Le laisser la chauffer ou arrêter la drague ? - histoire érotique

Des amis que nous ne voyons plus beaucoup, nous ont invité à une de leurs grosses soirées. C’est une fête où ils ont décidé de réunir pas mal de leurs vieux copains. De note côté, nous ne les avons vu que deux ou trois fois en huit ans. Nous ne connaissons personne, si ce n’est les hôtes. Les enfants ne sont pas conviés. Nos amis n’en ont d’ailleurs pas. Joana et moi sommes contents de sortir avec d’autres gens que notre bande de copains. Les week-ends s’enchaînent et au fil des mois, on finit par voir toujours les mêmes têtes.
Joana est prête à y aller. Elle est très belle dans sa salopette noire qui sublime ses fesses rebondies. La voiture est chaude, nous pouvons donc partir pour une longue route. Nos amis ne sont pas des citadins et vivent dans une grande ferme rénovée perdue entre Nantes et La Roche-sur-Yon. Il doit surement y avoir de nombreuses pièces, car ils sont persuadés de pouvoir héberger la trentaine de personnes invitée.
Nous arrivons sur place et la grande maison n’a plus grand-chose à voir avec une ferme. C’est assez bourgeois et la cour devant permet d’accueillir une dizaine de voitures et deux camions. Nous entrons sans sonner, car le bruit à l’extérieur nous laisse penser que personne ne nous entendra de toute façon.
Nous rencontrons rapidement nos amis, qui nous orientent directement vers le bar. Là un invité a pris avec enthousiasme le rôle de barman. Nous prenons un verre et décidons d’aller voir où nous allons pouvoir poser notre matelas et notre couette. Nous faisons le tour des chambres et comprenons assez rapidement qu’il n’y aura pas une chambre par couple. Une bande de copains a déjà transformé la plus grande pièce en dortoir, et après un second aperçu, il n’y a plus vraiment de choix. Il ne reste plus qu’une place dans une petite chambre à l’écart du bruit ou un autre couple a déjà posé un matelas. Nous faisons l’aller-retour à la voiture et déposons notre matelas et notre couette à côté de leur lit.
Afin que notre couchage soit un peu plus cosy, Joana désire y mettre un drap housse. Rien de particulier à cela, si ce n’est que la voir se battre à quatre pattes pour mettre le drap housse à tendance à m’exciter. Ses fesses, moulées dans sa salopette et bien remontées vers moi, ont un effet immédiat. Cette scène légèrement sexy me pousse à aller légèrement lui caresser les fesses et glisser une main entre ses cuisses. Avec son string et la faible épaisseur de son pantalon, l’effet est immédiat. Le fait qu’elle ne me dise rien et qu’elle reste en position après avoir terminé de mettre le coin du drap housse, me pousse à continuer. C’est au moment où elle commence à onduler des fesses, qu’un homme derrière moi se met à nous parler : « Excusez-moi, je viens juste chercher mon chargeur. » Joana s’allonge immédiatement sur le lit comme-ci de rien était, et moi, je lui réponds un peu gêner : « Non pas de soucis, on essaye de faire notre lit. » Il ne répond rien à cela, si ce n’est un léger sourire.
J’étais complétement absorber par les fesses de ma femme. Il m’est donc impossible de savoir depuis quand il se trouvait à la porte de la chambre à nous regarder. En tout cas il n’a pas l’air d’avoir été choqué par ce qu’il se passait. Nous nous relevons et sortons de la pièce en même temps que lui.
Au moins la glace est brisée et cela me permet de discuter avec lui. Je fais comme-ci il ne s’était rien passé et lui demande comment il a connu nos copains. Il nous dit qu’il s’appelle David et que sa femme, Claire, a grandi avec Elodie notre copine. Claire et Elodie communiquent toujours sur Facebook, mais ne s’étaient plus vues depuis près de trois ans. Nous redescendons dans la salle avec tout le monde, où nous nous dirigeons tous les trois vers le bar pour reprendre un verre. David ne connaissant pas grand monde reste avec nous. Un troisième verre et quelques dizaines de minutes plus tard, je décide d’aller fumer une cigarette dehors. Je laisse donc Joana et David tous les deux, et sort sur la terrasse où se trouve une douzaine de personnes. Je n’ai pas trop de scrupules à laisser ma femme seule avec lui, car nous discutons tous les trois depuis un bon moment, et elle ne semble plus du tout mal à l’aise.
