D’aire en aire, avec un routier
Récit érotique écrit par Romainro [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-01-2018 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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D’aire en aire, avec un routier
Je suis encore allongé dans cette cabine de chiotte pour handicapé, entièrement nu avec du sperme le long de la queue et dans le cul.
Il est temps de reprendre la route alors je me lève, me débarbouille un peu avant de m’habiller et je retourne à ma voiture.
Il faut que je roule encore un peu avant de m’arrêter manger, je n’ai même pas fait 200km! Je trace donc la route et une fois que j’ai dépassé Limoges je m’arrête à la première station service. Je m’achète un sandwich et un café et je m’installe dehors sur une des tables entourés de pas mal de camions. Je commence à manger mon sandwich, comme d’habitude sur l’autoroute il est déguelasse alors je me rabats sur mon café et une clope. La cabine du camion juste en face de moi s’allume alors que la porte s’ouvre. Un mec plutôt grand et fin descend du camion. Quand il arrive dans la lumière je vois qu’il est poivre et sel mais semble assez jeune et sportif. Il s’approche de moi et me demande s’il peut me prendre du feu. Je lui tend mon briquet avec un sourire. Il sort de la poche de sa veste une cigarette roulé qui ressemble plutôt à un pétard.
Il me raconte qu’il remonte d’Espagne que sa boite est en banlieue parisienne. Puis il me demande si je connais les plages Sitges. Je vois très bien où il veut en venir alors je lui dit que non. Il me raconte que c’est en dehors de Barcelone, qu’il y a passé 2 jours. Il me tend son pétard, que j’accepte, et me raconte qu’il y a avait une réunion gay pour les Bears. Il m’explique que les bears sont des hommes homos qui ressemble à des ours. Genre étonné je lui lâche un « Ah bon! Et tu aimes les mecs poilus et rond alors? ». Il rigole et me dit « J’aime tout ce qui est beau, que ça soit des hommes ronds et poilus aux femmes fines et élancées » et il pose sa main sur ma cuisse et me dit « Pourquoi pas toi? »
Je joue un peu le timide en baissant la tête, je reste un moment comme ça. Il laisse sa main sur ma jambe mais n’ose pas la bouger. Je lève alors la tête vers lui, je le regard droit dans les yeux et en posant ma main sur sa bite je lui dit: « J’aime tout ce qui fait du bien », et je commence à lui masser la queue et les couilles à travers son pantalon. Je la sens gonfler sous mes doigts. Il reprend le pétard, tire une dernière latte et l ‘écrase. Il attrape ma main qui est sur son sexe et m’attire vers les arbres qui sont au fond de l’aire. Une fois que nous sommes au milieu des arbres et que la nuit nous protège, il me colle à lui et me roule une pelle bien baveuse et me pelote les fesses à travers le pantalon. Apres quelques minutes d’échange buccale nos corps se décollent et il attrape le bas de mon t-shirt, me l’enlève et attrape directement entre ses doigts mes tétons qu’il serre progressivement. J’adore qu’on s’occupe de mes tétons mais au début la douleur est trop forte, malgré tout je me retiens de crier. Il relâche mes tétons pour défaire mon jean. Il fait glisser mon jean et mon boxer à mes pieds et reviens caresser mes tétons. Il le fait d’abord doucement et augmente l’intensité au fur et à mesure. Cette fois je ne profite que du plaisir. La réaction de ma bite en est la preuve d’ailleurs il la caresse. A chaque fois qu’il serre plus fort mes tétons ma queue se soulève dans sa main. J’ai très envie de sentir son corps contre moi.
