Dans les vestiaires. - histoire érotique

Je m’appelle Morgane, nouvelle chef d'équipe d'une brigade d’hommes, je découvre la dynamique intrigante et séduisante qui s'installe entre moi et mes collègues. D’abord déstabilisée par la présence d’hommes et leur aura envoûtant, je suis particulièrement attirée par Thomas, un homme timide avec qui je ressent une connexion mystérieuse. Mes tension sexuelle, palpable tout au long de la journée, éclate finalement lors d'une rencontre passionnée dans les vestiaires et la douche du bâtiment. Ce moment intime marque un tournant dans ma relation naissante, révélant une alchimie intense qui pourrait bouleverser ma vie, à la fois sur le plan personnelle et professionnelle. L'évolution émotionnelle du personnage principal passe d'une réserve maladroite à une confiance affirmée, façonnée par ce désir puissant et mutuel.


J’ai observé mon équipe discrètement, les mains enfoncées dans les poches de mon pantalon de travail, tandis qu’ils s’affairaient dans les espaces verts de la mairie. C’était ma première semaine en tant que chef d’équipe, et même si j’étais habitué à diriger, cette équipe 100% masculine me déstabilisait. Pas parce qu’ils étaient moins compétent – bien au contraire –, mais parce que chacun dégageait une aura qui me mettait mal à l’aise. Et pas seulement à l’aise dans le sens professionnelle.


Julien, avec son gros cul, s’est penchée pour ramasser des branches. Son jean moulant a laissé peu de place à l’imagination, et je me suis surprise à détourner le regard, les joues chaudes. Victor, grand et musclé, a croisé mon regard et m’a lancé un sourire coquin avant de retourner à son travail. J’ai senti mon cœur s’emballer, imaginant déjà qu’il me soulèverais contre lui, mes jambes enroulées autour de sa taille, nos corps collés dans un baiser passionné.


Vincent, grand et élancé, est passée près de moi pour déposer un sac de déchets. Son parfum, un mélange envoûtant de fleurs et de musc, m’a fait frissonner. J’ai respiré profondément, essayant de me concentrer sur les instructions que je devais donner, mais ses hanches ondulantes m’ont distraits. Bruno, plus mature, avec ses cheveux châtains tirés en queue de cheval, m’a adressé un clin d’œil complice en ajustant ses gants. J’ai eu l’impression qu’il lisait dans mes pensées, et j’ai détourné le regard, mal à l’aise.


Et puis il y avait Thomas. Timide comme moi, il travaillait silencieusement à l’écart, ses cheveux bruns désordonnés. Nos regards s’étaient croisés plusieurs fois, et chaque fois, j’avais senti une connexion étrange, comme si nous partagions un secret.


À midi, nous nous sommes retrouvés autour de la table dans la serre pour déjeuner. La conversation était animée, mais je me suis contentée d’écouter, grignotant mon sandwich en silence. Thomas s’est assis à côté de moi, et nos épaules se sont frôlées. J’ai senti une décharge électrique parcourir mon corps, et j’ai jeté un coup d’œil vers lui. Nos regards se sont croisés, et j’ai vu dans ses yeux la même tension que je ressentais.


« Tu es nouvelle ici, hein ? » m’a-t-il murmuré, brisant le silence.
« Oui, depuis ce matin, » ai-je répondu.
« Ça se passe bien ? »
J’ai haussé les épaules, cherchant mes mots. « Oui, l’équipe est… incroyable. »
Il a souri, un sourire timide qui m’a fait fondre. « On est une bonne équipe. »


Au milieux du déjeuner, alors que les autres parlais entre eux, Thomas s’est approchée de moi. « Tu veux que je te montre les vestiaires et ma douche ? Au cas où tu en aies besoin plus tard. »
J’ai hoché la tête, incapable de parler. Il m’a conduit en haut du bâtiment, ses hanches balançant doucement dans son pantalon de travaille. Mon regard s’est attardé sur ses bras muscler, et j’ai senti mon désir monter en flèche.


