De daronne à beurette à khel 2

- Par l'auteur HDS darone sousmarin -
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Récit libertin : De daronne à beurette à khel 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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De daronne à beurette à khel 2
Je reprends ma plume pour vous conter la suite de mon expérience avec Amada.

J'ai beaucoup de plaisir à effectuer ce travail d'introspection et de remémoration. J'ai l'impression de me mettre à nue devant vous, cela m'excite extrêmement de vous livrer sans filtres ce que j'ai vécu et ressenti.

Vous savoir excité(e)s, savoir que certain(e)s se touchent sur mon aventure: c'est très stimulant. N'ayant jamais pu la partager avec quelqu'un, c'est libérateur de la poser sur papier. Je m'imagine allongée chez le psy, mais en guise de psy c'est vous qui m'écouter me livrer. A la différence, c'est qu'au lieu de stylos en main, je vous imagine vous palucher. A vous faire plaisir sur vécu et mon cul…..

Merci pour vos commentaires qui m'alimentent, m'excitent et me motivent à écrire. S'il vous plaît, partager moi vos impressions (bonne ou mauvaise).

J'essaye d'être la plus fidèle à l'expérience que j'ai vécu même si je ne peux garantir des dialogues et de la temporalité avec exactitude. Cependant je pense qu'ils se rapprochent au plus près de ma réalité.

Merci à vous pour votre intérêt.

Après ce long préambule qui me tenait à cœur, reprenons le fil de mon histoire.




Nous en étions restés à mon départ de son appartement. Je rentre à mon hôtel en Uber n'ayant plus la force d'enchaîner les transports en commun. Je suis toujours dans un état cotonneux, tiraillée par le plaisir ressenti lors de cette expérience si révélatrice pour moi et ma culpabilité d'avoir goûter au fruit interdit (un fruit que je pourrais "emojiser" comme cela 🍆). Le tout agrémenté d'une douleur physique tant le traitement de mon amant fût intense.

Je rentre dans ma chambre et je vais directement sous la douche, je me sens si sale. Je constate les dégâts sur mon corps meurtrie: ma tête est dans le même désordre que celui que j'avais détaillé chez Amada, mes fesses sont rougies limites violacées par les claques subies, mes seins ont également des marques de succions, mes genoux sont douloureux, mon cou garde les traces de mon collier, ma rosette est élargie et ma chatte est endolorie. J'ai mal au fesses et l'impression que mon colon est à vif. J'espère ne pas avoir subie de lésion mais je doute vu la douleur ressentie et la taille du sexe d'Amada. Vous l'aurez compris je suis complément en vrac: je me suis fait détruire par ce gamin comme jamais. Je reste de longues minutes sous l'eau chaude réparatrice en opérant une toilette intime soutenue. Je me lave les dents plusieurs fois comme pour faire disparaitre le goût de mon amant bizarrement de peur d'être trahie. Je m'enduis le corps de crème ainsi que d'un soin capillaire. Mon nettoyage effectué, je m'écroule sur mon lit comme une grosse merde.

Mais que s'est il passé ce soir? Tout s'entrechoque dans ma tête, l'envie de recommencer et celle de mettre fin à cette incartade avant d'être dépassée par les évènements. C'est comme si mon esprit sortait de sa torpeur et que je prenais seulement conscience de ce que j'avais fait: j'avais trompé mon mari, avalé le sperme d'un autre, offerte ma virginité anale et m'étais comportée en chienne au sens littéral du terme et j'avais adoré ça. Quelle genre de femme étais-je vraiment? Moi qui fait toujours un point d'honneur à me comporter en bonne épouse, en bonne mère et en bonne fille pour mes parents. Me serais je mentie pendant tant d'années? Devrait-on n'être qu'une personne ou a-t-on le droit d'avoir plusieurs personnalités en restant la personne que l'on est? Suis je Hafida la mère de famille ou Hafida la chienne à nègre? Ou peut être les deux à la fois? Et si c'est le cas, comment faire cohabiter les deux sans tout détruire? N'avais je pas traversé le Rubicon?

Je me perds dans mes pensées et suis rattrapée par le sommeil. Je m'endors comme une masse.

Le lendemain, j'essaye de faire bonne figure auprès de mes collègues lors de ma formation. Je garde un petit châle pour cacher les marques sur mon cou prétextant un mal de gorge. L'une de mes collègues me dit avoir bonne mine: c'est peut-être vrai en fin de compte cette expression misogyne de femme mal baisée pensais je à ce moment là. Mais qu'est-ce que j'ai mal au cul, tant pour mes fesses endolories que dans mon anus. Mes selles sont pénibles mais les fugaces images de ma soirée d'hier me traversant l'esprit m'aident à m'accommoder de la douleur.

Je décide de rentrer directement à mon hôtel en fin de journée sans profiter des rues de la capitale. Lors de mon déplacement en métro, je ne peux m'empêcher de regarder les hommes noirs qui m'entourent avec intérêts et des idées salaces plein la tête. Je m'imagine autant être pelloter par ce vieux monsieur en bout de rame que à quatre pattes suçant ce jeune homme en costume BCBG ou encore à frotter mon popotin bombé sur une musique afro avec cet adolescent typé racaille. Leur point commun: être BLACK. Je crois que j'ai pris le virus, celui d'être en rut de blacks. Est ce grave docteur? Amada a l'air de m'avoir planté plus que son gros chibre dans le cul, il m’a également planté un graine dans la tête: le désir d'être une arabe à khelouche. Cependant, je ne suis pas le type de femme à aimer tomber dans les raisonnements trop simplistes et les amalgames. J'ai toujours détesté et combattu les idées toutes faites du types que les arabes sont des voleurs, les chinois travailleurs, les femmes trop émotionnelles, les blacks des supers coups au lit...etc: ce ne sont que des inepties. Ce n'est pas de sexes de blacks dont j'ai envie mais de la queue de mon black. C'est celle de ce gamin dont j'ai terriblement envie, celle qui a su me soumettre, celle qui a su briser mes tabous, celle qui m'a révélé la chienne que je suis. C'est d'Adama dont j'ai envie, dont j'ai besoin. Je ne suis pas amoureuse de lui j'en suis certaine, j'ai juste l'aspiration d'être sienne sexuellement. Être sienne c'est être moi, être cette chienne profondément enfuie en moi. Se sentir femelle, être une femme au sens basique du terme. Pour mon plus grand plaisir, j'avais trouvé mon guide: Amada....

Nous sommes mardi, je dois rentrer vendredi soir. Il me reste encore 3 nuits sur Paris. Je n'ai pas encore récupéré de mon démontage de la veille et sachant qu'il me faudra à nouveau une soirée pour me remettre en état avant mon retour à la maison: l'angle de tir se résume à mercredi. Je décide d'envoyer un message que j'imagine sans équivoque à mon étalon:


Salut,

Envie de poursuivre mon dressage 🦮.

Dispo mercredi soir avant mon retour chez moi.

Ta marochienne 🤭


Les dès sont lancés, je serais déçue de ne pas le revoir. J'attends fébrilement sa réponse nue dans ma chambre. Je me masturbe en pensant à Amada aidée de mon womanizer.
Je sors de mes rêveries érotiques au son du signal sonore de réception d'un message:


Salut ma cochonne mariée

Parle pas chinois, tu veux quoi?



Du Amada dans le texte, l'envie de me remettre à ma place: une chienne demande pas, elle supplie. Cela m'humidifie l'entre jambe:


Besoin de ta grosse bite de négro🍆 pour démonter 💥la cochonne infidèle 🇲🇦 que je suis.

Je suis à toi, là pour satisfaire mon maitre 🇨🇩

Fais moi encore l'honneur d'être ta chienne, de goûter mon os avant de quitter la capitale


Oh que oui, j'en ai tellement envie de prolonger cette expérience. Je n'ai bizarrement aucun état d'âme pour Brahim, les miens, ma communauté marocaine dont je suis très fière d'appartenir. C'est comme si mon état d'esprit avait totalement changé en 24 heures. J'avais cloisonné dans mon esprit 2 Hafida: d'un côté la mère de famille et de l'autre la chienne. Ici à Paris, je voulais être la deuxième. Ding, alerte sonore de message:


Là c'est claire salope

Ok pour mercredi, prépare toi a déguster.

