De daronne infidèle à kehba
Récit érotique écrit par darone sousmarin [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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De daronne infidèle à kehba
Après moultes hésitations, j'ai succombé au plaisir d'entamer la suite de mon parcours sexuel avec Amada. Bonne lecture à toi.
Mon retour à la réalité ce fit naturellement, j'avais décidé de laisser derrière moi cette expérience. Ce retour s'accompagne d'une prise de conscience sur les risques que j'avais prise en ayant des rapports buccaux non protégés mais je ne ressens pas de culpabilité pour mon adultaire. Bien au contraire, j'étais très contente d'avoir découverte cette partie de moi mais restais anxieuse d'avoir attrapé quelques choses. Je décide de faire une batterie de test, mais d'après mes recherches sur le net: il fallait un délai de 6 semaines pour être sûre du résultat. Techniquement, cela ne pose pas de problème vu la fréquence de nos rapports avec mon mari. En général, c'est toujours moi l'investigatrice de nos moments intimes: j'ai donc pu jouer la montre en alternant entre mes règles, une pseudo infection urinaire et la non sollicitation de rapport. Passée ce cap de 6 semaines anxiogène, les résultats sont formelles: R.A.S. et grand ouf de soulagement.
Pendant ce laps de temps, je me suis beaucoup interrogée sur la façon d'assouvir mes nouveaux besoins. Je ne vous cache pas que je me suis beaucoup masturbée en pensant à Amada et en me projetant dans des scénarios encore plus trash. Mais cela ne me suffisait pas, j'avais besoin d'une bite....
J'ai décidé d'essayer de changer la dynamique sexuelle avec Brahim. De lui dévoiler le côté salope qui sommeille en moi. Pour cela, j'ai commencé à le sucer plus fréquemment et surtout dans des nouvelles situations. Cela commença quand un soir, les enfants couchés et lui regardant la télé sur le canapé: je suis rentrée dans la pièce a quatre pattes et me suis présenté dans une attitude chiennisante entre ses jambes. Je lui est descendu son slip pour lui faire la plus baveuse des fellations possibles. Cela lui a tellement plus que cela dura 2 minutes top chrono. Je me suis dis que je devais en multiplier le nombre pour essayer de le rendre plus endurant et développer sa libido. Cela devient presque journalier, dans toutes les pièces de la maison et même une fois en voiture. J'accompagne mes pipes de mots crus lui laissant comprendre que j'étais sa salope espérant déchaîner en lui l'envie de me traiter comme telle. Les rares fois où il n'a pas craché directement et qu'il m'a prise ensuite, cela s'est révélé insatisfaisant tant en durée qu'en intensité.
Après quelques semaines de cette nouvelle dynamique sexuelle, j'ai décidé de lui parler ouvertement de mes envies et de mes besoins sexuels. Nous avons eut pour la première fois une discussion concrète sur le sexe, c'est fou vous allez me dire après presque 20 ans de couple. Notre dynamique de couple ainsi que notre pudeur ne nous avaient jamais amené à cette conversation. Je lui déclare que ma libido est grande et qu'il n'a jamais su me satisfaire. Il est étonné et me dit en être désolé. Il n'avait jamais envisagé que j'étais insatisfaite et en demande car pour lui le sexe est plaisant mais pas essentiel. Il me demande ensuite ce que j'attends de lui et je lui parle de mes fantasmes (même si pour moi ce ne sont plus des fantasmes à ce stade mais plutôt une aversion) d'être maltraitée, soumise sexuellement. Il est très étonné de mes désirs secrets et m'explique qu'il n'a jamais ressenti cette part en moi tant je suis celle qui se comporte en chef à la maison ou dans la vie en général. Je le comprends car je n'ai laisser transparaître cet aspect de ma personnalité avec ma façon de mener ma barque mais je lui explique que souvent les désirs sexuels sont opposés à la personne que l'on est. Je l'invite donc à se comporter en macho avec moi dans nos moments d'intimités et lui demande si cela lui convient. Cela me fait beaucoup de bien de discuter de ce sujet avec lui et nous convenons de tenter l'expérience. Ayant ouvert cette discussion sur mes envies sexuelles, j'en profite pour lui demander ce qui l'excite lui. Il reste très vague sur ses besoins en m'expliquant que ces besoins à lui sont de satisfaire les miens. Il est d'accord pour essayer afin de me combler mais je le sens pas sûr d'être en adéquation avec ma demande. Les dés sont lancés....
Le soir même, les enfants couchés, je suis toute excitée de rejoindre mon mari. Je me fait belle et me pare de mes plus sexy sous vêtements sous ma djellaba. Je m'installe langoureusement à ses côtés sur le canapé pour regarder la télé. Je ne vous cache pas que je ne suis pas dans le film car j'ai la tête à autre chose. Mon mari, sentant certainement ce qui me passe en tête, me claque gentiment les fesses et me dit:
- J'ai appris aujourd'hui que ma femme bien aimée est une salope. Alors que fait elle sagement sur le canapé.
Excitée par ses mots, je m'exécute en enlevant ma djellaba et m'agenouille devant lui. J'embrasse ses jambes pour remonter délicatement vers son entre jambes. Là je m'applique à lui faire la pipe la plus baveuse qui soit, me lâche en le regardant dans les yeux et lui demande en le suppliant de me traiter comme une kabha. Cela l'excite tellement je suppose qu'il me gigle dans la bouche de sa queue mi molle.... Grosse déception pour moi, j'ai l'impression de passer de l'apéritif au dessert sans même goûter au plat de résistance. Satisfait certainement, il me dit merci et enchaîne sur la suite de son film me délaissant sans même essayer de me satisfaire. Je me lève et vais à la salle de bain, tant pour me laver que pour me soulager par mes propres moyens.
Nos rapports suivants reste dans la même veine, je sens que mon mari est excité par ma nouvelle facette mais le rôle du mâle dominant qu'il se donne sonne faux. Cela ne m'excite pas vraiment non plus tant je sens le jeu d'acteur de niveau série B et surtout je ne jouis jamais, et même pire je me retrouve à faire l'actrice également pour lui donner l'impression que cela me plaît.
Un soir, je décide d'inverser les rôles et de me montrer directive. Je commence doucement en lui demandant de venir me lécher la chatte moi assise et lui agenouillé. Le sentant réceptif, je le guide et commence à le " maltraiter" verbalement. Le traitant de petit chien aux ordres de sa maîtresse entre autres. Je lui ordonne de se déshabiller et sans grande surprise je vois son sexe bander comme jamais. Je lui demande si il bande si fort car il aime être mon toutou et il me dit ton penaud que oui. C'est le monde à l'envers, moi qui veux être une chienne me voici à dominer un mâle, mon homme qui plus est. Je décide de pousser le curseur un peu plus loin tant dans mes actes que dans mes mots. Je préfère ne pas vous partager la suite par respect pour mon homme mais laisse votre imagination prendre le pas. Rien de si sale ou dégradant en soit mais pas en adéquation avec l'image que je fais d'un homme. C'est l'une des raisons qui m'a fait hésiter à écrire la suite de mon témoignage avec vous, je suis partagée entre l'envie de me présenter à nue devant vous (cela m'excite terriblement) et la volonté de préserver l'intimité secrète de notre couple. Nos rapports sexuels suivants vont dans la même direction car je sens que cela comble mon mari, mais moi je ne prends pas spécialement de plaisir dans ces jeux de rôles. Ce qui fait que j'espace de plus en plus nos moments intimes et les fais tendre vers plus de normalité. Moi qui est tendance à toujours tout donner pour le bien être de mon mari, je deviens plus égoïste: pourquoi donner plus de satisfaction sexuellement à mon homme alors que lui n'a jamais su me procurer ne serais ce qu'une fois un orgasme... C'est moche de ma part, je le sais mais s'est malheureusement comme cela que je le ressens.
Au cours des mois qui passent, il m'arrive souvent de penser à ce que j'ai vécu auprès d'Amada. Pas tout le temps mais par vagues, certaines plus tenaces que d'autres. Dans ces moments là, j'aurais tellement envie d'être dans les griffes de mon vicieux amant. Je fantasme sur les différents blacks imposants que je croise dans ma vie quotidienne. J'ai même consulté les sites d'escorting de ma région, à la recherche d'un profil d'homme noir dominant. Sans jamais franchir le pas. Car c'est de lui d'on j'avais envie. Lui, le seul homme qui comprenait la chienne que je suis.
