souvenir d'un larbin 2
Récit érotique écrit par esclave1971 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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souvenir d'un larbin 2
Célia a très vite instauré certain rituel comme l’accueillir nu a son retour du travail , rien d'insurmontable en réalité juste qu'elle s’autorisait parfois des fantaisies comme lors d'un retour tardif suite à des achats , j'avais entendu sa voiture donc aussitôt ouvert la porte pour l’accueillir comme je le devait sauf qu'au lieu de ça, je l'entend m'appeler, j'ai demander ce qu'il se passait depuis l'intérieur de la maison « descend je suis chargé, viens m'aider » nous habitions une maison à étage, il fallait descendre un escalier de 13 marches en extérieur dans ma tête non non non résonnait , je trépignait puis « alors ? Je ne vais pas poireauter ici toute la soirée » je répliquait que j'étais nu , que je ne pouvais pas sortir comme ça, « bien sûr que si,c 'est comme ça que je veux te voir descendre ici, obéi et dépêche toi » j'ai pris une grande inspiration , courage me suis je dis puis je suis sorti et dévaler les marches à la vitesse de l'éclair , cette première exhibition forcée avait provoquer une érection intempestive , je le sentait « oh le brave chien chien qui frétille de la queue venant au devant de sa maîtresse, comme c'est adorable » elle avait ce beau sourire qui illuminait son visage, elle m'a dit « brave toutou baise les pieds de ta maîtresse » évidement je pensait au vis à vis peut présent, des voisins bien sur mais pas sur le devant de la maison, une route cependant passait juste là à une quinzaine de mètre de l'entrée, nous étions hors agglomération donc je me réconfortait me disant que les voiture circulait trop rapidement pour voir quoi que ce soit , Célia avait reculer afin de m'obliger à avancer à quatre pattes pour atteindre ses pieds et commencer à embrasser ses chaussures que j'ai du laper encore et encore, sucer ses talons puis a nouveau embrasser « il suffi tu as assez montrer ton cul comme ça » comme si cela avait été mon choix
je sentait que j'étais rouge comme une tomate, mes joues me chauffait, Célia a sorti ses fameux 'achats ' un simple petit paquet en réalité qu'elle aurait très bien pu prendre elle même , il s'agissait d'une petite boîte à gâteau venant de la meilleure pâtisserie de la ville voisine , certainement un paris-brest , son gâteau préféré , elle m'a fait prendre le ruban violet qui entourait la boite entre les dents « aller mon chien, tu remontes à quatre pattes » je ne voulait pas savoir si on m'avait vu dans cette situation en plein jour , j'étais juste heureux d'être de retour à l'abri dans la maison , enfin juste à l'abri des regards car ma très chère et cruelle Célia venait de m'attraper le paquet par derrière , elle l'a malaxer et tourner dans sa main puis m'a obliger a me mettre debout, elle a lâcher mes boules et m'a attraper a deux mains par le cou, du genoux elle m'a fait écarter les jambes , tout en me tenant fermement elle m'a balancer son genoux dans l'entre jambes, j'ai beugler tant c'était douloureux, elle m'a masser le cou et dans un grand sourire lumineux elle a recommencer , elle serrait ses mains, j'ai voulu les attraper pour desserrer son emprise « tssss tsss non non non » elle me tenait comme un pantin entre ses mains puissantes , le troisième coup m'a achever , j'ai grogner en crachant par le nez
elle a pris un ton mielleux « mon pauvre chéri comme vont tes petites baloches » elle me massait toujours le cou et tout en appuyant avec ses pouces sur ma glotte me dit « tu crois que si je cogne plus fort elles vont te remonter jusque là ? » je déglutissait avec difficulté tant ses griffes me rentrait dans la peau elle a pris un ton doux et amoureuse , elle m'a rouler une pelle en me disant « mon pauvre toutou si elles te remontaient jusqu'au gosier c'est ce qui s’appellerait avoir les boules HAHAHAHAHAHAHAHAHAH !!!!!!!!! »elle a exercé une dernière et très forte pression puis m'a lâcher, je suis tombé au sol, cherchant l'air j'ai mis un certain temps a reprendre mes esprits tout en gardant l'image de Célia qui ne ma jamais dominé physiquement puisqu' étant plus petite que moi mais qu'elle force en elle, qu'elle détermination.
J'ai préparé le dîner avec cette désagréable sensation d'avoir un chat dans la gorge en permanence , j'ai tousser toute la nuit mais avant cela il me fut accomplir une tache des plus agréables, un massage des pieds de Célia à la bouche et à la langue , un bon massage c'est 30 minutes minimum par pied disait elle, sans les mains passer la langue partout, dessus et dessous le pied, passage de la langue entre chaque orteils, les sucer un par un, sucer le talon puis remonter par dessous le pied et le prendre entièrement en bouche et le pomper consciencieusement.
Esclave anthony
je sentait que j'étais rouge comme une tomate, mes joues me chauffait, Célia a sorti ses fameux 'achats ' un simple petit paquet en réalité qu'elle aurait très bien pu prendre elle même , il s'agissait d'une petite boîte à gâteau venant de la meilleure pâtisserie de la ville voisine , certainement un paris-brest , son gâteau préféré , elle m'a fait prendre le ruban violet qui entourait la boite entre les dents « aller mon chien, tu remontes à quatre pattes » je ne voulait pas savoir si on m'avait vu dans cette situation en plein jour , j'étais juste heureux d'être de retour à l'abri dans la maison , enfin juste à l'abri des regards car ma très chère et cruelle Célia venait de m'attraper le paquet par derrière , elle l'a malaxer et tourner dans sa main puis m'a obliger a me mettre debout, elle a lâcher mes boules et m'a attraper a deux mains par le cou, du genoux elle m'a fait écarter les jambes , tout en me tenant fermement elle m'a balancer son genoux dans l'entre jambes, j'ai beugler tant c'était douloureux, elle m'a masser le cou et dans un grand sourire lumineux elle a recommencer , elle serrait ses mains, j'ai voulu les attraper pour desserrer son emprise « tssss tsss non non non » elle me tenait comme un pantin entre ses mains puissantes , le troisième coup m'a achever , j'ai grogner en crachant par le nez
elle a pris un ton mielleux « mon pauvre chéri comme vont tes petites baloches » elle me massait toujours le cou et tout en appuyant avec ses pouces sur ma glotte me dit « tu crois que si je cogne plus fort elles vont te remonter jusque là ? » je déglutissait avec difficulté tant ses griffes me rentrait dans la peau elle a pris un ton doux et amoureuse , elle m'a rouler une pelle en me disant « mon pauvre toutou si elles te remontaient jusqu'au gosier c'est ce qui s’appellerait avoir les boules HAHAHAHAHAHAHAHAHAH !!!!!!!!! »elle a exercé une dernière et très forte pression puis m'a lâcher, je suis tombé au sol, cherchant l'air j'ai mis un certain temps a reprendre mes esprits tout en gardant l'image de Célia qui ne ma jamais dominé physiquement puisqu' étant plus petite que moi mais qu'elle force en elle, qu'elle détermination.
J'ai préparé le dîner avec cette désagréable sensation d'avoir un chat dans la gorge en permanence , j'ai tousser toute la nuit mais avant cela il me fut accomplir une tache des plus agréables, un massage des pieds de Célia à la bouche et à la langue , un bon massage c'est 30 minutes minimum par pied disait elle, sans les mains passer la langue partout, dessus et dessous le pied, passage de la langue entre chaque orteils, les sucer un par un, sucer le talon puis remonter par dessous le pied et le prendre entièrement en bouche et le pomper consciencieusement.
Esclave anthony
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