De mère de famille à beurette à khôl - histoire érotique

C'est la première fois que j'écris sur le site, cela fait quelques temps que j'hésite à vous partager une histoire qui m'est arrivée en 2022 et qui restera gravée dans ma mémoire. Je n'ai jamais partager cette aventure avec personne. Les faits sont vrais mise à part mon prénom et celui de mon mari.


Je me présente Hafida, j'ai 41 ans et suis d'origine marocaine. Je suis mariée depuis près de 18 ans avec Brahim et suis l'heureuse mère de 2 enfants: un garçon de 15 et une fille de 13 ans. Je me considère encore comme une jolie maman, coquette et toujours bien apprêtée (non au legging et survêtement ici). Je fais 1m65, suis plutôt bien proportionnée avec un 95c et une cambrure prononcée qui mets mes belles fesses bombées en valeur (partie dont je suis le plus fière de mon anatomie). Après mes 2 grossesses, on peut voir les stigmates du temps sur mon corps ainsi que quelques rondeurs mais dans l'ensemble je me sens encore désirable. J'ai les cheveux châtains lisses et mi long, une peau légèrement cuivrée, un visage harmonieux et des yeux noirs en amande. Sans être un canon de beauté, je sais ne pas laisser les hommes indifférents même si mon attitude irréprochable et chaste me permets de garder à distance respectable la gente masculine et de pas être victime de comportements déplacés.  Étant musulmane: il m'arrive de porter le voile hors du travail, ce qui doit également joué. J'ai rencontré Brahim pendant mes études, nous avons pris notre temps pour officialiser notre relation et nous marier, étant tous les deux issues de famille très traditionnelles. Nous sommes restés 3 ans ensemble avant notre mariage sans relation sexuelle et avons découvert ensuite les plaisirs de la chair. Lui comme moi, n'avions jamais côtoyer d'autre partenaire. Je suis profondément amoureuse de mon mari et j'aime sa douceur, sa prévenance à mon égard et son implication dans l'éducation de nos enfants. Nous exerçons tout les deux des postes de responsable, moi dans l'administratif et lui dans l'ingénierie. Nous vivons dans un jolie maison et avons un bon niveau de vie. Nous avons de la chance dans la vie et nous vivons heureux.

Cependant Brahim n'est pas trop porté sur le sexe et nos rapports sont plutôt espacés, courts et peu variés ( très mécanique en fait). J'ai rapidement pris conscience que cela n'était pas essentiel pour lui et je m'en suis accommodée, notamment avec la naissance de nos deux magnifiques enfants. Par contre, depuis quelques années je ressens le besoin de soulager mes envies en m'adonnant à la masturbation, je satisfait mes besoins une à deux fois par semaine et souvent dans mon bain. J'aime m'imaginer dans des situations d'adultère avec des hommes vicieux et dominants. Ayant un fort caractère, je suis la maîtresse de maison et dirige mon service d'une main de fer au travail. Cependant j'ai en moi, un désir de soumission soft et l'envie de me sentir "chienne", de rencontrer un alpha qui me traite comme telle. Souvent dans mes fantasmes, cet homme est noir, la peau très foncée, dur et très bien gâté par la nature. Mon conjoint, en plus de ne pas être une bête de sexe, est plutôt pourvu d'un sexe que je dirai modeste et que j'imagine un petit peu en dessous de la moyenne. Que ce soit pour mes parents, ma belle famille ou mon mari, les noirs ne sont pas particulièrement appréciés et souvent stigmatisés. C'est souvent le cas où j'habite (dans la région grand Est), les mariages mixtes concernent plutôt des mélanges avec des familles blanche. Il est très mal vu pour une fille d'origine maghrébine d'être en couple avec un noir et cela porterait préjudice à la réputation de sa famille. J'imagine que le fait d'être attirée par les blacks vient de mes tabous familiaux et de la notion d'interdit qui en découle. De plus, ce mélange de la peur des noirs et mes fantasmes d'être asservie, me font considérer mes amants noirs dans mes flâneries sexuelles comme des guerriers, des êtres dominants avec d'énormes sexes devant lesquelles je m'imagine me prosterner et me soumettre. Cela fait longtemps que les mêmes fantasmes animent mes séances de relaxation solitaire.