C'est 7 mois après mon retour qu'une opportunité se présenta. Dans le cadre de mon métier, des groupes de travail nationaux devaient se mettre en place, l'occasion était trop belle pour ne pas la saisir. Je me suis positionné sur l'une des thématiques sachant que certaines réunions devaient se faire en présentielles sur Paris. Cela me génére plus de travail mais en plus de pouvoir aller à Paris, le projet en lui même était intéressant. A ma plus grande joie, ma candidature fut retenue et les dates dévoilées.
Un mois avant mon départ sur Paris, j'envoie anxieuse un message à Amada. Il faut dire que nous n'avions pas échangé de message depuis notre dernière rencontre près d'un an avant. Silence radio. Mon message est succinct:
Salut Amada
De passage sur Paris dans un mois
Meurs d'envie de te revoir pour me faire défoncer
En manque de ta grosse queue de noir
😗
Pendant les sept jours suivants, pas de message. J'avais beau venir me connecter sur mon compte plusieurs fois par jour, pas de message. Cela me pèse, je suis préoccupée et plus irritable qu'à l'accoutumée. Enfin, je reçois ce message tant attendu :
Salut ma pute marocaine
Je savais que tu allais retoquer à la porte
Une chienne reste une chienne, toujours fidèle à son maître
Donne-moi tes dates
Yes, yes, yes..... Un mélange d'excitation, de doute, d'euphorie et d'appréhension me traverse: j'allais revoir Amada, avoir le plaisir d'être ma deuxième moi. Je lui transmets immédiatement les dates et reste en attente de son retour. Il revient vers moi quelques jours après pour me confirmer sa disponibilité le mardi soir et me donne rendez-vous à 21h au bar de notre première rencontre. Ça y est c'est fait, j'ai une date et je m'en réjouis même si je ne peux m'empêcher d'être déçue qu'il attende le mardi alors que lui ai dis que j'arrive sur Paris le dimanche soir. Je pensais le voir au plus vite, j'en ai besoin ayant trop envie de me faire Baiser, oui Baiser avec un grand B et une grosse bite.... Tellement envie d'être traitée comme je mérite de l'être.
Je m'offre de la belle lingerie, des robes plus sexy que celles que je possède dans ma garde robe afin me rendre le plus désirable possible. Je ne dirais pas que je pense plus qu'à ça mais j'y pense beaucoup et souvent mes songes me mettent dans un état d'excitation qui m'humidifie.
Je vais directement à mon hôtel dimanche soir arrivant tard sur la capitale et je passe une excellente session de travail le lundi. Suite à ma journée de travail, je rentre à l'hôtel pour me changer et passer des habits plus sexy que ceux j'ai l'habitude de porter. J'ai envie de me sentir désirable et loin de mon image quotidienne de mère de famille. Ma robe offre un beau décolleté et met en valeur ma cambrure, si moulante que l'on devine mon string sous son tissu. Je me délecte à rouler du cul dans la rue pour attirer les regards. Je me rends même dans un sex shop pour acheter un petit plug anal que puisse porter discrètement la journée afin de prendre du plaisir et préparer mon cul pour mon amant. Je prends beaucoup de plaisir à discuter avec un vendeur de mes besoins le plus naturellement possible. Que j'aime l'anonymat des grandes villes, je peux me lâcher sans penser au ''quand dirait t on'' 🤩
Je rentre ensuite à l'hôtel pour essayer mon nouveau jouet, je prends beaucoup de plaisir à m'introduire celui-ci et décide de tester son confort en allant au restaurant avec. La sensation est étrange mais tellement excitante à la fois, je m'amuse à imaginer la réaction des gens qui m'entourent si ils savaient. J'avais envie que l'on me regarde comme une femme, à vrai dire comme le salope que suis. Je suis sûre que si ce soir quelqu'un m'aurait montrer de l'intérêt j'aurais finit dans son lit facilement tellement j'avais envie de sexe, mais bien sûr ce ne fût pas le cas.
Rentrée à mon hôtel, je me suis masturbée à en perdre haleine tant j'étais excitée, m'imaginant prise par mon bel étalon dans des scénarios plus rocambolesques les uns des autres.
Je suis réveillée de très bonne humeur ce matin là, me fis belle et pris le temps de mettre ce délicieux plug dans dans mon anus. Je porte un tailleur et prends soin de vérifier que rien ne trahise la présence de ce sex toy. La journée me paraît beaucoup plus longue et fastidieuse que celle de la veille mais la présence du plug me procure des sensations enivrantes et me permets de projeter dans ma soirée à venir.
En fin de matinée, on nous informe que nous sommes conviés à un cocktail professionnel le soir même pour rencontrer des responsables nationaux et politique de premier plan. Ce n'est pas techniquement obligatoire mais une absence serait incomprise (surtout que l'on est tout frais payés à Paris pour ça) et c'est une réelle opportunité professionnelle. Je me sens défaillir alors que les personnes qui m'entourent sont ravies de cette nouvelle. Que faire, sachant que le cocktail est prévu pour 19h00 à 20 minutes en Uber de mon lieu de rendez-vous avec mon amant noir. Je ne pourrai pas être à la chicha avant 22h dans le meilleur des cas, mais ça reste jouable.
J'envoie un message à Amada pour décaler l'heure de notre rencard d'une heure, lui présentant toutes mes excuses et lui promettant de m'être du miens pour me faire excuser. La réponse de mon amant est cinglante du genre:
Rien à foutre de tes conneries professionnelles, si tu veux te faire sauter rdv à 21h comme prévu
Sinon va voir ailleurs
Que faire, je ne peux ni rater ce cocktail qui est une formidable opportunité de réseauter et dont mon absence peut m'être préjudiciable, et je ne veux pas rater ma '' sex date'' que j'attends fiévreusement depuis des mois. Je vais m'arranger pour enchaîner les deux même si cela m'oblige à écourter ma présence au cocktail donc d'en restreindre les éventuels bénéfices à en retirer. J'envoie un message à Amada pour lui confirmer ma présence en temps et en heure.
Un autre problème se présente, celui de ma tenue. En effet, je ne peux pas me présenter à mon rendez vous professionnel dans la tenue prévue pour mon amant et ma robe de soirée du cocktail ne correspond pas à une tenue conforme pour un rendez-vous dans une chicha. Aïe aïe aïe, j'ai mal à la tête....
Nous quittons le groupe de travail à 16h, direction l'hôtel pour me préparer à cet enchaînement de dingue. Je vais passer une soirée que je qualifierais de grand écart: du monde feutré de l'administration public à celui de la déprave sexuelle. Jamais une soirée de ma vie ne fût aussi antinomique, mais je trouve qu'elle me résume bien à vrai dire: elle laisse la place au deux Hafida.
Arrivant à l'hôtel, je passe du temps à me préparer, à me faire belle et à repasser ma tenue de gala. J'avais prévu une robe de soirée en cas de besoin, classique et sexy à la fois, avec un léger décolleté (je n'ai pas l'habitude d'en porter mais cela fait partie du charme de ce type d'habit 😉). Il faut savoir se mettre en valeur pour se faire remarquer quand l'occasion se présente. J'hésite à garder mon sex toy dans le derrière de peur que cela se voit mais je suis toute excitée de me présenter avec devant Amada. Celui-ci épouse parfaitement le sillon de mon fessier ce qui le rend très discret. La robe neuve de couleur noir me va parfaitement et me donne une touche de glam chic que j'aime beaucoup. J'agrémente ma tenue d'une belle parure et me maquille pour l'occasion. Je me sens sûr de moi, de mon charme sans pour autant paraître trop sexy mais plutôt classe.
Je me rends sur le lieu des festivités un peu plus tôt en espérant que ma présence soit remarquée. J'arrive dans les premieres comme prévue, j'en profite pour préparer ma fuite en réservant un Uber pour 20h35. Je me joins à plusieurs groupes afin d'échanger et de développer mon carnet d'adresses comme il est coutume de faire dans ce type de manifestation. J'assiste au discours d'un responsable du gouvernement sur les grandes pistes d'évolution de notre administration et me restaure au cocktail ensuite. Je n'arrive pas à m'empêcher de regarder ma montre toute la soirée et vers 20 heures j'explique à une de mes collègues que je ne me sens pas dans mon assiette et prétexte un mal de ventre. A vrai dire, c'est plutôt au fesses que j'ai mal avec mon sex toy 🤭. Je fais le maximum pour me faire voir de qui de droit et me dirige vers la sortie à 20h30 pétant pour attraper mon taxi en m'excusant auprès des miens. Je suis plutôt fière de moi, de mon stratagème et ravie de pouvoir tenir mon double engagements. La circulation est fluide et me permets d'arriver même 5 minutes en avance au bar. Je profite pour envoyer un message à ma collègue la plus proche pour lui signaler que je suis arrivée à bon port. J'ai des papillons dans le ventre tant je suis excitée de revoir mon amant et de me faire ''honorer'' comme il se doit.