Après des discussions avec quelques soulards rigolos dehors, je retrouve ma femme, une heure plus tard, toujours en train de discuter avec David. Je m’assoie à côté d’eux, lorsque la femme de David, Claire, arrive à son tour. Elle nous demande de rejoindre les autres pour une photo de groupe. Joana met un peu de distance entre David et Claire, afin de me raconter un peu leurs discussions. Ma femme m’explique que David la drague assez clairement. Je lui réponds que je ne suis pas vraiment surpris, vu comment sa femme a embrassé et chauffé quelques mecs dehors. Claire a expliqué qu’elle et son mari ont été échangistes pendant des années avant de calmer le jeu à la naissance de leur fille, il y a trois ans. Je propose à Joana de freiner le bonhomme si cela la gêne. Elle me répond que non et qu’elle trouve cela plutôt valorisant.
Nous nous installons pour la photo de groupe. Nous nous mettons dans la masse, afin d’être discrets. David et sa femme se positionnent juste derrière nous. Joana sent assez rapidement une main sur ses fesses. Elle me demande à l’oreille si c’est moi. Je lui réponds très calmement : - Non, c’est surement David qui est juste derrière.
- Qu’est ce que je fais, je lui dis d’arrêter devant tout le monde ?
- C’est toi qui vois ma chérie. Tu veux entrer dans son jeu de séduction, c’est à toi d’en décider les limites.
Le photographe nous demande de nous mettre à croupis et de nous rapprocher. David en profite pour faire glisser sa main entre les cuisses de ma femme. Il est désormais clairement en train de la chauffer. Le moment photo est terminé, et nous nous relevons. David en profite pour glisser à l’oreille de Joana : « J’ai envie de te faire jouir. »Elle attrape ma main et m’emmène à l’extérieur fumer une cigarette.
- Je suis trempée là, Gaël. Il me caressait à travers mon pantalon pendant la photo.
- Et tu as aimé ça ?
- C’était super excitant, mais c’est chaud, non ? On ne les connait pas ses gens. Et toi cela ne te dérange pas que le mec me dise qu’il veuille me faire jouir ?
- Il t’a dit ça ? Ecoute moi j’aime que les mecs te matent et que tu les rendes dingues. Si ce mec te plaît et que ça te branche qu’il te chauffe. Moi ça me va.
- Il est plutôt canon, oui. Mais je te dis toute suite, on ne fera pas d’échangisme avec eux. Tu ne coucheras pas avec sa femme. Moi je te veux pour moi seule.
- Pas de problème ma chérie.
Nos amis viennent nous rejoindre suivis d’une horde de mecs bourrés.
- C’est impossible de vous voir ce soir. Vous êtes toujours entourés de quinze personnes.
- Ce sera plus calme demain, il y a plein de gens que nous n’avons pas vu depuis des années.
A ces mots, deux mecs bien allumés nous transmettent leurs haleines de rhum et nous expliquent que ce sont les meilleurs potes de Tristan et Elodie. Et qu’ils ne les quitteront jamais.
Je dis à Joana qu’il était temps pour moi d’aller chercher un autre verre, car je suis bien trop en retard sur les autres.
A 3H du matin Joana vient me voir, et me dit qu’elle va se coucher. Je ne sais pas avec qui elle a passé les deux dernières heures. Elle voit que j’ai réussi à rattraper mon retard et que cela m’a permis de me faire de nouveaux amis. Je lui dis que je ne vais pas tarder, mais dans le doute, je lui fais un bisou de bonne nuit.