Au bout de quelques minutes de se traitement, j’ai trop envie de découvrir sa queue alors je vais pour m’agenouiller bien qu’il sert toujours mes tétons. Ca tire encore plus fort, mais il les lâche et me laisse me mettre a genoux. J’ouvre son pantalon, il ne porte rien en dessous et sa bite jaillit comme un ressort. Je passe un coup de langue sous sa queue qui gonfle encore plus. Je n’arrive pas à la voir mais je sens qu’elle est de bonnes tailles. En remontant ma langue de la base au gland je sens les veines gonflées et la queue durcir. Je m’attarde maintenant sur son gland. Je lui donne des coups de langue et des coups de dents. Je gobe son gland, le suce et je commence à m’empaler dessus quand il m’attrape la tête, me l’a fait reculer et me dit
« J’ai trop envie de ton cul! »
Il m’attrape par la taille, me retourne et me fait pencher en avant. J’écarte les jambes, il écarte mes fesses. Je l’entends préparent un mollard que je sens s’écraser sur mon trou et qu’il étale avec un doigt. Il en prépare un autre mais cette fois je ne sens presque rien me toucher, il a dû cracher sur son sexe. Il pose son gland sur ma rondelle, je sens la pression qu’il met alors je pousse sur mes fesses pour l’aider à rentrer. Bien que je me sois déjà fait baiser et pris des doigts dans le cul aujourd’hui je sens que sa queue me dilate les chairs au maximum. Je sens chaque centimètre de sa tige me perforer. J’ai mal au cul alors je souffle pour me décontracter. Il continue de rentrer jusqu’à ce que son gland touche le fond de mon cul. Sa bite est tellement longue que je sens pas ses couilles taper contre mon cul. Il reste comme ça un petit moment puis il commence des petits vas et viens en moi pour que je me détende bien et que je m’adapte à sa taille. Ce qui est rapidement le cas. Il me ramoner de plus en plus fort maintenant. Puis il sort entièrement de mon cul pour y rerentrer d’un coup. Ce n’est qu’à ce moment la que je réalise qu’il ne porte pas de capote, mais je prends tellement de plaisir, surtout quand il me donne une bonne fessée et me dit « Maintenant je vais te faire couiner », pour dire quoi que se soit. Et effectivement, ses coups de reins sont tellement bons que je me met à couiner de plaisir. Je sens mon cul couler, je ne vais pas tarder à jouir, je contracte mon cul pour le lui faire comprendre. Il a bien reçu mon message car il me besogne de plus en plus fort et ses fessées aussi sont de plus en plus fortes. Je contracte mes sphincters de plus en plus fortement jusqu’à ce que je sente mon cul se remplir par plusieurs grosses giclées de sperme. Il continue à me ramoner même s’il a joui et moi aussi mais ça coulisse encore mieux maintenant que son sperme m’a entièrement lubrifié. Même s’il a dégonflé il prend encore énormément de place dans mon cul et je sens enfin ses couilles me taper.
Quand il sort complètement son sexe, une grosse quantité de sperme couler de mon cul le long de ma jambe même si j’ai la sensation d’être encore bien rempli.
Nous nous rhabillons et retournons vers la table de notre rencontre. Il me propose de venir me doucher avec lui à la station service mais je refuse car je dois reprendre la route et que j’ai envie de sentir son sperme sortir de mon cul pendant que je conduis.
Nous nous roulons une dernière pelle et je retourne vers ma voiture alors qu’à chaque pas je sens mon boxer se mouiller de plus en plus.
Il est temps de reprendre la route alors je me lève, me débarbouille un peu avant de m’habiller et je retourne à ma voiture.
Il faut que je roule encore un peu avant de m’arrêter manger, je n’ai même pas fait 200km! Je trace donc la route et une fois que j’ai dépassé Limoges je m’arrête à la première station service. Je m’achète un sandwich et un café et je m’installe dehors sur une des tables entourés de pas mal de camions. Je commence à manger mon sandwich, comme d’habitude sur l’autoroute il est déguelasse alors je me rabats sur mon café et une clope. La cabine du camion juste en face de moi s’allume alors que la porte s’ouvre. Un mec plutôt grand et fin descend du camion. Quand il arrive dans la lumière je vois qu’il est poivre et sel mais semble assez jeune et sportif. Il s’approche de moi et me demande s’il peut me prendre du feu. Je lui tend mon briquet avec un sourire. Il sort de la poche de sa veste une cigarette roulé qui ressemble plutôt à un pétard.