Je rentre dans le bar et je cherche discrètement du regard la présence d'Amada. Celui-ci n'est pas encore là alors je me dirige vers une table vide à l'écart dans un coin discret. Le serveur s'approche de moi pour commander et me demande si je suis Hafida. Intriguée, je lui réponds à l'affirmative et il me déclare qu'Amada lui a demandé de m'informer qu'il aurait un peu de retard. Je lui commande un Perrier rondelle et enrage intérieurement. Quel connard je pense, je viens d'écourter mon cocktail pour être à l'heure et il n'est même pas là. Je ne suis en plus pas connue pour ma patience alors faire le pied de grue dans ce bar me rends folle. J'ai l'impression d'être scrutée comme une bête de foire tant ma tenue diffère de celle de la clientèle qui est de plus quasiment masculine. Je sens les regards insistants et reste plongée sur mon portable pour me couper du monde. Au bout d'un quart d'heure, tant gênée que vexée, j'hésite à m'éclipser et à partir vers mon hôtel. Mais j'ai tellement attendu de revoir mon amant que je reste sagement assise, j'ai trop envie de lui, de sa queue, trop fantasmé de le revoir pour partir. Je l'imagine une fois de plus avoir orchestrer cette situation, pour jouer sur ma frustration et me faire comprendre que c'est lui le mâle dominant. 21h30, je le vois franchir la porte du bar, nos regards se croisent et il m'affiche un sourire en coin appuyer dun clin d'œil coquin. Mon bouillonnement intérieur se transforme directement en excitation sexuelle à sa vue, je me sens fébrile moi la quarantenaire devant ce gamin. Il ne se dirige pas vers moi mais va voir un groupe de gars au comptoir, les salue et discute quelques minutes. Il ne manque vraiment pas de toupet, malgré mon excitation de le voir je ne peux m'empêcher de lui en vouloir. Au vu des regards insistants de ses copains vers moi, j'ai la certitude qu'ils sont entrain de parler de moi. Je les vois se marrer et montrer comme des signes de congratulations envers mon amant. D'être dévisager comme la chienne que j'aime être, dans cette bulle hors de ma vraie vie, m'excite énormément même si j'ai l'appréhension d'être moquer par ce groupe de 5 personnes. Après de longues minutes qui me semble interminable, Amada se dirige enfin vers moi et s'assoit à ma table.
- Salut ma petite chienne, me dit il.
Il ne me laisse pas le temps de lui répondre et m'aggripe par le cou pour m'embrasser langoureusement.
- Salut Amada, lui répondis je froidement, voulant lui montrer mon mécontentement de m'avoir fait poireauter.
- J'adore quand tu fais la belle avec tes airs supérieurs, j'aurais encore plus de plaisir à te baiser comme une pute.'' Me dit il le sourire aux lèvres.'' En plus avec ta tenue de bourgeoise''
- T'aurais pu me prévenir que tu allais venir en retard quand même'' lui répondis je sèchement
- je suis là non? Moi et ma grosse queue, c'est pas ça le principal?'' dit il plein d'aplomb et m'attrapant la main pour la coller sur la bosse de son short.
Il sait qu'il a raison et que si je suis là, c'est que j'ai terriblement envie de lui. Une fois de plus, je me sans vaincue moi la fière Hafida devant ce gamin. Le serveur arrive et mon amant commande nos habituelles coupes de champagne.
Nous commençons une discussion badine en échangant quelques banalités et sirotant nos verres. Malgré le fait de ne pas l'avoir vu depuis presque un an, j'ai pas l'impression de l'avoir quitté la semaine dernière tant nos échanges sont naturelles et bon enfants. Ses mains se balladent légèrement sur mon corps passant de mes cuisses à mes seins ce qui me stimule et me chauffe. Le sujet de la conversation s'oriente rapidement sur le sexe, la tonalité de celle-ci est très joueuse et détendue.
- je suis sûr que ma grosse bite t'a manqué ma belle.
- oui, énormément jeune homme '' lui avouais je le regardant droit dans les yeux et accentuant un petit mouvement de langue sur mes lèvres.
- t'ai tu masturbé en pensant à elle, à moi?
- plus d'une fois'' lui dis je naturellement'' et toi mon gros cul de maghrébine infidèle t'a t'il manqué?
- bien évidemment ma salope. C'est pour ça que tu va en prendre pour ton tarif. Et comment se passe ta vie sexuelle avec ton zemel de mari?
- toujours aussi fade....
- tu l'as trompé avec un autre?
- non
- ok, je t'imagine affamée alors ma chienne. Je vais te baiser bien profondément t'inquiète pas. Mais avant ça, tu vas me montrer comment ma bite de negro t'a manqué. Tu vois les gars en face à qui j'ai dit bonsoir?
- oui'' lui dis je pas rassurée.
- je leur ai dit que tu allais me sucer ici dans ce bar alors me fait pas mentir et suce moi ma grosse queue ici et maintenant comme la chienne en chaleur que tu es.
Je regarde dans leur direction et comprend mieux leurs sourires en coin. Au même moment, Amada applique une légère pression sur ma nuque m'indiquant la marche à suivre. Je sentis le désir m'envahir tant j'avais envie de sa queue et qu'un sentiment teinté d'humiliation et d'interdit me traversa. Après tout je ne connaissais personne ici et personne ne me connaissait. Rentrant naturellement dans mon rôle de femelle en rut, je les regarde à nouveau avec un air de défi, passe ma langue sur mes lèvres sensuellement. Me courbe sur mon siège pour passer ma tête sous la table au niveau de sa braguette, l'ouvre et n'ayant pas de boxer, je me trouve nez à nez avec son monstre de chair. Je l'entoure précautionement de ma main et lèche délicatement son gland. Son odeur et son goût me ravissent comme si ils faisaient remonter l'écho en moi de nos baises passées. J'oublie complètement l'endroit où je me trouve et m'applique à faire grossir cette superbe matraque avec ma bouche accueillante. J'avais occulté dans mes souvenirs la difficulté de faire le tour de cette bite avec mes lèvres, cela me demande une véritable gymnastique d'autant les écarter. De plus ma position corporelle est douloureuse étant pliée en deux sur cette chaise, sans oublier la présence de mon jouet dans le derrière. Le sexe d'Amada est complètement dressé ce qui facilite mon travail d'assouplissement et je l'avale goulûment. Peut-être pas assez profondément pour lui car il tient pas les cheveux pour imprimer sa cadence et planter ma bouche plus profondément sur son énorme pieu. Je l'entends appeler le serveur pour commander une autre tournée et de sa main me maintient pour m'empêcher de me redresser. Quand celui-ci s'approche pour la commande, il lui demande:
- Remets nous une tournée car avec ce que ma cochonne bouffe, je pense qu'elle va avoir soif tu crois pas?'' dit il en riant
C'est étrange comme chaque nouvelle humiliation d'Amada se transforme en plaisir pour moi. J'aimais beaucoup me sentir être sa chienne, son inférieure. La remarque faite au serveur ne me fit qu'accentuer ma fellation.
Il profite de ma position pour remonter ma jupe afin d'avoir accès à mon tanga et engouffre sa grosse paluche dans celle-ci. Il me malaxe les fesses et y découvre mon plug.
- Et bien ma salope, on dirait que tu as preparer le terrain. Toi t'es bien une grosse pute de marocaine.
Il s'amuse d'une main à effectuer des allers retours dans mon anus avec le plug pendant que de son autre main il continue de me baiser la bouche. J'ai beaucoup de mal à me concentrer sur ma fellation avec le plaisir anal que me procure Amada mais j'essaye tant bien que mal à m'appliquer. Je pense y arriver plutôt bien car il finit par gicler sa semence dans ma bouche, me maintenant celle-ci sur sa queue pour en engloutir le précieux liquide. L'avalant intégralement, je me redresse pour boire afin de me rincer la bouche. Je regarde fièrement dans la direction du groupe d'ami de mon amant qui me regardent l'air hilare. C'est dingue comme j'aime me sentir être chienne en sa compagnie, et surtout la fierté que j'en retire.
- je suis sûr que tu as aimé me sucer ici, t'afficher comme une chienne à la vue de tous. C'est pas vrai?