Pour imager mes scénarios, il m'arrive de visionner des vidéos sur des sites spécialisés, avec des femmes maghrébines prisent par leurs amants noirs. Je préfère les vidéos amateurs et aime bien un site en particulier où certains protagonistes partagent régulièrement des vidéos de leurs nouvelles "victimes". J'apprécie particulièrement l'un d'eux qui édite ses vidéos sous le pseudo BBC4kahba: il a la peau très sombre, une voix grave et très directive, des mots souvent humiliants pour ses proies, une énorme queue et dégage beaucoup de puissance. A force de m'imaginer prise dans ses filets, c'est un peu comme si il faisait partie de ma vie, il devenait mon fantasme numéro un. Si bien qu'un jour, lorsque l'opportunité de le contacter afin le rencontrer s'est présenté: j'ai décidé de me lancer....


Je travaille pour l'État dans une direction territoriale, ce qui m'amène à aller sur Paris en formation de temps en temps. Mes dates posées et validées, j'ai pris mon courage à deux mains et écrit un message à BBC4kahba. Je lui ai envoyé un petit texte décrivant ma situation ainsi que mes envies et je ne tardez pas à recevoir une réponse de sa part. Il se dit toujours intéressé par une beurette à éduquer mais que je devez d'abord lui envoyer des photos pour accepter. J'étais tellement excitée par le fait d'être en contact avec l'objet de mon fantasme des derniers mois que je me suis précipitée dans ma salle d'eau avec mon téléphone. J'ai essayé de prendre des clichés me présentant dans des poses subjectifs mettant en valeur mon corps de maman sans laisser voir mon visage. Je lui transmis et suis restée de longue minutes à attendre son retour. Puis la réponse est tombée : "Validé, je vais m'occuper de toi comme il se doit salope". J'avais des papillons dans l'estomac et l'impression d'être une adolescente. Nous échangeons ensuite quelques messages pour fixer une date de rendez vous pour le lundi soir de la semaine suivante dans une chicha en périphérie de Paris.

Le jour J arrive et j'avais passé les derniers jours à osciller entre l'excitation et la tentation d'annuler le rendez-vous. J'allais commettre un adultère et j'avais des remords. Nous avions convenu d'avoir des rapports protégés et non filmés ce qui me rassurait. Mon excitation pris le dessus et je m'habille d'une robe rouge en flanelle avec de beaux sous-vêtements. Pour se reconnaître je lui envoie un message décrivant ma tenue n'ayant jamais échangé de photos de nos visages.

J'arrive dans l'établissement à l'heure prévue et le reconnais directement à la façon dont il me regarde, un regard perçant et carnassier. Ma première impression est qu'il est beaucoup plus jeune que ce dont à quoi j'avais imaginé, il doit avoir plus de 15 ans de moins que moi. Cependant, je me sens immédiatement attirée: il dégage de lui une aura, un magnétisme quasi animal qui m'impressionne. Il se lève, vient a ma rencontre, et me fait la bise en collant l'une de ses énormes mains sur mes fesses. Il sent très bon, une odeur de musc très masculine. Sa carrure est impressionnante, il doit faire près de 1m90 et possède un corps musclé (il m'avouera plus tard faire des sports de combat). Il n'est pas physiquement très beau avec ses gros yeux ronds et un nez aplati. Il est cependant bien habillé avec un polo et bermuda assortis qui mettent en valeur son corps d'apollon. Il a les cheveux rasé et une fine barbe soignée.

- je suis enchanté de faire ta connaissance Hafida, moi c'est Amada. Tu es superbe.

- merci Amada, ravie de te rencontrer également, répondis-je.

Il est très souriant et sa bonhomie me met progressivement à l'aise malgré le stress en moi et notre différence d'âge.Il me taquine gentiment sur mon accent puis commande 2 coupes de champagne au serveur. J'essaye de l'en dissuader, ne buvant pas d'alcool. Là directement son attitude change, il me regarde dans les yeux l'air sévère et me balance sèchement:

- je te garantis que ce n'est pas le plus haram que tu va faire ce soir, prends ça comme une mise en bouche. Tu vas voir, on va bien s'amuser tous les deux, ajoute-t-il le sourire en coin.

Je m'avoue vaincue, ne réagis pas et cela à l'air de lui plaire comme s'il venait de gagner une première bataille. A ce moment là, je comprends en mon for intérieur que je malgré sa jeunesse apparente, il était de nature dominante et cela m'excite au plus haut point de capituler si naturellement devant l'aura de ce gamin.
Les 2 coupes arrivent et nous trinquons dans la bonne humeur. Il se montre si charmeur, doux et amusant que j'en oublie presque ma gêne et la raison de ma présence ici. Nous reprenons une tournée le plus naturellement du monde.

