Frissons Défendus. - histoire érotique

Une journée de travail banale se transforme en un jeu de séduction intense entre Morgane, la chef d’équipe rigide, et Vincent, son collègue intriguant. Leur tension sexuelle éclate dans un moment volé, mêlant provocation, pouvoir et désir brut.


Je sentais son regard sur moi depuis le début de la journée, comme une caresse insistante qui me suivait partout. Vincent, toujours si professionnel, semblait aujourd’hui différent. Son intérêt était palpable, presque physique, et je ne pouvais m’empêcher de me demander ce qui se passait dans sa tête. Moi, Morgane, la chef d’équipe, celle qui ne laissait rien passer, j’étais intriguée. Et peut-être un peu excitée. Ce plug anal que je portais, discret mais présent, ajoutait une couche de provocation à mon attitude. Je savais qu’il l’avait remarqué, et ça me plaisait.


Le lendemain matin, en arrivant dans la serre je salut mon équipe et dis les instructions pour les chantiers de ce matin. Une fois les outils mis dans le camion Vincent insista pour être en binôme avec moi. J’avais accepté, curieuse de voir jusqu’où il irait. Nous nous étions retrouvés dans les coulée vertes, un endroit censément professionnel, mais l’air était chargé d’une tension sexuelle que je ne pouvais ignorer. J’étais vêtue d’un débardeur moulant blanc qui mettait en valeur mes seins fermes, et toujours de mon pantalon de travail qui laissait entrevoir mes cuisses athlétiques en dessous. Vincent, en pantalon de travail et chemise légère, s’était approché de moi sous prétexte de discuter d’un projet. Mais je savais, et il savait, que ce n’était qu’une excuse.
La conversation avait rapidement dérapé. Son regard intense s’était plongé dans mes yeux noisette, et avant que je ne puisse réagir, il m’avait plaquée contre une table dans un cabanon de jardin. Mon cœur s’était emballé, mais je n’avais pas résisté. Au contraire, une excitation malsaine m’avait envahi. Il avait soulevé mon débardeur, révélant mes seins nus, sans soutien-gorge, et les avait caressés avec avidité. Un gémissement m’avait échappé, mes mains agrippant ses épaules alors qu’il descendait mon pantalon, exposant ma culotte suivi de mon sexe déjà humide. L’air était chaud, et l’odeur de l’herbe coupée se mêlait à notre désir.
Il m’avait soulevée, ses mains fermes sous mes fesses, et m’avait posée sur la table. Mon pantalon ainsi que ma culotte était tombé au sol, révélant mon plug anal qui brillait légèrement. Vincent l’avait vue puis retiré avec lenteur, savourant chaque seconde, et j’avais senti un frisson parcourir mon corps. Son regard était vorace, comme s’il voulait me dévorer tout entière. Il s’était déshabillé à son tour, son sexe dur et rasé se dressant, prêt à me pénétrer. Je savais que cela allait être brut, et c’était exactement ce que je voulais.
Il m’avait pénétrée avec force, ses coups de reins puissants résonnant dans l’air silencieux de la mairie. J’avais crié de plaisir, mes ongles griffant son dos, alors qu’il me baisait avec une intensité sauvage. Chaque mouvement était une promesse, chaque friction une provocation. Je sentais mon corps répondre à son rythme, mon sexe dégoulinant de désir. Il me prenait comme s’il voulait me marquer, me posséder, et j’adorais ça.
— Tu aimes ça, hein, Morgane ? avait-il murmuré à mon oreille, sa voix rauque de désir. Tu aimes quand je te prends comme une pute ?
J’avais gémi, incapable de répondre. Mon corps était en feu, chaque nerf tendu vers l’orgasme qui approchait. Il me pénétrait plus profondément, ses mots obscènes alimentant mon excitation. Je sentais mon sexe se contracter autour de lui, prêt à exploser. Mais alors que j’étais sur le point d’atteindre le sommet, un bruit lointain nous avait interrompus. Vincent avait hésité, son regard balayant les alentours.
Mon corps tremblait, suspendu entre le plaisir et la frustration. Je l’avais regardé, mon regard brûlant d’une intensité qui disait tout. Il avait posé une main sur ma hanche, comme pour me rassurer, mais je savais que ce n’était pas fini. Notre désir était interrompu, mais pas satisfait. La tension entre nous était encore plus palpable, comme une promesse non tenue.
— On va devoir continuer ça plus tard, avait-il dit, sa voix basse et chargée de sous-entendus.
J’avais hoché la tête, mon souffle court. Je savais que ce n’était qu’une question de temps avant que nous ne reprenions là où nous nous étions arrêtés. Mais pour l’instant, nous devions jouer le jeu, prétendre que rien ne s’était passé. Je m’étais redressée, arrangeant mes vêtements avec une nonchalance feinte. Vincent avait fait de même, son regard ne quittant pas le mien.
En retournant vers l’équipe, j’avais senti son regard sur moi, comme une caresse invisible. La journée avait repris son cours, mais quelque chose avait changé. La tension entre nous était désormais un secret partagé, une étincelle prête à s’embraser à nouveau. Et je savais que la prochaine fois, rien ne nous arrêterait. Mon corps était encore chaud, mon sexe pulsait doucement, comme un rappel de ce qui nous attendait. Vincent m’avait frôlée en passant, son souffle effleurant mon oreille, et j’avais senti une nouvelle vague de désir m’envahir.
— Ce n’est que partie remise, Morgane, avait-il murmuré, avant de s’éloigner.
Je souriais intérieurement, sachant que cette journée n’était que le début. La suite promettait d’être explosive.


Troisième histoire et il y aura une suite. J’attend de lire vos comentaires.