- Si c'est vrai mon chéri, lui dis je
- Je suis pas ton chéri, t'es juste ma pute mariée et sois plus explicite quand je te demande quelque chose. Alors?
- Pardon, j'aime être ta chienne de marocaine qui trompe son mari pour ta grosse bite de khelouche et que tout le monde ici sache que je suis à toi.
- C'est très bien, je vois qu'après un an tu n'as pas oublié ce que je t'es apprise. On dirait même que le manque d'une vraie queue t'as fait du bien. Rappel moi le nom de ta fiotte de mari?
- Il s'appelle Brahim.
- Raconte moi comment il te baise Brahim? Car j'imagine qu'il te baise quand même avec sa petite bite d'arabe?
Je commence à lui raconter la dynamique sexuelle qui fut la nôtre depuis notre rencontre de l'année dernière. Cela le fit rigoler de savoir que moi, sa chienne était celle qui avait l'ascendant sexuel dans notre couple. Il le traita de sous homme pour qu'une traînée comme moi puisse avoir ce statut.
- Voilà pourquoi c'est nous les blacks qui vous baisons, vous les beurettes. Si tu savais le nombre d'histoires qui se racontent sur des salopes mal baisées de ta race qui viennent se faire exploser le cul par des blacks. Que se soient des algériennes, tunisiennes ou marocaines: vous terminez toutes avec nos bites de negres dans le cul. Y a pas longtemps, j'ai défoncé une algérienne devant son mari. Il était même prêt à me sucer la bite cette fiotte. Tu aimerais toi que je te défonce devant ton Brahim?
- Je sais pas trop en fait. Oui car j'adorerais sexuellement être ta chienne devant lui. Mais en même temps, j'aurais trop peur pour les répercussions. Alors disons oui mais seulement en fantasme.
- Ok, dommage.... Car je te promets que j'aurai pris la route sans problème vers ta campagne pour ça. Pour te baiser à fond devant lui et que sans être pd je l'aurais peut être même enculé pour te montrer comme c'est une fiotte. Au faite, tu m'a pas dit: c'était comment de ta faire baiser avec Doumbia et moi?
- C'était bien, mais c'est avec toi que je préfère.
- C'est bien, t'es ma bonne petite kahba. C'est bien vrai non?
- Oui c'est vrai que je suis ta pute.
- Et bien prouve le moi.
- Comment?
- On va aller retrouver mes potes et je vais te vendre au plus offrant. Il pourra passer 15 minutes avec toi aux chiottes. Tout est permis sauf de t'enculer, je garde ton cul pour moi. Cap?
Malgré la levée de mes tabous et la chienne que je suis en sa compagnie, je suis choquée par sa demande. Il me demande de vendre mon corps comme une vulgaire pute à un parfait quidam. Et en même temps, je sens que la situation m'excite et il a une telle emprise sur moi. Il y a une bonne heure, j'étais conviée à une réception chic avec des gens de l'élite de notre nation et là je suis à deux doigts de me prostituer dans les toilettes d'un bar de banlieue parisienne: comme grand écart, on peut difficilement faire mieux.
-Je ne sais pas trop, balbutie je.
- T'es ma pute oui ou non? Les mots ont un sens....
- Ok par contre avec préservatifs pour fellation également'' finis je par capituler au bout de quelques secondes
- Allez viens me dit il en se levant et me tirant par le bras.
.........
Voilà la fin de la première partie de ma seconde semaine à Paris avec Amada.
J'espère que cela t'as plu à toi derrière ton écran. Oui c'est à toi que je m'adresse, à toi qui aimes me suivre dans les étapes de ma perversion sexuelle. A toi qui te masturbes certainement sur mes témoignages. A toi qui connais plus de mes secrets sexuels que mon propre mari. Toi avec qui je peux me montrer sous mon vrai visage grâce à l'anonymat que m'offre internet...
Comme tu l'as bien compris, je me suis '' prostituée ''. Comme une vraie pute, j'ai vendu mon corps. Étant devenue une kebha, je te propose de m'acheter également....
.... Si tu veux connaître la suite de mon récit, achète le. Comment?
En commentant cette histoire. Je me fixe un nombre de commentaires à atteindre pour que je puisse te livrer la suite de mon vécu: le moment où je suis devenue littéralement une pute....
Bises
Votre discrète pute de marochienne
Mon retour à la réalité ce fit naturellement, j'avais décidé de laisser derrière moi cette expérience. Ce retour s'accompagne d'une prise de conscience sur les risques que j'avais prise en ayant des rapports buccaux non protégés mais je ne ressens pas de culpabilité pour mon adultaire. Bien au contraire, j'étais très contente d'avoir découverte cette partie de moi mais restais anxieuse d'avoir attrapé quelques choses. Je décide de faire une batterie de test, mais d'après mes recherches sur le net: il fallait un délai de 6 semaines pour être sûre du résultat. Techniquement, cela ne pose pas de problème vu la fréquence de nos rapports avec mon mari. En général, c'est toujours moi l'investigatrice de nos moments intimes: j'ai donc pu jouer la montre en alternant entre mes règles, une pseudo infection urinaire et la non sollicitation de rapport. Passée ce cap de 6 semaines anxiogène, les résultats sont formelles: R.A.S. et grand ouf de soulagement.
Pendant ce laps de temps, je me suis beaucoup interrogée sur la façon d'assouvir mes nouveaux besoins. Je ne vous cache pas que je me suis beaucoup masturbée en pensant à Amada et en me projetant dans des scénarios encore plus trash. Mais cela ne me suffisait pas, j'avais besoin d'une bite....
J'ai décidé d'essayer de changer la dynamique sexuelle avec Brahim. De lui dévoiler le côté salope qui sommeille en moi. Pour cela, j'ai commencé à le sucer plus fréquemment et surtout dans des nouvelles situations. Cela commença quand un soir, les enfants couchés et lui regardant la télé sur le canapé: je suis rentrée dans la pièce a quatre pattes et me suis présenté dans une attitude chiennisante entre ses jambes. Je lui est descendu son slip pour lui faire la plus baveuse des fellations possibles. Cela lui a tellement plus que cela dura 2 minutes top chrono. Je me suis dis que je devais en multiplier le nombre pour essayer de le rendre plus endurant et développer sa libido. Cela devient presque journalier, dans toutes les pièces de la maison et même une fois en voiture. J'accompagne mes pipes de mots crus lui laissant comprendre que j'étais sa salope espérant déchaîner en lui l'envie de me traiter comme telle. Les rares fois où il n'a pas craché directement et qu'il m'a prise ensuite, cela s'est révélé insatisfaisant tant en durée qu'en intensité.
Après quelques semaines de cette nouvelle dynamique sexuelle, j'ai décidé de lui parler ouvertement de mes envies et de mes besoins sexuels. Nous avons eut pour la première fois une discussion concrète sur le sexe, c'est fou vous allez me dire après presque 20 ans de couple. Notre dynamique de couple ainsi que notre pudeur ne nous avaient jamais amené à cette conversation. Je lui déclare que ma libido est grande et qu'il n'a jamais su me satisfaire. Il est étonné et me dit en être désolé. Il n'avait jamais envisagé que j'étais insatisfaite et en demande car pour lui le sexe est plaisant mais pas essentiel. Il me demande ensuite ce que j'attends de lui et je lui parle de mes fantasmes (même si pour moi ce ne sont plus des fantasmes à ce stade mais plutôt une aversion) d'être maltraitée, soumise sexuellement. Il est très étonné de mes désirs secrets et m'explique qu'il n'a jamais ressenti cette part en moi tant je suis celle qui se comporte en chef à la maison ou dans la vie en général. Je le comprends car je n'ai laisser transparaître cet aspect de ma personnalité avec ma façon de mener ma barque mais je lui explique que souvent les désirs sexuels sont opposés à la personne que l'on est. Je l'invite donc à se comporter en macho avec moi dans nos moments d'intimités et lui demande si cela lui convient. Cela me fait beaucoup de bien de discuter de ce sujet avec lui et nous convenons de tenter l'expérience. Ayant ouvert cette discussion sur mes envies sexuelles, j'en profite pour lui demander ce qui l'excite lui. Il reste très vague sur ses besoins en m'expliquant que ces besoins à lui sont de satisfaire les miens. Il est d'accord pour essayer afin de me combler mais je le sens pas sûr d'être en adéquation avec ma demande. Les dés sont lancés....
