Dans un hôtel plutôt classe
Récit érotique écrit par Gael1414 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-09-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Dans un hôtel plutôt classe
Ce week-end nous sommes sans enfants. Nous partons en bord de mer dans un hôtel plutôt classe. Comme d’habitude, nous avons prévu de passer beaucoup de temps dans notre chambre. Lors de ces week-ends nous restons toute l’après-midi enfermés et nous faisons l’amour entre deux films. Nous arrivons vers 18H à l’hôtel, nous sommes accueillis très gentiment par les hôtesses. Elles nous donnent les clés de notre chambre et nous fonçons dans les couloirs. Nous avons à peine passé le pas de la porte lorsque je retire mes chaussures et mon pantalon. Je saute sur Joana pour l’embrasser. Elle m’emmène sur le lit et commence à me caresser à travers mon boxer. Je n’aime même pas envie de la mettre nue. J’ai envie de lui faire l’amour juste le pantalon baissé. Je lui mets la main dans la culotte pour la chauffer. Quelques petits tours sur son clitoris et je sens à ses baisers qu’elle est de plus en plus chaude. Je la retourne et l’allonge le ventre contre le lit. Je lui baisse son pantalon et sa culotte sur les genoux et commence à la pénétrer. Je l’entoure avec mon bras et la caresse tout en faisant un mouvement de va et vient avec mon bassin. Il ne nous faut que quelques minutes pour jouir. Je l’embrasse tendrement sur la joue avant de m’écrouler sur le côté.
Nous nous laissons quelques instants pour nous remettre et filons un par un sous la douche. Vu l’heure et les envies du week-end nous décidons de manger au restaurant de l’hôtel. Le fait de nous y prendre à la dernière minute fait que nous n’avons pas de place avant 22H. C’est parfait, c’est juste le temps pour se mettre un petit film sur Netflix. Nous nous installons sur le lit et n’en bougeons pas jusqu’à 21H45. Il ne nous reste que quinze minutes pour se préparer et descendre. Je propose à Joana de ne pas mettre de culotte, elle accepte immédiatement. Dans l’ascenseur, je ne peux m’empêcher de soulever sa robe pour lui caresser les fesses. Il est tellement long, que je commence même à m’aventurer entre ses cuisses. Je sens qu’elle commence à chauffer.
Le restaurant est tout petit, il doit y avoir quatre tables de quatre et quatre tables de deux. Le serveur nous installe à une table de deux dans un coin. Je suis dos à la salle et Joana est face à moi. Elle me fait remarquer qu’il n’y a qu’une seule personne qui peut la voir là où elle est située. Nous commandons directement une bouteille de vin blanc. Nous ne prenons pas d’entrées, afin d’être sûr de pouvoir s’amuser à la fin du repas. Après quelques sujets de discussions, je sens qu’elle est de bonne humeur et le fait de ne pas avoir de sous-vêtements la rend coquine. Nous engloutissons notre plat, arrosé copieusement de verres de vin. L’attente entre le plat et le dessert est assez long. Ce qui laisse tout le temps à Joana de jouer à m’exciter avec son pied entre mes cuisses. Je sens à son regard qu’elle veut que l’on monte. Je lui dis que l’on va attendre la fin du repas. Elle commence gentiment à se caresser pour me forcer à monter. Le serveur vient rapidement me sauver avec les desserts. Je ne dis rien à ma femme, mais je remarque à travers le miroir en face de moi, que la fille de la table à côté ne rate rien de son excitation.
Le dessert terminé, Joana est un peu pompette et me lâche « je suis trempée, j’ai envie de toi. ». Elle le dit suffisamment fort que le couple, qui se levait au même moment à côté de nous, se retourne vers elle. La voilà toute gênée, mais cela devait arriver. On file vite fait, en donnant le numéro de notre chambre au serveur, ceci nous évite ainsi de devoir attendre à la caisse avec le couple qui venait de comprendre notre petit jeu.