On passe à l'étape 2

La bise au cocu 😉


Génial, j'allais pouvoir revoir Amada avant de quitter Paris. Je salive à la promesse de "déguster" faites par mon jeune roi congolais. Au contraire de notre premier rendez-vous, je savais à quoi m'attendre et j'étais prête à être maltraitée.

Le lendemain, nous échangeons quelques messages pour valider l'heure, le lieu et les préparatifs pour ce soir. Amada me demande de porter un hijab, une robe sexy, une culotte et pas de soutiens-gorge. Il me donne rendez-vous directement chez lui pour 20h45. Je ne suis pas trop à l'aise pour le port du voile mais comme je vous l'ai dit, je sais où je mets les pieds et que cela ne sera qu'une nouvelle porte d'entrée pour m'humilier. De plus, avec ou sans voile je m'apprête à faire quelque chose de religieusement répréhensible en trompant mon mari. Je ne suis qu'humaine, avec mes forces et mes faiblesses après tout.

Je me fais la plus belle possible, portant une robe échancrée décolleté rose mettant mes formes en valeur, tanga blanc crème et talons aiguilles. La combinaison de mon hijab blanc avec ma tenue sexy fait son effet lors de ma traversée de Paris en métro. Je ne laisse pas indifférente, j'attire des regards tant admiratifs que réprobateurs. J'en fais des tonnes, je rentre avec délectation dans mon conditionnement de chienne. Moi qui en temps normal esquive les regards ou les contacts avec la gente masculine , aujourd'hui je suis limite à les provoquer.

J'arrive devant son bâtiment et lui envoi un message. Il m'ouvre la porte d'entrée du bâtiment et je rejoins son étage.
Adama m'accueille tout sourire sur le palier :

- Salut Hafida, tu es magnifique"

- Salut Amada, merci" lui réponds je, contente que ma tenue lui plaise

Il m'embrasse sur la bouche en collant fermement ses mains sur mes fesses. Je me sens toute chose et commence à le galocher comme une collégienne. Ensuite il m'embrasse dans le cou et me renifle comme un prédateur sentant sa proie, ce qui à le don de m'hérisser les poils:

- Tu sens trop bon ma belle" me susurre t'il à l'oreille." Par contre, je te préviens nous ne sommes pas tout seul ce soir

Je passe directement de l'excitation à l'anxiété m'imaginant la présence de son groupe de potes de la Chicha et m'engouffre à l'intérieur d'un pas fébrile.

Là devant moi, sur le canapé se trouve assis seulement un homme d'un certaine âge. Il s'agit d'un vieux maghrébin un peu négligé dans son survêtement passé d'âge. Il doit avoir à peine l'âge de mon père mais les traces d'une vie difficile, lui donne l'air bien plus usé que son âge. Je me sens mal à l'aise face à lui et ses yeux interrogateurs. Je perçois dans son regards comme un mélange de surprise devant la femme voilée et soignée que je suis et qui se présente chez Amada. Je reste figée, puis suis rappelée à l'ordre par mon gourou:

- Hafida, dit bonjour à M. Saadi, mon hôte pour regarder le football ce soir." me lance Amada

- Bonjour M. Saadi, enchantée" lui dis-je respectueusement en le regardant dans les yeux, pensant tout le contraire

- Bonjour Hafida, enchanté également" me répond l'ancien froidement.

- Surprise Omar, je t'avais prévenu que nous ne serions pas seul ce soir. Comment tu la trouve ma belle Hafida?" Dit il en me faisant tourner sur moi même.

- Elle est vraiment charmante, c'est ta copine?" répond poliment M. Saadi

- Oui si on veut, disons que c'est plutôt ma petite chienne" dit mon amant tout sourire" C'est une provinciale mariée de passage sur Paris qui en profite pour se faire démonter. Et le plus beau dans tous ça, c'est qu'avant lundi elle avait jamais trompé son gentil marocain de mari.

La réponse est cinglante, je me sens honteuse d'être ainsi présentée devant ce daron maghrébin de l'âge de mon père. Mais pas besoin de me voiler la face, c'est juste la vérité: crûment dit mais c'est la vérité. Je vois la tête de M. Saadi marquer le coup devant la rudesse des propos de mon jeune étalon. Son regards change, mélangeant désir et dégoût de voir une maghrébine mariée et voilée présentée de la sorte par Amada.

- C'est bien le cas, non?" M'interroge Amada.

- Oui" répondis je timidement, les joues certainement rougies par la gêne.

- Je suis qui moi?" me défi Amada d'un ton sec

- Mon maître noir" lui dis-je devant l'inconnu

- Et toi t'es quoi salope?

- Ta chienne d'arabe mariée et voilée" réplique je en le regardant droit dans les yeux

Je commençais à m'exciter de cette situation, une nouvelle carte dans le jeu d'humiliation de mon amant. Exposer ma soumission de maghrébine mariée, voilée envers un jeune noir; alors que je pourrais être la fille de M.Saadi. Je sens limite de la pitié dans les yeux de l'ancien et de la fierté dans celle d'Amada. C'est si humiliant et si bon à la fois, d'être ainsi affichée devant cet ancien qui pourrait être un oncle à moi. De plus, le port du voile, symbole de pureté et de décence, dans une telle situation ne fait qu'ajouter à ma déchéance. Je suis pleinement dans mon identité secrète: celle d'Hafida la chienne. Mon esprit fait si bien son travail de cloisonnement, qu'au lieu d'éprouver une profonde et légitime gêne qui devraient être mienne en associant ma religion à une telle situation: c'est tout le contraire, je me sens encore plus chienne ce qui amplifie mon excitation immanquablement.

- Tu as oublié la règle 1 pétasse?" me demande calmement Amada. "Ôte ta robe et tes chaussures également mais garde le reste.

Sortie de ma réflection, je m'exécute et me mets en string, les seins à l'air et à quatre pattes. Il part s'installer sur le canapé à côté de son hôte.

- Présente nous ton cul, tête au sol comme j'aime.

Je prends la position imposée par mon maître, accentuant au mieux ma cambrure afin d'offrir la meilleure vue possible de mon cul.

- Tu vois Omar, les marocaines sont des grosses chiennes en chaleur. Tu en penses quoi de celle là?

- Ma fois, j'ai du mal à croire que c'est la première fois qu'elle fait ça, c'est une escorte payée pas une mère de famille ça. Si c'est vrai, c'est une honte pour son mari et sa famille de se comporter de la sorte." dit il quelques peu gêné par la tournure des évènements

- Je t'assure que 48 heures avant, elle faisait encore la belle sous ces airs de femme vertueuse, ça c'était avant que lui déchire son cul vierge. C'est pas vrai Hafida?

- Oui, c'est exact." Dis ai-je.

- Qu'est ce qui est exact traînée?

Décidant de rentrer pleinement dans le jeu de ce mâle qui me rends si folle, je roulais des fesses en ajoutant d'une voix ingénue:

- Avant de vous connaître, je n'avais pas connu d'autre hommes que mon mari. J'étais une femme respectable mais insatisfaite sexuellement et avec votre grosse bite de noir vous m'avez convertie en chienne. Merci.

- Fascinant et terriblement excitant." s'exclame M. Saadi

Le match de foot commençant, ils entament une discussion sur les équipes de ce soir et sur le foot en général. Moi je reste de longues minutes dans cette position tant inconfortable qu'indécente. Je prends du plaisir à me tenir dans cette posture de soumission, chose inenvisageable quelques jours avant pour la très fière femme que je suis. Quel chemin parcouru et quelles seront mes limites? Le sifflement de mon roi congolais me tire de mes songes et il me commande:

- Au pied ma pute et roule du cul

J'emboite directement sur cette manœuvre à l'aveugle que j'avais déjà exécuté lundi, en m'appliquant à accentuer mon balancement de fessier comme une chienne en rut.

Je m'installe aux pieds d'Amada assise sur les talons entre la table basse et le canapé. Il me gratifie d'une caresse sur le haut de mon hijab. Il me présente mon collier, qui cette fois est associé à une laisse. Je tends mon cou pour faciliter l'installation de mon bijou entourant la base de mon hijab par mon mâle dominant. Il prend une des canettes de bière présente devant lui, la vide dans un bol qu'il met au sol à côté du canapé.

