dans les bois 1/2
Récit érotique écrit par esclave1971 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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dans les bois 1/2
Un beau dimanche du mois août, j'accompagne Célia pour une promenade extra sensorielle, je suis dans le coffre de ma voiture , un bâillon écarteur buccal me maintient la bouche ouverte , j'ai un string retourné sur le visage, l'odeur de Célia m’emplis les narines et provoque une forte érection , je suis nu avec un harnais dorsale, deux bracelets en cuir maintiennent mas bras dans le dos relier au collier autour de mon cou l'espace exiguë m'oblige à être recroqueviller, nous roulons depuis un moment déjà, j'ai réussi à bouger légèrement que ma tête cesse de heurter la carrosserie à chaque courbe , je suis ballotté de gauche à droite au gré de trous et des bosses que nous rencontrons, lorsque nous nous arrêtons enfin je souffle , le bruit de la portière puis plus aucun bruit durant plusieurs minutes , l'angoisse me gagne puis le hayon s'ouvre enfin, je suis aveuglé par le soleil, je peine a ouvrir les yeux puis je constate que Célia n'est pas seule, Angélique une de ses amies se tient debout à coté d'elle, j'ai un mouvement de recul et tente de m'enfoncer au fond du coffre, Célia s'en amuse « il est trop tard pour te planquer montre donc à Angélique comment tu bandes pour moi » joignant le geste à la parole elle m'écarte les genoux exposant ainsi ma queue dressée aux yeux d'Angélique, elle ne détourne pas le regard, Célia m'avait déjà avouer qu'elle lui racontait tout, absolument tout mais elle n'avait jamais participé à quoi que ce soit donc c'était une première pour moi, être montrer ainsi à une autre personne que Célia, qu'elle sache tout de ma vie de larbin est une chose mais qu'elle en soit le témoin en est une autre, je lui en voulait qu'elle m'expose ainsi sans prévenir mais elle l'avait dit il était trop tard, ce qui est fait, est fait.
« il bande bien le gros lapin » Angélique avait une voix très douce, son sourire lui aussi était doux, elle était vraiment sexy dans son petit short en jean déchiré sans parler d'un haut minimaliste composé d'un simple chemisier très transparent sur lequel elle avait fait un nœud laissant son ventre nu, Célia renchérit « oh que oui qu'il bande bien, tout mon corps le fait bander même mes pieds quand à ma chatte, il est accro, il bande à fond en sniffant mes fonds de culottes, hein c'est vrai mon gros lapin que tu triques à mort dans ma crasse »
elle avait raison surtout que j'avais son string sur le visage bien avant notre départ en voiture, son odeur avait fini par me remonter jusqu’au cerveau, dans un instant de lucidité je m’aperçus que nous étions dans les bois à proximité des cascades du hérisson, haut lieu touristique de notre département, je trouvait oser d'être exposer en un lieu aussi fréquenter , bien-sur nous n'étions pas sur le chemin de randonnée puisque je pouvais en apercevoir le départ au loin, Célia avait emprunter le chemin forestier qui est sur le versant opposé mais quand même étrange sensation d'être ici puis je ne vis plus rien car Angélique et Célia m'avaient attraper par les jambes pour me tirer hors du coffre, elles me tenaient chacune par le harnais que je reste en position a demi fléchi puis elles m'ont laisser descendre que je me retrouve avec l'anus posé sur l’attache remorque de la voiture , j'ai commencer à transpirer, dans ma tête cognait « non pas ça » Célia a commencer à me caresser le dos, elle passait ses doigts sur mes épaules, « ne crispe pas se sera pire pour toi, détend toi et laisse faire la gravité » j'ai pris une profonde inspiration et j'ai fermé les yeux en tentant d'accepter ce qui allait bientôt m'envahir, je suis plutôt lourd donc la gravité à en effet fait son œuvre, même non lubrifié, la boule c'est frayer un passage pour entrée dans mon rectum, j'ai cru défaillir quand la partie la plus large a passer la barrière de mon sphincter, ouch sa fait mal ça, ma queue elle aussi a perdue de sa superbe à cet instant Célia a posé ses mains sur mes cuisses et c'est appuyer de tout son poids sur moi, « te voilà emmancher à sec mon gros lapin » oui je ne pouvait que subir cet intrus en acier fiché en moi.