Il est près de minuit. Sur le chemin de l’ascenseur, je n’arrête pas de soulever la robe de ma femme. J’ai vraiment envie d’elle. Nous arrivons face à l’ascenseur et sans surprise, l’attente est encore une fois très longue. Suffisamment longue pour que le couple nous rejoigne. Joana est vraiment gênée. Elle le saurait encore plus si elle savait que la femme l’avait épiée durant tout le repas. Nous rentrons dans l’ascenseur, où l’on est vraiment serré à quatre. Nous allons tous au dernier étage. Il n’y a d’ailleurs que deux chambres à cet étage. Je suis coincé devant face à la porte et ma femme est derrière moi dos au couple. Nous sommes tellement serrés que Joana peut sentir les mains de la femme frôler ses cuisses. Elle n’a pas de culotte et elle est vraiment trempée. La main de la femme derrière elle commence à lui frôler les fesses sous sa robe. Là c’est clair, elle le fait exprès. Joana est pétrifiée d’excitation. Elle commence à sentir un doigt entre ses cuisses, elle est complètement trempée et l’inconnue derrière elle ne peut que s’en rendre compte. Moi de mon côté, je ne vois rien et attends avec impatience la fin du voyage. Lorsque l’ascenseur s’arrête Joana a les doigts d’une femme qui la caresse. C’est l’ouverture des portes qui sort ma femme de son rêve éveillé. Nous sortons tous les quatre et lâchons un banal : « Bonne soirée ! », avant de partir de chacun de notre côté.
Arrivée dans la chambre, je pensais que Joana allait me sauter dessus, mais il n’en est rien. Elle me demande si elle peut aller se fumer une clope sur le petit balcon de l’étage. Un peu frustré j’accepte. J’ai été patient tout le repas, je peux bien attendre dix minutes de plus. Un peu chamboulée, elle mit par contre cinq bonnes minutes à retrouver son paquet de clopes. Elle me fait un gros bisou et me demande de l’attendre nu dans le lit.
Dans le couloir la lumière est toujours allumée, Joana fait quelques pas en direction du balcon avant de voir que l’autre chambre est ouverte. Elle ne peut s’empêcher de vouloir y jeter un œil. Elle s’approche sans bruit de la porte ouverte et regarde du coin de l’œil. Là elle voit le mec allongé sur le lit, les mains attachées et un bandeau sur les yeux. Elle a peine le temps de voir que le mec est sacrément équipé qu’elle se fait surprendre par la fille de l’ascenseur qui lui demande de ne faire aucun bruit. Elle caresse quelques instants Joana, avant de la prendre par la main. Elle l’entraîne dans sa chambre ou le mec sur son lit, ne dit toujours rien. Elles s’approchent toutes les deux du lit. Joana reste au pied du lit, pendant que la femme commence à caresser son homme. L’engin est de plus en plus gros. Elle demande à Joana de s’approcher, lâche le sexe en érection et propose toujours sans un mot, à Joana de le caresser. Ma femme s’exécute sous les profondes caresses de son amie d’un soir. Cette dernière souhaite désormais que Joana suce cet énorme sexe. Sous l’excitation de la main entre ses cuisses elle s’exécute sans trop réfléchir. Après quelques secondes de prise en bouche et de soupirs de plaisir de l’homme allongé. Joana se retire et laisse la place afin que le sexe soit recouvert d’un préservatif. Dès celui-ci posé, ma femme est invitée à grimper sur ce mec qu’elle ne connaît pas. A vrai dire elle ne sait même pas, s’il sait que ce n’est pas sa femme qui est maintenant sur lui. Toujours sans un bruit, la femme de l’ascenseur va s’installer sur un siège et regarde Joana jouer avec son sex-toy plus vrai que nature. Elle fait des vas et vient et profite pleinement du cadeau qu’on lui a fait. Elle sait qu’elle ne doit pas faire de bruit, mais elle n’arrive pas à freiner quelques gémissements.
De mon côté, je suis sorti de la chambre et après quelques recherches dans le couloir, je finis par voir que la porte de l’autre chambre est entre ouverte de quelques centimètres. Un coup d’œil me suffit à voir que ma femme est en train de prendre un plaisir dingue sur l’homme qui était à côté de nous au restaurant. Cette scène à travers la porte m’excite énormément. Je ne bouge pas, mais pousse légèrement la porte, que je puisse pleinement voir ma femme en train de jouir sur cet inconnu.