- Et bien trinquons à cette belle soirée en perspective. Un bon match, quelques bières et une grosse marochienne à déglinguer: elle est pas belle la vie? Santé Omar" dit il en trinquant avec M. Saadi et me fait signe de boire ma "gamelle".

Je m'exécute en plongeant ma "gueule" dans le bol, essayant tant bien que mal de boire de plus que voile trempe à moitié dedans. Je n'ai jamais aimé la bière, mais ma position ne permettait pas de la ramener. D'un coup, Amada me pousse la gueule dans le bol, me voilà la face pleine de bière. Il attrape le bol et me fait boire le reste de son contenu en le versant dans ma bouche. Ouch, j'ai les yeux qui piquent et la tête qui tourne légèrement. Il reverse une autre canette, moi restant assise sur mes talons attendant ses directives. Il tire sur ma laisse pour je prenne place entre les deux hommes me gratifiant d'une caresse appuyée sur les fesses redescendant sur mon sexe. Mes poils s'hérissent à son contact tant mon corps est en demande. Il invite M. Saadi à profiter de mon corps a sa convenance:

- Ne te gêne pas Omar si tu veux en profiter, t'inquiètes pas ce qui se passe ici, reste ici. Cette chienne n'attend que ça.

M. Saadi n'attend que ça lui aussi apparemment, vu la vitesse à laquelle il commence à me pelloter. Ses mains rugueuses passent de mes seins offerts à mon cul, il me touche le corps avec frénésie alternant entre caresses et gifles. Il ne suit plus du tout son match et s'amuse à me tirer par la laisse pour mieux m'explorer. A un moment donné, il écrase ma tête de son pied pour que je remonte mon cul vers lui. Il m'explore le postérieur et l'entre jambe sans retenue ni savoir faire. Ses caresses sont rustres et ressemblent plus à un contrôle de qualité qu'à des préliminaires. Cependant, je ne peux m'empêcher d'être excitée par se traitement et d'avoir la chatte humide. Il le constate en glissant la main dans mon string:

- Elle est vraiment trop bonne ta pute marocaine. J'aurais jamais imaginé qu'un jour je puisse me taper ce genre de femme, j'ai l'impression d'être dans un porno Amada. Elle a la chatte toute mouillée cette salope. Tu aimes ça toi Hafida la chienne?" me demande t-il en me tendant son doigt plein de ma mouille

- Oui M. Saadi" lui dis-je en lui suçant son doigt

- Fascinant, tout simplement fascinant Amada. Je ne sais pas ce que tu lui as fait mais tu l'as bien fait en tout cas" dit il à mon étalon, de la reconnaissance dans la voix

Une alerte de message arrivé sur le téléphone d'Amada:

- Ah, c'est l'heure de la bouffe. Le livreur est arrivé." dit il en se levant" C'est toi Hafida qui va lui amener son pourboire" dit il en souriant et désignant le billet de 5 euros sur la table.

Il va à la porte pour appuyer sur l'interphone et attends sur le palier. Pendant ce temps je me sors de l'étreinte du vieux pervers et j'attrape le billet par la bouche sachant très bien ce qu'Adama attends de moi. Il prend plaisir à me mettre en scène pour assoir son ascendance sur moi, en exposant ma soumission à autrui. Et moi j'adore ça, je me sens si fière de montrer ma servitude que j'aurais envie de crier: je suis ta pute. Je ne me reconnais plus: elle me semble si loin la Hafida que j'ai été toute ma vie. Celle qui dirige son service d'une main de fer, celle qui est une mère de famille intransigeante, celle qui est une femme inaccessible sauf envers son mari, celle qui fait la fierté de sa famille de part sa réussite et son sérieux, celle qui est connue et reconnue pour sa dévotion et son comportement exemplaire par sa communauté..... Je ne suis plus rien de tout ça à l'instant présent, je ne suis plus qu'une chatte en chaleur à la disposition du bon vouloir d'un gamin noir. Le plus fou dans tout ça, c'est que j'adore.

Le livreur arrive et remet la nourriture, Amada me siffle joignant un petit geste pour m'inciter à venir. Je traverse la pièce à quatre pattes, le billet dans la gueule pour le présenter au livreur. C'est un jeune maghrébin à peine plus âgé que mon fils qui reste sidéré de me voir ainsi arriver. Il prend le billet et me regarde avec mépris comprenant la situation. Je l'imagine penser que je pourrais être sa mère. Une mère voilée, à poile, à quatre pattes et soumise à un jeune noir: j'imagine la vision d'horreur pour lui. Au lieu de me dégoûter comme cela devrait être logiquement le cas, je suis excitée de lui mon montrer mon asservissement. Pour enfoncer le clou, je me frotte contre les jambes d'Amada et lui embrasse l'entre jambe tendrement. Que suis je devenue? La boîte de Pandore a été ouverte. J'ai toujours mis beaucoup d'application dans ce que j'entreprends, une fois de plus je ne dérobe pas à la règle. Mais là, je m'étonne moi même de mes réactions, je n'ai même plus l'impression de vivre un rôle mais plutôt l'impression d'être moi. C'est ça mon moi profond, être la chienne d'Amada. Le livreur s'en va et mon Roi Congolais me regarde avec fierté:

- Bravo à toi ma grosse salope, tu me régales. Je n'aurai pas cru arriver si vite si loin avec toi. Tu es vraiment une putain de chienne refoulée qui n'attendais que ça." Dit il en me gratifiant d'une caresse sur les fesses et en tirant sur la laisse pour me faire revenir vers le canapé.

Il m'arrête devant ma gamelle, me faisant comprendre que je devais boire et je m'exécute. Il commence à sortir les tacos commandés et donne le sandwich à M. Saadi.

- J'ai faim, mais c'est pas de nourriture dont j'ai envie moi. Ramène ton gros cul ici la marocaine!" M'apostrophe le vieux qui a pris de l'assurance.

Je fais le tour du canapé pour ne pas déranger Amada attablé devant son sandwich. Je me présente entre les jambes du repoussant vieillard et me tiens droite assise en talons. Celui-ci écarte les cuisses et fait un signe de la main vers sa bite. Je commence à lui baisser son vieux bas de jogging et commence à léchouiller son slip au niveau de son sexe. L'odeur est infecte, mélange de pisse, de foutre ou de je ne sais quoi. Cela me donne des hauts le cœur et par réflexe je me redresse. M. Saadi comme Amada comprennent ma réticence à prodiguer cette fellation. Les deux ne réagissent pas de la même façon: M. Saadi a l'air tant gêné que déçu de ma réaction, quand à Amada il a le regard noir:

- Tu fais quoi sale pute. Tu manques de respect à mon voisin, ici chez moi sous mon toit. On a pas le sens de l'hospitalité dans ton pays de merde. Mais t'es malade toi, depuis quand un chien refuse un os? Tu vas le sucer jusqu'à la dernière goutte ou je te promets que tu vas le regretter. Bouffe lui sa bite d'algérien, toi la grosse truie marocaine.

Au lieu de ressentir un sentiment de révolte devant la méchanceté de mon bourreau, c'est un sentiment teinté de honte et de culpabilité qui me traverse. C'est le comble de me sentir honteuse, alors que c'est ce sale gars qui devrait avoir honte de ne pas se laver.

Je suis très à cheval sur l'hygiène et là c'est juste dégueulasse. En même temps, cela me rassure de garder des limites moi qui vais déjà si loin. Comme si cela me rassurait sur mon humanité tant j'ai l'impression de ne plus me reconnaître, de laisser mes pulsions comme seul guide.