Le soir même, les enfants couchés, je suis toute excitée de rejoindre mon mari. Je me fait belle et me pare de mes plus sexy sous vêtements sous ma djellaba. Je m'installe langoureusement à ses côtés sur le canapé pour regarder la télé. Je ne vous cache pas que je ne suis pas dans le film car j'ai la tête à autre chose. Mon mari, sentant certainement ce qui me passe en tête, me claque gentiment les fesses et me dit:
- J'ai appris aujourd'hui que ma femme bien aimée est une salope. Alors que fait elle sagement sur le canapé.
Excitée par ses mots, je m'exécute en enlevant ma djellaba et m'agenouille devant lui. J'embrasse ses jambes pour remonter délicatement vers son entre jambes. Là je m'applique à lui faire la pipe la plus baveuse qui soit, me lâche en le regardant dans les yeux et lui demande en le suppliant de me traiter comme une kabha. Cela l'excite tellement je suppose qu'il me gigle dans la bouche de sa queue mi molle.... Grosse déception pour moi, j'ai l'impression de passer de l'apéritif au dessert sans même goûter au plat de résistance. Satisfait certainement, il me dit merci et enchaîne sur la suite de son film me délaissant sans même essayer de me satisfaire. Je me lève et vais à la salle de bain, tant pour me laver que pour me soulager par mes propres moyens.
Nos rapports suivants reste dans la même veine, je sens que mon mari est excité par ma nouvelle facette mais le rôle du mâle dominant qu'il se donne sonne faux. Cela ne m'excite pas vraiment non plus tant je sens le jeu d'acteur de niveau série B et surtout je ne jouis jamais, et même pire je me retrouve à faire l'actrice également pour lui donner l'impression que cela me plaît.
Un soir, je décide d'inverser les rôles et de me montrer directive. Je commence doucement en lui demandant de venir me lécher la chatte moi assise et lui agenouillé. Le sentant réceptif, je le guide et commence à le " maltraiter" verbalement. Le traitant de petit chien aux ordres de sa maîtresse entre autres. Je lui ordonne de se déshabiller et sans grande surprise je vois son sexe bander comme jamais. Je lui demande si il bande si fort car il aime être mon toutou et il me dit ton penaud que oui. C'est le monde à l'envers, moi qui veux être une chienne me voici à dominer un mâle, mon homme qui plus est. Je décide de pousser le curseur un peu plus loin tant dans mes actes que dans mes mots. Je préfère ne pas vous partager la suite par respect pour mon homme mais laisse votre imagination prendre le pas. Rien de si sale ou dégradant en soit mais pas en adéquation avec l'image que je fais d'un homme. C'est l'une des raisons qui m'a fait hésiter à écrire la suite de mon témoignage avec vous, je suis partagée entre l'envie de me présenter à nue devant vous (cela m'excite terriblement) et la volonté de préserver l'intimité secrète de notre couple. Nos rapports sexuels suivants vont dans la même direction car je sens que cela comble mon mari, mais moi je ne prends pas spécialement de plaisir dans ces jeux de rôles. Ce qui fait que j'espace de plus en plus nos moments intimes et les fais tendre vers plus de normalité. Moi qui est tendance à toujours tout donner pour le bien être de mon mari, je deviens plus égoïste: pourquoi donner plus de satisfaction sexuellement à mon homme alors que lui n'a jamais su me procurer ne serais ce qu'une fois un orgasme... C'est moche de ma part, je le sais mais s'est malheureusement comme cela que je le ressens.
Au cours des mois qui passent, il m'arrive souvent de penser à ce que j'ai vécu auprès d'Amada. Pas tout le temps mais par vagues, certaines plus tenaces que d'autres. Dans ces moments là, j'aurais tellement envie d'être dans les griffes de mon vicieux amant. Je fantasme sur les différents blacks imposants que je croise dans ma vie quotidienne. J'ai même consulté les sites d'escorting de ma région, à la recherche d'un profil d'homme noir dominant. Sans jamais franchir le pas. Car c'est de lui d'on j'avais envie. Lui, le seul homme qui comprenait la chienne que je suis.
C'est 7 mois après mon retour qu'une opportunité se présenta. Dans le cadre de mon métier, des groupes de travail nationaux devaient se mettre en place, l'occasion était trop belle pour ne pas la saisir. Je me suis positionné sur l'une des thématiques sachant que certaines réunions devaient se faire en présentielles sur Paris. Cela me génére plus de travail mais en plus de pouvoir aller à Paris, le projet en lui même était intéressant. A ma plus grande joie, ma candidature fut retenue et les dates dévoilées.
Un mois avant mon départ sur Paris, j'envoie anxieuse un message à Amada. Il faut dire que nous n'avions pas échangé de message depuis notre dernière rencontre près d'un an avant. Silence radio. Mon message est succinct:
Salut Amada
De passage sur Paris dans un mois
Meurs d'envie de te revoir pour me faire défoncer
En manque de ta grosse queue de noir
😗
Pendant les sept jours suivants, pas de message. J'avais beau venir me connecter sur mon compte plusieurs fois par jour, pas de message. Cela me pèse, je suis préoccupée et plus irritable qu'à l'accoutumée. Enfin, je reçois ce message tant attendu :
Salut ma pute marocaine
Je savais que tu allais retoquer à la porte
Une chienne reste une chienne, toujours fidèle à son maître
Donne-moi tes dates
Yes, yes, yes..... Un mélange d'excitation, de doute, d'euphorie et d'appréhension me traverse: j'allais revoir Amada, avoir le plaisir d'être ma deuxième moi. Je lui transmets immédiatement les dates et reste en attente de son retour. Il revient vers moi quelques jours après pour me confirmer sa disponibilité le mardi soir et me donne rendez-vous à 21h au bar de notre première rencontre. Ça y est c'est fait, j'ai une date et je m'en réjouis même si je ne peux m'empêcher d'être déçue qu'il attende le mardi alors que lui ai dis que j'arrive sur Paris le dimanche soir. Je pensais le voir au plus vite, j'en ai besoin ayant trop envie de me faire Baiser, oui Baiser avec un grand B et une grosse bite.... Tellement envie d'être traitée comme je mérite de l'être.
Je m'offre de la belle lingerie, des robes plus sexy que celles que je possède dans ma garde robe afin me rendre le plus désirable possible. Je ne dirais pas que je pense plus qu'à ça mais j'y pense beaucoup et souvent mes songes me mettent dans un état d'excitation qui m'humidifie.
Je vais directement à mon hôtel dimanche soir arrivant tard sur la capitale et je passe une excellente session de travail le lundi. Suite à ma journée de travail, je rentre à l'hôtel pour me changer et passer des habits plus sexy que ceux j'ai l'habitude de porter. J'ai envie de me sentir désirable et loin de mon image quotidienne de mère de famille. Ma robe offre un beau décolleté et met en valeur ma cambrure, si moulante que l'on devine mon string sous son tissu. Je me délecte à rouler du cul dans la rue pour attirer les regards. Je me rends même dans un sex shop pour acheter un petit plug anal que puisse porter discrètement la journée afin de prendre du plaisir et préparer mon cul pour mon amant. Je prends beaucoup de plaisir à discuter avec un vendeur de mes besoins le plus naturellement possible. Que j'aime l'anonymat des grandes villes, je peux me lâcher sans penser au ''quand dirait t on'' 🤩
Je rentre ensuite à l'hôtel pour essayer mon nouveau jouet, je prends beaucoup de plaisir à m'introduire celui-ci et décide de tester son confort en allant au restaurant avec. La sensation est étrange mais tellement excitante à la fois, je m'amuse à imaginer la réaction des gens qui m'entourent si ils savaient. J'avais envie que l'on me regarde comme une femme, à vrai dire comme le salope que suis. Je suis sûre que si ce soir quelqu'un m'aurait montrer de l'intérêt j'aurais finit dans son lit facilement tellement j'avais envie de sexe, mais bien sûr ce ne fût pas le cas.
Rentrée à mon hôtel, je me suis masturbée à en perdre haleine tant j'étais excitée, m'imaginant prise par mon bel étalon dans des scénarios plus rocambolesques les uns des autres.
Je suis réveillée de très bonne humeur ce matin là, me fis belle et pris le temps de mettre ce délicieux plug dans dans mon anus. Je porte un tailleur et prends soin de vérifier que rien ne trahise la présence de ce sex toy. La journée me paraît beaucoup plus longue et fastidieuse que celle de la veille mais la présence du plug me procure des sensations enivrantes et me permets de projeter dans ma soirée à venir.