Au moment même où ma femme prend son dernier plaisir, je ne peux m’empêcher de me faire jouir dans mon caleçon. Après cette ultime scène, je file dans notre chambre à l’attendre. Joana quant à elle, se relève et prend rapidement ses vêtements afin de laisser la place. Elle comprend qu’elle n’est que le préliminaire à leurs ébats. Joana me rejoint à moitié nue dans la chambre. Pour éviter toute gêne je lui explique rapidement que j’ai jouit en la regardant prendre du plaisir sur cet homme. Elle me serre contre elle dans le lit, me fait un baiser et se retourne pour dormir. L’alcool et l’orgasme viennent de la terrasser. Je me retourne de mon côté avec un sourire béat.
Nous nous laissons quelques instants pour nous remettre et filons un par un sous la douche. Vu l’heure et les envies du week-end nous décidons de manger au restaurant de l’hôtel. Le fait de nous y prendre à la dernière minute fait que nous n’avons pas de place avant 22H. C’est parfait, c’est juste le temps pour se mettre un petit film sur Netflix. Nous nous installons sur le lit et n’en bougeons pas jusqu’à 21H45. Il ne nous reste que quinze minutes pour se préparer et descendre. Je propose à Joana de ne pas mettre de culotte, elle accepte immédiatement. Dans l’ascenseur, je ne peux m’empêcher de soulever sa robe pour lui caresser les fesses. Il est tellement long, que je commence même à m’aventurer entre ses cuisses. Je sens qu’elle commence à chauffer.
Le restaurant est tout petit, il doit y avoir quatre tables de quatre et quatre tables de deux. Le serveur nous installe à une table de deux dans un coin. Je suis dos à la salle et Joana est face à moi. Elle me fait remarquer qu’il n’y a qu’une seule personne qui peut la voir là où elle est située. Nous commandons directement une bouteille de vin blanc. Nous ne prenons pas d’entrées, afin d’être sûr de pouvoir s’amuser à la fin du repas. Après quelques sujets de discussions, je sens qu’elle est de bonne humeur et le fait de ne pas avoir de sous-vêtements la rend coquine. Nous engloutissons notre plat, arrosé copieusement de verres de vin. L’attente entre le plat et le dessert est assez long. Ce qui laisse tout le temps à Joana de jouer à m’exciter avec son pied entre mes cuisses. Je sens à son regard qu’elle veut que l’on monte. Je lui dis que l’on va attendre la fin du repas. Elle commence gentiment à se caresser pour me forcer à monter. Le serveur vient rapidement me sauver avec les desserts. Je ne dis rien à ma femme, mais je remarque à travers le miroir en face de moi, que la fille de la table à côté ne rate rien de son excitation.
Le dessert terminé, Joana est un peu pompette et me lâche « je suis trempée, j’ai envie de toi. ». Elle le dit suffisamment fort que le couple, qui se levait au même moment à côté de nous, se retourne vers elle. La voilà toute gênée, mais cela devait arriver. On file vite fait, en donnant le numéro de notre chambre au serveur, ceci nous évite ainsi de devoir attendre à la caisse avec le couple qui venait de comprendre notre petit jeu.
Il est près de minuit. Sur le chemin de l’ascenseur, je n’arrête pas de soulever la robe de ma femme. J’ai vraiment envie d’elle. Nous arrivons face à l’ascenseur et sans surprise, l’attente est encore une fois très longue. Suffisamment longue pour que le couple nous rejoigne. Joana est vraiment gênée. Elle le saurait encore plus si elle savait que la femme l’avait épiée durant tout le repas. Nous rentrons dans l’ascenseur, où l’on est vraiment serré à quatre. Nous allons tous au dernier étage. Il n’y a d’ailleurs que deux chambres à cet étage. Je suis coincé devant face à la porte et ma femme est derrière moi dos au couple. Nous sommes tellement serrés que Joana peut sentir les mains de la femme frôler ses cuisses. Elle n’a pas de culotte et elle est vraiment trempée. La main de la femme derrière elle commence à lui frôler les fesses sous sa robe. Là c’est clair, elle le fait exprès. Joana est pétrifiée d’excitation. Elle commence à sentir un doigt entre ses cuisses, elle est complètement trempée et l’inconnue derrière elle ne peut que s’en rendre compte. Moi de mon côté, je ne vois rien et attends avec impatience la fin du voyage. Lorsque l’ascenseur s’arrête Joana a les doigts d’une femme qui la caresse. C’est l’ouverture des portes qui sort ma femme de son rêve éveillé. Nous sortons tous les quatre et lâchons un banal : « Bonne soirée ! », avant de partir de chacun de notre côté.
