Dans un lointain passé où la vie et la mort n’avaient que peu d’importance… 2
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-04-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Dans un lointain passé où la vie et la mort n’avaient que peu d’importance… 2
Dans un lointain passé où la vie et la mort n’avaient que peu d’importance…2
En plein milieu de la nuit, à peine a-t-il réussi à s’endormir qu’il sent une main sur sa bouche et une petite voix qui susurre :-Chut ! Je suis l’une des deux jumelles que vous avez vues sous la tente de Thépère. On vous a bien observé et si vous le voulez, on a décidé de fuir avec vous. Thépère est un être ignoble, il y a longtemps qu’on se serait débarrassé de lui mais nous n’aurions pas tenu deux jours avant d’être reprises et exécutées après d’horribles tortures. Avec vous, nous avons enfin une chance de nous en sortir.
-Et pour Xalla ? demande Entac.
-On ne peut rien faire pour elle pour le moment mais elle ne risque rien tant que la caravane n’est pas arrivée à destination. Thépère veut l’offrir aux Dieux et elle doit rester vierge.
Suite :Entac et les deux sœurs jumelles s’enfuient et après une journée harassante ils se retrouvent enfin à l’abri dans la grotte sacrée du village Aztèque.
Les deux ex-esclaves surveillent le feu, elles ne cachent pas leurs mamelles tout juste formées, fruits délicats ornés d’une tache plus sombre. Entac admire leurs ventres plats, leurs cuisses fines et musclées, signifiant qu’elles n’ont jamais enfanté.
Leurs pagnes réduits au strict minimum sur ordre de Thépère ne dissimulent quasiment rien de ce que les filles et les femmes cachent depuis l’enfance aux regards concupiscents des hommes.
Il regarde d’un regard neuf les jumelles blotties l’une contre l’autre qui le surveillent discrètement. Enza prend enfin le courage de parler franchement à Entac :-J’ai accepté hier contrainte et forcée de te chevaucher devant l’Olmèque. Je ne serai certaine que tu m’auras pardonné de que j’ai été obligée de faire devant Thépère le maudit que si tu acceptes que je sois ta femme, ce jour ou un autre. Je voudrais connaître la joie du pardon et la force d’un homme vrai sans y être obligée. Accepterais-tu d’être le premier homme à planter ta force virile en moi ailleurs qu’entre mes fesses?
-Je ne serais pas un brillant guerrier pour le combat que tu évoques, répond-il, évitant de regarder la jeune fille. Et tu oublies la femme à laquelle je suis promis.
-Non, …, je n’oublie rien. Ma sœur te demandera sans peur la même faveur. C’est la seule dette que tu as vis-à-vis de nous. Nous devions un jour choisir le père de nos enfants. Il est juste que ce soit toi qui nous offre le pardon et le bonheur de nous dépuceler. Ta femme saura et son cœur sera rempli du miel de l’amour. Nous ne serons pour vous deux que vos servantes si tu le veux où nous nous effacerons complètement de vos vies. Tu as un village complet à repeupler.
-Le guerrier a besoin de la force de la femme, émet une voix silencieuse jusque là, celle de Zora, l’autre jumelle. Et pour le moment, nous sommes à ta disposition pour reprendre cette force virile.
Enza a pris la main d’Entac et l’a posée sur la poitrine. Les doigts du jeune guerrier se meuvent comme autant de créatures indépendantes qui vont effleurer les boutons sombres de la poitrine juvénile et les font durcir et doubler de longueur. Les lèvres de la fille s’entrouvrent sur des dents blanches, les paupières masquent progressivement les yeux sombres qui provoquent ouvertement le mâle déjà vaincu.
Il reconnait l’appel de la femme, de la femelle. Le sang bat plus vite à ses tempes et s’engouffre dans les corps caverneux de sa verge. L’érection subite de son dard le surprend par son intensité et il pose ses mains sur ses genoux pour se convaincre à refuser sa défaite pourtant évidente devant elle.