Une fois arrivés devant son vestiaire, il a ouvert la porte et m’a fait signe d’entrer. L’air était lourd, chargé de l’odeur de transpiration et de savon. La douche était au fond, la parois en verre dépoli laissant deviner une petite douche.


« Voilà, » m’a-t-il dit, se tournant vers moi.
Je me suis avancé, incapable de contenir plus longtemps la tension qui m’habitait. D’un geste brusque, il m’as attiré contre lui, me plaquant contre son casier. Nos lèvres se sont collées dans un baiser vorace, nos langues s’entremêlant avec une urgence que je ne pouvais plus ignorer.


Mes mains se sont agrippées à ses épaules, mes ongles creusant sa peau à travers son t-shirt. Il as glissé ses mains dans mon pantalon, sentant la chaleur de ma peau à travers ma culotte déjà humide. J’ai gémi dans sa bouche, ses hanches se pressant contre moi.


« Morgane… » m’a-t-il murmuré, son souffle chaud contre mon cou.
« Chut, » ai-je répondu, enlevant mon pantalon. Il as glissé ses doigts le long de ma cuisse, remontant jusqu’à mon sexe trempé. J’ai tressailli, mes jambes s’écartant légèrement pour lui donner plus d’accès.


Il as écarter ma culotte et enfoncé deux doigts en moi, me sentant déjà prête, déjà mouillée. Je l’est pousser pour attraper son jean et libérer son sexe dur qui pulsait contre la fermeture éclair. « Je te veux, » je lui est dis, mes yeux brillants de désir.


Je n’est pas eu besoin de plus. Je me suis mise à genoux, dégageant sa ceinture d’un geste habile. Son jean est tombé autour de ses chevilles ainsi que son boxer, et j’ai pris sa bite dans ma main, la caressant doucement avant de la porter à mes lèvres.


Je l’est sucé avec avidité, mes lèvres enveloppant sa queue jusqu’à la base. Il as grogné, ses mains s’enfonçant dans mes cheveux, guidant son rythme. « Morgane… putain, tu es incroyable, » m’a-t-il murmuré, sentant son orgasme monter.


Mais je ne voulais pas que ça se termine comme ça. Pas encore. Je me suis relevée, enlevant mon t-shirt et le sien ainsi que mon soutif puis il m’as soulevait pris dans ses bras comme si je ne pesait rien. J’ai enroulé mes jambes autour de sa taille, mes mains agrippant ses épaules. Il m’as portée jusqu’a la douche, me plaquant contre les carreaux froids.


« Je te veux maintenant, » m’a-t-il grogné, alignant sa bite avec mon entrée mouillée. D’un coup de reins, il c’est enfoncé en moi, sentant mes parois serrées l’accueillir. J’ai crié de plaisir, mes ongles creusant ses épaules.


L’eau de la douche a commencé à couler, frappant nos corps en sueur. Il as bougé en moi, ses coups de reins devenant plus rapides, plus profonds. Nos respirations se sont mêlées, nos gémissements remplissant l’espace confiné.


« Thomas… plus fort… » est-je supplié, mes hanches se soulevant à sa rencontre.
Il m’as baisée avec toute la force qu’il pouvais, nos corps se heurtant dans un rythme frénétique. L’eau coulait sur nos peaux, mêlant sueur et désir. Il as senti mon corps se tendre, mes jambes se resserrer autour de lui.


« Je vais… je vais… » est-je crié, mon orgasme le secouant.
Mon plaisir a déclenché le sien, et j’ai joui en même temps qu’il me remplissait de son sperme chaud. Nos corps se sont affaissés, essoufflés, contre la paroi de la douche.


L’eau coulait toujours, lavant nos peaux, mais nous n’avons pas bougé. Nos respirations se sont calmées, et nous nous sommes regardés, un sourire complice aux lèvres.


« Ce n’est que le début, » m’a-t-il murmuré, caressant ma joue.
J’ai hoché la tête, mes yeux brillants de désir et de promesse. « Je sais. »


Et dans ce moment, sous l’eau chaude de la douche, j’ai su que cette équipe, cette homme, allait changer ma vie. Pour toujours.


Première histoire et il y aura une suite. J’attend de lire vos comentaire.