Doucement il commence à me questionner sur ma profession, ma situation familiale et dérape vers le domaine de mes expériences sexuelles. Et moi sous l'effet de l'alcool (ma dernière goutte remonte avant la naissance de mon fils) et de son magnétisme: je me mets à tout déballer à ce gamin. Ma frustration sexuelle, mes fantasmes, mes expériences. Il passe de l'étonnement à l'intérêt quand je lui partage mon manque d'expérience et mon attrait pour les mâles blacks.

- on va vraiment bien s'amuser tout les deux. Je suis bien tombé avec toi, et toi tu es tombée sur le bon negro" s'amuse t'il a dire.

A ces mots, il glisse sa main sous la table et me caresse la cuisse. Je ne vous cache pas que cette discussion couplée à cette caresse me mets dans tout mes états et que j'ai déjà la chatte humide.

Dans la foulée, il appelle le serveur pour régler les consommations. Il s'agit d'un jeune métisse qu'il a l'air de bien connaître et lui glisse en réglant la note:

- je te présente Hafida, petite provinciale mariée frustré en chaleur. Elle kiffe les renois. Beau morceau, hein?

- ah ouais, je peux croquer?

- nan, je partage pas et je garde ce plaisir pour moi dit Adama en rigolant de toute ses dents.

Il se retourne vers moi et ajoute:

- par contre, donne un pourboire à mon pote comme une bonne beurette à khel. Paye ton respect.

La remarque est cinglante et me touche en plein sternum. Je me sens à la fois révoltée et excitée d'avoir été affichée devant un adolescent. Cependant je m'exécute et me voilà a glisser honteusement un billet de 5 euros au serveur.

- allez, on y va, je t'amène chez moi.
On se lève et il vient me malaxer le cul comme si il faisait un contrôle de qualité. Nous quittons le bar sous le regards amusés de 3/4 clients à qui il adresse un clin d'œil appuyé.

Pendant que nous marchons, je panique a l'idée d'être tombée dans un traquenard et d'être abusée par plusieurs personnes. Comme si il avait senti mon inquiétude, il me dit:

- t'en fait pas, j'ai pas prévu de te faire tourner mais on aime bien se montrer nos prises entre potes. D'ailleurs je suis sûre que ça ta excitée que je te présente comme ma salope à nègre au serveur?

- non pas vraiment, fis je faussement au bout de quelques secondes.

- toi tu me plais ma chérie me dit il et m'embrasse tendrement sur la joue.

Nous marchons une quinzaine de minutes entre rires et taquineries sur nos âges respectifs.

Arrivée devant la porte de son appartement, il met la clef dans la serrure et se retourne l'air grave.

- es tu sûre d'être prête? A partir du moment où on va franchir cette porte, tout change tu sais. Tu ne seras plus une respectable mère de famille mais tu vas devenir Hafida ma chienne. Si c'est ce que tu veux, tourne la clé.

Je prends une inspiration, car malgré mes doutes et le remords de tromper Brahim, je me sens prête à devenir celle que j'ai tant fantasmé être et à vivre mon expérience à fond. Donc je tourne cette clé, symbole de mon acceptation.

A peine entré dans l'appartement, je sens Adama changer d'attitude comme si il devenait animal. Il me plaque violemment contre la porte, d'une main il m'attrape les poignets et tend mes bras au dessus de la tête. De son autre main, il m'explore le corps avec ardeur et me glisse dans l'oreille que j'étais a lui maintenant. Je sens une énorme bosse dans son pantalon contre mon bassin, cela m'excite terriblement. Il arrache ma robe et me claque une énorme gifle sur la fesse qui m'arrache un cri tant de surprise que de douleur. Cela me fit même monter les larmes au yeux devant la rudesse du coup.
Il m'ordonne d'ôter mes chaussures puis de me mettre a quatre pattes en sous-vêtements face contre le sol et fesses en l'air. Je suis heurtée par sa demande mais pour qui il me prend ce jeune coq, l'envie de le remettre à sa place et de me tirer me traverse l'esprit. Je le fusille du regard mais il me toise de toute sa hauteur et me dit calmement:

- ma casa, mes règles. Je t'ai prévenu devant la porte si t'assumes pas, pas de problème prends tes cliques et tes claques et tu te tires. Retourne jouer à touche pipi avec ton mari.