En fin de matinée, on nous informe que nous sommes conviés à un cocktail professionnel le soir même pour rencontrer des responsables nationaux et politique de premier plan. Ce n'est pas techniquement obligatoire mais une absence serait incomprise (surtout que l'on est tout frais payés à Paris pour ça) et c'est une réelle opportunité professionnelle. Je me sens défaillir alors que les personnes qui m'entourent sont ravies de cette nouvelle. Que faire, sachant que le cocktail est prévu pour 19h00 à 20 minutes en Uber de mon lieu de rendez-vous avec mon amant noir. Je ne pourrai pas être à la chicha avant 22h dans le meilleur des cas, mais ça reste jouable.
J'envoie un message à Amada pour décaler l'heure de notre rencard d'une heure, lui présentant toutes mes excuses et lui promettant de m'être du miens pour me faire excuser. La réponse de mon amant est cinglante du genre:
Rien à foutre de tes conneries professionnelles, si tu veux te faire sauter rdv à 21h comme prévu
Sinon va voir ailleurs
Que faire, je ne peux ni rater ce cocktail qui est une formidable opportunité de réseauter et dont mon absence peut m'être préjudiciable, et je ne veux pas rater ma '' sex date'' que j'attends fiévreusement depuis des mois. Je vais m'arranger pour enchaîner les deux même si cela m'oblige à écourter ma présence au cocktail donc d'en restreindre les éventuels bénéfices à en retirer. J'envoie un message à Amada pour lui confirmer ma présence en temps et en heure.
Un autre problème se présente, celui de ma tenue. En effet, je ne peux pas me présenter à mon rendez vous professionnel dans la tenue prévue pour mon amant et ma robe de soirée du cocktail ne correspond pas à une tenue conforme pour un rendez-vous dans une chicha. Aïe aïe aïe, j'ai mal à la tête....
Nous quittons le groupe de travail à 16h, direction l'hôtel pour me préparer à cet enchaînement de dingue. Je vais passer une soirée que je qualifierais de grand écart: du monde feutré de l'administration public à celui de la déprave sexuelle. Jamais une soirée de ma vie ne fût aussi antinomique, mais je trouve qu'elle me résume bien à vrai dire: elle laisse la place au deux Hafida.
Arrivant à l'hôtel, je passe du temps à me préparer, à me faire belle et à repasser ma tenue de gala. J'avais prévu une robe de soirée en cas de besoin, classique et sexy à la fois, avec un léger décolleté (je n'ai pas l'habitude d'en porter mais cela fait partie du charme de ce type d'habit 😉). Il faut savoir se mettre en valeur pour se faire remarquer quand l'occasion se présente. J'hésite à garder mon sex toy dans le derrière de peur que cela se voit mais je suis toute excitée de me présenter avec devant Amada. Celui-ci épouse parfaitement le sillon de mon fessier ce qui le rend très discret. La robe neuve de couleur noir me va parfaitement et me donne une touche de glam chic que j'aime beaucoup. J'agrémente ma tenue d'une belle parure et me maquille pour l'occasion. Je me sens sûr de moi, de mon charme sans pour autant paraître trop sexy mais plutôt classe.
Je me rends sur le lieu des festivités un peu plus tôt en espérant que ma présence soit remarquée. J'arrive dans les premieres comme prévue, j'en profite pour préparer ma fuite en réservant un Uber pour 20h35. Je me joins à plusieurs groupes afin d'échanger et de développer mon carnet d'adresses comme il est coutume de faire dans ce type de manifestation. J'assiste au discours d'un responsable du gouvernement sur les grandes pistes d'évolution de notre administration et me restaure au cocktail ensuite. Je n'arrive pas à m'empêcher de regarder ma montre toute la soirée et vers 20 heures j'explique à une de mes collègues que je ne me sens pas dans mon assiette et prétexte un mal de ventre. A vrai dire, c'est plutôt au fesses que j'ai mal avec mon sex toy 🤭. Je fais le maximum pour me faire voir de qui de droit et me dirige vers la sortie à 20h30 pétant pour attraper mon taxi en m'excusant auprès des miens. Je suis plutôt fière de moi, de mon stratagème et ravie de pouvoir tenir mon double engagements. La circulation est fluide et me permets d'arriver même 5 minutes en avance au bar. Je profite pour envoyer un message à ma collègue la plus proche pour lui signaler que je suis arrivée à bon port. J'ai des papillons dans le ventre tant je suis excitée de revoir mon amant et de me faire ''honorer'' comme il se doit.
Je rentre dans le bar et je cherche discrètement du regard la présence d'Amada. Celui-ci n'est pas encore là alors je me dirige vers une table vide à l'écart dans un coin discret. Le serveur s'approche de moi pour commander et me demande si je suis Hafida. Intriguée, je lui réponds à l'affirmative et il me déclare qu'Amada lui a demandé de m'informer qu'il aurait un peu de retard. Je lui commande un Perrier rondelle et enrage intérieurement. Quel connard je pense, je viens d'écourter mon cocktail pour être à l'heure et il n'est même pas là. Je ne suis en plus pas connue pour ma patience alors faire le pied de grue dans ce bar me rends folle. J'ai l'impression d'être scrutée comme une bête de foire tant ma tenue diffère de celle de la clientèle qui est de plus quasiment masculine. Je sens les regards insistants et reste plongée sur mon portable pour me couper du monde. Au bout d'un quart d'heure, tant gênée que vexée, j'hésite à m'éclipser et à partir vers mon hôtel. Mais j'ai tellement attendu de revoir mon amant que je reste sagement assise, j'ai trop envie de lui, de sa queue, trop fantasmé de le revoir pour partir. Je l'imagine une fois de plus avoir orchestrer cette situation, pour jouer sur ma frustration et me faire comprendre que c'est lui le mâle dominant. 21h30, je le vois franchir la porte du bar, nos regards se croisent et il m'affiche un sourire en coin appuyer dun clin d'œil coquin. Mon bouillonnement intérieur se transforme directement en excitation sexuelle à sa vue, je me sens fébrile moi la quarantenaire devant ce gamin. Il ne se dirige pas vers moi mais va voir un groupe de gars au comptoir, les salue et discute quelques minutes. Il ne manque vraiment pas de toupet, malgré mon excitation de le voir je ne peux m'empêcher de lui en vouloir. Au vu des regards insistants de ses copains vers moi, j'ai la certitude qu'ils sont entrain de parler de moi. Je les vois se marrer et montrer comme des signes de congratulations envers mon amant. D'être dévisager comme la chienne que j'aime être, dans cette bulle hors de ma vraie vie, m'excite énormément même si j'ai l'appréhension d'être moquer par ce groupe de 5 personnes. Après de longues minutes qui me semble interminable, Amada se dirige enfin vers moi et s'assoit à ma table.
- Salut ma petite chienne, me dit il.
Il ne me laisse pas le temps de lui répondre et m'aggripe par le cou pour m'embrasser langoureusement.
- Salut Amada, lui répondis je froidement, voulant lui montrer mon mécontentement de m'avoir fait poireauter.
- J'adore quand tu fais la belle avec tes airs supérieurs, j'aurais encore plus de plaisir à te baiser comme une pute.'' Me dit il le sourire aux lèvres.'' En plus avec ta tenue de bourgeoise''
- T'aurais pu me prévenir que tu allais venir en retard quand même'' lui répondis je sèchement
- je suis là non? Moi et ma grosse queue, c'est pas ça le principal?'' dit il plein d'aplomb et m'attrapant la main pour la coller sur la bosse de son short.
Il sait qu'il a raison et que si je suis là, c'est que j'ai terriblement envie de lui. Une fois de plus, je me sans vaincue moi la fière Hafida devant ce gamin. Le serveur arrive et mon amant commande nos habituelles coupes de champagne.
Nous commençons une discussion badine en échangant quelques banalités et sirotant nos verres. Malgré le fait de ne pas l'avoir vu depuis presque un an, j'ai pas l'impression de l'avoir quitté la semaine dernière tant nos échanges sont naturelles et bon enfants. Ses mains se balladent légèrement sur mon corps passant de mes cuisses à mes seins ce qui me stimule et me chauffe. Le sujet de la conversation s'oriente rapidement sur le sexe, la tonalité de celle-ci est très joueuse et détendue.
- je suis sûr que ma grosse bite t'a manqué ma belle.
- oui, énormément jeune homme '' lui avouais je le regardant droit dans les yeux et accentuant un petit mouvement de langue sur mes lèvres.
- t'ai tu masturbé en pensant à elle, à moi?
- plus d'une fois'' lui dis je naturellement'' et toi mon gros cul de maghrébine infidèle t'a t'il manqué?
