De daronne infidèle à kehba 2

Récit érotique écrit par darone sousmarin [→ Accès à sa fiche auteur]
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De daronne infidèle à kehba 2
Amada vient de me balancer son défi : prouver que je suis sa pute. Tout s’est passé trop vite, comme un tourbillon qui m’aspire, et je dis oui, le cœur qui cogne à m’en péter la poitrine. Ce "oui" m’arrache la gorge, et dans mon fort intérieur, c’est une délivrance – pas une femme qui réfléchit, mais une femelle qui se rue hors de sa cage. Amada m’a vue, ce mec aux yeux qui transpercent, il a senti la chienne en moi, celle que j’avais muselée sous des années de retenue, et il l’a libérée. Dire oui à être sa pute, c’est pas un calcul – c’est une pulsion, un grondement dans mes tripes, un besoin qui me fait trembler comme une bête en rut. Il a brisé la Hafida qu’on m’a appris à être, et maintenant, je suis là, cœur battant à me péter les côtes, cuisses prêtes à s’ouvrir, jouissant de cette idée tordue de me vendre. Dans mon fort intérieur, je suis plus qu’humaine – je suis une femelle qui kiffe cette sauvagerie, qui hurle pour exister, et putain, c’est bon.
En une heure, j’ai sucé sa grosse queue sous la table, et je me redresse, essuie ma bouche du revers de la main, le goût de sa queue encore sur ma langue. Les potes d’Amada, là-bas, rigolent toujours, leurs regards en coin me chauffent la peau. Il me fixe, un sourire tordu aux lèvres, et lâche :
« On va aller retrouver mes potes et je vais te vendre au plus offrant. Il pourra passer 15 minutes avec toi aux chiottes. Tout est permis sauf de t’enculer, je garde ton cul pour moi. Cap ? »
Mon souffle se coupe, mais avant que je puisse répondre, il se lève, m’attrape le bras et me traîne vers le groupe. Là, ça me frappe : je vais me prostituer, vendre ma chatte et ma gueule au plus offrant. L’excitation me bouffe depuis qu’il s’est assis avec moi, elle a dégommé la Hafida sage, la mère de famille, pour laisser sortir la salope en chaleur. Ça me file des sueurs froides, mais au fond, je sais que c’est notre jeu tordu. Lui, le jeune renoi dominant avec sa matraque de black, et moi, la femme mariée, presque vierge de vraies bites avant lui, mais affamée de me faire défoncer. Il sait que je suis à lui, prête à me faire niquer par n’importe qui s’il me l’ordonne. Me vendre à un de ses potes, c’est juste une nouvelle façon de gaver la chienne que je suis.
Pas moyen de reculer. Je le suis, les jambes molles, vers le groupe que j’ai maté depuis que je suis arrivée, encore plus quand Amada les a salués en entrant.
– Les frères, je vous ramène du lourd, annonce-t-il avec un sourire de vicelard. Voici Hafida, une daronne mariée, une bourge de province que j’ai dressée l’année dernière.
Sa voix résonne dans le bar, et je sens mes épaules se raidir – ‘daronne mariée’, ces mots me frappent comme une gifle. Je revois mon fils, 15 ans, me disant ‘T’es la meilleure, maman’ la semaine dernière, et Brahim, ses yeux doux au téléphone hier : ‘Rentre bien.’ Mes ongles s’enfoncent dans mes paumes, je pourrais me lever, fuir ce regard de vicelard, mais Amada pose sa main sur mon bras, lourde, chaude, et mes jambes mollissent, clouées au sol face à leurs yeux qui me dévorent déjà.
– Avant moi, elle n’avait que son pédé de mari, un connard qui sait pas la baiser. Elle m’a chauffé pour goûter une vraie teub de renoi, lâche-t-il, fier comme un coq.
Ses mots me cognent en plein sternum – Brahim, un ‘pédé’ ? Lui qui rentre chaque soir avec un sourire fatigué, qui aide ma fille avec ses devoirs ? Chez moi, on m’a appris à défendre mon mari, à tenir ma langue face aux insultes, à être la femme forte qui protège sa famille. Mais mon ventre se noue, pas de rage – de désir. Je revois mes nuits seule dans le bain, ma main glissant entre mes cuisses, rêvant d’une queue comme la sienne. Mes lèvres s’entrouvrent, et je reste là, offerte à leurs rires.
– Ça fait un an qu’elle a pas pris cher, elle est en manque grave. Moi, je suis cool, et comme c’est une chienne, je vous la file. Mais faut raquer. Elle donne sa bouche et sa chatte au plus offrant, un quart d’heure dans les chiottes, capote obligatoire même pour la pipe. Ça vous dit ? Sa voix claque, et je recule d’un pas, mon talon raclant le sol crasseux.
Il y a deux heures, j’étais au cocktail, un verre de jus à la main, entourée de costumes bien taillés qui me disaient ‘Madame, votre expertise est précieuse.’ Maintenant, je suis une pute à vendre ? Mon souffle se bloque, je pourrais tourner les talons, reprendre mon Uber, mais leurs regards me fouillent, et une chaleur monte dans ma poitrine, mes tétons durcissent sous ma robe. Je redresse la tête, les fixe un à un, et reste plantée là. Ils sont quatre, pas de Doumbia dans le lot, et leurs yeux me piquent déjà la peau. Je revois la première fois, chez Amada, son collier autour de mon cou, ma fierté qui s’effritait sous ses ordres – ‘Au pied, ma chienne.’ Ce soir-là, j’avais cédé pour lui seul ; maintenant, c’est un groupe, et mon cœur bat à m’en déchirer les côtes. Mes mains tremblent, mais je les laisse tomber le long de mon corps, mes cuisses s’entrouvrent à peine, et je sens leurs regards me salir – putain, c’est bon.