Tout s'entremêle dans ma tête, l'envie de me faire respecter et de me casser était confronté à celle de vivre mon fantasme jusqu'au bout. Malgré ma vexation, je ne peux nier que la situation m'excite sans doute aidée par l'effet de l'alcool. Vaincue: je baisse les yeux, ôte mes chaussures et me mets dans la position humiliante imposée par Amada.

Il s'installe sur le canapé trois mètres plus loin et profite de la scène: moi, la si fière Hafida dans une position de soumission, ma croupe tendue et offerte à sa vue.

- j'adore ton gros cul de daronne maghrébine, tu vas prendre chère. Tu vas apprendre à être ma chienne, je suis expert dans le dressage des petites salopes dans ton genre qui font les belles. Je vais t'expliquer les règles salope. 
La première est qu'une bonne chienne reste à quatre pattes 
La deuxième est qu'une chienne bien dressée exécute les ordres de son maître sans sourciller.
Et la troisième... je l'ai en main, tu verra plus tard. 
Tout est claire pour toi chiennasse?

Je ne réponds pas, choquée par la violence de ses propos. C'est comme si il voulait m'enlever toute mon amour propre, faire de moi une sous femme, me traiter comme une animale. C'est vrai que j'étais là dans le but de découvrir mon côté chienne mais de la à devenir littéralement une vrai chienne, il y a un fossé quand même. On est loin des scénarios que je m'étais faite dans ma tête. Une fois de plus, tout s'entrechoque dans mon esprit entre mes valeurs, ma fierté, mon amour propre et mon indéniable excitation. J'avais l'impression d'être prise dans un impitoyable engrenage. Mais je ne peux pas me mentir, la situation m'excite follement. 

- je t'ai demandé si c'était clair ? insista-t-il 

- oui, répondis je timidement 

- oui qui?!

- oui.... maître, ce dernier mot m'écorcha la bouche

- bien, c'est mieux. Maintenant roules du cul pour moi.

Je me suis mis a rouler des fesses sans même réfléchir, j'étais en train de lâcher prise. Comme si mon seul but à ce moment précis était de satisfaire ce colosse autoritaire qu'une heure avant je n'avais jamais rencontré. Le pire dans tout ça c'est que moi la femme à fort caractère, je prenais goût à me faire contrôler par la voix grave de ce gamin.

- c'est bien ma chienne, j'aime trop ton gros pétard d'arabe. A mon signal tu va reculer vers moi en marche arrière en gardant les fesses en l'air et en continuant de rouler du cul

Je reste de longues secondes dans cette position humiliante a onduler mes larges fesses attendant un signe de mon maître. Il me siffle comme un vulgaire clébard et ajoute " au pied ma chienne". Comme hypnotisée, je m'empresse d'exécuter son ordre comme la bonne chienne que j'apprends à être. J'essaye tant bien que mal à rouler du cul en reculant même si la manœuvre est délicate. J'arrive au niveau de ses jambes et il m'invective à nouveau:

- frotte ton cul sur mes jambes

Je m'exécute sans plus aucun état d'âme comme ayant acceptée mon rôle: être sa chienne. 

Il me demande ensuite de retirer mes sous-vêtements et de me tenir assise sur les talons. Je lui dévoile fièrement ma poitrine les tétons dressés. Il commence à me pétrir, malaxer, soupeser mes seins sans oublier de me titiller les tétons: il combien une douceur extrême à force froide qui me comblent. Pour montrer son contentement, il me caresse les cheveux à l'image d'un maître gratifiant d'une caresse son animal. 

- tu es une bonne chienne mais il te manque quelque chose pour parfaire ton dressage. Règle numéro 3: un collier tu porteras.

Adama prends en main un collier de cuir et l'attache à mon cou. Même si je trouve cela dégradent, j'ai conscience que nous sommes dans un jeu de rôle et je trouve la sensation de lâcher prise des plus agréable. J'ai vraiment l'impression de vivre dans un monde parallèle, ce qui m'aide certainement inconsciemment à lever les derniers remords de mon adultère en moi. Le collier n'est pas si désagréable à porter et de toute façon je n'ai pas le choix de m'en accommoder.

