Frissons d’interdit et promesses brûlantes.
Récit érotique écrit par Morganebiz [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Frissons d’interdit et promesses brûlantes.
Julien observa Morgane s’éloigner avec une grâce féline après un échange silencieux chargé de tension sexuelle dans les vestiaires, où chaque élément semble témoin de leur désir latent.
Je voyais au loin Julien qui se tenais là, immobile, le cœur palpitant, alors que je m’éloignait, mes hanches ondulant avec une grâce féline. Mes lèvres humides et son regard brûlant, était gravée dans mon esprit, et la tension sexuelle qui flottait dans l’air était presque palpable. Les espaces verts de la mairie, habituellement si calmes et professionnels, semblaient maintenant chargés d’une énergie électrique, comme si chaque arbre, chaque brin d’herbe, était témoin de notre futur désir mutuel.
Nous rentrons à la serre pour manger le midi, je m’assis à coter de Julien a la table, je posa mes mains sur les siennes et je sentis ses mains tremblantes. Mon esprit était en ébullition, revisitant chaque instant de notre échange. Il fermas ces yeux, essayant de reprendre son souffle, mais l’image de ma main au dessus de lui, tendait son pantalon. L’après-midi on devait nettoyer tout les deux les vestiaires. Il m’emmenas vers les vestiaires, une fois dedans, l’excitation était à son comble, et je me sentis comme sur le point de basculer dans l’inconnu.
« Ici, personne ne nous dérangera, » dit-il, sa voix basse et séduisante. Il se rapprochas de moi, ses mains caressant mes hanches, me tirant contre lui. Je sentis son érection a travers le tissus de son pantalon. « Tu es si tendue, Julien, » ses lèvres effleurant mon cou. « Laisse-moi te détendre. »
Je glissa donc dans son pantalon, attrapant son sexe dur et pulsatile. Il gémissait de plaisir, ses doigts s’enfonçant dans mes cheveux plaqués en arrière, comme s’il voulais me garder près de lui, pour toujours.
Soudain, Julien entendis des pas ce rapprocher. Son cœur fit un bond dans sa poitrine, et il se redressai, essayant de retrouver une apparence de professionnalisme. Je m’étais éloignée de lui, le laissant avec une promesse inachevée.
"La prochaine fois, je veux que tu me prennes ici." Mes mots résonnaient dans son esprit, un écho sensuel qui attisait son désir. Il devais s’imaginais déjà, me plaquant contre son vestiaire, mes jambes enroulées autour de sa taille, nos corps se mêlant dans une danse primitive de plaisir. C’était Bruno, l’un des membres de l’équipe, qui s’approchait avec un air curieux.
"Tout va bien, Julien ?" me demanda-t-il, son regard balayant les alentours.
"Oui, oui, tout va bien," répondis-t’il, forçant un sourire. "Juste… besoin d’air frais."
Il hocha la tête, semblant accepter cette explication, et s’éloigna. Il soupiras de soulagement, mais son esprit était déjà ailleurs, revenant à moi et à la promesse que je lui avait fait.
Les heures suivantes furent une torture. Chaque regard échangé entre lui et moi était chargé de sous-entendus, chaque mouvement une invitation silencieuse. Je savourer la tension, mon sourire espiègle et mes regards brûlants le poursuivant partout où il allait.
Enfin, la journée de travail toucha à sa fin. L’équipe se dispersa, chacun retournant à ses occupations. Julien restai en arrière, prétextant avoir oublié quelque chose. Je m’approchais de lui , son regard croisant le mien avec une intensité qui me fit frissonner.
"Tu as oublié quelque chose, Julien?" je lui demandais, avec ma voix douce et provocante.
Je vis Julien se mordis la lèvre, son désir pour moi était presque palpable. "Oui… je crois que j’ai oublié de te dire à quel point tu es belle."
Je lui sourit, me rapprochant encore plus près, son parfum envoûtant m’enveloppant. "Et moi, j’ai oublié de te montrer à quel point je peux être insatiable."
Sans un mot de plus, je lui prit sa main et l’entraîna dans son vestiaire.