Un silence plane, puis des rires gras éclatent, comme des chiens qui sentent la viande. Amada me fait avancer devant eux, et leurs regards me déshabillent déjà. Leurs regards noirs me fouillent, ces mecs à la peau foncée, et je sens mes joues brûler – chez moi, on m’a appris à détourner les yeux, à ricaner en coin sur leurs ‘manières’, à dire que les filles qui vont avec eux salissent leur nom. Ma gorge se serre, je pense à ma mère, ses leçons sur l’honneur, et je veux reculer, cacher mon visage. Mais leurs épaules larges, leurs mains épaisses, leur présence dominante me clouent sur place. Ils exsudent une force brute, une virilité sauvage que je n’ai jamais ressentie chez les hommes de mon peuple. C’est cette puissance qui m’attire, qui me fait palpiter le cœur. Dans mon fort intérieur, un amour me submerge – une femelle qui crève pour leurs grosses queues. Mes cuisses se serrent, une chaleur monte, et je me perds dans cette obsession qui me tord les reins, qui me fait jouir de les savoir si gros, si durs.
Un silence, puis des rires gras éclatent, comme des hyènes autour d’une carcasse. Leurs voix me giflent, et je baisse les yeux, mes doigts crispés sur le bord de ma robe – au boulot, je fais taire des hommes en costard d’un regard, je dirige, je décide, et là, je suis quoi ? Une pute qu’on siffle ? Je recule d’un demi-pas, mes talons glissent sur le sol poisseux, prête à tourner les talons. Mais Amada me secoue, sa main claque ma fesse, un bruit sec qui me fait sursauter, et sa voix tonne :
– Bouge-toi, Hafida. Dis-leur qui t’es, et fais pas ta sainte !
La honte me brûle, mais mes lèvres s’ouvrent toutes seules, la voix tremblante :
– Je suis la chienne d’Amada… une femme mariée qui se délecte d’être sa chienne.
Ils se marrent encore plus fort, et leurs mains commencent à me tripoter – mes seins, mes fesses, comme si j’étais une pièce de viande.
– T’as pas baisé depuis un an, c’est vrai ? demande le grand baraqué.
– T’as déjà fait la pute avant ? grogne le gros, sa paluche grasse sur ma cuisse.
– T’es une bourgeoise qui rêve de queues de cité, hein ? ricane le métis, son regard noir planté dans le mien. Je réponds, la gorge serrée :
– Oui… oui… oui… non, juste trois mecs.
Le mince, silencieux jusque-là, me fixe toujours, une lueur dans les yeux qui me fait frissonner. Amada coupe le délire :
– Ça suffit, vous avez vu la marchandise. On parle thunes. Qui est chaud ? Combien ?
– Moi, 10 balles, balance le grand avec un clin d’œil.
– 15, ajoute le mince, sa voix posée mais tranchante.
– 20, grogne le gros, me matant comme un chien affamé.
Le métis, David, attend, puis lâche, glacial :
– 100 euros.
Silence. Personne suit. Je croise ses yeux – froids, durs, presque vides. Mon ventre se tord, je revois Brahim, son regard déçu si il savait ce que je suis en train de faire. Mes mains se crispent, un frisson me traverse : 100 euros, c’est tout ce que je vaux ? Je pourrais crier, partir, mais Amada ricane, sa main toujours sur mon bras, et je reste figée.
– Banco, David, t’as gagné, rigole-t-il. Tu la prends dans les chiottes, mais cool, je la veux après.
David hoche la tête, puis me toise :
– T’as des capotes ?
– Non, répond Amada, mais va en choper chez l’épicier d’à côté.
David me toise :
– Va m’acheter une boîte, salope. Grandes tailles. Remue ton cul, j’attends pas.
Son ordre me claque au visage, et je fige une seconde – moi, Hafida, qui fais plier des équipes entières au boulot, qui tiens ma maison d’une main ferme, je vais vraiment courir pour ce gamin ? Mes yeux balayent le bar, cherchent une sortie, un sursaut de dignité. Mais Amada me fixe, un rictus au coin des lèvres, et dans mon fort intérieur, une vague me possède – la chienne en moi se cabre, prête à plonger. Mes pas vers l’épicerie, c’est pas de la faiblesse – c’est une transe, une chaleur qui me monte aux joues, un plaisir sale qui me fait mouiller à l’idée de ces capotes XXL. Je ne suis plus celle qu’on a élevée, je suis une chienne qui remue pour lui, et dans mon fort intérieur, je me noie dans cette obéissance, possédée, vivante, sans retour. Sa main claque ma fesse, fort. Je lui jette un regard noir, mais son air implacable me fait baisser les yeux.
Je sors, traverse la rue, trouve l’épicerie. Le vieux rebeu derrière le comptoir me mate en coin pendant que je prends les XXL. Je reviens, sac en main :
– C’est bon, je les ai.
David me fait signe, froid :
– Nickel. On passe au sérieux, ma cochonne. Viens.
Il m’entraîne vers les chiottes, son bassin collé à mon cul comme pour montrer à tout le bar que je suis à lui. Mon cerveau s’embrouille – peur, honte, envie qui me tord le bide. Je revois Brahim, ses mains douces sur moi hier soir au téléphone, ‘T’es ma reine,’ et une boule monte dans ma gorge – qu’est-ce que je fous là ? Mon cœur s’affole, mes talons ralentissent, mais David resserre sa prise, son souffle chaud dans mon cou, et mes jambes cèdent, entraînées vers cette porte.
– Pas de baise direct. Touche-toi pour moi, salope. Branle-toi et supplie-moi en arabe, j’veux entendre ta langue de chienne.
Sa voix claque, sèche, avec une lueur de taré dans les yeux – il kiffe me voir me rabaisser dans ma langue. Je tremble, mais je glisse une main sous ma robe, écarte ma culotte, et caresse ma chatte, déjà trempée. Y a quelques heures, j’étais une femme en vitrine, talons claquant, sourire ajusté, à discuter avec des cols blancs qui me voyaient comme une égale. Et là, je me doigte dans une chiotte qui pue, je gueule comme une folle, et dans mon fort intérieur, je me dévêts – Amada a révélé la chienne en moi, il m’a dépouillée de tout ce qu’on m’a appris à porter. Mon corps se tord, ma voix se casse, et cet orgasme, c’est pas juste un spasme – c’est une mue, une femelle qui sort de sa peau morte. La Hafida d’avant, celle des "s’il vous plaît" et des politesses, elle brûle sous mes doigts, sous les ordres de David, et moi, je kiffe cette mue – du propre au sale, du haut au bas, je me découvre, je jouis, je hurle, et dans cette crasse, je suis moi, entière, délivrée. Mes doigts hésitent, puis je murmure en arabe :
– Ana kalbati… chienne dkhoul… arjoûk, zidni zbourek… (Je suis ta chienne… une salope soumise… s’il te plaît, donne-moi ta queue…)
Il mate, un rictus au coin des lèvres, sa main qui frotte sa teub à travers son froc.
