Une semaine d’évasion en formation - histoire érotique

Cette semaine Joana suit une formation premiers secours, à La Rochelle. Tous les ans, son entreprise envoie ses employés suivre des formations dans d’autres départements. Cette bulle d’air est toujours attendu avec enthousiasme par Joana. C’est d’ailleurs pour optimiser au maximum sa semaine, qu’elle part le dimanche.
Ses bagages terminés, elle fait un bisou à ses enfants et me fait un gros câlin avant de filer dans la voiture. Joana a choisi un hôtel plutôt proche du lieu de formation, lui permettant ainsi se lever à la dernière minute. L’emplacement n’est pas terrible, mais il rentre dans les tarifs de son travail et le confort est plutôt sympa. Après deux heures de routes, Joana arrive en milieu de soirée, fatiguée et décide donc de manger sur place, avant de s’écrouler devant une série. La première nuit est paisible, et lui permet d’arriver fraîche lundi matin pour la formation. Ils ne sont pas beaucoup de participants cette semaine, cinq ou six tout au plus. Joana sera la seule femme. Cela la changera de son univers très féminin. Les formateurs eux sont au nombre de deux et sont sauveteurs en mer. La séance commence par un tour de table, les élèves viennent principalement du monde de la mer : Employés de chantiers sur Saint-Nazaire, un chercheur au CNRS et même un marin. Joana ne venant pas du tout de ce monde, commence à se demander si elle a bien choisi sa formation. La première journée est très théorique et lui semble bien longue. C’est donc avec plaisir que Joana accueille la fin de la journée.
L’un des formateurs propose de manger tous ensemble à la terrasse de l’hôtel en face du lieu de formation. Bonne pioche pour Joana, c’est là qu’elle séjourne cette semaine. Seul ma femme et deux autres personnes acceptent l’invitation. Les autres ne vivant pas loin préfèrent rentrer chez eux. Le repas est plutôt sympathique, les deux formateurs offrent l’apéro et une bouteille de vin blanc pour le repas. Joana, plutôt en forme, paye la deuxième bouteille. Cette semaine loin des enfants et en bonne compagnie la fait décompresser. Les deux autres élèves, qui eux ne dorment pas dans cet hôtel, quittent rapidement la table alors que la bouteille n’est toujours pas terminée. Affichant franchement sa déception, les deux formateurs proposent de rester avec elle, finir le vin. Ils précisent d’ailleurs qu’ils dorment également sur place. C’est donc une heure plus tard et à trois que la bouteille se vide. Il commence à se faire tard et le serveur, leur indique qu’il va fermer le restaurant. Pas de problème pour Joana, c’est le moment qu’elle avait choisi pour aller fumer une cigarette.
Joana n’avait pas fumé depuis le début du repas, mais là le besoin s’en fait sentir. Elle règle sa part et sort sur le côté du restaurant. L’un des deux formateurs préfère abandonner et monte se coucher. Le second lui, accompagne ma femme.
Il s’appelle Camille, a la trentaine et est plutôt séduisant. Autant dire qu’après les quelques verres que Joana a bu, il est passé de plutôt pas mal à carrément canon. La cigarette se termine et les échanges continuent. Joana lance la conversation autour des techniques de secours. Elle explique au secouriste que dans la panique, elle ne voit pas comment on peut aider quelqu’un qui s’étouffe. Camille très professionnel propose de lui montrer. Il passe ainsi derrière elle et lui indique où positionner les mains. Joana toujours dubitatif, mais séduite lui fait comprendre qu’elle n’est pas convaincue. Le formateur ne se laisse pas abattre et lui explique en s’excusant qu’il doit passer sous son t-shirt pour lui montrer exactement où se situe le point de compression. Joana se laisse faire, mais sent son cœur battre de plus en plus fort. Cette accélération est très perceptible et permet au sauveteur de continuer allégrement sa formation. Il place désormais ses mains sur son ventre nue. Il continue son explication, mais Joana n’entend plus rien. Elle sent qu’elle perd le contrôle. Camille en érection, se lance et descend l’une de ses mains dans la culotte de Joana. Déjà bien humide, il comprend qu’il a bien choisi son moment et amplifie les caresses. Ma femme ne peut s’empêcher de lâcher un soupir de plaisir. Joana n’osait pas se l’avouer, mais elle n’attendait que cela. Camille, une main sur le ventre et l’autre dans la culotte de ma femme, commence à l’embrasser dans le cou. Les caresses sont de plus en plus profondes, Camille est prêt à lui faire l’amour contre le mur extérieur de l’hôtel. Joana ne l’entend pas de cette oreille et profite d’une pause de Camille pour reprendre ses esprits. Elle lui indique qu’ils ne peuvent pas rester là et suggère de rentrer.