- Si tu t'appliques pas, tu n'auras pas ton nonosse...." me susurre mon colosse d'ébène à voix basse dans le creux de l'oreille

Il marque encore un point, si je suis là à faire la chienne à quatre pattes, c'est dans un seul but: me faire baiser par la grosse queue d'Amada. Mon corps la réclame, mon âme aussi: j'en ai tellement envie que ça en devient même un besoin. Une fois de plus, je suis vaincue, trahie par mes pulsions:

- Me feriez l'honneur de me laisser sucer votre bite d'algérien M.Saadi" lui dis-je l'air suppliante

- Oui avec plaisir kheba, mais fais ça bien" déclare M. Saadi tout orgueilleux

Je m'applique à remonter délicatement ma langue sur sa cuisse gauche en direction de son slip. J'entreprends de descendre son slip avec mes dents aidées par mes mains, il facilite ma manipulation en levant les fesses. Je me retrouve nez à nez avec son sexe tendu sortant d'une forêt de poil. Il est de dimension moyenne restant plus épais que celui de mon Brahim mais de longueur équivalente. Reste son odeur, en un mot infecte. N'écoutant que mon courage, ou mon désir d'Amada devrais je dire, je commence mon ouvrage. Je décide de me montrer la plus entreprenante possible afin d'écourter mon calvaire. Il m'arrache mon voile en arrière afin de me tirer par les cheveux pour prendre le contrôle de ma tête. De sa main libre, il s'amuse à me pincer les tétons ce qui me fait un mal de chienne. Il est brut et je n'aime pas sa façon de faire. De plus, je me retrouve avec des poils plein la bouche, ce qui m'écoeure totalement. Le seul avantage, c'est que cela à l'air de l'exciter car au bout de quelques minutes, le vieux dégueulasse me balance la purée. Prenant sur moi, je relève la tête et avale cette semence qui me dégoûte. Cependant, je suis sûr que mon visage marque les traces de mon aversion à son encontre. Ne remarquant rien, tant il a du prendre son pied ce vieux pervers, il se permet d'ajouter:

- J'ai toujours entendu que les marocaines sont des putes. Et bien c'est vrai. Tu as l'air reconnaissante d'avoir goûter une bonne queue d'algérien. Je comprends mieux que mon fils ai préféré marier une de ses salopes plutôt qu'une fille de chez nous. Ça doit te changer de la sale bite de marocain de ton mari, c'est vrai?" Dit il fière de lui alors que deux coups de langue ont suffi à le faire jouir.

Je suis défaite, une fois de plus vous allez dire, mais surtout profondément humiliée d'avoir été au service de ce porc. Je me sens sale. Moi qui ne ne ressens aucune amertume et au contraire, que du plaisir à ce qu'Amada m'humilie à travers mon mari. Mais lui, ce vieux débris dégueulasse pour qui il se prend? J'ai profondément la haine au fond de moi. J'ai un goût amer dans la bouche combiné à celui de son sperme et la présence de sa pilosité. Je lui lance droit dans les yeux d'un ton ferme:

- Je préfère les grosses bites de khelouche comme celle d'Amada au petite bite d'algérien" dis je d'un ton sec

Je guette la réaction de mon jeune amant, qui en regardant le foot à un petit sourire au lèvre. M.Saadi reste sans voix mais me fusille du regard. Je le fixe droit dans les yeux, avec un air de défi comme la vraie Hafida s'est si bien le faire. Il finit par détourner le regard vers la télévision. Je me sens tellement mieux après l'avoir mouché que je ressens une vague de fierté m'envahir. "Et oui mec, t'es juste là au bon moment au bon endroit mais tu restes qu'une merde" pensais je bien fort. Je repars faire le tour du canapé, m'arrête devant ma gamelle pour boire une gorgée afin de me laver la bouche et viens me placer entre les jambes d'Amada. Je veux sa bite, mon os que je pense avoir méritée. Je la veux autant parce que j'en ai envie que pour montrer à ce vieux con ce que c'est qu'un vrai homme. J'approche langoureusement ma bouche de ses pieds nues pour les lécher et d'une voix suppliante lui demande:

- laisse moi te sucer ta délicieuse grosse bite. Je suis ta pute d'arabe, y a que vous les negros qui savaient nous baiser et nous chienniser.

Il hoche la tête pour me donner son consentement et je le sens fier que j'entraîne le vieux con à partager mon humiliation. Cela m'humidifie directement, moi la maghrébine reniant les "miens" pour me me convertir aux blacks. Je me rends compte que ce sentiment de trahison est un des moteurs de mon plaisir. Sentir la gêne du livreur comme celle de ce grand père sont si excitants. Excitation qui se traduit par des coups de langue gourmands le long de ses jambes et là il tire un coup sec sur ma laisse pour présenter mon museau pile devant son entre jambes. Il me tient à distance, une dizaine de centimètres de son short en maintenant la laisse en arrière. Je me sens directement passer en mode chienne de guerre, j'accentue ma cambrure, folle d'envie de son gros bâton. Oui, je veux sa bite, ma bite à moi, je dirais plus: j'en ai besoin. Mon corps, mon âme, tout en moi la réclame. Je le regarde les yeux suppliants et il a l'air de prendre un malin plaisir à me frustrer une fois de plus. Ne me contrôlant plus, je lui baisse son short et boxer de mes deux mains. Je la vois jaillir de toute sa virilité, se dressant fièrement devant ma gueule, moi la bave aux lèvres, grognant d'envie. Quand il finit par lâcher ma laisse, je plonge sur mon os comme un animal affamé. Je la gobe à sa base, faisant coulisser ma bouche de haut en bas de son imposante queue, l'embrassant, la léchant, la reniflant.... je suis en transe. Je me retrouve dans le même niveau d'excitation que j'avais connu deux jours avant. J'ouvre ma bouche en grand pour l'avaler et le regarde droit dans les yeux pour lui montrer que oui, il a fait de moi sa pute. Quelle bonheur de me sentir femme, chienne moi Hafida la prude. Je ne peux m'empêcher de penser à ceux qui me connaissent, me craignent moi la "dictatrice" comme certains aiment à le dire: ils seraient abasourdis. Paradoxalement, je me sens tellement moi à l'instant présent: merci Amada de faire de moi celle que je suis aussi.... une marochienne à khel. J'en ai même oublié l'autre connard d'à côté tant mon esprit a vrillé. Il nous regarde la bouche ouverte, les yeux ronds subjugués. Est ce devant la taille du zeub ou devant ma chiennitude? J'imagine qu'il doit y avoir des deux, laissant parler la salope que je suis devenue: je le défi du regards la queue de mon robuste amant dans la bouche. Amada remonte mon voile au niveau mes yeux et l'agrippe de ses deux mains pour cadencer ma fellation. Il m'impose de l'avaler profondément à la limite de la suffocation puis relâche l'étreinte. C'est limite de la maltraitance mais je suis là pour ça, non? J'en ai la tête qui tourne tant j'étouffe à chaque poussée :

- Voilà comment on éduque nos putes chez nous. C'est ça que vos chiennes de femmes viennent chercher chez nous. T'en penses quoi Omar?" dit Amada sur un ton de bravade

- Il y a des salopes partout. Tu es tombé sur une chienne en chaleur, c'est tout ça prouve rien.

- Il y a deux jours c'était encore une mère de famille, du genre bourgeoise arrogante. Maintenant elle vient me supplier de se faire démonter le zouk avec son voile. Même plus chaudes que les blanches, c'est les beurettes les plus chiennes. Et tu sais pourquoi Omar?...... Parce que dans votre culture hypocrite, vous faites trop de manière. La pression sociale et culturelle est trop forte pour vos femmes. Les filles doivent jouer leurs rôles, rester pieuses, prudes, ne pas se compromettre à cause du qu'en dira-t-on. Moralité, elles viennent chercher des bonnes queues de renoi en cachette. Et pour les vielles comme celle la, à force de refouler leurs désirs, tu vois comment elle deviennent devant nos gros chibres.