– Plus fort, grogne-t-il. Supplie-moi comme une vraie pute en arabe.
Je crie presque, la honte me brûle la gueule :
– Arjoûk, sayyidi ! Zidni zbourek ! Ana kalbati dyalek ! (S’il te plaît, maître ! Donne-moi ta queue ! Je suis ta chienne !)
Mes doigts s’enfoncent dans ma chatte, je me branle comme une folle sous son regard.
L’humiliation de gueuler ça en arabe, ma langue sacrée, me fait vriller. David ricane :
– T’es une vraie salope, une bourge qui se doigte dans des chiottes pour un khel. Continue, fais-toi jouir !
Je gémis, mes doigts plongés dans ma mouille, mon corps qui tremble. L’orgasme me fracasse, et je hurle :
– Ana jouzti ! Ana kalbati dyalek ! (Je jouis ! Je suis ta chienne !)
Je m’écroule contre le mur, à bout de souffle, les jambes en coton.
David se lève, me chope par les cheveux et me force à m’agenouiller.
– Suce-moi, salope. Fais-moi bander encore plus.
Il baisse son froc, sa queue jaillit, magnifique – longue, épaisse, la peau caramel tendue sur des veines qui pulsent, un gland large et rose qui brille sous la lumière crade. Je la kiffe, putain, je l’adore. Je la prends dans ma bouche, la capote encore sur le lavabo, juste sa bite nue, chaude, vivante. Je lèche ses couilles épaisses, pleines, poilues, une odeur de mec qui me rend dingue. Ma langue glisse sur chaque pli, je les gobe doucement, les aspire, les fais rouler dans ma bouche comme des trésors. Puis je remonte, embrasse sa teub partout, des baisers humides sur toute la longueur, jusqu’à ce gland énorme que je suce avec amour, mes lèvres bien serrées autour. Il tire mes cheveux, me baise la gueule, mais pas trop fort, juste pour me faire baver. Je m’étouffe un peu, ma langue qui claque sur sa queue, mes yeux dans les siens, folle de cette bite parfaite. Il grogne, mais tient bon, pas de jus – il veut autre chose. Il me repousse, se redresse, sa teub raide comme jamais.
– À quatre pattes, salope. Montre-moi ton cul.
Je me mets direct à quatre pattes sur le carrelage froid, cul en l’air, robe relevée jusqu’à la taille, ma chatte qui dégouline et palpite d’envie. J’en peux plus, je veux sa queue, je la veux maintenant. Je le mate, les yeux suppliants, et je lâche, désespérée :
– Baise-moi, David, s’il te plaît ! J’crève d’envie de ta grosse teub ! Défonce-moi, j’en peux plus, prends-moi comme une chienne !
Il ricane, enfile la capote, sa bite qui brille sous le latex.
– Supplie encore, salope. J’veux t’entendre crever pour ma queue. Je gémis, ma chatte qui me brûle tant j’ai besoin de lui :
– Arjoûk, sayyidi ! Ntnekni ! J’veux ta teub dans ma chatte, baise-moi fort, fais-moi gueuler, j’suis ta pute, prends-moi !
Il claque mon cul, deux fois, fort, mes fesses qui tremblent, rouges et chaudes.
– T’es une vraie chienne en chaleur, grogne-t-il. J’vais te démonter !
Il chope mes hanches, ses doigts qui s’enfoncent dans ma chair, et enfonce sa queue d’un coup sec, jusqu’à la garde. Je hurle, un cri moitié douleur, moitié kif, ma chatte qui s’ouvre en grand pour avaler cette teub sublime. Elle me remplit, putain, je la sens partout – longue, épaisse, qui cogne au fond de moi, son gland qui tape là où ça fait mal et bon en même temps. Il me pilonne, ses couilles lourdes qui claquent contre mes lèvres trempées, un bruit mouillé qui remplit les chiottes. Mes gros seins pendent sous moi, ballottent à chaque coup, mes tétons durs qui frottent contre ma robe relevée, mes vergetures qui dansent sur mes hanches larges sous ses mains brutales.
– T’aimes ça, hein, salope ? gueule-t-il. T’aimes ma grosse bite de khel dans ta chatte d’arabe!
Il tire mes cheveux, me force à relever la tête, ma nuque qui craque sous sa poigne. Je gémis, bave, ma chatte qui suinte autour de sa queue, chaque coup qui m’arrache un cri.
– Oui, j’kiffe ta teub ! Zidni zbourek, sayyidi ! (Donne-moi ta queue, maître !)
Il claque mon cul encore, une rafale de gifles qui font vibrer mes fesses, ma peau cuivrée qui rougit sous les impacts. Sa queue glisse dans ma mouille, un va-et-vient brutal, profond, qui me fait perdre la tête. Je sens son gland taper mon point sensible, mes parois qui se serrent autour de lui, ma chatte qui l’aspire comme une affamée. Il grogne, ses mains qui pétrissent mes hanches, ses doigts qui griffent mes vergetures, son bassin qui cogne mes fesses bombées, chaque choc qui fait trembler ma chair. Ma mouille coule sur mes cuisses épaisses, un filet chaud qui dégouline jusqu’au sol, ma chatte ouverte, béante, qui palpite autour de sa teub.
– Putain, ton gros cul de daronne, j’vais te déchirer jusqu’à ce que tu gueules ton bled !
Il accélère, ses coups qui deviennent sauvages, bestiaux, ma chatte qui hurle sous ses assauts, un mélange de douleur et de kif qui me rend folle. Je crie en arabe, possédée :
– Ana kalbati ! Ntnekni fort ! (Je suis ta chienne ! Baise-moi fort!
Un orgasme me déchire, brutal, mes jambes qui lâchent, ma chatte qui se contracte autour de sa teub magnifique, un flot de mouille qui gicle entre mes cuisses. Il jouit juste après, un cri rauque, sa queue qui pulse dans la capote, remplissant le latex de son sperme brûlant.