Je me retourna vers lui, mes yeux noisette brillants de désir. "Maintenant, Julien… montre-moi à quel point tu m’as voulue."
Il nue pas besoin d’autres invitations. Il me pris dans ses bras, nos lèvres se trouvant dans un baiser vorace. Ses mains glissèrent sous ma chemise, caressant ma peau, tandis que les miennes se frayaient un chemin sous son pantalon, trouvant la chaleur de sa peau.
Je lui fit glisser son pantalon et son boxer et commenças un lent va et viens dans ma bouche. Au bout de 5 minutes il me fit me relever et ses doigts glissaire sous mon pantalon, trouvant le bord de mes sous-vêtements. Je retiens mon souffle, mon corps arc-bouté contre lui. Il les baisse lentement, ses yeux ne quittant pas les miens. « Tu es si belle, » répète-t-il, sa voix remplie de désir. Je rougis, mais je ne peux m’empêcher de me sentir désirée, voulue.
Il s’agenouilla devant moi, ses mains caressant mes cuisses, ses lèvres se rapprochant de mon intimité. « Laisse-moi goûter » murmure-t-il, sa voix rauque. Je ferma les yeux, mon corps tremblant, le plug en moi ne pouvais pas s’échapper mais voulais quand même. Ses lèvres effleurent ma peau, sa langue explorant, et je gémis, mon corps répondant à son toucher expert.
Ses doigts trouvèrent le plug, le caressant doucement. « Tu aimes ça, hein ? » dit-il, sa voix remplie de malice. Je hocha la tête, incapable de parler, mon corps en feu. Il retirât le plug lentement, ses yeux fixés sur moi. « Maintenant, c’est à mon tour de te remplir, » murmure-t-il, se relevant.
Il me plaquât contre le mur à nouveau, son érection pressant contre moi. « Es-tu prête, Morgane ? » demandas-t-il, ses yeux plongés dans les miens. Je hocha la tête, mon cœur battant à tout rompre. Il entra en moi doucement, me remplissant, et je gémissait, mon corps s’adaptant à sa taille. « Tu es si serrée, » dit-il, sa voix rauque. « Si parfaite. »
Il commença à bouger, son rythme était lent et sensuel, me faisant gémir à chaque fois. « Julien, » murmurait-je, mon corps en feu. « Plus fort. » Il sourit, ses mouvements devenant plus intenses, me faisant crier de plaisir. Le vestiaire résonna de nos gémissements, nos corps en parfaite harmonie.
Je sentis l’orgasme monter, une vague de plaisir qui me submergea. « Julien, je… » commençai-je, mais il m’interrompit avec un baiser passionné. « Laisse-toi aller, Morgane, » murmurai-t-il, ses mouvements s’accélérant. Je criais, mon corps tremblant, l’orgasme me submergeant. Il suivit peu après, me remplissant, son cri étouffé contre mon cou. Nos corps s’affaissèrent, nos respirations saccadées, nos cœurs battant à l’unisson.
Je me blottit contre lui, mon visage enfoui dans son cou, et je caressai ses cheveux, le tenant près de moi. La tension sexuelle qui avait flotté dans l’air toute la journée semblait enfin apaisée, remplacée par une douce intimité.
"Ça valait la peine d’attendre," lui dis-je, levant les yeux vers lui avec un sourire satisfait.
Il souriait en retour, son cœur encore rempli de désir pour moi. "Et ce n’est que le début, Morgane. Il y a encore tant de choses que je veux explorer avec toi."
Je lui rit, un son doux et sensuel, et l’embrassa tendrement. "Alors, explorons, Julien. Mais pour l’instant… profitons simplement de ce moment."
Et nous restâmes là, enlacés doucement autour de nous, nos corps encore vibrants de plaisir. La promesse d’une suite explosive flottait dans l’air, mais pour l’instant, nous étions simplement deux âmes connectées, perdues dans la beauté de notre désir mutuel.
« Merci, Julien, » dis-je, ma voix douce. Il me regarda, un sourire tendre aux lèvres.