Camille bouillant, prend la main de Joana et l’emmène dans l’ascenseur. Avant même d’appuyer sur le numéro de l’étage, ma femme embrasse son homme du soir à pleine bouche. Ce dernier lui demande le numéro de sa chambre. Joana préfère qu’ils aillent dans la sienne. Camille accepte mais n’ose pas dire qu’il partage l’hôtel avec l’autre secouriste. Les deux amants rentrent tous les deux, dans la chambre et s’installent sur le premier lit. La lumière éteinte, Joana ne perçoit pas que le second lit est occupé par un autre homme. Camille allonge ma femme sur le dos, retire son pantalon et sa culotte, puis remonte le long de ses jambes à l’aide de quelques baisers. Arrivé en haut des cuisses, il soulève ses jambes et commence à la lécher. Joana est bien, elle apprécie pleinement cette semaine loin de son quotidien. Elle met les mains dans les cheveux de Camille et lui indique le mouvement que celui-ci doit faire avec sa langue. Le secouriste n’en peut plus, il est toujours habillé et veut désormais profiter pleinement de ma femme. Il retourne Joana sur le lit et malgré son désir, la pénètre avec délicatesse. Son sexe est énorme, Joana n’en demandait pas tant. Le premier coup de hanche de Camille fait lâcher, à Joana, un premier rugissement de plaisir. Le sauveteur lui avait cacher ce dernier atout. Les coups de hanches s’enchaînent et ma femme sent qu’elle va finir par jouir. Elle doit faire une pause, si elle veut que ce plaisir dure un peu. Elle se retire et invite Camille à changer de position. Il s’exécute et s’allonge à son tour sur le dos. Joana caresse son torse légèrement musclé et tente de mettre cet énorme pénis en bouche. Elle sent que cela va être compliqué et préfère jouer avec sa langue. Après quelques instants, elle pense qu’elle peut repartir. Elle se positionne au-dessus de lui et fait rentrer cet imposant sexe en elle. Joana embrasse Camille, pendant que celui-ci reprend ses secousses de plaisirs.
C’est durant ce moment de pure extase, qu’elle sent une autre paire de mains sur son dos. Il semble que le second secouriste veuille participer également. Joana ne comprend plus grand-chose, mais a le sentiment qu’elle est partie pour une nuit de jouissance. Voyant son partenaire les rejoindre, Camille accélère et attrape les tétons de ma femme avec ses lèvres. La bouche de Joana désormais libre, le second en profite pour l’embrasser avec désir. Il est nu et Joana attrape son sexe. Il est moins gros que celui en elle, mais cela ne la freine aucunement. Après quelques caresses, il recule et se met hors de portée de Joana. Ma femme bien excitée retombe dans les bras de Camille.
Les yeux révulsés de plaisir, elle sent les deux mains revenir caresser ses fesses. Un, puis deux doigts finissent par s’aventurer sur son anus. Joana se laissant pleinement faire, ces doigts entament une deuxième pénétration. Ils ressortent et c’est un deuxième sexe qui vient s’introduire en elle. Les deux secouristes sont désormais en train de s’occuper profondément de son plaisir. L’homme derrière elle, lui tient les hanches, pendant que le second lui caresse les seins. Les mouvements s’enchaînent et ma femme commence à faire de plus en plus de bruit. Le rythme des deux pénis en elle, la fait chavirer en trans. Elle ne contrôle plus rien et ne veut plus que cela s’arrête, elle jouit une fois, puis une seconde et continue d’en demander. Les hommes accélèrent, puis se retirent pour jouir sur ses fesses rebondies offertes sur le lit.
Ma femme met cinq bonnes minutes à se remettre de ce sexe intense. Légèrement gênée mais pleinement rassasiée, elle essuie ses fesses avec sa culotte avant de se rhabiller. Elle quitte la chambre avec discret « bonne nuit ! », auquel les deux formateurs répondent « à demain ! ».