- comme toute bonne chienne, tu attends ton nonosse. Tu veux ton os à manger?" Me demanda-t-il avec un air amusé en mettant la main sur son entre jambes

- oui, dis je d'une voix fébrile 

- et bien mérite le" dit-il sèchement 

Il ôte une de ses claquettes et la jette quelques mètres plus loin. Il me gifla sèchement un sein et m'ordonne: "va chercher chiennasse d'arabe"

Nullement révoltée par son injure raciste ou de son injonction, je me plie à mon devoir envers ce maître noir: lui mon montrer mon obéissance. Je pars à quatre pattes à la recherche de sa claquette et la prends dans la "gueule". Je lui ramène, la présente à quatre pattes devant lui et croise son regard satisfait, ce qui honteusement me fait plaisir de le sentir fier de moi. Il me gratifie d'une caresse énergique dans les cheveux et deux claques amicales sur la joue. 

- dis moi ce que tu veux?

- ....mon os...

- t'es quoi toi?

- une chienne?

- sois plus claire!

- une chienne en chaleur?

- Plus claire!

- une sale chienne d'arabe en chaleur qui veut se faire prendre par son maître noir

Il se met à rire et ajoute que j'étais née pour être une chienne à negro comme toutes ces putes d'arabe qui font les malignes. Il se lève, baisse son pantalon et se rassoit. A quelques centimètres de mon visage, sous un boxer prêt à exploser, se trouve l'objet de ma convoitise, ma récompense.... mon OS à rogner. Il a l'air amusé de ma fascination et dit en ricanant:

- ma kheba à l'eau a la bouche on dirait, comme une chienne affamée

Il baisse son caleçon et devant moi se dresse sa monstrueuse queue. Elle semble disproportionnée, surtout vu d'aussi près, on dirait une matraque. Longue et grosse à la fois, épilée et majestueuse. Même sa forte odeur m'enivre. Je suis autant excitée que paniquée devant sa taille; elle doit faire le double de celle de mon mari surtout en largeur. Allais je pouvoir encaisser un tel morceau? Irrésistiblement attirée, j'ouvre la bouche, lance ma langue au contact de ce pieu de chair. Adama tire d'un cou sec en arrière sur mon collier, ce qui à ma surprise m'arrache un grognement de frustration.

- supplie moi grosse truie

Ne me reconnaissant plus, moi la mère de famille respectable à genoux devant la queue noir d'un gamin m'humiliant. J'aimais ça et je sens mon sexe s'humidifié.

- s'il te plaît, est ce qu'une vieille chienne comme moi, peux avoir l'honneur de sucer la queue d'un mâle alpha comme toi? Lui dis-je droit dans les yeux, le regard suppliant.

Il lâche la laisse et je me jette sur cette queue comme une affamée. Ma langue entre au contact de la base de sa virilité et je la fait remonter jusqu'à son énorme gland. Je m'applique à lécher chaque centimètre de son sexe sans oublier ses grosses noix. Après quelques minutes, je me décide de tenter à l'avaler. Je dois faire des efforts de souplesse pour ouvrir ma bouche en grand afin de la faire entrer mais je n'arrive qu'à en ingurgiter qu'un tiers tant elle était énorme. Il appuie sur ma nuque pour me donner le rythme et je suis prise d'étouffement quand il me force à l'engloutir plus profondément. Paniquant je lui mordille légèrement sa queue, il me libère de l'étreinte mais me met une claque de cowboy sur les fesses qui me laisse son voix et fait monter les larmes aux yeux.
Penaude je m'excuse de ma maladresse comme un enfant pris entrain de fauter. Il place ses deux mains sur ma tête pour imprimer son rythme et la profondeur. J'écarte ma bouche au maximum pour ne plus fauter. Je me sens comme un vulgaire objet sexuel, comme un poupée gonflable. En même tant que je bavais, que je m'étouffais sur son membre je sens croître mon excitation d'être maltraitée de la sorte moi la si fière Hafida. Il sort sa queue de temps en temps pour me frapper le visage de son sexe plein de bave. Le supplice dura de longue minutes pendant lesquelles Amada m'insulte de tout les noms et me gifle les fesses, me faisant comprendre que j'étais sienne. Il lâche sa prise et me fait grimper sur son canapé en position de levrette en tirant sur mon collier. Je l'entends ouvrir un préservatif et il se place derrière moi. Ça y est on y est, j'allais enfin me faire prendre par mon amant comme dans mes fantasmes. Morte d'envie je tend mon derrière le plus haut possible pour inciter la pénétration. Il s'amuse à coulisser son sexe entre la raie de mes fesses pour prolonger mon attente comme pour m'inviter à la supplier de me prendre, ce que je fais comme dans état second tant l'envie m'enivre:

- baise moi, s'il te plaît, défonce moi de ton énorme bite. Je te veux, je suis ta chienne, souille moi....