Il me raconte qu’il remonte d’Espagne que sa boite est en banlieue parisienne. Puis il me demande si je connais les plages Sitges. Je vois très bien où il veut en venir alors je lui dit que non. Il me raconte que c’est en dehors de Barcelone, qu’il y a passé 2 jours. Il me tend son pétard, que j’accepte, et me raconte qu’il y a avait une réunion gay pour les Bears. Il m’explique que les bears sont des hommes homos qui ressemble à des ours. Genre étonné je lui lâche un « Ah bon! Et tu aimes les mecs poilus et rond alors? ». Il rigole et me dit « J’aime tout ce qui est beau, que ça soit des hommes ronds et poilus aux femmes fines et élancées » et il pose sa main sur ma cuisse et me dit « Pourquoi pas toi? »
Je joue un peu le timide en baissant la tête, je reste un moment comme ça. Il laisse sa main sur ma jambe mais n’ose pas la bouger. Je lève alors la tête vers lui, je le regard droit dans les yeux et en posant ma main sur sa bite je lui dit: « J’aime tout ce qui fait du bien », et je commence à lui masser la queue et les couilles à travers son pantalon. Je la sens gonfler sous mes doigts. Il reprend le pétard, tire une dernière latte et l ‘écrase. Il attrape ma main qui est sur son sexe et m’attire vers les arbres qui sont au fond de l’aire. Une fois que nous sommes au milieu des arbres et que la nuit nous protège, il me colle à lui et me roule une pelle bien baveuse et me pelote les fesses à travers le pantalon. Apres quelques minutes d’échange buccale nos corps se décollent et il attrape le bas de mon t-shirt, me l’enlève et attrape directement entre ses doigts mes tétons qu’il serre progressivement. J’adore qu’on s’occupe de mes tétons mais au début la douleur est trop forte, malgré tout je me retiens de crier. Il relâche mes tétons pour défaire mon jean. Il fait glisser mon jean et mon boxer à mes pieds et reviens caresser mes tétons. Il le fait d’abord doucement et augmente l’intensité au fur et à mesure. Cette fois je ne profite que du plaisir. La réaction de ma bite en est la preuve d’ailleurs il la caresse. A chaque fois qu’il serre plus fort mes tétons ma queue se soulève dans sa main. J’ai très envie de sentir son corps contre moi.
Au bout de quelques minutes de se traitement, j’ai trop envie de découvrir sa queue alors je vais pour m’agenouiller bien qu’il sert toujours mes tétons. Ca tire encore plus fort, mais il les lâche et me laisse me mettre a genoux. J’ouvre son pantalon, il ne porte rien en dessous et sa bite jaillit comme un ressort. Je passe un coup de langue sous sa queue qui gonfle encore plus. Je n’arrive pas à la voir mais je sens qu’elle est de bonnes tailles. En remontant ma langue de la base au gland je sens les veines gonflées et la queue durcir. Je m’attarde maintenant sur son gland. Je lui donne des coups de langue et des coups de dents. Je gobe son gland, le suce et je commence à m’empaler dessus quand il m’attrape la tête, me l’a fait reculer et me dit
« J’ai trop envie de ton cul! »
Il m’attrape par la taille, me retourne et me fait pencher en avant. J’écarte les jambes, il écarte mes fesses. Je l’entends préparent un mollard que je sens s’écraser sur mon trou et qu’il étale avec un doigt. Il en prépare un autre mais cette fois je ne sens presque rien me toucher, il a dû cracher sur son sexe. Il pose son gland sur ma rondelle, je sens la pression qu’il met alors je pousse sur mes fesses pour l’aider à rentrer. Bien que je me sois déjà fait baiser et pris des doigts dans le cul aujourd’hui je sens que sa queue me dilate les chairs au maximum. Je sens chaque centimètre de sa tige me perforer. J’ai mal au cul alors je souffle pour me décontracter. Il continue de rentrer jusqu’à ce que son gland touche le fond de mon cul. Sa bite est tellement longue que je sens pas ses couilles taper contre mon cul. Il reste comme ça un petit moment puis il commence des petits vas et viens en moi pour