Enza se cambre, poitrine érigée, bouche ouverte sur une clameur inaudible, les yeux clos, elle lance ses bras nus vers lui en un geste terriblement clair et l’implore :-Entac, efface ces jours terribles, chuchote-elle. Fais de moi une femme !
Elle l’oblige à s’allonger, dos au foyer. Elle-même s’allonge face à lui, caressant son visage d’une main si légère qu’il oublie la raison pour laquelle il se trouve aussi prêt d’elle et se détend. Lorsque cette même main dégage son sexe de son pagne, il ne fait rien pour résister. Enza se débarrasse aussi prestement de son pagne et attire le jeune homme pour qu’il joue avec les durs bourgeons de sa poitrine, petite mais très ferme. Elle ondule de plaisir lorsqu’il en presse timidement les extrémités plus sombres et elle guide alors son autre main vers ses cuisses, afin qu’il reconnaisse qu’elle l’attend avec impatience, dans son gouffre d’amour aussi moelleux qu’une papaye mûre.
Comme il se révèle assez maladroit de ses mains que de ses lèvres elle caresse la verge rigide et il ne sait pas comment elle arrive à se placer et à l’attirer contre elle où elle le maintient en de lentes pulsions de son ventre.
-Tu es plus puissant que tous ceux que j’ai connus, chuchote-t-elle, lèvres contre lèvres. Je comprends l’émotion que ressentira Xalla lorsque tu plongeras en elle comme le jaguar en rut. Mais tu vas défricher une terre vierge, tu vas labourer mon sillon et y planter la graine de la vie.
-Je vais faire cela ? bredouille-t-il, enfiévré.
-Plus encore. Mon sang en sera la signature.
Elle sourit, descend ses deux mains pour diriger le plantoir dans cette terre vierge, et se transperce l’hymen d’une poussée volontaire. Le sang coule et tache le membre dressé. Après un instant d’hésitation, elle l’oblige à venir plus profondément et se tortille, bouche ouverte, poussant des soupirs qu’il entend comme des cris. Quand elle mord son épaule pour ne pas hurler, elle serre si fort les muscles de son ventre autour de la dure barre de chair qu’il ne peut contenir avec peine le flot montant de son désir. Elle le chevauche maintenant comme une amazone sur son destrier en une cavalcade effrénée avant de reprendre son souffle. Elle demeure un moment, haletante, reprenant péniblement sa respiration, mouvant ses hanches et ses cuisses avec lenteur, recherchant tous les contacts possibles, broyant de ses muscles intimes la barre de chair jusqu’au moment où elle perçoit le signal de leurs sens et l’appelle à la rejoindre dans l’orgasme:-Maintenant !...
Elle ne relâche pas la pression sur le membre ancré en elle et il accompagne d’instinct, la brusque cambrure des reins qui suit le mouvement de possession. Elle s’ouvre et se referme sur lui, s’ouvre encore et il est ébloui par l’éclair de lumière que la sensation intense déclenche en lui, se vidant en elle de sa liqueur séminale.
Elle ne retient pas son cri et semble frappée à mort, devenant inerte contre lui qui s’endort comme un masse après cette journée à marquer d’une pierre noire... Ou blanche ?
Entac ne sait pas quand la petite magicienne le quitte. C’est un contact répété, de plus en plus précis, qui l’éveille. L’esprit encore embrumé, il a à peine conscience que sa jeune compagne se sert à nouveau de lui et de sa verge de nouveau dressée comme d’un épieu dont elle se transperce. Il est particulièrement fier de l’entendre se plaindre et de prononcer son nom de plus en plus ardemment avant de crier librement quand il se répand sans retenue dans le fourreau toujours aussi serré après leur premier coït. Il halète, essoufflé.
C’est seulement en l’entraînant sur le flanc, la serrant dans ses bras comme un enfant, qu’il découvre son bas-ventre où la tache de sang séché est recouverte par du sang frais.
-Toi ? S’exclame-t-il surpris.
-Regretterais-tu d’avoir effacé le mal avec moi alors que tu l’as accordé à Enza?
