Cul nu
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-04-2018 dans la catégorie Pour la première fois
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Couleur du fond :
Cul nu
Maman me disait, non t’auras pas de pyjama. Une fille ça doit dormir cul nu.
Moi je me sentais frustrée. Toutes mes copines avaient, pour dormir, des pyjamas.
De toutes sortes de matières. Surtout des étoffes douces. Pilou, coton satin, éponge. Et puis avec des dessins sympas de BD de personnages Disney. Et aussi des tailles rigolottes, ras du cou pour le haut et lacet de taille pour le bas. Ou même pire.
En plus elles faisaient des pyjamas partys auxquelles je n’étais jamais invitée...
Moi, depuis toute petite je devais dormir cul nu.
Maintenant, à quinze ans, je sentais bien qu’il me fallait me rebeller. Et dire à ma maman mon désir, moi aussi, de dormir en pyjama.
Mes seins avaient poussé. Je les cachais, les protégeais de mes deux bras croisés. Mais les tétons qui frottaient sur le drap étaient toujours dressés et ça me gênait. Je pensais, si seulement j’avais un pyjama, ces petits appendices seraient abrités dans le pilou et resteraient bien au calme. Lors qu’ainsi je suis le poitrail bandé à tout le temps m’énerver de désirs flous de frottis frottas.
Pareil pour mes fesses, cambrées en cherche des caresses du drap et des couvrantes. Et, le nez dans l’oreiller, je levais et balayais de mon postère pour sentir sur mes peaux fines et galbées le tendre glissement de la couette. Je comprenais que les filles, mes copines, mes camarades, mes amies n’avaient pas, elles, ces problèmes car le pantalon du pyjama abritait les peaux si sensibles de leurs fesses de ces stimuli.
Ma main, mes mains, la nuit étaient en exploration de ce creux de moi moite et pileux. Manifestement le pyjama aurait pu, si seulement j’avais été autorisée à en porter, protéger cette sourde intimité. Mais non. J’étais là encore livrée aux effets de nature et mon être dégoulinait de ruissellements dans mes peaux plissées.
Alors, cuisses largement ouvertes et jambes hautes, deux doigts plantés en moi, la main en coque, je rêvais les contractions de mon moi interne et je pensais, si j’avais un pyjama, à l’heure qu’il est, je dormirais du sommeil du juste ... assoupie et reposée.
Et mon bassin cherchait en à coups frénétiques les hanches d’un partenaire hypothétique.
Et je pensais, si j’avais un pyjama, que serait alors ma vie ?
Mes quinze ans et le bouillonnement de mon ventre et mes nuits sans pyjama aucun. Merci maman.
Moi je me sentais frustrée. Toutes mes copines avaient, pour dormir, des pyjamas.
De toutes sortes de matières. Surtout des étoffes douces. Pilou, coton satin, éponge. Et puis avec des dessins sympas de BD de personnages Disney. Et aussi des tailles rigolottes, ras du cou pour le haut et lacet de taille pour le bas. Ou même pire.
En plus elles faisaient des pyjamas partys auxquelles je n’étais jamais invitée...
Moi, depuis toute petite je devais dormir cul nu.
Maintenant, à quinze ans, je sentais bien qu’il me fallait me rebeller. Et dire à ma maman mon désir, moi aussi, de dormir en pyjama.
Mes seins avaient poussé. Je les cachais, les protégeais de mes deux bras croisés. Mais les tétons qui frottaient sur le drap étaient toujours dressés et ça me gênait. Je pensais, si seulement j’avais un pyjama, ces petits appendices seraient abrités dans le pilou et resteraient bien au calme. Lors qu’ainsi je suis le poitrail bandé à tout le temps m’énerver de désirs flous de frottis frottas.
Pareil pour mes fesses, cambrées en cherche des caresses du drap et des couvrantes. Et, le nez dans l’oreiller, je levais et balayais de mon postère pour sentir sur mes peaux fines et galbées le tendre glissement de la couette. Je comprenais que les filles, mes copines, mes camarades, mes amies n’avaient pas, elles, ces problèmes car le pantalon du pyjama abritait les peaux si sensibles de leurs fesses de ces stimuli.
Ma main, mes mains, la nuit étaient en exploration de ce creux de moi moite et pileux. Manifestement le pyjama aurait pu, si seulement j’avais été autorisée à en porter, protéger cette sourde intimité. Mais non. J’étais là encore livrée aux effets de nature et mon être dégoulinait de ruissellements dans mes peaux plissées.
Alors, cuisses largement ouvertes et jambes hautes, deux doigts plantés en moi, la main en coque, je rêvais les contractions de mon moi interne et je pensais, si j’avais un pyjama, à l’heure qu’il est, je dormirais du sommeil du juste ... assoupie et reposée.
Et mon bassin cherchait en à coups frénétiques les hanches d’un partenaire hypothétique.
Et je pensais, si j’avais un pyjama, que serait alors ma vie ?
Mes quinze ans et le bouillonnement de mon ventre et mes nuits sans pyjama aucun. Merci maman.
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