Je n'en perdais pas une miette ni de leur conversation, ni son énorme bite. Je reste doublement sous le choc de ce que j'entendais. Je pensais que M.Saadi était un copain à lui mais les propos et le ton d'Amada était sciemment offensant. J'avais l'impression d'être l'objet de démonstration de sa théorie pour illustrer ses dires. De l'autre côté, je trouvais la pensée de mon assaillant non dénuée de sens. C'est comme si en quelques sortes le conditionnement dans lequel j'avais grandis m'avait ramené ici a faire la chienne devant ce gamin black. Me voilà à philosopher avec un grosse bite sombre me défonçant la bouche. J'étais également surprise par la personnalité et la gamberge de ce jeune qui ne cesse de m'étonner. Je sors de mes pensées quand il lâche mon voile, me libérant de mon sucre d'orge:

- Va te désaltérer ma belle coquine, tu vas en avoir besoin pour encaisser ce que je vais te mettre dans ton gros cul d'arabe"

Une fois de plus, je m'exécute comme une marionnette. Il a réussi son dressage à la perfection avec moi, j'obéis à la voix de mon maître sans aucun état d'âme. Je lui fais une confiance aveugle, comme je ne l'ai jamais fait à personne: cela me semble juste naturel. Il vient d'insinuer qu'il allait m'enculer et malgré mon appréhension j'en salive intérieurement. Il tire sur ma laisse pour me guider sur l'accoudoir du canapé tête en direction de M.Saadi et fesses levées vers lui.

- Tu vas voir comment on encule vos femelles

- J'aime pas comment tu parles Amada

- Si t'es pas content tires toi, va rejoindre ta grosse là-haut. Je sais que tu les aime pas les khelouche comme vous dites, sous tes airs de pseudo tolérance. Je te connais très bien Omar."

La tension est palpable, j'ai l'impression d'être au milieu d'un champs de bataille. La raison de l'embrouille m'échappe mais je sens qu'il y a un passif à régler entre les deux. Je pensais que la présence de ce vieil algérien était pour m'humilier devant l'un de ma communauté mais Amada avait autre chose en tête. Nous utiliser tout les deux pour humilier l'autre. Cela m'excite de servir les desseins d'Amada d'autant plus que je déteste ce vieux con.

- Dis lui au vieux, ce que toi Hafida la mère de famille provinciale tu es venue chercher en toquant à ma porte." me demande mon jeune dominant

- Je suis venu chercher ta grosse bite de khelouche" dis je droit dans les yeux de M.Saadi

- Et qu'est ce que tu as trouvé?" réplique Amada

- La meilleure baise de ma vie, tu m'as ouverte le cul et les yeux. Je veux être ta pute, ta chienne" tout en continuant à défier le vieux du regard

- Écarte ton cul avec tes mains sale arabe. Et toi t'as entendu Omar, c'est ça qu'elles veulent vos femmes, vos filles: nos grosses bites dans le cul. T'inquiètes pas, on en baise à la pelle aussi des algériennes même certaines que tu connais très bien...." ricane le jeune homme

Je vois le vieux la mine déconfite, restant bloqué sur les dernières paroles de mon amant. Il met son préservatif, l'enduit de lubrifiant et me demande:

- Implore moi de te la mettre si tu la veux

- Pitié encule moi mon cul de chienne d'arabe infidèle en chaleur avec ta teub de vrai homme" lui dis-je avec un ton de supplication

Il me prend au mot, crache sur ma rosette et s'en aucune autre préparation me transperce le boul. Il n'y va pas comme un bourrin en s'enfonçant profondément mais passe son gland dans un premier temps. Malgré sa précaution, cela m'arrache un cri de douleur que je ne peux contenir. Une fois de plus les larmes me montent aux yeux, je mords le canapé pour ne pas crier d'avantage et me crispe de douleur. Amada tire sur ma laisse pour me lever la tête et effectuer une seconde poussé. Aïe, Aïe, Aie, je ne peux m'empêcher de hurler à la mort tant je souffre. Amada rapproche sa tête de la mienne et me glisse dans le creux de l'oreille:

- ll y a un mois, c'est une de ses filles que j'enculais sur ce canapé.

Surprise et choquée par sa "secret story" je ne peux m'empêcher de lâcher un "Oh" d'étonnement se transformant en cri bestial. Car au même moment, il tire fort sur ma laisse en effectuant une ultime poussée qui me perfore le rectum. Je me sens complètement embrocher comme un agneau en méchoui, j'ai la sensation que sa matraque me traverse jusqu'au ventre, il lâche la pression de la laisse pour me tirer par les cheveux comme pour m'obliger à regarder droit dans les yeux la victime de son jeu machiavélique. A travers l'humidité de mes larmes, je vois le regard hagard de M. Saadi qui semble choqué. Je ne peux savoir si il réagit comme ça devant la violence de la scène où s'il est victime de sa rumination mentale sur l'identité des ex d'Amada. J'aurais envie de croire que son état traduit la combinaison des deux, ressemblant à la formule: qui? + comme ça. J'en ai presque pitié pour lui mais ma préoccupation principale est d'un autre ordre: j'ai une barre de fer dans lu cul qui me brûle au plus profond de mes entrailles. Je ressens ses couilles flirter avec mes fesses tant il me pénètre profondément, je ne savais même pas qu'on pouvait absorber une telle masse dans son derrière et encore moins dans le mien. Sans m'en rendre compte je suis entrain de geindre et de sangloter mais qu'est ce que je fais là, à m'infliger un tel supplice. Et là une fois de plus la magie opéra, Amada glisse sa main libre entre mes cuisses à la recherche de mon sexe endormie. La sensation de ses doigts titillant mon petit bouton m'électrise tout le corps, me donnant même l'impression que mon rectum goba quelques centimètres de plus de sa baguette magique. Il reste immobile dans ma croupe pendant qu'il entreprend à me pénétrer d'un doigt et me taquiner le clitoris. La sensation de chaleur douce qui m'envahit combinée à la violente brûlure dans mon postérieur me transporte littéralement. Je commence à grogner en boucle des:

- Que c'est bon.... putain que c'est bon"

Comme lors de mon dépucelage lundi, Amada en parfait amant comprends le signal de mon corps et commence son va-et-vient. Je sens son sexe coulisser lentement dans mon arrière train, comme pour habituer tranquillement mon sphincter à l'alternance du vide et de la plénitude de ce sexe dur. En parallèle, il continue de me flatter ma chatte de sa main ferme. Je kiffe chaque poussées comme la chienne que je suis entre ses mains, accentuant l'ondulation de mon corps pour venir à la rencontre de son sexe.

- Dis lui comme t'aime que je t'encule, dis lui" me crie dessus Amada en tirant sur mes cheveux et accélérant la cadence.

Il me pilonne dorénavant avec violence et profondément car je sens son bassin entrer en contact avec mes fesses à chaque poussée. A chaque coups de boutoir, mes seins et ma tête balancent sous l'impact. Qu'est ce que c'est bon de faire exploser comme ça..... J'essaye tant bien que mal d'articuler tant je suis en supplice et m'adresse à M.Saadi en le regardant:

- J'aime trop me faire péter le cul par sa grosse bite de congolais.....j'aime être sa pute. Putain que c'est bon....." voilà le type de phrases qui sortent de ma bouche, ou du moins que j'essaye de sortir entre deux grognements

Il a l'air choqué et on dirait même excité de me voir dans un tel état. En tout cas, le combo de ses coups de marteau, de son doitage ainsi que d'afficher ma soumission à mon negro provoque en moi une explosion: je rentre en état orgasmique. Je sens des vagues de plaisir me traverser tout le corps, mes muscles se crisper et des cries sortent de moi. Je perds toute notions de temporalité, de contrôle, d'humanité : je ne suis plus qu'une bête guidée par sa jouissance. A un moment donné, il sort de moi et me retourne pour me prendre en face a face. Il me lève les jambes pour les placer contre son puissant torse comme une marionnette et m'enfonce son pieu profondément dans le cul sans sommation. Il me regarde dans les yeux l'air bestial en me traitant de tous les noms et m'incite à me masturber. Une nouvelle première pour moi, je commence a frénétiquement jouer avec mon clito.,... que du bonheur.


Je ne suis plus qu'une boule de plaisir. Amada se retire et enlève son préservatif :

- Je fait te cracher mon jus"

- Oui, arrose moi" l'invite ai-je

Il commence à astiquer son tuyau d'arrosage et me balance de grosses giclées sur ma poitrine et mon visage. Certaines gouttes atterrissent dans mes yeux, mais avant de pouvoir les essuyer Amada viens frotter son sexe sur ma face. Il m'invite ensuite à m'asseoir à talon et à lui laver sa verge de ma bouche. J'ai le visage et le corps qui me grattent mais cela ne m'empêche de faire la toilette de cette bite qui me donne tant de plaisir. Ma tâche finie, il s'installe tranquillement sur le canapé pour suivre le match en s'allumant une cigarette. Moi je m'écroule contre le sol pour récupérer. Au bout de quelques instants, la grosse voix d'Amada m'invite à venir boire dans ma gamelle qu'il resserre:

- Viens boire ma salope, tu vas en avoir besoin. La soirée est loin d'être finie.