-Non ! Je ne suis qu’un homme que ta sœur et toi avez conduit à la découverte de la femme et je vous en remercie.
A suivre…
En plein milieu de la nuit, à peine a-t-il réussi à s’endormir qu’il sent une main sur sa bouche et une petite voix qui susurre :-Chut ! Je suis l’une des deux jumelles que vous avez vues sous la tente de Thépère. On vous a bien observé et si vous le voulez, on a décidé de fuir avec vous. Thépère est un être ignoble, il y a longtemps qu’on se serait débarrassé de lui mais nous n’aurions pas tenu deux jours avant d’être reprises et exécutées après d’horribles tortures. Avec vous, nous avons enfin une chance de nous en sortir.
-Et pour Xalla ? demande Entac.
-On ne peut rien faire pour elle pour le moment mais elle ne risque rien tant que la caravane n’est pas arrivée à destination. Thépère veut l’offrir aux Dieux et elle doit rester vierge.
Suite :Entac et les deux sœurs jumelles s’enfuient et après une journée harassante ils se retrouvent enfin à l’abri dans la grotte sacrée du village Aztèque.
Les deux ex-esclaves surveillent le feu, elles ne cachent pas leurs mamelles tout juste formées, fruits délicats ornés d’une tache plus sombre. Entac admire leurs ventres plats, leurs cuisses fines et musclées, signifiant qu’elles n’ont jamais enfanté.
Leurs pagnes réduits au strict minimum sur ordre de Thépère ne dissimulent quasiment rien de ce que les filles et les femmes cachent depuis l’enfance aux regards concupiscents des hommes.
Il regarde d’un regard neuf les jumelles blotties l’une contre l’autre qui le surveillent discrètement. Enza prend enfin le courage de parler franchement à Entac :-J’ai accepté hier contrainte et forcée de te chevaucher devant l’Olmèque. Je ne serai certaine que tu m’auras pardonné de que j’ai été obligée de faire devant Thépère le maudit que si tu acceptes que je sois ta femme, ce jour ou un autre. Je voudrais connaître la joie du pardon et la force d’un homme vrai sans y être obligée. Accepterais-tu d’être le premier homme à planter ta force virile en moi ailleurs qu’entre mes fesses?
-Je ne serais pas un brillant guerrier pour le combat que tu évoques, répond-il, évitant de regarder la jeune fille. Et tu oublies la femme à laquelle je suis promis.
-Non, …, je n’oublie rien. Ma sœur te demandera sans peur la même faveur. C’est la seule dette que tu as vis-à-vis de nous. Nous devions un jour choisir le père de nos enfants. Il est juste que ce soit toi qui nous offre le pardon et le bonheur de nous dépuceler. Ta femme saura et son cœur sera rempli du miel de l’amour. Nous ne serons pour vous deux que vos servantes si tu le veux où nous nous effacerons complètement de vos vies. Tu as un village complet à repeupler.
-Le guerrier a besoin de la force de la femme, émet une voix silencieuse jusque là, celle de Zora, l’autre jumelle. Et pour le moment, nous sommes à ta disposition pour reprendre cette force virile.
Enza a pris la main d’Entac et l’a posée sur la poitrine. Les doigts du jeune guerrier se meuvent comme autant de créatures indépendantes qui vont effleurer les boutons sombres de la poitrine juvénile et les font durcir et doubler de longueur. Les lèvres de la fille s’entrouvrent sur des dents blanches, les paupières masquent progressivement les yeux sombres qui provoquent ouvertement le mâle déjà vaincu.
Il reconnait l’appel de la femme, de la femelle. Le sang bat plus vite à ses tempes et s’engouffre dans les corps caverneux de sa verge. L’érection subite de son dard le surprend par son intensité et il pose ses mains sur ses genoux pour se convaincre à refuser sa défaite pourtant évidente devant elle.
Enza se cambre, poitrine érigée, bouche ouverte sur une clameur inaudible, les yeux clos, elle lance ses bras nus vers lui en un geste terriblement clair et l’implore :-Entac, efface ces jours terribles, chuchote-elle. Fais de moi une femme !