Et la d'un coup sec il me remplit jusqu'à la garde ce qui m'arrache un cri d'animal. Malgré ma volonté et mon excitation, je n'étais pas prête pour un tel assaut. Je me sens prise d'un mélange de douleur et de satisfaction même si la douleur prend le dessus à ce moment précis. Il reste quelques secondes son pieu enfoncé en moi et commence son travail de destruction. Il m'agrippe par les hanches et imprime une cadence puissante limite bestiale. Je suis dans un état second, criant à chaque coup de boutoir, je grogne comme une bête. Il me besogne ainsi de longue minutes sans ralentir le rythme. Dans mon état de transe je sens comme un boule de chaleur exploser en moi, mes muscles se contractent: je suis en train de jouir. De vraiment jouir: j'ai le premier orgasme de ma vie. C'est à ce moment-là que mon merveilleux amant me soulève comme une crêpe et continue de me baiser debout, moi les jambes en l'air, sans aucun contrôle de la situation. Il me ballade dans la pièce à la force de ses bras comme une enfant, tout en continuant de me faire monter et descendre sur son pieu. La position est très inconfortable mais l'impression d'être démonter la chatte ouverte envers toutes les lois de la gravité est folle. Il se désengage, me retourne, et me prend face contre lui toujours ses bras. Il m'enfourne sa grosse queue en me tenant par le cul. J'enlace mes jambes autours de sa taille et le serre de toutes mes forces avec mes jambes. Nous avons les yeux dans les yeux et il me regarde fixement l'air de dire "tu as compris ce que c'est le black power". Il me roule une pelle, moi je lui rends son baiser en l'embrassant fougueusement comme une jouvencelle amoureuse pendant qu'il continue à m'exploser la chatte. Cela provoque mon deuxième orgasme de la soirée, moins puissant que le premier mais tout aussi plaisant. Il retire son glaive de moi et me jette sur le lit. Je sens mon sexe vide et complètement élargie. Il ôte son préservatif, me fait tirer la langue et se branle devant mon visage. Il enfonce sa virilité dans ma bouche et pour me gicler sa semence en me pinçant le nez pour m'obliger à avaler son nectar. La bouche remplie de son liquide et j'avale jusqu'à la dernière goutte sous les encouragements de mon maitre (chose que je n'avais fait auparavant). Je le gratifie même d'un sincère "merci" puis il me présente sa bite afin de la nettoyer avec ma langue. J'effectue le nettoyage en mode pilotage automatique, n'ayant plus conscience de rien tant j'étais vidée. Ensuite il s'écroule lourdement sur le lit et moi je reste en position
recroquevillée. Soudain il me siffle comme la chienne que je suis devenue et m'ordonne de lui ramener ses cigarettes posées sur la table basse. Je descend du lit et pars à quatre pattes les chercher. Mes jambes sont lourdes et je suis cassée de partout, mais honteusement fière de servir ce gamin qui m'a fait jouir comme jamais auparavant. Je reviens le paquet de clopes dans la bouche pour le présenter à Amada. Il le prend, s'allume une cigarette pendant que je reste là assise sur mes talons. Après quelques secondes, il m'invite à le rejoindre sur le lit avec deux tapes sur le matelas comme un maître appel son chien au pied. Je ne fais pas prier et viens me lover contre son corps musclé. Je me sens comblée contre lui, je lui caresse le torse avec tendresse. 
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- as tu aimé comment je t'ai baisé?

- oui, je n'avais jamais pris autant mon pied" lui avoue aie-je 

- j'imagine que ça te change de ta fiotte de mari, dit-il sur un air de défi

Je tique de l'attaque sur mon mari, cela fait remonter ma culpabilité occulté d'adultère. Mais au lieu de culpabiliser de mon acte, je trouve excitant de prendre conscience de l'humiliation de Brahim. Mon mari sans être raciste, n'accepterais jamais que notre fille fréquente plus tard un black. Alors m'imaginer le savoir me faire traiter comme je le suis et jouir comme je l'ai fait par un gars comme Amada, cela m'excite terriblement. Les méandres de l'esprit humain sont complexes, l'humiliation de mon mari par Amada ne fait qu'accentuer la mienne. Me rendre encore plus chienne....  et j'aime ça, cette sensation de n'être qu'une femelle en chaleur soumise à son mâle dominant. Prenant conscience de ce schéma, je rentre dans le jeu d'Amada.

