémir. - Ici ?
- Oui ici, dans la nature. - Mais …. S’il y a des promeneurs ? - Non, regarde, on s’est enfoncé suffisamment loin en forêt. Il n’y a personne.

En disant cela je pris ses seins dans mes mains, par dessus le tissu fin et moulant. Le tissu de sa robe séparait toujours nos peaux. Je malaxais néanmoins ses gros seins.
- Hummmm !
- Que ressens-tu ?
- Je suis excitée.
- C’est vrai ?
- Oui et à la fois, j’ai peur qu’on nous voit. Et je crois que ça m'excite encore plus. - Laisse toi aller.

Je baissais sa robe suffisamment pour libérer ses seins, attendant sa réaction. 
- Ohhhhhhhh !

Je ne lui laissais pas le temps de dire quelque chose de plus. J’attrapai ses épais et bruns tétons qui pointaient  et commençai à tirer dessus. - Ouiiiiiii, oui c'est bon, continue.

Je n'en revenais pas. Elle aimait plus que je ne le pensais. Sonia avait basculé. Elle se laissait faire totalement maintenant.

Je lâchai un sein et passa ma main par le bas de sa robe, remontant jusque son sexe épilé. Ses grandes lèvres étaient entrouvertes et déjà humides. Elle écarta ses jambes, j'écartai ses lèvres qui étaient délicieusement douces, pour venir frotter son clitoris qui pointait déjà bien dur..

- Hummmm, oui, j'aime beaucoup, tu es super..

J’entendis un bruit sourd de pas dans la forêt. Sonia n’y fit pas attention, toute prise par son excitation, elle avais même les yeux clos. Un homme se tenait à 10 mètres de nous, sorti de derrière un arbre. Il regardait en notre direction. Je lui fis signe d’avancer et lui montrais par un signe de main qu’il pouvait regarder. 
- Garde les yeux fermés et imagine. - Oui …. oui c'est la première fois que je ressens de telles sensations - Imagine que je te caresse devant des hommes.
- Oui ….. ce serait terriblement excitant.
- Qu'ils te regardent  en même temps. - Oui….. j'aurais envie qu'ils me touchent - Qu'ils  se branlent en t’admirant …. - Oh oui oui oui et qu'ils giclent.
- Tu aimerais voir de belles queues toutes excitées pour toi ? Ouvre les yeux alors.

En disant cela, je pressais plus fort le sein que j’avais dans une main et j’accélérais mon mouvement sur la chatte de Sonia avec les doigts de l'autre main. L’homme était à 2 mètres de nous. Il ne faisait pas de bruit. Il était grand, brun, plutôt baraqué, assez jeune moins de 30 ans. Il avait sorti sa verge et se branlait en admirant la scène, les yeux collés sur les mamelles de Sonia.

Sonia ouvrit les yeux … C’était pour moi le moment du test. Tout pouvait s’arrêter là maintenant ou Sonia pouvait me montrer des signes encourageants pour ce que je voulais qu’elle devienne pour moi.

Elle fixa l'homme, rougit de plus belle et puis, sans parler, elle prit dans sa main son deuxième nichon par dessous, le tendant comme pour l’offrir à cet homme. Elle pinça elle-même son téton. Moi, je pressais son deuxième sein. Sa chatte était complètement ouverte, je sentais comme elle coulait, je mis trois doigts facilement dans son trou de chatte. Elle était debout, sa robe descendue jusqu'à la taille, son poitrail au vent, acceptant de se faire baiser par mes doigts, devant un homme qui se masturbait en regardant cette scène…
- Regardes bien sa queue. Il va gicler pour toi.
- Oh oui oui oui.
- Tu aimerais qu’il gicle sur toi ?
- Oui oui- Approchez vous, venant tout près d’elle, qu’elle puisse admirer votre queue.

J’arrêtais le branlage de sa chatte. J’attrapais le bas de sa robe, le remontait jusqu’en haut et lui enlevait. Je replongeais mes doigts dans sa chatte ouverte et la fouillait avec délice. Elle lubrifiait fort. Sa cyprins coulait le long de ses cuisses. Je reprenais un sein, je lui malaxais fortement. Sonia poussait des cris.

- Tu lui gicleras sur le ventre.

L’homme ne répondit pas mais s’approcha à 10 cm de Sonia.

- Tu as envie de te faire gicler sur le ventre.
- Oui oui- Tu sais qu’il n’y a que les salopes qui se font cracher dessus du sperme d’un inconnu.
- Oui oui je suis ta salope. Dis lui de me cracher dessus.

L’homme ne se retenu pas longtemps. 1 long jet sorti de sa bite et atterri sur le ventre de Sonia. Elle se mit à jouir fort en même temps qu’elle coulait littéralement de la chatte. Elle cria fort.

L’homme nous remercia et partit.

Je sorti mes doigts de la chatte de Sonia pour la maintenir sous les bras. Ses jambes ne la soutenaient plus que très peu. Elle reprit ses esprits. Elle est toujours toute nue dans cette forêt.

- Tu es splendide et tellement bandante.
- Merci, merci pour tout, merci pour cette surprise.
- Ça va ?
- Oui très bien mais je suis vidée. On rentre.
- Oui. Remets ta robe. On rentre.
- Je ne m’essuie pas ?
- Non, tu vas sentir ce sperme chaud sur ton ventre jusqu’à la douche.
- D’accord ! Tu me feras tout faire toi !
- Oui, et ce n’est pas fini. Après la douche, tu viendras me chevaucher. J’ai les couilles pleines et très envie que tu me les vides.
- Tu tiendras tout ce temps.
- Oui.

Nous sommes rentrés. Après la douche, nous avons fait l’amour. Elle me chevaucha et me baisa littéralement pendant que j’ai léché ses tétons.

Nous avons dormi ensemble et nous nous sommes quittés après le déjeuner.

J’avais déjà en tête l’étape suivante.