Joana part se coucher toute seule dans la chambre. David et Claire sont déjà couchés. Elle ne fait pas de bruit, et avec l’aide de la lumière de son téléphone, se faufile en pyjama sous la couette de notre lit. Elle s’installe à gauche du lit comme à son habitude. Elle remarque qu’elle est à moins d’un mètre de son séducteur. Elle se tourne vers ma place qui est vide et ferme ses paupières. Il ne lui faut attendre que deux ou trois minutes avant de sentir de nouveau la main de David sur ses fesses. Elle est gênée de le penser, mais c’est ce qu’elle désirait. Elle ne bouge pas et laisse cette main se promener sur ses fesses. Elle sent David se rapprocher. Ses caresses deviennent de plus en plus intimes et vont du bas de ses cuisses jusqu’à sa nuque. Il n’hésite pas à passer sous le t-shirt de ma femme et à frôler son sein. Se rapprochant toujours un peu plus, il rentre sa main dans son pyjama et caresse ses fesses nues. Joana a le cœur qui bat à cent à l’heure. David profite de cette nudité et y reste quelques minutes. Sa main fait désormais des allers-retours entre le creux de ses fesses et le milieu de son dos. Joana apprécie et se positionne sur le dos, tout en laissant glisser la main de David sur son sexe humide. Il ne lui en faut pas plus pour qu’il faufile un doigt entre les cuisses de ma femme et qu’il se délecte du soupir de plaisir qu’il procure. Sa main s’installe peu à peu entre ses cuisses et ses doigts caressent délicatement le clitoris de Joana. Elle est bien et se laisse envahir par ce plaisir légèrement coupable.
C’est à ce moment même, que je rentre dans la pièce. Dans un réflexe de gêne, Joana ferme ses cuisses capturant la main de David, qui lui fait mine de dormir à côté. Je suis complétement bourré, et je ne vois rien de ce qui est train de se passer. Je m’installe sur mon côté et m’endort en quelques secondes. Joana attend quelques instants avant de se relâcher et de permettre à David de continuer à lui faire plaisir. M’entendre dormir à côté décuple son plaisir. Elle est désormais trempée et David le sait. Il retire sa main écarte bien les cuisses de ma femme et rentre sous la couette par le bas du lit. Il retire le pyjama de Joana, embrasse ses jambes avant de donner quelques coups de langues sur son clitoris. Elle ne peut s’empêcher de lâcher un soupir de plaisir malgré ma présence à ses côtés. Au même moment, elle sent une deuxième bouche s’approcher de ses seins. C’est Claire, la femme de David qui soulève le t-shirt de Joana et commence à lui lécher le sein. Cela fait quelques minutes qu’elle suit la scène tout en se caressant de son côté. Ma femme est en extase, ce couple, qui lui était parfaitement inconnu il y a de cela quelques heures, est maintenant en train de lui donner un plaisir de dingue. Elle se laisse aller, et lâche des soupirs de plus en plus sonores. David n’en peut plus, il veut prendre ma femme. Il fait se retourner Joana, qui s’allonge avec délice sur le ventre. Il lui relève délicatement le bassin afin de la pénétrer. Je suis à côté à dormir comme un loir bourré, pendant que ma femme se fait attraper par un inconnu. Claire de son côté embrasse ma femme à pleine bouche, tout en se caressant. David accélère et fait remuer de plus en plus le matelas. Joana quant à elle, ne peut plus s’empêcher d’être bruyante. Dans un réflexe de plaisir, elle attrape ma main. Je me réveille difficilement et voit ma femme avec un mec au-dessus d’elle qui lui donne de vigoureux coups de bassin. Claire, elle s’installe pour que son mari puisse la lécher en même temps. Joana me regarde avec les yeux révulser de plaisir. Je regarde la scène quelques minutes avant de comprendre que ce n’est pas un rêve érotique. Après un soupir rugissant, David se retire et se retient pour aller jouir dans la bouche de sa femme.
Joana me regarde toute perturbée, et me lâche : « mon cœur s’il te plaît, j’en veux encore. » Je vois ses fesses nues qui remuent en attendant que je vienne à mon tour. Je retire mon caleçon et pénètre ma femme avec plein d’envie. Je suis encore saoul et mes gestes ne sont pas très doux. Cela ne semble pas gêner Joana qui n’en est plus au stade des caresses délicates. Elle finit par jouir au bout de deux minutes en regardant David lécher sa femme avec passion. Je me retire à mon tour et me fait jouir sur ses fesses bien chaudes. Je m’écroule de mon côté, nu sur le lit. Joana prend quelques instants pour se remettre et remonte tendrement la couette sur mon corps endormi.