- oui, il n'a jamais vraiment su me baiser, merci de m'avoir fait découvrir la chienne que suis" lui dis-je en le serrant fort contre moi.

- Dis moi son prénom?

- Brahim

- dis que Brahim est une fiotte d'arabe.

- Brahim est une fiotte et sa femme est une chienne à kelhouche" lui dis je droit dans les yeux

J'entreprends à l'embrasser et le lécher sur tout le corps pour lui prouver mon approbation de "marochienne" bien dressée. Je commence par ses pieds comme signe de soumission. Sentant qu'il a touché une corde sensible en me parlant de Brahim, il enfonce le clou:

- il a petite bite je parie ton cocu de ma mari?

- oui, ridicule a côté de la tienne" lui dis-je en suçant son orteil 

- dorénavant tu vas avoir du mal à te satisfaire de sa petite bite de morbak après avoir goûté à la matraque congolaise" dit-il en riant. " Je parie que les prochaines fois qu'il va tremper son kiki, tu vas penser à ma matraque de négro.

Je lui caresse le sexe de la main en signe d'approbation.

- j'aime marquer mon territoire avec les putes d'arabe comme toi, encore plus avec celles mariées à des fiottes. J'aime les marquer dans leurs chairs, à la l'image d'un tatouage au fer blanc d'un esclave. Si tu penses avoir pris ton tarif, sache que ce n'était qu'un demi tarif. Il me reste encore un orifice à souiller.

L'entendant dire cette dernière phrase je me raidis. L'idée de perdre ma virginité anale par son anaconda me fit peur. Il allait me déchirer, littéralement me péter le cul. Sentant mon appréhension, il me caresse tendrement le haut du crâne et me déclare:

- t'inquiète pas, je sais y faire, je vais y aller doucement...... au début" pouffant de rire sur les derniers mots

Même si j'étais craintive, je savais que j'allais m'offrir pleinement à lui: j'étais sous son emprise et il le savait. Je ne ressens plus aucun remords à mon adultère, à mon humiliation tant familiale que raciale (lui qui aime rabaisser les arabes à des sous merde), à ma soumission: bref à ma putitude. Il avait transformé la femme fière, pieuse et forte que j'étais en grosse chienne obéissante et reconnaissante envers un gamin de 25 ans. 

Je continue à honorer son corps musclé de baisers et léchouilles. Puis il m'incite à commencer un 69, lui en dessous et moi au dessus. Pendant que je m'occupe de son monstrueux phallus avec ma bouche, il explore mon sexe endolori d'une langue experte et entreprend à glisser un doigt dans mon anus pour détendre mon sphincter. C'était tellement agréable que je ne peux me retenir de geindre comme une pucelle. Me sentant réceptive, il introduit son gros pouce en lieu et place de son autre doigt. La combinaison de sa langue et de la perforation de ma rosette est si délicieuse que je commence à tortiller du cul pour faciliter l'exploration. Amada me tapote la fesse pour me faire comprendre que les choses sérieuses vont commencer.
En femelle obéissante, j'arrête mon travail buccal et me mets en position de levrette sur son lit. Il me place au bords de son matelas, enfile un préservatif et verse du lubrifiant sur ma raie. Il entame la lubrification de ma porte arrière en glissant son doigt dans mes fesses. J'aime cette caresse inconnue pour moi il y a encore quelques minutes mais je reste crispée par peur de la douleur. De son autre main il me malaxe les seins tendrement pour me détendre. Il s'amuse à coulisser son zob entre ma raie pour bien l'humidifier de lubrifiant. Il présente la tête de son manche à la porte de mon anus, pousse légèrement et m'exhorte à me détendre en poussant comme quand je vais à la selle. Je sens progressivement sa pine entrer en moi, chaque centimètres gagnés dans l'exploration de mon arrière train sont un calvaire et je ne peux m'empêcher de me crisper. Une fois de plus dans cette soirée les larmes me montent aux yeux et je ne prends aucun plaisir à cette pénétration hormis celui de satisfaire mon amant. J'ai l'impression de me faire écarteler de l'intérieur, de ressentir un tison me brûler les entrailles. Je secoue la tête et répète des "doucement" et grognements plaintifs. Amada prends son temps dans l'exploration de mon cul, m'exhortant à pousser et en se montrant compréhensif en me rassurant. Mon sphincter s'habitue doucement à cette barre de fer et ses caresses me détendent progressivement. C'est le moment choisi par mon bourreau qui me tient par les hanches pour une violente poussée qui m'arrache un cri de bête blessée. Il change complètement de sa douce attitude et commence son travail de destruction en effectuant d'ample mouvements de va-et-vient dans mon postérieur. Il me tire par les cheveux pour accompagner son pilonnage. J'ai mal, très mal, je vis un véritable calvaire; il est bonnement entrain de me péter le cul. De plus, il me fait mal au cheveux m'obligeant à lever la tête le plus haut possible ce me fait mal au cou par ricochet. Ses aller-retours s'accompagnent de grosses claques régulières sur mon imposant postérieur ainsi que d'un flot d'insultes.