Et là une fois de plus, résignée je m'exécute.
Sur ma demande, il m'autorise à aller me laver des traces de son ouvrage:

- Va te laver et repart devant la porte ensuite. . Lave toi les dents au passage, je t'ai laissé une brosse à dents dans la salle de bain, tu pue la queue" dit il sans même me regarder.

Je suis heureuse de pouvoir me laver et de me tenir debout. J'ai le cul en feu mais si c'est le prix à payer pour connaître l'extase qui fut le mien, je suis prête à le payer. A mon retour, je constate que M.Saadi n'est plus là. Je ne pourrais même pas vous dire à quel moment il s'en est allé tant j'étais ailleurs les dernières minutes. Je me pars m'installer à la place qu'Amada m'a désigné au palier.

- Tu va ôter ton voile, remettre ton slip et tes talons." ordonne Amada toujours sans me calculer et en me lançant mon string

Je me défais mon voile que je pose à côté de ma robe, remet mon tanga blanc ainsi que mes chaussures assorties.

- Tu peux te relever. Va faire la vaisselle et nettoyer ma cuisine comme les bonnes servantes de chez toi savent le faire.

Me voilà devenir sa soubrette à présent, il exagère sur les bords. Mais une fois de plus il vise juste en me conditionnant à un statut de femme façon modèle patriarcal des années 50. Moi qui s'en être une féministe activiste, me suis toujours battue dans ma vie pour mériter le respect qui m'est dû. On ne se rends pas compte si on ne l'a pas vécu: c'est extrêmement dur d'être prise au sérieuse, d'être légitime quand on est une femme issue de l'immigration, musulmane de surcroît. J'ai du faire mes preuves plus que d'autres, tomber souvent et toujours me relever pour atteindre mes objectifs. D'où mon côté "bossy", castratrice pour certains hommes devant lesquels j'ai du m'imposer. Même dans mon ménage, nous avons toujours partagés les tâches loin de l'image d'Épinal du couple maghrébin des années 80. Je suis indéniablement une femme forte et indépendante. Amada fait voler tout cela en éclats, me ramenant à un rôle de boniche. Et le plus fou dans tout ça, c'est que j'adore ça : me sentir inférieure. Être la femelle docile du vrai Mâle. Je prends conscience que je suis totalement sienne tant sexuellement que mentalement. Ce gamin de 25 ans a pleinement dompté la femme que je suis. Je pars donc effectuer mes tâches ménagères le coeur léger et les fesses à l'air. Je me sens toute choses ne sachant pas si c'est l'effet de l'alcool, du sien ou des deux à la fois. Je m'applique à ma tâche, en faisant la vaisselle et le nettoyage de l'espace cuisine. Amada se lève pour aller aux toilettes et a fond retour viens se placer derrière moi:

- J'adore la courbure de tes fesses avec tes talons, ça donne trop envie de replonger dedans

Il accompagne ses dires en collant son bassin contre mon postérieur et me malaxant délicatement les seins de ses mains. Je ne peux m'empêcher de reculer mon postérieur pour me coller à lui, j'apprécie grandement ce moment de tendresse. Il me susurre à l'oreille:

- Ce connard d'Omar est parti prétextant un mal de ventre. J'ai profité de ta présence pour lui passer un message à ce vieux hypocrite. Sa plus jeune fille me tournait autours depuis longtemps, j'ai fini par l'attraper il y a 2 ans. Elle était vierge et souhaitait le rester, alors je me suis occupé de son cul. Depuis, elle s'est fiancée mais elle est quand même revenue prendre son tarot y quelques mois. Toi même tu sais, quand on y a goûté..... Elle m'a expliqué ce que son père pense des noirs, c'est un putain de raciste en fait. Donc j'ai profité de ta venue pour lui passer un message. Et par la même, je t'avoue que ça m'a excité de te prendre devant ce vieux con. Pas toi?

- Bof, j'ai pas du tout aimé que tu m'incites à le sucer. Il est dégoûtant en plus!" lui réplique ai-je contente de vider mon sac.

- Moi j'ai aimé, je l'ai corrompu donc maintenant il a juste à fermer sa gueule de con et à me détester pour les bonnes raisons. De plus, c'était l'occasion pour t'humilier et te faire prendre conscience que tu es une pute à negro dorénavant. D'ailleurs, j'ai une surprise pour toi qui ne devrait pas tarder à arriver....

Je bouillonne intérieurement en entendant cette dernière phrase, que manigance t-il? Je redoute de voir arriver une troupe de négros et de subir une tournante. Il n'allait quand même pas m'infliger ça?

- Quand tu auras fini la cuisine, va débarrasser la table basse et le balais est dans le cagibi." Dit il en se décollant de moi, puis se dirige vers le canapé terminer son match.

Je vaques à mes tâches ménagères, débarrassant et nettoyant la table basse. Je commence à passer le balai quand la sonnette de l'interphone sonne: un frisson glacial me traverse , j'allais enfin savoir à quelle sauce j'allais être mangée. Je continue mon ouvrage pour garder bonne figure pendant qu'Amada part à l'entrée. Je l'entends saluer quelqu'un dans une langue que je ne connais pas et me sens rassurée quand je comprends qu'il n'accueille qu'une seule personne. Je fait mine de ne pas m'intéresser à cette arrivée, leur tournant le dos et m'appliquant à la tâche.

- Putainnnnn, elle a l'air trop bonne s'te pute, t'avais pas menti" entendis je d'une voix que je ne connaissais pas, suivi d'un sifflement que je compris mettre adressé.

Je me retourne et me retrouve en face d'un black de taille moyenne, le corps carré et le visage juvénile. Il devait avoir une petite vingtaine et ressemblait au profil type de la petite racaille de quartier. Habillé en jogging Lacoste, les baskets blanches, la besace en bandoulière et la casquette vissée sur la tête. Malgré cette tenue, il avait plutôt un beau visage avec de belle dents blanche. Il avait le regards moqueur, certainement amusé de me voir faire le ménage à poil, en escarpins et une laisse au cou:

- On va bien s'amuser la vieille, Amada m'a dit que t'aimer bien te faire démonter par des grosses queue de renoi, c'est ça?" Dis le nouveau venu en s'approchant de moi

C'était étonnant de voir le contraste entre les deux: d'un côté le grand Amada qui dégage un puissance calme, très cérébrale et une élégance naturelle. De l'autre, Doumbia qui est plus petit, speed, limite agressif dans son attitude avec un language typé racaille que j'ai du mal à retranscrire dans mes écrits.

- Oui" répondis je au bout de quelques secondes.

- Hafida, je te présente Doumbia un ami de la salle. Doumbia, je te présente ma chienne d'Hafida.

- Bonsoir Doumbia

- Salut la chiennasse mariée" répondit il en me tenant la main pour me faire tourner sur place. De l'autre main, il entreprends de me soupeser les seins et le cul comme si j'étais une esclave qu'un acheteur vérifié avant de l'acheter. " Vas-y penche toi, t'as un putain cul de régresse. Et puis j'adore ta gueule de salope. Tu as pécho un bon morceau frérot" ajoute t'il à Amada

Après mon "examen ", ils s'installent sur le canapé et Amada m'ordonne de chercher un verre propre pour son invité. Et comme vous l'avez bien compris, je m'y attelle.

Je ramène le verre et il me demande:

" Sers nous, n'oublie pas ta gamelle"

Je verse leurs verres ainsi que mon bol, dans laquelle je verse peu sentant déjà l'alcool me tourner la tête.

- Allez, santé" dit Doumbia

Et là comme conditionné, je me remets a quatre pattes pour boire ce qui fait rires les garçons qui enchaînent dans leurs langues. Je me sens honteuse, frustrée par la tournure des évènements. Amanda m'invite à ôter mes chaussures et à m'asseoir sur le canapé entre tout les deux. Ils commencent à m'explorer le corps de leurs 4 paluches, m'embrassant à tour de rôle: je me sens directe repartir.