- bien évidemment ma salope. C'est pour ça que tu va en prendre pour ton tarif. Et comment se passe ta vie sexuelle avec ton zemel de mari?
- toujours aussi fade....
- tu l'as trompé avec un autre?
- non
- ok, je t'imagine affamée alors ma chienne. Je vais te baiser bien profondément t'inquiète pas. Mais avant ça, tu vas me montrer comment ma bite de negro t'a manqué. Tu vois les gars en face à qui j'ai dit bonsoir?
- oui'' lui dis je pas rassurée.
- je leur ai dit que tu allais me sucer ici dans ce bar alors me fait pas mentir et suce moi ma grosse queue ici et maintenant comme la chienne en chaleur que tu es.
Je regarde dans leur direction et comprend mieux leurs sourires en coin. Au même moment, Amada applique une légère pression sur ma nuque m'indiquant la marche à suivre. Je sentis le désir m'envahir tant j'avais envie de sa queue et qu'un sentiment teinté d'humiliation et d'interdit me traversa. Après tout je ne connaissais personne ici et personne ne me connaissait. Rentrant naturellement dans mon rôle de femelle en rut, je les regarde à nouveau avec un air de défi, passe ma langue sur mes lèvres sensuellement. Me courbe sur mon siège pour passer ma tête sous la table au niveau de sa braguette, l'ouvre et n'ayant pas de boxer, je me trouve nez à nez avec son monstre de chair. Je l'entoure précautionement de ma main et lèche délicatement son gland. Son odeur et son goût me ravissent comme si ils faisaient remonter l'écho en moi de nos baises passées. J'oublie complètement l'endroit où je me trouve et m'applique à faire grossir cette superbe matraque avec ma bouche accueillante. J'avais occulté dans mes souvenirs la difficulté de faire le tour de cette bite avec mes lèvres, cela me demande une véritable gymnastique d'autant les écarter. De plus ma position corporelle est douloureuse étant pliée en deux sur cette chaise, sans oublier la présence de mon jouet dans le derrière. Le sexe d'Amada est complètement dressé ce qui facilite mon travail d'assouplissement et je l'avale goulûment. Peut-être pas assez profondément pour lui car il tient pas les cheveux pour imprimer sa cadence et planter ma bouche plus profondément sur son énorme pieu. Je l'entends appeler le serveur pour commander une autre tournée et de sa main me maintient pour m'empêcher de me redresser. Quand celui-ci s'approche pour la commande, il lui demande:
- Remets nous une tournée car avec ce que ma cochonne bouffe, je pense qu'elle va avoir soif tu crois pas?'' dit il en riant
C'est étrange comme chaque nouvelle humiliation d'Amada se transforme en plaisir pour moi. J'aimais beaucoup me sentir être sa chienne, son inférieure. La remarque faite au serveur ne me fit qu'accentuer ma fellation.
Il profite de ma position pour remonter ma jupe afin d'avoir accès à mon tanga et engouffre sa grosse paluche dans celle-ci. Il me malaxe les fesses et y découvre mon plug.
- Et bien ma salope, on dirait que tu as preparer le terrain. Toi t'es bien une grosse pute de marocaine.
Il s'amuse d'une main à effectuer des allers retours dans mon anus avec le plug pendant que de son autre main il continue de me baiser la bouche. J'ai beaucoup de mal à me concentrer sur ma fellation avec le plaisir anal que me procure Amada mais j'essaye tant bien que mal à m'appliquer. Je pense y arriver plutôt bien car il finit par gicler sa semence dans ma bouche, me maintenant celle-ci sur sa queue pour en engloutir le précieux liquide. L'avalant intégralement, je me redresse pour boire afin de me rincer la bouche. Je regarde fièrement dans la direction du groupe d'ami de mon amant qui me regardent l'air hilare. C'est dingue comme j'aime me sentir être chienne en sa compagnie, et surtout la fierté que j'en retire.
- je suis sûr que tu as aimé me sucer ici, t'afficher comme une chienne à la vue de tous. C'est pas vrai?
- Si c'est vrai mon chéri, lui dis je
- Je suis pas ton chéri, t'es juste ma pute mariée et sois plus explicite quand je te demande quelque chose. Alors?
- Pardon, j'aime être ta chienne de marocaine qui trompe son mari pour ta grosse bite de khelouche et que tout le monde ici sache que je suis à toi.
- C'est très bien, je vois qu'après un an tu n'as pas oublié ce que je t'es apprise. On dirait même que le manque d'une vraie queue t'as fait du bien. Rappel moi le nom de ta fiotte de mari?
- Il s'appelle Brahim.
- Raconte moi comment il te baise Brahim? Car j'imagine qu'il te baise quand même avec sa petite bite d'arabe?
Je commence à lui raconter la dynamique sexuelle qui fut la nôtre depuis notre rencontre de l'année dernière. Cela le fit rigoler de savoir que moi, sa chienne était celle qui avait l'ascendant sexuel dans notre couple. Il le traita de sous homme pour qu'une traînée comme moi puisse avoir ce statut.
- Voilà pourquoi c'est nous les blacks qui vous baisons, vous les beurettes. Si tu savais le nombre d'histoires qui se racontent sur des salopes mal baisées de ta race qui viennent se faire exploser le cul par des blacks. Que se soient des algériennes, tunisiennes ou marocaines: vous terminez toutes avec nos bites de negres dans le cul. Y a pas longtemps, j'ai défoncé une algérienne devant son mari. Il était même prêt à me sucer la bite cette fiotte. Tu aimerais toi que je te défonce devant ton Brahim?
- Je sais pas trop en fait. Oui car j'adorerais sexuellement être ta chienne devant lui. Mais en même temps, j'aurais trop peur pour les répercussions. Alors disons oui mais seulement en fantasme.
- Ok, dommage.... Car je te promets que j'aurai pris la route sans problème vers ta campagne pour ça. Pour te baiser à fond devant lui et que sans être pd je l'aurais peut être même enculé pour te montrer comme c'est une fiotte. Au faite, tu m'a pas dit: c'était comment de ta faire baiser avec Doumbia et moi?
- C'était bien, mais c'est avec toi que je préfère.
- C'est bien, t'es ma bonne petite kahba. C'est bien vrai non?
- Oui c'est vrai que je suis ta pute.
- Et bien prouve le moi.
- Comment?
- On va aller retrouver mes potes et je vais te vendre au plus offrant. Il pourra passer 15 minutes avec toi aux chiottes. Tout est permis sauf de t'enculer, je garde ton cul pour moi. Cap?
Malgré la levée de mes tabous et la chienne que je suis en sa compagnie, je suis choquée par sa demande. Il me demande de vendre mon corps comme une vulgaire pute à un parfait quidam. Et en même temps, je sens que la situation m'excite et il a une telle emprise sur moi. Il y a une bonne heure, j'étais conviée à une réception chic avec des gens de l'élite de notre nation et là je suis à deux doigts de me prostituer dans les toilettes d'un bar de banlieue parisienne: comme grand écart, on peut difficilement faire mieux.
-Je ne sais pas trop, balbutie je.
- T'es ma pute oui ou non? Les mots ont un sens....
- Ok par contre avec préservatifs pour fellation également'' finis je par capituler au bout de quelques secondes
- Allez viens me dit il en se levant et me tirant par le bras.
.........
Voilà la fin de la première partie de ma seconde semaine à Paris avec Amada.
J'espère que cela t'as plu à toi derrière ton écran. Oui c'est à toi que je m'adresse, à toi qui aimes me suivre dans les étapes de ma perversion sexuelle. A toi qui te masturbes certainement sur mes témoignages. A toi qui connais plus de mes secrets sexuels que mon propre mari. Toi avec qui je peux me montrer sous mon vrai visage grâce à l'anonymat que m'offre internet...
Comme tu l'as bien compris, je me suis '' prostituée ''. Comme une vraie pute, j'ai vendu mon corps. Étant devenue une kebha, je te propose de m'acheter également....
.... Si tu veux connaître la suite de mon récit, achète le. Comment?
En commentant cette histoire. Je me fixe un nombre de commentaires à atteindre pour que je puisse te livrer la suite de mon vécu: le moment où je suis devenue littéralement une pute....