- Fermes ta gueule sale truie, me cria t-il. Je vais te montrer comment je traite les grosses putes mariées comme toi. 

Son ton avait changé, il semble possédé tant dans ses mots que dans ses coups de reins ravageurs. 

- tu fais moins la fière avec tes airs de supérieurs une bite dans le cul, je vais te donner la punition que ta fiotte de cocu de mari devrait te donner.
Je vais t'exploser ton gros fion de chienne infidèle.

Je ne suis que grognements, je ne lui réponds même plus. Au delà de la souffrance, je vois au loin une lumière. Une lumière de plus en palpable, c'est celle du plaisir de me faire si vigoureusement enculer. La douleur s'estompe peu à peu pour laisser place à une vague de plaisir maintenant que mon cul s'est détendu. J'aime cette sensation d'avoir le cul plein, de me faire enculer comme une femme de petite vertu.

- faut pas prendre de gants avec les putains comme toi. Juste leur péter la rondelle.

- oh oui, c'est trop bon. Défonce moi le cul....

Certainement excité par mes mots, il sort son sexe intégralement de mon cul pour prendre de l'élan et me transperce au plus profond. Quelle sensation de sentir son énorme lance me vider le corps pour revenir me remplir. Je rentre en transe sous son pilonnage violent, je me sens dans un état second. Je grogne, crie, comme une d'écervelée. Je n'entends même plus les injures de mon tortionnaire, je l'implore à m'enculer comme une traînée. Je perds toute notion de temps, mais j'ai l'impression qu'il me besogne plusieurs dizaines de minutes. Alternant les angles et le rythme, mais sans jamais faiblir: quelle endurance! Moi, je suis défaite: je ne suis une femme mais juste un trou qui se fait remplir. Soudain je sens Amada raidir et se crisper, il jouit enfin dans un grondement de satisfaction. Il me montre fièrement son préservatif teinté de noir et rouge, trace des dommages de mon rectum. Il se laisse tomber de tout son poids sur lit le sentiment du devoir accompli. Quand à moi, je reste en position foetale l'anus complètement ouvert. Je ne peux plus bouger, je suis complément anesthésiée. Nous restons de longues minutes dans cette position l'un comme l'autre. Il finit par me dire: 

- c'est bon ma cochonne, t'en a pris assez pour ce soir. Tu peux dégager.

Je vais dans la salle de bain, je reste sous le choc de mon image dans le miroir. J'ai les cheveux en bataille, les traits tirés, maquillage coulé mais je ne peux me défaire d'un sourire au coin des lèvres. Je me lave le visage, sors, rassemble mes affaires et m'habille. Dans un ultime poussée de reconnaissance, je vais voir Amada pour le remercier de cette soirée en eau trouble. Il me dit être une bonne pute, et qu'une seconde séance d'éducation est possible si je le veux. Je ne sais pas quoi répondre, tant mon corps est endolorie, à part de nouveau merci.

Et me voilà quittant son appartement essayant de marcher correctement tant bien que mal. Je me sens ouverte de partout et surtout ouverte au plus profond de moi, en mon for intérieur. Oui, j'en ai la certitude au plus profond de moi: je suis née pour une chienne à negro.

Voilà comment se passa ma première rencontre avec Amada