Doumbia baisse son jogging ainsi que son boxer, pour laisser apparaître un beau sexe à demi en érection. Il semble certes légèrement moins énorme que celui d'Amada mais il reste très impressionnant. Ce qui me marque, c'est la taille du gland disproportionné, ressemblant à un énorme champignon. Il me tire sur la laisse pour m'inciter à l'avaler. Ce que je m'empresse de faire tant je me sens chaude entre ses deux mâle, me remettant à quatre pattes le fessier levé vers Amada. Je prends beaucoup de plaisir à sentir ce membre commencer à durcir dans me bouche pendant qu'Amada me descends mon tanga jusqu'au genoux et me caresse la chatte. Doumbia m'invite à lui cracher sur son sexe pour encore plus l'humidifier et prends le contrôle de ma tête en imprimant sa cadence.

- On va t'apprendre à être une bonne suceuse de renoi."

Amada m'enchaîne en enfonçant progressivement sa bite dans mon sexe, il agit avec douceur limite tendresse avant certainement de commencer son habituel travail de punition.

- Oh oui enfile moi" ne pus je m'empêcher de geindre

En effet, mon corps n'attendais que ça, ma foune n'avait pas encore goûté au démonte pneu de mon amant. C'est le pied, je suis en pur plaisir de sentir ses coups de queue mais j'ai de plus en plus de mal à sucer Doumbia en même temps. Ce dernier change de position pour me présenter ses fesses.

- Nettoie moi le cul ma grosse marocaine.

Je trouve la demande dégradante mais je ne suis plus en état de faire des manières et suis déjà passée en mode pilotage automatique. Je commence à lui faire un anulingus, à coup de langue dans sa raie à la recherche de son oeillet. Je m'applique dans ma tâche même si les coups de canon que m'envoie Amada me font cogner la tête contre les fesses de son copain. A partir de ce moment là, je perds pieds et je ne suis plus qu'extase. Je n'ai plus trop notion des choses, ni du temps : je me laisse juste guider comme une poupée gonflable par mes deux amants. Je me retrouve ensuite avec la bite d'Amada dans la bouche et celle de Doumbia dans le cul. Mon amant ayant bien préparé mon cul, j'arrive à absorber le sexe viril de mon partenaire. Par contre, j'ai du mal a gérer la façon avec laquelle il me pilonne, c'est comme si il voulait me punir tant il mets de la puissance dans chaque poussée. Ses coups de rein ressemblent à des coups de mitraillette au contraire de ceux d'Amada plus dans le registre de coup de hache. Il me gifle les fesses, me tire sur les seins, me traite de tous les noms, je sens qu'il prends beaucoup de plaisir à me "maltraiter", il veut me détruire. Il me balance des phrases du type: " je vais te détruire l'anus sale truie", "ton mari est une pédale d'arabe" " sale pute a negro" "dis moi que tu aimes ma grosse bite" " ramène tes frangines la prochaine fois que les encule aussi" et moi comme une chienne je dis oui à tout entre 2 râles.

On enchaine les positions pendant de longues minutes, passant d'une bite à l'autre, d'un trou à l'autre, d'une gifle à l'autre, d'un lieu de l'appartement à l'autre. La seul règle imposée est de changer de préservatif quand il sort de cul, pour le reste je suis leurs jouet. Je ne suis plus que grognements, j'entre dans un état second comme dans un rêve ou la sensation de réalité s'estompe, j'ai parfois l'impression de ne plus être dans mon corps, d'être ailleurs. Je me retrouve un moment donné la tête à l'envers une bite dans la gorge et suspendue par les jambes avec une langue qui me titille le clito.
Je serai incapable de vous dire qui fait quoi tant je ne suis plus là. Je ne suis plus qu'on objet sexuel qu'on manipule. Les deux gars éjaculent une fois chacun dans ma bouche. Mais j'ai perdu la notion de temporalité. Je sais juste qu'à un moment donné, Amada me demande de le sucer pour "refaire démarrer la bête" comme il dit. Le souvenir le plus marquant reste pour moi quand je me fais prendre par Amada dans ces bras et que Doumbia se place derrière moi. Je suis prise en double pénétration, quand ce dernier me rentre son manche. Le sensation d'être pleine prend tout son sens, Amada me maintient tant par ses bras musclés que par son pieu ancré profondément en moi, il reste juste planté sans bouger. Par contre, Doumbia se déchaîne dans mon cul avec son style habituel. Il me rafale tous simplement. Je suffoque, malgré mes trous complètement élargis, cette manœuvre est plus douloureuse que jouissif. La sensation est que mon anus est rétréci par la présence de celle d'Amada dans mon vagin. Je subi cette position plus que je n'en retire de plaisir tant c'est inconfortable, mes geignements ne découragent pas la bestialité de Doumbia bien au contraire. J'ai vraiment l'impression de me faire détruire, exploser, punir moi la mère de famille qui aurait presque l'âge d'être leur mère. Au bout d'un moment, ils arrêtent et se retirent de moi: j'ai l'impression d'avoir mon sexe et mon anus complètement dilatés. Ils m'imposent à me mettre sur mes talons et me présentent leurs sexes devant le visages. Ils se masturbent et m'arrosent de jets puissants qui me tapissent le corps Je m'écroule à bout de force et me mets en position foetale pendant qu'ils s'installent pour fumer sur le canapé. Moi je reste amorphe baignant dans leurs jus tant j'ai pris chère par ces deux gamins. Je les entends rigoler, se congratuler, commenter sur moi comme si je n'étais pas là mais sentant bien que les messages me sont adressés:

- "Putain, on l'a explosé" "elle a pris sévère cette pute" "elle va boiter pendant une semaine cette pétasse d'arabe" "tellement on lui a élargi la chatte la petite bite de son mari va nager" "j'avais jamais baisé une chienne comme ça" "on l'a marqué au fer rouge celle-là".....

Au bout d'un moment, je me motive à aller à la salle de bain pour me nettoyer, ils ne me calculent même pas. Je me sens salie, profondément souillée, sentiment que j'avais appris il y peu mais qui me rends folle. Cette honte résonne au plus profond de mon moi sexuelle. Je raffole du sentiment qu'ils mettent chienniser: j'ai appréciée, et ne peux comptabiliser le nombre d'orgasmes que j'ai subi. Mais j'ai le corps meurtrie par les nombreux abus vécus…

Après mettre rabibochée, habillée, je me présente debout devant eux et leur déclare:

- Merci pour cette bonne baise, vous m'avez comblé.

- De rien salope, ravi d'avoir fait de toi notre chienne grâce à nos grosses de kebla" dit un Doumbia orgueilleux

- Dorénavant, tu verras plus les noirs pareils, que tu veuilles ou non: tu es une beurette à khel. Tu as attrapé le virus, y'a que nous qui pourrons satisfaire la salope que tu es. Pas vrai?" ajoute son comparse

- Oui, en tout cas ta salope à toi, à vous 2. C'est mon secret, je repars avec." Et je lui ajoute sincèrement." Merci de m'avoir fait découvrir la chienne que je suis, au revoir"

- N'hésite pas à revenir me voir quand t'es de passage" me lance Amada

Il est presque 1 heure du matin, je quitte les lieux, commande un Uber et patiente dans le hall. C'est vrai que j'ai morflé ce soir mais c'était trop bon. Ça y est c'est fini, je mets fin à cette parenthèse et laisse derrière moi cette deuxième Hafida. Je suis prête à reprendre le cours de ma vie, en espérant ne pas avoir attrapée le virus.....

Votre marochienne

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Humm putain j'ai explosé mn sperme dans la bouche de ma femme

Cet Amada est un sale type, même s'il baise bien

Histoire Erotique
Top ton histoire ...!
Nos femmes arabes et leurs secrets ...!

Histoire Erotique
Merveilleuse Hafida,

Vos écrits sont très beaux, incroyablement sensuels et tellement bandants !

Ils rencontrent beaucoup de succés, j’en suis certain ; votre vécu interpelle beaucoup, j’en suis certain ! L’amour, les sentiments, le couple et la baise torride avec un Magnifique Bull ! Tout y est !

