Une délicieuse surprise

- Par l'auteur HDS Gael1414 -
Récit érotique écrit par Gael1414 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Une délicieuse surprise Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-11-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par les lecteurs :
(8.5 / 10)
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(10.0 / 10)

Couleur du fond :
Une délicieuse surprise
Ce matin Joana doit accueillir le paysagiste qui vient terminer la nouvelle entrée de jardin. Cela fait déjà deux jours que celui-ci est sur le chantier. Il ne reste plus qu’à tailler trois ou quatre arbustes et l’entrée sera nickel. Il est neuf heures et nous sommes vendredi. Comme tous les vendredi Joana ne travaille pas. Je viens de partir au boulot après avoir déposé les enfants à l’école et le paysagiste doit passer à dix heures. Joana a donc une bonne heure devant elle, pour prendre tranquillement son café avant d’aller se laver. Elle porte encore son vieux pyjama complètement déchiré du genou à l’entre jambe. Le genre de bas de pyjama qu’elle ne peut pas porter sans culotte, ou alors uniquement pour me faire plaisir. Joana s’installe donc à table avec son portable et commence à déjeuner. Après trente minutes à traîner sur le net et à grignoter, elle se dit qu’il est temps qu’elle monte se laver avant l’arrivée de l’artisan.
A peine est-elle montée à l’étage, qu’elle entend la sonnerie de la porte. Elle court à la fenêtre et voit la camionnette du paysagiste. « Galère, il est en avance de trente minutes ! » dit-elle à voix haute. Joana n’a pas le choix, elle file dans notre chambre retire son vieux pyjama et enfile les vêtements de la veille qui traîne encore au pied du lit. Elle redescend en quatrième vitesse et accueille le paysagiste.
- Bonjour, dit-elle avec une voix légèrement surprise. Le paysagiste n’est pas seul. Il est accompagné d’un jeune mec plutôt costaud.
- Bonjour Madame Bailly, le chantier auquel nous devions aller ce matin a été annulé. J’espère que cela ne vous gêne pas que l’on commence dès maintenant ?
- Non, non bien-sûr. Réplique-t-elle.
- Je suis venu avec Jonathan, mon stagiaire qui se reconvertit après quelques années dans la boulangerie.
- Bonjour Madame, dit-il d’un ton très poli.
Le paysagiste doit avoir une bonne cinquantaine, alors que Jonathan quant à lui a plutôt entre 25 et 30 ans. Si le paysagiste a un look de vieux gars bourru, le stagiaire lui, est un métis très mignon.
- Vous en avez à peu près pour combien de temps ? Demande ma femme.
- A deux, je dirais une grosse heure.
- Je peux donc vous laisser et aller prendre une douche. Vous avez besoin de quelque chose ?
- Non pas du tout, on a tout ce qu’il nous faut. Prenez votre temps, on vous laisse tranquille.
Joana referme la porte d’entrée et retourne à l’étage après avoir rapidement débarrassé le petit déjeuner qui restait sur la table. La salle de bain se trouve légèrement à gauche en face de l’escalier. Joana ne perd pas de temps et file directement sous la douche.
Elle est en train de se rincer sous une eau bien chaude lorsqu’elle entend démarrer le moteur du taille bordure. Ma femme aime tellement être dans ces vapeurs d’eau, qu’elle laisse son esprit s’évader et repense à la scène chaude du film d’hier. Le couple faisait l’amour dans une douche extérieur juste devant la maison. Joana sent qu’elle en train de chauffer toute seule. Il lui vient une idée un peu coquine. Elle a envie de jouer avec son vibro pendant que les hommes s’occupent de son jardin, juste en bas de la fenêtre de sa chambre.
Joana sort de sa douche, se sèche légèrement, entoure son corps encore chaud d’une petite serviette accrochée, et sort discrètement de la salle de bain. Elle fait quelques pas rapides et discrets pour passer devant l’escalier et entre dans notre chambre sans être aperçue. Elle se rend rapidement compte qu’elle n’a pas de raison d’être discrète, vu que l’on entend encore le bruit des engins dehors. Joana sort la boîte verrouillée qui se trouve sous notre lit, et l’ouvre à l’aide de la clé cachée dans son tiroir de table de nuit. La boîte referme une demi-douzaine de sex-toys. Ma femme est moi aimons varier les plaisirs. Cela va du petit vibromasseur télécommandé, au gros godemichet de vingt-cinq centimètres de long et de cinq centimètres d’épaisseur. Pour cette séance de plaisir Joana choisit un vibromasseur de taille standard, mais suffisamment puissant pour la faire jouir en une poignée de minutes. Elle s’installe sur la couette de son lit, détache sa serviette et commence à se caresser avec son jouet avant même de l’allumer. Elle est bien, trempée et détendue car elle entend le vrombissement des machines à l’extérieur. Joana est d’autant plus excitée qu’elle sait qu’il y a deux hommes justes sous sa fenêtre. Après avoir pénétré deux, puis trois fois son jouet en elle, elle active la vibration sur son clitoris bien gonflé. Là, le plaisir se décuple, elle commence à lâcher quelques soupirs. Parfois elle change de délicieuse sensation, et rentre son jouet encore vibrant dans son sexe trempé. Les secondes passent, puis les minutes. Son corps remue frénétiquement sur la serviette encore humide, le plaisir est de plus en plus intense. Elle libère quelques gémissements de plaisir. Elle sent qu’elle est à quelques vibrations de jouir, lorsqu’elle entend :- Madame Bailly… Madame Bailly ?