Bises
Votre discrète pute de marochienne
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31 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Salut j’aimerai savoir si cette histoire est un fantasme engrené par une frustration total (et pour chercher ça avec toutes les insultes non nécessaires envers une même communauté ça m’étonnerait qd même où ça serait assez inquiétant) ou ce compte est il tenu par une personne qui veut directement salir/ assouvir ses pulsions sur la femme maghrébine de manière assez inquiétante encore, car les expressions utilisées sont beaucoup trop cliché pour être écrites par quelqu’un de la communauté maghrébine, on dirait un flic en civile qui cherche à utiliser des expressions de cité devant un dealer
Bonjour, quelle superbe salope. Pas de suite ? Hâte de savoir si Brahim deviendra soumis à Amada… contacte moi et envoie la suite marochienne!
Humm grosse salope j'ai la bite prête à giclé sur ton visage
Une vraie bonne kelba je te soumettrais bien moi
Hafida,
Votre histoire est tellement torride, sensuelle ! Ultra sexe et tellement bien ecrite !!!
Encore s’il vous plait
Votre histoire est tellement torride, sensuelle ! Ultra sexe et tellement bien ecrite !!!
Encore s’il vous plait
J'ai l'impression que ton black passe plus de temps à se la ramener et à t'humilier verbalement qu'à te baiser ;-)
Super histoire excitente 👍😉
Dommage que tu ne veuilles pas publier la suite, 19nretour c'est déjà beaucoup pour ce site.
J'aime beaucoup tes histoires cela me fait revivre certaines aventures que j'ai eu avec des blanches.
Par contre si dans l'action j'ai été un vrai clébard en les baisant comme des chiennes ou encore en les prêtant à des frères
après je les ai toujours respectées.
J'espère que tu reviendras sur ta décision et que tu nous publieras la suite qui je suis certain sera très excitante comme toujours.
J'aime beaucoup tes histoires cela me fait revivre certaines aventures que j'ai eu avec des blanches.
Par contre si dans l'action j'ai été un vrai clébard en les baisant comme des chiennes ou encore en les prêtant à des frères
après je les ai toujours respectées.
J'espère que tu reviendras sur ta décision et que tu nous publieras la suite qui je suis certain sera très excitante comme toujours.
Nul à chier
Magnifique histoire bien écrite et surtout bien violente comme j'aime
Quel dommage de ne pas continuer. Je suis sûr, que derrière tous ces lecteurs et lectrices, il y en a pleins qui trépignent d'impatience de découvrir tes nouvelles aventures.
Merci pour les commentaires à tout ceux qui ont joué le jeu. C'est toujours un plaisir et une vraie source d'excitation pour moi de vous partager mon expérience. Un plaisir qui est complet quand vous me partagez votre ressenti. C'est pour cela que j'ai lié le partage de mon témoignage à vos retours. Le moins que l'on puisse dire, c'est que je suis déçue du retour. Sur 7000 lecteurs, seulement 19 commentaires: pas besoins d'être bonne en maths pour se rendre compte que c'est très très bas 😝. La suite de mon récit n'a donc pas l'air de vous intéresser....
Je continue d'écrire la suite de mon côté mais que dans l'état des choses je ne le publierais pas. Je préférerais en faire profiter seulement les personnes qui correspondent avec moi.
Votre discrète mère de famille
Je continue d'écrire la suite de mon côté mais que dans l'état des choses je ne le publierais pas. Je préférerais en faire profiter seulement les personnes qui correspondent avec moi.
Votre discrète mère de famille
Bonjour Hafida , merci pour la confiance que tu nous temoigne. je desire ardemment lire la suite de ton recit .
Quel épisode incroyable toujours aussi bandante dans ton écriture continu on en veux encore je me branle en t’imaginant te faire humilier comme une putain de marocaine sur tu es
Signer ton dresseur de pute marocaine
Signer ton dresseur de pute marocaine
encore un episode excitant de ta vie de marochienne à blacks... si tu es friandes d'humiliation sans limites ni tabou, vient sur skype, on se tapera de bon delire en toute anonymat ( live:escalex112 )
En attendant, j'espere que tu vas rapidement publier la suite de ta décheance ...
En attendant, j'espere que tu vas rapidement publier la suite de ta décheance ...
cc ma marochienne préférée
j'adore la suite de tes aventures
continue j'adore me caresser en les lisant
bisous et ne m'oublie pas ton docnasser13 ;)
j'adore la suite de tes aventures
continue j'adore me caresser en les lisant
bisous et ne m'oublie pas ton docnasser13 ;)
Si vous êtes assez conne pour obéir à 1 CASOS au point de vous prostituer c’est votre droit.
Mais ne glorifiez pas pour autant la pratique de la prostitution.
De part votre comportement vous devriez finir dans les baraquements ou la gamines se font niquer a la chaîne comme du bétail.
Vous comprendriez votre douleur.
Mais ne glorifiez pas pour autant la pratique de la prostitution.
De part votre comportement vous devriez finir dans les baraquements ou la gamines se font niquer a la chaîne comme du bétail.
Vous comprendriez votre douleur.
Franchement je k8ffe ton récit je suis ton histoire depuis le début et ça m'a beaucoup exciter maintenant je vais chercher une comme toi
Première fois que je commente une histoire…
Mais à vrai dire je suis devenu accro !!! Oui
Mais à vrai dire je suis devenu accro !!! Oui
Jamais j'achète à me rabaisser pour la suite !!! Je paie pas pour des pétards de chiennasses c'est pas pour payer un reçit à branleurs !!!
Ta perdues ta dignité et tu mérites pas Brahim, quelle honte... si tu veux être une pute c'est ton choix mais que insultes ton mari et le rabaisse ça c'est ce qui de fait passer dans un autre registre !!! Assume et divorce par respect pour Brahim !!!
Ta perdues ta dignité et tu mérites pas Brahim, quelle honte... si tu veux être une pute c'est ton choix mais que insultes ton mari et le rabaisse ça c'est ce qui de fait passer dans un autre registre !!! Assume et divorce par respect pour Brahim !!!
salut la petite chienne, je pense que le fait que se soit un black t'excite et t'humilie aussi.
Je suis d'origine algérienne et avec mon gros zeb j'en ai défoncer des salopes comme toi.
Je suis certain que l'idée de sucer dans les chiotte t'a fait directement mouiller
Par contre tu pourrais répondre aux commentaires ne serait-ce que par politesse
Je suis d'origine algérienne et avec mon gros zeb j'en ai défoncer des salopes comme toi.
Je suis certain que l'idée de sucer dans les chiotte t'a fait directement mouiller
Par contre tu pourrais répondre aux commentaires ne serait-ce que par politesse
Merci pour tes avis, je suis également très friand de tes histoires. Si tu veux discuter plus avant de nos perversions n'hésite pas kamalstory@gmx.fr
Histoire excitante
Peu importe le prix j'achète
Très bien écrit, j'adore votre cheminement. J'attends la suite avec impatience.
Histoire bien narrée, qui nous transporte d'une sphère sociale à une une autre sexuelle. le fait d'avoir pris l'initiative de mettre ton histoire au public te permettra par la suite de franchir le cap avec ton mari en le cocufiant de vrai. Le seul bémol dans cette histoire, c'est l'absence de Brahim lors de ton passage à Paris par les pensées ou arrières pensées qu'il peut imaginer sur ton attitude dans cette région. Tu t'es focalisée uniquement sur ton maître. Tu aurais dû orner ton texte par son implication dedans avec des appels que tu lui as passés, textos ... et ses prétendues impressions et doutes sur toi que tu le trompais peut être avec un autre homme, ce qui rend ton lecteur beaucoup plus excité que de t'imaginer fourrée par les bites de tes inconnus. Mais j'applaudis et j'achète la suite ...
Et bien je t'achète sale pute à black. Putain t'es de plus en plus une chienne de la casse. Une beurette sans valeurs née pour la baise et la baise la plus extrême à la merci de grosses queues de blackos. Si tu savais comme la mienne est tendue à l'idée de savoir que tu te fais engrosser par des gros chibres de négros. Tu m'excites sale kehba, tu mériterais qu'on te gang bang ici tous les mecs qui se branlent sur tes histoires de chienne en chaleur.
Récit qui monte en température petit à petit.
Tu aimes te transformer en kahba sans scrupules.
Une vraie marochienne en chaleur.
Tu aimes te transformer en kahba sans scrupules.
Une vraie marochienne en chaleur.
J’achète la suite sans hésité pour savoir la kehba que tu es devenue
Récit très excitant. Tu es très effectivement une vraie khaba.
J’achète la suite !
J’achète la suite !
Récit très excitant. Je comprends ton cheminement et tes doutes. Tu pourrais finalement soumettre ton mari tout en gardant ta vie de khaba pour toi.