Arrivée dans la chambre, je pensais que Joana allait me sauter dessus, mais il n’en est rien. Elle me demande si elle peut aller se fumer une clope sur le petit balcon de l’étage. Un peu frustré j’accepte. J’ai été patient tout le repas, je peux bien attendre dix minutes de plus. Un peu chamboulée, elle mit par contre cinq bonnes minutes à retrouver son paquet de clopes. Elle me fait un gros bisou et me demande de l’attendre nu dans le lit.
Dans le couloir la lumière est toujours allumée, Joana fait quelques pas en direction du balcon avant de voir que l’autre chambre est ouverte. Elle ne peut s’empêcher de vouloir y jeter un œil. Elle s’approche sans bruit de la porte ouverte et regarde du coin de l’œil. Là elle voit le mec allongé sur le lit, les mains attachées et un bandeau sur les yeux. Elle a peine le temps de voir que le mec est sacrément équipé qu’elle se fait surprendre par la fille de l’ascenseur qui lui demande de ne faire aucun bruit. Elle caresse quelques instants Joana, avant de la prendre par la main. Elle l’entraîne dans sa chambre ou le mec sur son lit, ne dit toujours rien. Elles s’approchent toutes les deux du lit. Joana reste au pied du lit, pendant que la femme commence à caresser son homme. L’engin est de plus en plus gros. Elle demande à Joana de s’approcher, lâche le sexe en érection et propose toujours sans un mot, à Joana de le caresser. Ma femme s’exécute sous les profondes caresses de son amie d’un soir. Cette dernière souhaite désormais que Joana suce cet énorme sexe. Sous l’excitation de la main entre ses cuisses elle s’exécute sans trop réfléchir. Après quelques secondes de prise en bouche et de soupirs de plaisir de l’homme allongé. Joana se retire et laisse la place afin que le sexe soit recouvert d’un préservatif. Dès celui-ci posé, ma femme est invitée à grimper sur ce mec qu’elle ne connaît pas. A vrai dire elle ne sait même pas, s’il sait que ce n’est pas sa femme qui est maintenant sur lui. Toujours sans un bruit, la femme de l’ascenseur va s’installer sur un siège et regarde Joana jouer avec son sex-toy plus vrai que nature. Elle fait des vas et vient et profite pleinement du cadeau qu’on lui a fait. Elle sait qu’elle ne doit pas faire de bruit, mais elle n’arrive pas à freiner quelques gémissements.
De mon côté, je suis sorti de la chambre et après quelques recherches dans le couloir, je finis par voir que la porte de l’autre chambre est entre ouverte de quelques centimètres. Un coup d’œil me suffit à voir que ma femme est en train de prendre un plaisir dingue sur l’homme qui était à côté de nous au restaurant. Cette scène à travers la porte m’excite énormément. Je ne bouge pas, mais pousse légèrement la porte, que je puisse pleinement voir ma femme en train de jouir sur cet inconnu.
Au moment même où ma femme prend son dernier plaisir, je ne peux m’empêcher de me faire jouir dans mon caleçon. Après cette ultime scène, je file dans notre chambre à l’attendre. Joana quant à elle, se relève et prend rapidement ses vêtements afin de laisser la place. Elle comprend qu’elle n’est que le préliminaire à leurs ébats. Joana me rejoint à moitié nue dans la chambre. Pour éviter toute gêne je lui explique rapidement que j’ai jouit en la regardant prendre du plaisir sur cet homme. Elle me serre contre elle dans le lit, me fait un baiser et se retourne pour dormir. L’alcool et l’orgasme viennent de la terrasser. Je me retourne de mon côté avec un sourire béat.
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