Elle l’oblige à s’allonger, dos au foyer. Elle-même s’allonge face à lui, caressant son visage d’une main si légère qu’il oublie la raison pour laquelle il se trouve aussi prêt d’elle et se détend. Lorsque cette même main dégage son sexe de son pagne, il ne fait rien pour résister. Enza se débarrasse aussi prestement de son pagne et attire le jeune homme pour qu’il joue avec les durs bourgeons de sa poitrine, petite mais très ferme. Elle ondule de plaisir lorsqu’il en presse timidement les extrémités plus sombres et elle guide alors son autre main vers ses cuisses, afin qu’il reconnaisse qu’elle l’attend avec impatience, dans son gouffre d’amour aussi moelleux qu’une papaye mûre.
Comme il se révèle assez maladroit de ses mains que de ses lèvres elle caresse la verge rigide et il ne sait pas comment elle arrive à se placer et à l’attirer contre elle où elle le maintient en de lentes pulsions de son ventre.
-Tu es plus puissant que tous ceux que j’ai connus, chuchote-t-elle, lèvres contre lèvres. Je comprends l’émotion que ressentira Xalla lorsque tu plongeras en elle comme le jaguar en rut. Mais tu vas défricher une terre vierge, tu vas labourer mon sillon et y planter la graine de la vie.
-Je vais faire cela ? bredouille-t-il, enfiévré.
-Plus encore. Mon sang en sera la signature.
Elle sourit, descend ses deux mains pour diriger le plantoir dans cette terre vierge, et se transperce l’hymen d’une poussée volontaire. Le sang coule et tache le membre dressé. Après un instant d’hésitation, elle l’oblige à venir plus profondément et se tortille, bouche ouverte, poussant des soupirs qu’il entend comme des cris. Quand elle mord son épaule pour ne pas hurler, elle serre si fort les muscles de son ventre autour de la dure barre de chair qu’il ne peut contenir avec peine le flot montant de son désir. Elle le chevauche maintenant comme une amazone sur son destrier en une cavalcade effrénée avant de reprendre son souffle. Elle demeure un moment, haletante, reprenant péniblement sa respiration, mouvant ses hanches et ses cuisses avec lenteur, recherchant tous les contacts possibles, broyant de ses muscles intimes la barre de chair jusqu’au moment où elle perçoit le signal de leurs sens et l’appelle à la rejoindre dans l’orgasme:-Maintenant !...
Elle ne relâche pas la pression sur le membre ancré en elle et il accompagne d’instinct, la brusque cambrure des reins qui suit le mouvement de possession. Elle s’ouvre et se referme sur lui, s’ouvre encore et il est ébloui par l’éclair de lumière que la sensation intense déclenche en lui, se vidant en elle de sa liqueur séminale.
Elle ne retient pas son cri et semble frappée à mort, devenant inerte contre lui qui s’endort comme un masse après cette journée à marquer d’une pierre noire... Ou blanche ?
Entac ne sait pas quand la petite magicienne le quitte. C’est un contact répété, de plus en plus précis, qui l’éveille. L’esprit encore embrumé, il a à peine conscience que sa jeune compagne se sert à nouveau de lui et de sa verge de nouveau dressée comme d’un épieu dont elle se transperce. Il est particulièrement fier de l’entendre se plaindre et de prononcer son nom de plus en plus ardemment avant de crier librement quand il se répand sans retenue dans le fourreau toujours aussi serré après leur premier coït. Il halète, essoufflé.
C’est seulement en l’entraînant sur le flanc, la serrant dans ses bras comme un enfant, qu’il découvre son bas-ventre où la tache de sang séché est recouverte par du sang frais.
-Toi ? S’exclame-t-il surpris.
-Regretterais-tu d’avoir effacé le mal avec moi alors que tu l’as accordé à Enza?
-Non ! Je ne suis qu’un homme que ta sœur et toi avez conduit à la découverte de la femme et je vous en remercie.
A suivre…
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