Il se retire, me laisse haletante à quatre pattes, ma chatte béante et trempée qui palpite encore, un vide qui me fait gémir. Mes bras tremblent, je fixe le carrelage sale, le souffle court – il y a trois jours, j’étais dans ma cuisine, à préparer le dîner, et là, je suis quoi ? Une pute à 100 balles ? Mes doigts hésitent, je veux me relever, m’effacer de cette chiotte crade, mais son odeur, sa queue encore raide sous mes yeux, me happe. Je me redresse sur les genoux, toute seule, sans qu’il me dise rien, et je la prends dans mes mains, mes lèvres déjà prêtes à l’adorer. Je la caresse, mes doigts qui glissent sur sa longueur chaude, sentent ses veines gonflées, son gland rose qui pulse encore. Je la lèche, ma langue qui parcourt chaque centimètre, du gland sensible jusqu’à la base, où ses poils courts me chatouillent le nez. Je me jette sur sa queue, et dans mon fort intérieur, c’est une dévotion qui me salit – une femelle qui s’abaisse, qui se gave de lui. Amada m’a révélée, il a brisé la Hafida qu’on m’a imposée et libéré la chienne – celle qui lèche, qui suce, qui nettoie cette bite encore chaude comme une affamée. Ma langue glisse sur son gland, ses veines, ses poils qui me piquent, et je kiffe ça – l’odeur de sueur, le goût de sa peau, la crasse de ce moment. C’est pas juste un acte – c’est un culte, une prière tordue en arabe que je lui offre à genoux. Mes lèvres s’étirent, ma gorge s’ouvre, et je suis plus qu’une femme – je suis une salope qui se dévoue, qui jouit de se salir pour lui, pour cette queue qui m’a défoncée. Dans mon fort intérieur, je me perds dans cette dévotion, et putain, je m’y noie avec un plaisir honteux. Je l’embrasse, des baisers mouillés, passionnés, comme une amante folle. Je gobe son gland, le suce doucement, ma langue qui tourne autour, nettoie chaque goutte de sueur, chaque trace de son plaisir. Je lève les yeux vers lui, amoureuse de cette teub, et je murmure :
– J’kiffe ta queue, sayyidi… elle est trop bonne, trop belle…
Il me mate, un sourire satisfait, pendant que je continue, ma bouche qui l’adore, mes lèvres qui l’enveloppent encore un peu, jusqu’à ce qu’elle brille de ma salive, propre et parfaite.
On se rhabille en silence, moi encore tremblante, la chatte en feu, le cul qui brûle des claques. On sort, et le groupe nous attend, morts de rire. David, un sourire triomphant aux lèvres, s'adresse à moi en me toisant de haut en bas :
— Alors, Hafida, t'as kiffé, hein ? T'as vu comment tu t'es jetée sur ma bite comme une affamée ? T'en redemandais, salope !
Les autres éclatent de rire, leurs regards moqueurs me transpercent. Je sens mes joues brûler de honte, mais une chaleur intense monte aussi en moi. David continue, fier comme un paon :
— Elle gueulait en arabe, cette chienne ! Elle suppliait pour ma queue, elle en crevait d’envie ! C’est elle qui aurait dû me payer pour la passe, tellement elle était en manque !
Leurs rires redoublent, et je me sens plus bas que terre. Mais dans mon fort intérieur, une fange m’enveloppe – une honte qui me fait planer. Moi, la femme qui fait plier les autres, qui impose sa voix, je suis là, salie par leurs mots, leurs ricanements, et la chienne en moi s’en délecte.
— T'as entendu ça, Hafida ? T'es qu'une traînée qui supplie pour se faire défoncer ! ajoute un autre, les yeux brillants de mépris.
Je vacille, mais une part de moi savoure cette humiliation. Amada l’a réveillée, cette femelle qui kiffe la merde qu’ils me jettent, qui savoure cette descente dans leur mépris. Mes cuisses encore chaudes, ma gorge râpée, je ne suis plus celle qu’on m’a élevée à être – je suis une dévergondée qui se roule dans leurs insultes, qui jouit de cette crasse comme d’une drogue.
— Regarde-toi, même maintenant, t'en veux encore, hein ? me lance David, son regard perçant me clouant sur place. T'es qu'une chienne en chaleur, prête à tout pour une bite !
Brahim me voit propre, mais eux, ils me voient nue, et dans mon fort intérieur, je plane, je m’effondre, je m’éclate dans cette fange honteuse. Un autre ajoute :
— J’étais aux chiottes d’à côté, elle suppliait comme une pute en chaleur ! Elle en redemandait, cette chienne !
Leurs rires me déchirent, mais je me sens vivante, comme si chaque billet de David avait acheté un bout de moi – un bout que je ne veux plus reprendre. Dans mon fort intérieur, je suis déchirée entre la honte et l'excitation. La façon dont David se vante de m'avoir utilisée, de m'avoir fait supplier pour sa bite, me fait sentir plus bas que terre. Mais en même temps, cette humiliation réveille quelque chose de primal en moi, une part de moi qui se délecte de cette dégradation. Je me sens sale, souillée, mais aussi incroyablement vivante. C'est comme si chaque insulte, chaque rire moqueur, me libérait un peu plus de la femme que j'étais censée être. Brahim me voit comme une femme respectable, mais ici, je suis juste une chienne en chaleur, prête à tout pour satisfaire ces hommes. Et même si c'est dégradant, même si c'est honteux, une part de moi en redemande. C'est une descente dans le mépris, mais c'est aussi une libération, une façon de me réapproprier mon corps et mes désirs, loin des attentes et des jugements.