Et dans ce moment, le vestiaire, témoin de notre passion, résonne encore de nos gémissements, et je sais que ce n’est que le premier chapitre de notre histoire.
Quatrième histoire et il y aura une suite. J’attend de lire vos commentaires.
Je voyais au loin Julien qui se tenais là, immobile, le cœur palpitant, alors que je m’éloignait, mes hanches ondulant avec une grâce féline. Mes lèvres humides et son regard brûlant, était gravée dans mon esprit, et la tension sexuelle qui flottait dans l’air était presque palpable. Les espaces verts de la mairie, habituellement si calmes et professionnels, semblaient maintenant chargés d’une énergie électrique, comme si chaque arbre, chaque brin d’herbe, était témoin de notre futur désir mutuel.
Nous rentrons à la serre pour manger le midi, je m’assis à coter de Julien a la table, je posa mes mains sur les siennes et je sentis ses mains tremblantes. Mon esprit était en ébullition, revisitant chaque instant de notre échange. Il fermas ces yeux, essayant de reprendre son souffle, mais l’image de ma main au dessus de lui, tendait son pantalon. L’après-midi on devait nettoyer tout les deux les vestiaires. Il m’emmenas vers les vestiaires, une fois dedans, l’excitation était à son comble, et je me sentis comme sur le point de basculer dans l’inconnu.
« Ici, personne ne nous dérangera, » dit-il, sa voix basse et séduisante. Il se rapprochas de moi, ses mains caressant mes hanches, me tirant contre lui. Je sentis son érection a travers le tissus de son pantalon. « Tu es si tendue, Julien, » ses lèvres effleurant mon cou. « Laisse-moi te détendre. »
Je glissa donc dans son pantalon, attrapant son sexe dur et pulsatile. Il gémissait de plaisir, ses doigts s’enfonçant dans mes cheveux plaqués en arrière, comme s’il voulais me garder près de lui, pour toujours.
Soudain, Julien entendis des pas ce rapprocher. Son cœur fit un bond dans sa poitrine, et il se redressai, essayant de retrouver une apparence de professionnalisme. Je m’étais éloignée de lui, le laissant avec une promesse inachevée.
"La prochaine fois, je veux que tu me prennes ici." Mes mots résonnaient dans son esprit, un écho sensuel qui attisait son désir. Il devais s’imaginais déjà, me plaquant contre son vestiaire, mes jambes enroulées autour de sa taille, nos corps se mêlant dans une danse primitive de plaisir. C’était Bruno, l’un des membres de l’équipe, qui s’approchait avec un air curieux.
"Tout va bien, Julien ?" me demanda-t-il, son regard balayant les alentours.
"Oui, oui, tout va bien," répondis-t’il, forçant un sourire. "Juste… besoin d’air frais."
Il hocha la tête, semblant accepter cette explication, et s’éloigna. Il soupiras de soulagement, mais son esprit était déjà ailleurs, revenant à moi et à la promesse que je lui avait fait.
Les heures suivantes furent une torture. Chaque regard échangé entre lui et moi était chargé de sous-entendus, chaque mouvement une invitation silencieuse. Je savourer la tension, mon sourire espiègle et mes regards brûlants le poursuivant partout où il allait.
Enfin, la journée de travail toucha à sa fin. L’équipe se dispersa, chacun retournant à ses occupations. Julien restai en arrière, prétextant avoir oublié quelque chose. Je m’approchais de lui , son regard croisant le mien avec une intensité qui me fit frissonner.
"Tu as oublié quelque chose, Julien?" je lui demandais, avec ma voix douce et provocante.
Je vis Julien se mordis la lèvre, son désir pour moi était presque palpable. "Oui… je crois que j’ai oublié de te dire à quel point tu es belle."
Je lui sourit, me rapprochant encore plus près, son parfum envoûtant m’enveloppant. "Et moi, j’ai oublié de te montrer à quel point je peux être insatiable."
Sans un mot de plus, je lui prit sa main et l’entraîna dans son vestiaire.
Je me retourna vers lui, mes yeux noisette brillants de désir. "Maintenant, Julien… montre-moi à quel point tu m’as voulue."