que je me détende bien et que je m’adapte à sa taille. Ce qui est rapidement le cas. Il me ramoner de plus en plus fort maintenant. Puis il sort entièrement de mon cul pour y rerentrer d’un coup. Ce n’est qu’à ce moment la que je réalise qu’il ne porte pas de capote, mais je prends tellement de plaisir, surtout quand il me donne une bonne fessée et me dit « Maintenant je vais te faire couiner », pour dire quoi que se soit. Et effectivement, ses coups de reins sont tellement bons que je me met à couiner de plaisir. Je sens mon cul couler, je ne vais pas tarder à jouir, je contracte mon cul pour le lui faire comprendre. Il a bien reçu mon message car il me besogne de plus en plus fort et ses fessées aussi sont de plus en plus fortes. Je contracte mes sphincters de plus en plus fortement jusqu’à ce que je sente mon cul se remplir par plusieurs grosses giclées de sperme. Il continue à me ramoner même s’il a joui et moi aussi mais ça coulisse encore mieux maintenant que son sperme m’a entièrement lubrifié. Même s’il a dégonflé il prend encore énormément de place dans mon cul et je sens enfin ses couilles me taper.
Quand il sort complètement son sexe, une grosse quantité de sperme couler de mon cul le long de ma jambe même si j’ai la sensation d’être encore bien rempli.
Nous nous rhabillons et retournons vers la table de notre rencontre. Il me propose de venir me doucher avec lui à la station service mais je refuse car je dois reprendre la route et que j’ai envie de sentir son sperme sortir de mon cul pendant que je conduis.
Nous nous roulons une dernière pelle et je retourne vers ma voiture alors qu’à chaque pas je sens mon boxer se mouiller de plus en plus.
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8 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
RE , moi ancien routier, trente années que j'ai profité de mes arrêts sur les aires de repos . A lépoque j'étai recto-verso , après une drague rapide dans les bois , quand un mec me plaisait bien je l'invitais dans ma cabine . Rideaux tirés , à poil tout y passait , branle , suce baise souvent chacun son tour. Un truc que j'aimais bien , mon partenaire couché sur le dos dans la couchette , je le baise , lui se branle , et jouit sur son ventre . Je sort de son trou et jouis par dessus son sperme et me met à tout lècher et partager ce jus de bouche à bouche jusqu'a il n'en reste plus rien .
Très belle histoire qui me rappelle bien mes trente années de routier ou je ne compte pas le nombre de mecs que j'ai baisé ou le nombre de mecs qui m'ont baisé dans ma couchette .
Mais chose curieuse entre routiers il était rare d'avoir des rapports.
Mais chose curieuse entre routiers il était rare d'avoir des rapports.
Vive les routiers et vive ton histoire
Que j'aime les histoires où des mecs se défoncent!
une histoire très excitante, moi aussi j'aimerais me faire baiser le cul pour ensuite sentir ta crème chaude et gluante s'écouler dans mon slip., la garder le plus longtemps possible, sentir son odeur remonter vers mes narines pendant que je conduis. Je suis un homme mur très vicieux, qui se laisse faire.
salut très belle histoire avec du bon sexe ca donne envie de ce faire un routier qui te remplie bien recto verso hâte de lire la suite a bientôt
Une trop belle histoire je n’ai pas pu résister.
Moi aussi j’en ai plein, mes dans ma main malheureusement, car moi aussi j’aime me faire remplir et sentir le sperme ressortir petit à petit et me retrouver avec ma petite culotte bien mouillé.
Humm !!! Raconte-nous encore et encore j’aime.
Moi aussi j’en ai plein, mes dans ma main malheureusement, car moi aussi j’aime me faire remplir et sentir le sperme ressortir petit à petit et me retrouver avec ma petite culotte bien mouillé.
Humm !!! Raconte-nous encore et encore j’aime.
Voila ce que j'appelle une belle histoire , se prendre plein les fesses par un routier . Que de bons souvenirs