En une heure, j’ai sucé sa grosse queue sous la table, et je me redresse, essuie ma bouche du revers de la main, le goût de sa queue encore sur ma langue. Les potes d’Amada, là-bas, rigolent toujours, leurs regards en coin me chauffent la peau. Il me fixe, un sourire tordu aux lèvres, et lâche :
« On va aller retrouver mes potes et je vais te vendre au plus offrant. Il pourra passer 15 minutes avec toi aux chiottes. Tout est permis sauf de t’enculer, je garde ton cul pour moi. Cap ? »
Mon souffle se coupe, mais avant que je puisse répondre, il se lève, m’attrape le bras et me traîne vers le groupe. Là, ça me frappe : je vais me prostituer, vendre ma chatte et ma gueule au plus offrant. L’excitation me bouffe depuis qu’il s’est assis avec moi, elle a dégommé la Hafida sage, la mère de famille, pour laisser sortir la salope en chaleur. Ça me file des sueurs froides, mais au fond, je sais que c’est notre jeu tordu. Lui, le jeune renoi dominant avec sa matraque de black, et moi, la femme mariée, presque vierge de vraies bites avant lui, mais affamée de me faire défoncer. Il sait que je suis à lui, prête à me faire niquer par n’importe qui s’il me l’ordonne. Me vendre à un de ses potes, c’est juste une nouvelle façon de gaver la chienne que je suis.
Pas moyen de reculer. Je le suis, les jambes molles, vers le groupe que j’ai maté depuis que je suis arrivée, encore plus quand Amada les a salués en entrant.
– Les frères, je vous ramène du lourd, annonce-t-il avec un sourire de vicelard. Voici Hafida, une daronne mariée, une bourge de province que j’ai dressée l’année dernière.
Sa voix résonne dans le bar, et je sens mes épaules se raidir – ‘daronne mariée’, ces mots me frappent comme une gifle. Je revois mon fils, 15 ans, me disant ‘T’es la meilleure, maman’ la semaine dernière, et Brahim, ses yeux doux au téléphone hier : ‘Rentre bien.’ Mes ongles s’enfoncent dans mes paumes, je pourrais me lever, fuir ce regard de vicelard, mais Amada pose sa main sur mon bras, lourde, chaude, et mes jambes mollissent, clouées au sol face à leurs yeux qui me dévorent déjà.
– Avant moi, elle n’avait que son pédé de mari, un connard qui sait pas la baiser. Elle m’a chauffé pour goûter une vraie teub de renoi, lâche-t-il, fier comme un coq.
Ses mots me cognent en plein sternum – Brahim, un ‘pédé’ ? Lui qui rentre chaque soir avec un sourire fatigué, qui aide ma fille avec ses devoirs ? Chez moi, on m’a appris à défendre mon mari, à tenir ma langue face aux insultes, à être la femme forte qui protège sa famille. Mais mon ventre se noue, pas de rage – de désir. Je revois mes nuits seule dans le bain, ma main glissant entre mes cuisses, rêvant d’une queue comme la sienne. Mes lèvres s’entrouvrent, et je reste là, offerte à leurs rires.
– Ça fait un an qu’elle a pas pris cher, elle est en manque grave. Moi, je suis cool, et comme c’est une chienne, je vous la file. Mais faut raquer. Elle donne sa bouche et sa chatte au plus offrant, un quart d’heure dans les chiottes, capote obligatoire même pour la pipe. Ça vous dit ? Sa voix claque, et je recule d’un pas, mon talon raclant le sol crasseux.
Il y a deux heures, j’étais au cocktail, un verre de jus à la main, entourée de costumes bien taillés qui me disaient ‘Madame, votre expertise est précieuse.’ Maintenant, je suis une pute à vendre ? Mon souffle se bloque, je pourrais tourner les talons, reprendre mon Uber, mais leurs regards me fouillent, et une chaleur monte dans ma poitrine, mes tétons durcissent sous ma robe. Je redresse la tête, les fixe un à un, et reste plantée là. Ils sont quatre, pas de Doumbia dans le lot, et leurs yeux me piquent déjà la peau. Je revois la première fois, chez Amada, son collier autour de mon cou, ma fierté qui s’effritait sous ses ordres – ‘Au pied, ma chienne.’ Ce soir-là, j’avais cédé pour lui seul ; maintenant, c’est un groupe, et mon cœur bat à m’en déchirer les côtes. Mes mains tremblent, mais je les laisse tomber le long de mon corps, mes cuisses s’entrouvrent à peine, et je sens leurs regards me salir – putain, c’est bon.
Un silence plane, puis des rires gras éclatent, comme des chiens qui sentent la viande. Amada me fait avancer devant eux, et leurs regards me déshabillent déjà. Leurs regards noirs me fouillent, ces mecs à la peau foncée, et je sens mes joues brûler – chez moi, on m’a appris à détourner les yeux, à ricaner en coin sur leurs ‘manières’, à dire que les filles qui vont avec eux salissent leur nom. Ma gorge se serre, je pense à ma mère, ses leçons sur l’honneur, et je veux reculer, cacher mon visage. Mais leurs épaules larges, leurs mains épaisses, leur présence dominante me clouent sur place. Ils exsudent une force brute, une virilité sauvage que je n’ai jamais ressentie chez les hommes de mon peuple. C’est cette puissance qui m’attire, qui me fait palpiter le cœur. Dans mon fort intérieur, un amour me submerge – une femelle qui crève pour leurs grosses queues. Mes cuisses se serrent, une chaleur monte, et je me perds dans cette obsession qui me tord les reins, qui me fait jouir de les savoir si gros, si durs.
Un silence, puis des rires gras éclatent, comme des hyènes autour d’une carcasse. Leurs voix me giflent, et je baisse les yeux, mes doigts crispés sur le bord de ma robe – au boulot, je fais taire des hommes en costard d’un regard, je dirige, je décide, et là, je suis quoi ? Une pute qu’on siffle ? Je recule d’un demi-pas, mes talons glissent sur le sol poisseux, prête à tourner les talons. Mais Amada me secoue, sa main claque ma fesse, un bruit sec qui me fait sursauter, et sa voix tonne :
– Bouge-toi, Hafida. Dis-leur qui t’es, et fais pas ta sainte !
La honte me brûle, mais mes lèvres s’ouvrent toutes seules, la voix tremblante :
– Je suis la chienne d’Amada… une femme mariée qui se délecte d’être sa chienne.
Ils se marrent encore plus fort, et leurs mains commencent à me tripoter – mes seins, mes fesses, comme si j’étais une pièce de viande.
– T’as pas baisé depuis un an, c’est vrai ? demande le grand baraqué.
– T’as déjà fait la pute avant ? grogne le gros, sa paluche grasse sur ma cuisse.