Il nue pas besoin d’autres invitations. Il me pris dans ses bras, nos lèvres se trouvant dans un baiser vorace. Ses mains glissèrent sous ma chemise, caressant ma peau, tandis que les miennes se frayaient un chemin sous son pantalon, trouvant la chaleur de sa peau.
Je lui fit glisser son pantalon et son boxer et commenças un lent va et viens dans ma bouche. Au bout de 5 minutes il me fit me relever et ses doigts glissaire sous mon pantalon, trouvant le bord de mes sous-vêtements. Je retiens mon souffle, mon corps arc-bouté contre lui. Il les baisse lentement, ses yeux ne quittant pas les miens. « Tu es si belle, » répète-t-il, sa voix remplie de désir. Je rougis, mais je ne peux m’empêcher de me sentir désirée, voulue.
Il s’agenouilla devant moi, ses mains caressant mes cuisses, ses lèvres se rapprochant de mon intimité. « Laisse-moi goûter » murmure-t-il, sa voix rauque. Je ferma les yeux, mon corps tremblant, le plug en moi ne pouvais pas s’échapper mais voulais quand même. Ses lèvres effleurent ma peau, sa langue explorant, et je gémis, mon corps répondant à son toucher expert.
Ses doigts trouvèrent le plug, le caressant doucement. « Tu aimes ça, hein ? » dit-il, sa voix remplie de malice. Je hocha la tête, incapable de parler, mon corps en feu. Il retirât le plug lentement, ses yeux fixés sur moi. « Maintenant, c’est à mon tour de te remplir, » murmure-t-il, se relevant.
Il me plaquât contre le mur à nouveau, son érection pressant contre moi. « Es-tu prête, Morgane ? » demandas-t-il, ses yeux plongés dans les miens. Je hocha la tête, mon cœur battant à tout rompre. Il entra en moi doucement, me remplissant, et je gémissait, mon corps s’adaptant à sa taille. « Tu es si serrée, » dit-il, sa voix rauque. « Si parfaite. »
Il commença à bouger, son rythme était lent et sensuel, me faisant gémir à chaque fois. « Julien, » murmurait-je, mon corps en feu. « Plus fort. » Il sourit, ses mouvements devenant plus intenses, me faisant crier de plaisir. Le vestiaire résonna de nos gémissements, nos corps en parfaite harmonie.
Je sentis l’orgasme monter, une vague de plaisir qui me submergea. « Julien, je… » commençai-je, mais il m’interrompit avec un baiser passionné. « Laisse-toi aller, Morgane, » murmurai-t-il, ses mouvements s’accélérant. Je criais, mon corps tremblant, l’orgasme me submergeant. Il suivit peu après, me remplissant, son cri étouffé contre mon cou. Nos corps s’affaissèrent, nos respirations saccadées, nos cœurs battant à l’unisson.
Je me blottit contre lui, mon visage enfoui dans son cou, et je caressai ses cheveux, le tenant près de moi. La tension sexuelle qui avait flotté dans l’air toute la journée semblait enfin apaisée, remplacée par une douce intimité.
"Ça valait la peine d’attendre," lui dis-je, levant les yeux vers lui avec un sourire satisfait.
Il souriait en retour, son cœur encore rempli de désir pour moi. "Et ce n’est que le début, Morgane. Il y a encore tant de choses que je veux explorer avec toi."
Je lui rit, un son doux et sensuel, et l’embrassa tendrement. "Alors, explorons, Julien. Mais pour l’instant… profitons simplement de ce moment."
Et nous restâmes là, enlacés doucement autour de nous, nos corps encore vibrants de plaisir. La promesse d’une suite explosive flottait dans l’air, mais pour l’instant, nous étions simplement deux âmes connectées, perdues dans la beauté de notre désir mutuel.
« Merci, Julien, » dis-je, ma voix douce. Il me regarda, un sourire tendre aux lèvres.
Et dans ce moment, le vestiaire, témoin de notre passion, résonne encore de nos gémissements, et je sais que ce n’est que le premier chapitre de notre histoire.
Quatrième histoire et il y aura une suite. J’attend de lire vos commentaires.
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