Angélique ce tenait devant moi, son short à hauteur du visage, Célia à ôter les boutons et ouvert le short laissant apparaître les poils blond d'angélique , elle a aussitôt glisser ses doigts dans l'ouverture, angélique ce pâmait déjà sous la caresse , Célia a retirer son string de mon visage tout en baissant le short d'angélique , hummmmm qu'elle odeur suave, j’avais le nez dans ses poils pubien, je pouvait humer le parfum entêtant de son sexe , angélique était une vraie blonde a la peau laiteuse , elle c'est tourner quelques instants pour enfuir ma tête entre ses fesses que j'aurais aimé passé du temps perdu au milieu de son joufflu bien charnu et odorant mais Célia l'a retourner titillant l'entrée de sa vulve du bout du doigt, elle a pousser angélique jusqu'à ce que je sente les poils de la blonde entrés dans ma bouche et aussitôt un flot d'urine m'a envahi le palais.
« il bande bien le gros lapin » Angélique avait une voix très douce, son sourire lui aussi était doux, elle était vraiment sexy dans son petit short en jean déchiré sans parler d'un haut minimaliste composé d'un simple chemisier très transparent sur lequel elle avait fait un nœud laissant son ventre nu, Célia renchérit « oh que oui qu'il bande bien, tout mon corps le fait bander même mes pieds quand à ma chatte, il est accro, il bande à fond en sniffant mes fonds de culottes, hein c'est vrai mon gros lapin que tu triques à mort dans ma crasse »
elle avait raison surtout que j'avais son string sur le visage bien avant notre départ en voiture, son odeur avait fini par me remonter jusqu’au cerveau, dans un instant de lucidité je m’aperçus que nous étions dans les bois à proximité des cascades du hérisson, haut lieu touristique de notre département, je trouvait oser d'être exposer en un lieu aussi fréquenter , bien-sur nous n'étions pas sur le chemin de randonnée puisque je pouvais en apercevoir le départ au loin, Célia avait emprunter le chemin forestier qui est sur le versant opposé mais quand même étrange sensation d'être ici puis je ne vis plus rien car Angélique et Célia m'avaient attraper par les jambes pour me tirer hors du coffre, elles me tenaient chacune par le harnais que je reste en position a demi fléchi puis elles m'ont laisser descendre que je me retrouve avec l'anus posé sur l’attache remorque de la voiture , j'ai commencer à transpirer, dans ma tête cognait « non pas ça » Célia a commencer à me caresser le dos, elle passait ses doigts sur mes épaules, « ne crispe pas se sera pire pour toi, détend toi et laisse faire la gravité » j'ai pris une profonde inspiration et j'ai fermé les yeux en tentant d'accepter ce qui allait bientôt m'envahir, je suis plutôt lourd donc la gravité à en effet fait son œuvre, même non lubrifié, la boule c'est frayer un passage pour entrée dans mon rectum, j'ai cru défaillir quand la partie la plus large a passer la barrière de mon sphincter, ouch sa fait mal ça, ma queue elle aussi a perdue de sa superbe à cet instant Célia a posé ses mains sur mes cuisses et c'est appuyer de tout son poids sur moi, « te voilà emmancher à sec mon gros lapin » oui je ne pouvait que subir cet intrus en acier fiché en moi.
Angélique ce tenait devant moi, son short à hauteur du visage, Célia à ôter les boutons et ouvert le short laissant apparaître les poils blond d'angélique , elle a aussitôt glisser ses doigts dans l'ouverture, angélique ce pâmait déjà sous la caresse , Célia a retirer son string de mon visage tout en baissant le short d'angélique , hummmmm qu'elle odeur suave, j’avais le nez dans ses poils pubien, je pouvait humer le parfum entêtant de son sexe , angélique était une vraie blonde a la peau laiteuse , elle c'est tourner quelques instants pour enfuir ma tête entre ses fesses que j'aurais aimé passé du temps perdu au milieu de son joufflu bien charnu et odorant mais Célia l'a retourner titillant l'entrée de sa vulve du bout du doigt, elle a pousser angélique jusqu'à ce que je sente les poils de la blonde entrés dans ma bouche et aussitôt un flot d'urine m'a envahi le palais.
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