– T’es une bourgeoise qui rêve de queues de cité, hein ? ricane le métis, son regard noir planté dans le mien. Je réponds, la gorge serrée :
– Oui… oui… oui… non, juste trois mecs.
Le mince, silencieux jusque-là, me fixe toujours, une lueur dans les yeux qui me fait frissonner. Amada coupe le délire :
– Ça suffit, vous avez vu la marchandise. On parle thunes. Qui est chaud ? Combien ?
– Moi, 10 balles, balance le grand avec un clin d’œil.
– 15, ajoute le mince, sa voix posée mais tranchante.
– 20, grogne le gros, me matant comme un chien affamé.
Le métis, David, attend, puis lâche, glacial :
– 100 euros.
Silence. Personne suit. Je croise ses yeux – froids, durs, presque vides. Mon ventre se tord, je revois Brahim, son regard déçu si il savait ce que je suis en train de faire. Mes mains se crispent, un frisson me traverse : 100 euros, c’est tout ce que je vaux ? Je pourrais crier, partir, mais Amada ricane, sa main toujours sur mon bras, et je reste figée.
– Banco, David, t’as gagné, rigole-t-il. Tu la prends dans les chiottes, mais cool, je la veux après.
David hoche la tête, puis me toise :
– T’as des capotes ?
– Non, répond Amada, mais va en choper chez l’épicier d’à côté.
David me toise :
– Va m’acheter une boîte, salope. Grandes tailles. Remue ton cul, j’attends pas.
Son ordre me claque au visage, et je fige une seconde – moi, Hafida, qui fais plier des équipes entières au boulot, qui tiens ma maison d’une main ferme, je vais vraiment courir pour ce gamin ? Mes yeux balayent le bar, cherchent une sortie, un sursaut de dignité. Mais Amada me fixe, un rictus au coin des lèvres, et dans mon fort intérieur, une vague me possède – la chienne en moi se cabre, prête à plonger. Mes pas vers l’épicerie, c’est pas de la faiblesse – c’est une transe, une chaleur qui me monte aux joues, un plaisir sale qui me fait mouiller à l’idée de ces capotes XXL. Je ne suis plus celle qu’on a élevée, je suis une chienne qui remue pour lui, et dans mon fort intérieur, je me noie dans cette obéissance, possédée, vivante, sans retour. Sa main claque ma fesse, fort. Je lui jette un regard noir, mais son air implacable me fait baisser les yeux.
Je sors, traverse la rue, trouve l’épicerie. Le vieux rebeu derrière le comptoir me mate en coin pendant que je prends les XXL. Je reviens, sac en main :
– C’est bon, je les ai.
David me fait signe, froid :
– Nickel. On passe au sérieux, ma cochonne. Viens.
Il m’entraîne vers les chiottes, son bassin collé à mon cul comme pour montrer à tout le bar que je suis à lui. Mon cerveau s’embrouille – peur, honte, envie qui me tord le bide. Je revois Brahim, ses mains douces sur moi hier soir au téléphone, ‘T’es ma reine,’ et une boule monte dans ma gorge – qu’est-ce que je fous là ? Mon cœur s’affole, mes talons ralentissent, mais David resserre sa prise, son souffle chaud dans mon cou, et mes jambes cèdent, entraînées vers cette porte.
– Pas de baise direct. Touche-toi pour moi, salope. Branle-toi et supplie-moi en arabe, j’veux entendre ta langue de chienne.
Sa voix claque, sèche, avec une lueur de taré dans les yeux – il kiffe me voir me rabaisser dans ma langue. Je tremble, mais je glisse une main sous ma robe, écarte ma culotte, et caresse ma chatte, déjà trempée. Y a quelques heures, j’étais une femme en vitrine, talons claquant, sourire ajusté, à discuter avec des cols blancs qui me voyaient comme une égale. Et là, je me doigte dans une chiotte qui pue, je gueule comme une folle, et dans mon fort intérieur, je me dévêts – Amada a révélé la chienne en moi, il m’a dépouillée de tout ce qu’on m’a appris à porter. Mon corps se tord, ma voix se casse, et cet orgasme, c’est pas juste un spasme – c’est une mue, une femelle qui sort de sa peau morte. La Hafida d’avant, celle des "s’il vous plaît" et des politesses, elle brûle sous mes doigts, sous les ordres de David, et moi, je kiffe cette mue – du propre au sale, du haut au bas, je me découvre, je jouis, je hurle, et dans cette crasse, je suis moi, entière, délivrée. Mes doigts hésitent, puis je murmure en arabe :
– Ana kalbati… chienne dkhoul… arjoûk, zidni zbourek… (Je suis ta chienne… une salope soumise… s’il te plaît, donne-moi ta queue…)
Il mate, un rictus au coin des lèvres, sa main qui frotte sa teub à travers son froc.
– Plus fort, grogne-t-il. Supplie-moi comme une vraie pute en arabe.
Je crie presque, la honte me brûle la gueule :
– Arjoûk, sayyidi ! Zidni zbourek ! Ana kalbati dyalek ! (S’il te plaît, maître ! Donne-moi ta queue ! Je suis ta chienne !)
Mes doigts s’enfoncent dans ma chatte, je me branle comme une folle sous son regard.
L’humiliation de gueuler ça en arabe, ma langue sacrée, me fait vriller. David ricane :
– T’es une vraie salope, une bourge qui se doigte dans des chiottes pour un khel. Continue, fais-toi jouir !
Je gémis, mes doigts plongés dans ma mouille, mon corps qui tremble. L’orgasme me fracasse, et je hurle :
– Ana jouzti ! Ana kalbati dyalek ! (Je jouis ! Je suis ta chienne !)
Je m’écroule contre le mur, à bout de souffle, les jambes en coton.
David se lève, me chope par les cheveux et me force à m’agenouiller.
– Suce-moi, salope. Fais-moi bander encore plus.
