dans les bois 2/2 - histoire érotique

Ma bouche maintenue grande ouverte prenait tout, son jet était dru, angélique me tenait la tête pour bien me coller à elle, elle m'a rempli encore et encore et encore, je n'en pouvait plus j’avais du mal a avaler tant il y en avait, quand enfin elle c'est retiré, elle m'a souri « te voilà bien rempli » Célia me regardait «  il fait chaud, il faut penser a bien s'hydrater » oui enfin de toute façon pas le choix pour moi j'ai été gavé de force , elle a passer un doigt entre les lèvres d'angélique qu'elle a porter a sa bouche et l'a sucé «  hummm excellente cuvée ce champagne  ma belle » angélique à poser une main sur la tête de Célia et la fait mettre à genoux devant elle « vas y renifle moi, je sais que tu aimes ça » Célia ne sait pas faite prier je l'entendait distinctement respirer le sexe d'angélique à plein poumon « incroyable comment on peut lire le bonheur sur ton visage, vas y sniffe et retire ta robe » Célia l'a remonter jusqu'aux mains d'angélique qui lui a sortie par le haut « voilà c'est mieux, célia cul nu dans les bois » j'en aurait presque oublié ma situation tant l'instant était magique, j'avais une trique d'enfer devant ce spectacle , angélique assise sur une vielle souche d'arbre avec Célia à quatre pattes, la tête entre ses cuisses, j'avais une vue imprenable sur le cul de Célia, sa peau mate, ses gros seins qui ballottaient sous elle,sa fente bien lisse aux lèvres sombres, sa pastille bien marquer preuve qu'elle avait souvent été prise par là, angélique avait saisie Célia par les cheveux et dirigeait sa tête comme celle d'un pantin « tu vois à quoi tu sers célia hein tu le vois, j'utilise ton nez pour fouiller dans mes poils collés » elle ondulait du bassin se frottant sur le visage de célia, elle lui barbouillait la face de son jus de chatte qu'elle lui étalait de partout, on voyait qu'elle la tenait fermement, «  rentre ton nez dans mon vagin et sens moi au fond, tout au fond » je n'avais jamais vu Célia dans pareille situation reniflant le sexe d'une autre femme, celle ci cependant a pris un ton plus directif « plus fort Célia, renifle plus fort et lentement prend ton temps je veux que tu sois imprégner de moi »
La gourmandise de Célia semblait insatiable, elle dévorait l'entre jambes d'angélique avec voracité si bien qu'a plusieurs reprise, angélique lui a tenu la tête en disant «  doucement, doucement » puis elle c'est cabré, une jouissance silencieuse, les yeux fermés, Célia, elle continuait à laper le sexe d'angélique comme ne voulant rien perdre de la jouissance de son amie, cette dernière lui a coller un pied sur le visage pour la repousser doucement «  ça suffit, tu as eux ce que tu voulais , tu disais que ton mari était accro à ta vulve du coup que pourrais t’ont dire de ton comportement d'aujourd'hui ?
Célia la grande bourgeoise, à quatre pattes à poil dans les bois à me manger le con comme si sa vie en dépendait » elle restait muette sous le pied d'angélique qui me regardant me dit «  qu'es ce qu'il y a le gros lapin ? Tu aurais voulu être à sa place peut être » quand bien même je ne pouvait rien répondre elle continue «  je sais ce que tu voudrais, tu voudrais la baiser, la tout de suite, tu ne te vois pas mais tu es rouge comme une tomate mon pauvre, tu frôles l'apoplexie » évidement que j'aurais aimer baiser le cul de Célia, il était là juste devant moi, son joufflu bien fendu avec sa raie profonde et attirante, angélique a déplié son pied obligeant Célia à reculer vers moi, si bien que ma queue tendu comme un arc a terminé dans sa raie, j'aurais adorer planter mes ongles dans ses hanches pour l'enfiler à fond et la posséder mais c'était moi qui était posséder par une boule d'acier planter en moi, les bras maintenu dans un harnais, le bec ouvert et pourtant muet que pouvais je faire d'autre que de jouir sur le dos de Célia qui ondulait de la croupe sur ma queue, une puissante rasade de sperme lui a presque atterri sur la nuque puis deux autres ont suivi lui tapissant la colonne vertébrale, ma queue à flétri en même temps que ma tension générale , angélique qui c'était levée m'a attraper par le harnais pour me soulever et m'extraire de mon empalement, ce fut aussi douloureux dans ce sens la, elle m'a fait mettre à quatre pattes moi aussi « le gros lapin est un cochon qui va nettoyer ses cochonneries » joignant le geste a la parole elle a saisi le collier du bâillon pour me faire récolter le sperme que j'avais expulser sur le dos de célia, exercice difficile sous cette contrainte la langue ne pouvant que très peut sortir, célia qui semblait revenir parmi nous me dit « tu aimes ton sperme mon gros lapin ? » je l'avais déjà ingurgité à plusieurs reprise toujours aussi âpre avec ce goût métallique qui reste en bouche, une fois débarrassé du harnais et du bâillon j'ai repris ma place dans le coffre pour le retour, je garde en mémoire Célia et angélique ce roulant une pelle dantesque tout en se massant mutuellement les seins ;
qu'elle belle après midi.
Esclave anthony.