Le paysagiste est en haut de l’escalier. Cela fait quelques instants qu’il tente d’interpeller ma femme. Mais celle-ci était bien trop absorbée par son jeu pour entendre la petite dizaine d’appels venue du rez-de-chaussée. Joana complètement troublée, coupe son jouet avant même de jouir et lâche un rapide : - J’arrive tout de suite.
C’est sûr il l’a entendue, il était à deux mètres de la porte. Et ça Joana l’a bien compris. Le paysagiste redescend l’escalier pour attendre ma femme au rez-de-chaussée. Joana est complètement gênée, nue sur son lit et encore bien trempée. Sa penderie est à l’autre bout du couloir, et elle ne peut définitivement pas sortir avec cette serviette qui la couvre à peine. Elle n’a pas le choix, elle doit remettre son pyjama. Elle ouvre la porte et descend les escaliers en s’assurant de bien tenir la déchirure de son bas pyjama. Elle voit au sourire à peine caché des deux hommes, qu’ils savent exactement ce qu’il se passait à l’étage. Très professionnel, le paysagiste met rapidement un terme à ce moment gênant.
- Nous avons terminé madame, voici la facture.
- Très bien, je vais chercher mon chéquier dans le bureau. Je reviens.
- Juste une petite chose, s’il vous plaît. Est-il possible que Jonathan prenne une douche rapide.
Joana est surprise de la demande, mais en effet le stagiaire est recouvert de boue. C’est à se demander comment il s’y est pris. Après quelques instants, elle finit par conclure.
- Oui d’accord, suivez-moi. La salle de bain de mon mari se trouve au rez-de-chaussée.
Jonathan se met à suivre Joana pendant que le paysagiste reste dans la salle. Ma femme présente la salle de bain et précise qu’elle va revenir avec une serviette. Elle est encore troublée, mais les demandes des deux hommes, ne lui laisse pas trop le temps de s’égarer. Elle repasse devant le paysagiste et revient rapidement dans la salle avec la serviette. A ce moment le paysagiste l’interrompt dans sa course et commence à lui parler des travaux qu’il a réalisé et des difficultés qu’il a rencontrées. Joana a l’impression que cette discussion dure des dizaines de minutes. Elle finit par le couper et lui rappelle que son stagiaire attend une serviette. Ma femme repart donc sans attendre vers la salle de bain. Lorsqu’elle arrive près de celle-ci, la porte est ouverte et elle voit Jonathan en train de s’essuyer avec une de mes serviettes. Il est de dos. Elle remarque qu’il est bien musclé et que ses fesses nues sont superbes. Stoppée à deux mètres de lui, elle ne met que quelques instants à être de nouveau excitée. Sans aucune gêne, il se retourne face à Joana et raccroche la serviette à la porte. Ma femme ne bouge pas et reste pétrifiée à fixer le sexe énorme de cet homme. Elle ne regarde pas son visage, ni ses abdominaux encore humides. Elle est totalement subjuguée par ce sexe. Jonathan ne bouge pas non plus, mais commence à être excité de voir ma femme le fixer ainsi. Il commence à avoir une érection. Cela trouble encore plus Joana qui en oublie la déchirure de son pyjama. Jonathan peut désormais pleinement voir la cuisse de ma femme et les quelques poils taillées autour de son sexe. Joana reste immobile lorsque le stagiaire se rapproche d’elle avec son sexe d’acteur porno prêt pour une scène. Elle a le cœur qui bat à cent à l’heure, elle sait qu’elle ne devrait pas, mais trempée, elle n’arrive pas décrocher son regard de ce sexe qu’elle désire plus que tout. Jonathan prend délicatement sa main et la place autour de son sexe en érection. Joana se rend alors compte qu’il lui faudrait deux mains pour pleinement caresser cet homme. Elle commence légèrement à jouer avec ce sexe, lorsque Jonathan passe sa main dans la déchirure de son pyjama et se met délicatement à titiller son clitoris. Elle ne peut s’empêcher de lâcher un soupir de plaisir. Elle n’en peut plus, elle veut qu’on la fasse jouir. Après quelques caresses, Jonathan retourne énergiquement ma femme contre le mur du couloir, baisse son pyjama et la pénètre en attrapant ses fesses. Joana ne peut s’empêcher de lâcher dans un soupir de soulagement : « Oh putain, c’est bon… ». Il n’en fallait pas moins pour motiver Jonathan qui accélère le mouvement et fait claquer sportivement les fesses de ma femme contre lui. Joana se laisse aller et gémit bruyamment à chaque secousse. Après deux ou trois minutes, elle jouit dans un tremblement qui se répand sur tout son corps. Jonathan comprenant qu’il vient de faire jouir ma femme, se retire et termine en se faisant jouir sur ses fesses. Il donne une petite tape sur l’une de ses fesses, avant de récupérer ses vêtements et de filer dans la salle rejoindre le paysagiste.
Ma femme quant à elle reste quelques instants contre le mur du couloir à se remettre de ses émotions. Elle ne sait clairement pas comment elle va revenir payer l’artisan après ce délicieux moment d’égarement. Elle est rapidement soulagée, lorsqu’elle entend la porte d’entrée se refermer et la camionnette démarrer.
« Bon bah voilà… Il ne me reste plus qu’à reprendre une douche maintenant. » Se dit-elle le sourire aux lèvres.

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