Il baisse son froc, sa queue jaillit, magnifique – longue, épaisse, la peau caramel tendue sur des veines qui pulsent, un gland large et rose qui brille sous la lumière crade. Je la kiffe, putain, je l’adore. Je la prends dans ma bouche, la capote encore sur le lavabo, juste sa bite nue, chaude, vivante. Je lèche ses couilles épaisses, pleines, poilues, une odeur de mec qui me rend dingue. Ma langue glisse sur chaque pli, je les gobe doucement, les aspire, les fais rouler dans ma bouche comme des trésors. Puis je remonte, embrasse sa teub partout, des baisers humides sur toute la longueur, jusqu’à ce gland énorme que je suce avec amour, mes lèvres bien serrées autour. Il tire mes cheveux, me baise la gueule, mais pas trop fort, juste pour me faire baver. Je m’étouffe un peu, ma langue qui claque sur sa queue, mes yeux dans les siens, folle de cette bite parfaite. Il grogne, mais tient bon, pas de jus – il veut autre chose. Il me repousse, se redresse, sa teub raide comme jamais.
– À quatre pattes, salope. Montre-moi ton cul.
Je me mets direct à quatre pattes sur le carrelage froid, cul en l’air, robe relevée jusqu’à la taille, ma chatte qui dégouline et palpite d’envie. J’en peux plus, je veux sa queue, je la veux maintenant. Je le mate, les yeux suppliants, et je lâche, désespérée :
– Baise-moi, David, s’il te plaît ! J’crève d’envie de ta grosse teub ! Défonce-moi, j’en peux plus, prends-moi comme une chienne !
Il ricane, enfile la capote, sa bite qui brille sous le latex.
– Supplie encore, salope. J’veux t’entendre crever pour ma queue. Je gémis, ma chatte qui me brûle tant j’ai besoin de lui :
– Arjoûk, sayyidi ! Ntnekni ! J’veux ta teub dans ma chatte, baise-moi fort, fais-moi gueuler, j’suis ta pute, prends-moi !
Il claque mon cul, deux fois, fort, mes fesses qui tremblent, rouges et chaudes.
– T’es une vraie chienne en chaleur, grogne-t-il. J’vais te démonter !
Il chope mes hanches, ses doigts qui s’enfoncent dans ma chair, et enfonce sa queue d’un coup sec, jusqu’à la garde. Je hurle, un cri moitié douleur, moitié kif, ma chatte qui s’ouvre en grand pour avaler cette teub sublime. Elle me remplit, putain, je la sens partout – longue, épaisse, qui cogne au fond de moi, son gland qui tape là où ça fait mal et bon en même temps. Il me pilonne, ses couilles lourdes qui claquent contre mes lèvres trempées, un bruit mouillé qui remplit les chiottes. Mes gros seins pendent sous moi, ballottent à chaque coup, mes tétons durs qui frottent contre ma robe relevée, mes vergetures qui dansent sur mes hanches larges sous ses mains brutales.
– T’aimes ça, hein, salope ? gueule-t-il. T’aimes ma grosse bite de khel dans ta chatte d’arabe!
Il tire mes cheveux, me force à relever la tête, ma nuque qui craque sous sa poigne. Je gémis, bave, ma chatte qui suinte autour de sa queue, chaque coup qui m’arrache un cri.
– Oui, j’kiffe ta teub ! Zidni zbourek, sayyidi ! (Donne-moi ta queue, maître !)
Il claque mon cul encore, une rafale de gifles qui font vibrer mes fesses, ma peau cuivrée qui rougit sous les impacts. Sa queue glisse dans ma mouille, un va-et-vient brutal, profond, qui me fait perdre la tête. Je sens son gland taper mon point sensible, mes parois qui se serrent autour de lui, ma chatte qui l’aspire comme une affamée. Il grogne, ses mains qui pétrissent mes hanches, ses doigts qui griffent mes vergetures, son bassin qui cogne mes fesses bombées, chaque choc qui fait trembler ma chair. Ma mouille coule sur mes cuisses épaisses, un filet chaud qui dégouline jusqu’au sol, ma chatte ouverte, béante, qui palpite autour de sa teub.
– Putain, ton gros cul de daronne, j’vais te déchirer jusqu’à ce que tu gueules ton bled !
Il accélère, ses coups qui deviennent sauvages, bestiaux, ma chatte qui hurle sous ses assauts, un mélange de douleur et de kif qui me rend folle. Je crie en arabe, possédée :
– Ana kalbati ! Ntnekni fort ! (Je suis ta chienne ! Baise-moi fort!
Un orgasme me déchire, brutal, mes jambes qui lâchent, ma chatte qui se contracte autour de sa teub magnifique, un flot de mouille qui gicle entre mes cuisses. Il jouit juste après, un cri rauque, sa queue qui pulse dans la capote, remplissant le latex de son sperme brûlant.
Il se retire, me laisse haletante à quatre pattes, ma chatte béante et trempée qui palpite encore, un vide qui me fait gémir. Mes bras tremblent, je fixe le carrelage sale, le souffle court – il y a trois jours, j’étais dans ma cuisine, à préparer le dîner, et là, je suis quoi ? Une pute à 100 balles ? Mes doigts hésitent, je veux me relever, m’effacer de cette chiotte crade, mais son odeur, sa queue encore raide sous mes yeux, me happe. Je me redresse sur les genoux, toute seule, sans qu’il me dise rien, et je la prends dans mes mains, mes lèvres déjà prêtes à l’adorer. Je la caresse, mes doigts qui glissent sur sa longueur chaude, sentent ses veines gonflées, son gland rose qui pulse encore. Je la lèche, ma langue qui parcourt chaque centimètre, du gland sensible jusqu’à la base, où ses poils courts me chatouillent le nez. Je me jette sur sa queue, et dans mon fort intérieur, c’est une dévotion qui me salit – une femelle qui s’abaisse, qui se gave de lui. Amada m’a révélée, il a brisé la Hafida qu’on m’a imposée et libéré la chienne – celle qui lèche, qui suce, qui nettoie cette bite encore chaude comme une affamée. Ma langue glisse sur son gland, ses veines, ses poils qui me piquent, et je kiffe ça – l’odeur de sueur, le goût de sa peau, la crasse de ce moment. C’est pas juste un acte – c’est un culte, une prière tordue en arabe que je lui offre à genoux. Mes lèvres s’étirent, ma gorge s’ouvre, et je suis plus qu’une femme – je suis une salope qui se dévoue, qui jouit de se salir pour lui, pour cette queue qui m’a défoncée. Dans mon fort intérieur, je me perds dans cette dévotion, et putain, je m’y noie avec un plaisir honteux. Je l’embrasse, des baisers mouillés, passionnés, comme une amante folle. Je gobe son gland, le suce doucement, ma langue qui tourne autour, nettoie chaque goutte de sueur, chaque trace de son plaisir. Je lève les yeux vers lui, amoureuse de cette teub, et je murmure :
– J’kiffe ta queue, sayyidi… elle est trop bonne, trop belle…
Il me mate, un sourire satisfait, pendant que je continue, ma bouche qui l’adore, mes lèvres qui l’enveloppent encore un peu, jusqu’à ce qu’elle brille de ma salive, propre et parfaite.