Je serai juste curieux de savoir comment les lectrices réagissent sur cette histoire ;

Continuez, s’il vous plait ;

N’oubliez pas de regarder éventuellement les spams sur votre messagerie ;

Yass

Détrompe toi daronne marochienne, le dénouement de ton escapade de salope à khel m'a mis dans un état d'excitation intense que si je pouvais je me serais branlé énergiquement pour me vider en imaginant que c'est ta chatte que je défonce à gros coups de bite.
MErci pour ce beau moment de luxure

Merco pour vos messages 👍🏽

J'apprécie tellement de découvrir de nouveaux commentaires et encore plus de vous sentir excités ou reconnaissants de ma mise a nue devant vous.

J'ai cependant l'impression que ce deuxieme volet de mon témoignage ne sucite pas autant d'engouement que mon premier recit. Tant au nombre de vu que des commentaires.

En espérant ne pas vous avoir lassé...

Votre discrète marochienne 💋

Histoire Erotique
Issu d'une famille arabe et ayant été le témoin de l'adultère de ma mère, vos récits ont fait ressurgir des images et des sensations de ma jeunesse, bien que moins colorées que les détails de vos récits. Ces expériences inattendues et tabous vous marquent et vous transforment, et j'en suis à me demander si votre mari ne finira pas adepte du candaulisme comme je le suis devenu. J'attends avec impatience la suite de vos expériences.
Zobo Le Clown

Histoire Erotique
hafida ton histoire est magnifique , a quand la suite stp ca commence a tarder ? merci a toi

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J'espere que vous continuerez a publier vos temoignages, vous avez embraser mon desir, je pense que votre recit en puissance erotique , en temoignant de votre relation votre maris et ce qu'il vous inspire comparé a comment votre adama vous fait vibrer

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On ne vois remercieras jamais assez pour le temoignage que vous nous delivrer, vous en tant que femme qui pourrait etrema mere , a travers votre recit ouvrez ma comprehension sur le monde bm, j'aimerais grandement en lire plus sur votre sexualité. Vous m'eduquez grandement sur le sujet et ne faite qu'augmenter la tolerance et la bienvaillance que je peux ressentir vis a vis des gens qui m'entourent. En tant que homme blanc de 33 ans je suis heureux d'etre le temoin de vos escapades sexuelle , merci beaucoup daronne sousmarin,

Histoire Erotique
Au commentateur anonyme qui traite l'auteure de grosse m... au prétexte qu'elle ferait honte aux "nôtres": Tu es un hypocrite mon petit et tu le sais très bien! Sache que les femmes arabes, marocaines ou algériennes ou autres, sont comme toutes les femmes, elles aiment le plaisir, s'excitent et souvent passent à la casserole. Si tu cherches bien, tu seras probablement surpris que des femmes de ton entourage, peut être ta mère, ta soeur ou ta femme, se sont faites au moins peloter en cachette, sinon carrément baiser bien profond, et elles en ont certainement pris beaucoup du plaisir, la honte et le tabou étant des aphrodisiaques puissants. Au moins admets que les "nôtres" sont les championnes du monde de la jouissance anale, elles qui se font prendre par le cul pour rester vierges jusqu'au mariage.
Plus les "nôtres" seront oppressées sexuellement par convenance, plus elles seront chaudes et disponibles pour de la grosse bite illicite.

Histoire Erotique
Grosse merde
Tu es la honte des nôtres

Histoire Erotique
Merci pour ce récit, remarquablement bien écrit. Finalement la partie érotique de l histoire n apparaît être qu un prétexte à une introspection, à une réflexion sur la condition de la femme musulmane. Sur l effacement de l individualité face aux attentes d une société normative et castratrice. Mais qu êtes vous devenue ? Encore merci, encore bravo !

Histoire Erotique
Bonjour Hafida,

Merci beaucoup pour votre retour ; ma question centrale demeure malheureusement sans reponse : laquelle des deux a fini (pour le moment) par l’emporter : la prude ou l’ardente amante ?

Yass

Merci à tous pour vos commentaires, les positifs bien évidemment comme les moins.

Un merci @pleonasme pour ses encouragements constants, @yass pour la force, @ anonymes pour leurs commentaires vicieux ou stimulants. Tous me font plaisir 😁

Cet espace de commentaires est un lieu pour exposer ses idées et/ou ressentis mais aussi d'échange. C'est pour cela que je m'accorde un droit de réponse ainsi qu'une demande de clarification ✋🏽

A la lectrice ; oui j'ai pris des risques, fait des choix par contre j'ai mise en place les contrôles nécessaires par la suite. Mon féminisme m'appartient, je vous trouve simpliste. Être une femme forte faisant bouger les choses à son niveau, battante du quotidien et imposant ses compétences dans cet société masculine, n'est pas incomptabile a aimer être sexuellement soumise, non?

Ma demande de clarification est pour vous qui qualifiez mon témoignage de "merde". Vous parlez de " répétitif dans la facilité", Je ne sais comment l'interpréter, cela concerne de mon style d'écriture? L'aventure que j'ai vécu est elle sans intérêt? D'une banalité sans relief?... Ma dernière requête concerne cette phrase qui reste lunaire dans ma compréhension de votre point de vue : " Décidemment la chienne n'est pas celle que l'on pense": pourriez m'éclairer pour le sens de cette phrase?

Au plaisir de vous lire 🫸🏽🫷🏽

Votre discrète marochienne

Histoire Erotique
Honnêtement, ça aurait pu être un bon érotique, vu l'idée de base, se faire un noir bien membré et directif, mais la vous êtes tombé dans la vulgarité gratuite, résultat : c'est de la MERDE !!!
Trop c'est trop et pour finir tout est répétitif dans la facilité.
Pour info, une femme, même une "salope marocaine " , ce n'est pas qu'un cul à enfiler !
Décidemment la chienne n'est pas celle que l'on pense !!!

Histoire Erotique
Super il y a eu une suite ?

Histoire Erotique
Quel plaisir de vous lire j’en suis tout excité

Histoire Erotique
Ma Chère Hafida,

Merci lnfiniment pour cette magnifique histoire, si merveilleusement racontée !

Tout y est : le style, l’écriture, l’erotisme torride, l’analyse psychologique d’Amada (si fier de sa jeunesse, de son exuberante virilité et du sentiment de puissance lié à votre adultère) ; votre revelation face au black power ferait fondre tout le monde !!!

Et vous decrivez si bien vos sentiments (l’epouse prude depassée par le gout de la baise et de la queue de son Black Bull) !!!

Rarement lu quelque chose d’aussi excitant et torride !!!

Trop hate de savoir ce qu’a donné la suite ; laquelle des Hafida a-t-elle fini par l’emporter : l’amante ou la prude epouse ? Cela vous a-t-il donné envie d’aller plus loin ?

Merci pour tout

Yass

Histoire Erotique
Magnifique, j'ai adorer ton histoire j'ai dû m'y reprendre à quatre fois tu m'as tellement excité que j'ai éjaculé 3 fois en m'imaginant te détruire ton trou du cul kaaba

Histoire Libertine
Le virus du black c’est 1 légende urbaine. Par contre les IST ça c’est la réalité.
1 féministe 1 vraie n’aurait jamais accepté de faire traiter comme de la merde sans oublier la prise de risque.
Alors et le retour au bled ça a donné quoi ???
Vous l’avez dit à votre cocu ou vous avez fait profiter votre cocu d’avoir eu le cul élargi ???

Toujours aussi bien écrit, continuez :)

Histoire Erotique
Félicitations ma belle Marochienne !!! Vous êtes la meilleure de ce site !!!

Histoire Erotique
Cc petit chienne marocaine. Encore une foi ton histoire est plaisante car tu est vrement une chienne soumise moi si je te connaitrer je t'amènerai dans restaurant chic arrivé sur le parking je te donnerai un œuf vibrant à glisser dans ton string biensur j'aurai la télécommande milieu repas je te demanderai de me donner ton String de relevé ta jupe au niveau de ta chatte et te donnerai l'ordre d'écarter tes cuisse pour que les homme dans la salle se rince l'œil je te laisse imaginer la suite pour approfondir tes fantasme.....



Texte coquin : De daronne à beurette à khel 2
Histoire sexe : Une rose rouge
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