On se rhabille en silence, moi encore tremblante, la chatte en feu, le cul qui brûle des claques. On sort, et le groupe nous attend, morts de rire. David, un sourire triomphant aux lèvres, s'adresse à moi en me toisant de haut en bas :
— Alors, Hafida, t'as kiffé, hein ? T'as vu comment tu t'es jetée sur ma bite comme une affamée ? T'en redemandais, salope !
Les autres éclatent de rire, leurs regards moqueurs me transpercent. Je sens mes joues brûler de honte, mais une chaleur intense monte aussi en moi. David continue, fier comme un paon :
— Elle gueulait en arabe, cette chienne ! Elle suppliait pour ma queue, elle en crevait d’envie ! C’est elle qui aurait dû me payer pour la passe, tellement elle était en manque !
Leurs rires redoublent, et je me sens plus bas que terre. Mais dans mon fort intérieur, une fange m’enveloppe – une honte qui me fait planer. Moi, la femme qui fait plier les autres, qui impose sa voix, je suis là, salie par leurs mots, leurs ricanements, et la chienne en moi s’en délecte.
— T'as entendu ça, Hafida ? T'es qu'une traînée qui supplie pour se faire défoncer ! ajoute un autre, les yeux brillants de mépris.
Je vacille, mais une part de moi savoure cette humiliation. Amada l’a réveillée, cette femelle qui kiffe la merde qu’ils me jettent, qui savoure cette descente dans leur mépris. Mes cuisses encore chaudes, ma gorge râpée, je ne suis plus celle qu’on m’a élevée à être – je suis une dévergondée qui se roule dans leurs insultes, qui jouit de cette crasse comme d’une drogue.
— Regarde-toi, même maintenant, t'en veux encore, hein ? me lance David, son regard perçant me clouant sur place. T'es qu'une chienne en chaleur, prête à tout pour une bite !
Brahim me voit propre, mais eux, ils me voient nue, et dans mon fort intérieur, je plane, je m’effondre, je m’éclate dans cette fange honteuse. Un autre ajoute :
— J’étais aux chiottes d’à côté, elle suppliait comme une pute en chaleur ! Elle en redemandait, cette chienne !
Leurs rires me déchirent, mais je me sens vivante, comme si chaque billet de David avait acheté un bout de moi – un bout que je ne veux plus reprendre. Dans mon fort intérieur, je suis déchirée entre la honte et l'excitation. La façon dont David se vante de m'avoir utilisée, de m'avoir fait supplier pour sa bite, me fait sentir plus bas que terre. Mais en même temps, cette humiliation réveille quelque chose de primal en moi, une part de moi qui se délecte de cette dégradation. Je me sens sale, souillée, mais aussi incroyablement vivante. C'est comme si chaque insulte, chaque rire moqueur, me libérait un peu plus de la femme que j'étais censée être. Brahim me voit comme une femme respectable, mais ici, je suis juste une chienne en chaleur, prête à tout pour satisfaire ces hommes. Et même si c'est dégradant, même si c'est honteux, une part de moi en redemande. C'est une descente dans le mépris, mais c'est aussi une libération, une façon de me réapproprier mon corps et mes désirs, loin des attentes et des jugements.
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11 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Vous êtes faite pour ça. Continuez à fréquenter ces hommes plutôt que votre mari cocu.
Incroyable histoire à quand la suite ?
Il n'y a que des bourgeoises coincées du cul pour aimer faire la pute !!!!
Vous êtes 1 belle radasse comme on dit dans le sud.
Vous êtes 1 belle radasse comme on dit dans le sud.
Hafida chasser le naturel il revient au galop. Très beau texte ou tu expliques bien ton moi intérieur et ta descente j’espère que tu vas continuer de maîtriser sinon c’est trottoir driver par Amada
Daniel
Daniel
Ma chère Hafida,
Une suite toujours aussi excitantes que les histoires précédentes que vous avez écrites ;
Ultra sensuel et merveilleusement bien écrit ;
Comment s’est passé le retour à la vie quotidienne ; changée à jamais ?
Merci,
Yass
Une suite toujours aussi excitantes que les histoires précédentes que vous avez écrites ;
Ultra sensuel et merveilleusement bien écrit ;
Comment s’est passé le retour à la vie quotidienne ; changée à jamais ?
Merci,
Yass
Niquer avec Brahim, il suffit de discuter pour que le couple s’ouvre à d’autres pratiques.
Vous non , vous préférez niquer a l’arrach. Vous avez tellement sombré que vous seriez assez conne pour ré fourguer votre fille à Amada et qu’il l’a prostitue.
Vous êtes complètement à la ramasse. 😤🤦♀️🤷♀️
Vous non , vous préférez niquer a l’arrach. Vous avez tellement sombré que vous seriez assez conne pour ré fourguer votre fille à Amada et qu’il l’a prostitue.
Vous êtes complètement à la ramasse. 😤🤦♀️🤷♀️
Bravo j'ai adoré ce récit bien écrit qui montre les conflits qui se bousculent en toi.
j'attends une suite avec impatience
j'attends une suite avec impatience
Quel bonheur que de vous relire !!!
Merci infiniment pour ce si beau retour ; vous allez rendre heureux des milliers de lecteurs ;
Mille Mercis à vous,
Yass
Merci infiniment pour ce si beau retour ; vous allez rendre heureux des milliers de lecteurs ;
Mille Mercis à vous,
Yass
Excellent
Cc content de te retrouver très existant
Éric
Éric
magnifique recit trop exitant c merveilleux me suis palucher en lisant ton recit tu m exite trop

