Début de soumission 2 - histoire érotique

Suite de ma rencontre avec Elodie, celle qui va devenir ma Maitresse, “Madame”
Entre”
Elle me précédait, ce qui me donna l’occasion de profiter de son joli petit cul, parfaitement moulé dans sa robe, sans qu’aucune trace de culotte ne se remarque.
“Je sais que tu as adoré me lecher vendredi. Je dois dire que tu es assez doué. Je n’ai rien à vendre, j’avais juste envie de te revoir, et il m’a été facile de te retrouver, j’ai beaucoup fait rire Sophia quand je lui ai raconté notre visite à l'hôtel… “
Oui, bien…
Ne dis rien, écoute moi.”
Ce n'était pas une demande, mais un ordre. La tête basse, je me tus, la laissant parler.
“J’adore avoir un homme à ma disposition. Et je sens que tu as du potentiel. Tu as dû t'en rendre compte, j’aime qu’on m’obéisse. Je suis certaine que tu es venu juste pour me revoir, juste par envie de revivre ce moment à l'hôtel. Réponds moi.
“Et bien, en fait…
“pas la peine de te justifier, tu réponds par oui ou par non. C’est simple. Tu avais envie de me revoir ? “
J’avalais difficilement ma salive, avant de murmurer un peti oui.
Plus fort, je n’entend rien. Assume, tu avais envie de me revoir oui ou non ?
Oui” Cette fois, mon Oui était plus fort, même si j’avais la voix un peu tremblotante.
“Et tu as envie à nouveau de me lecher ?
Oui
Ah très bien. Une règle, tu m’appelle “madame" et tu me vouvoie. C’est clair ?
…. oui… fis-je d’une petite voix.
Visiblement, non, ça n'est pas clair. Tu n’as pas bien compris.
Ah, pardon ,oui madame….
Bien. C’est mieux. Je t’ai vu reluquer mes pieds, vendredi. Ils te plaisent ?
Oui, madame, ils sont très beaux.
Je le savais. Sophia avait remarqué aussi que tu regardais ses pieds en louchant dessus.
Cette remarque me fit un peu peur, visiblement je n’étais pas discret…
Mais j'adore mater les pieds, j'aime l'été, quand les femmes sont en sandales, ou escarpins ouverts. J'ai tellement envie de les embrasser, de les masser.. malheureusement, ma précédente copine avait horreur de ça…
-Alors, voila ce que je te propose aujourd’hui. Je dois bosser encore quelques minutes au bureau. Tu vas venir sous le bureau, à mes pieds, et tu vas les masser. C’est compris ?
Oui madame.
C’est tout !!!! cache ta joie !! j’espere que tu y mettras un peu plus d’antrain.
Elle s’assis alors sur son fauteuil, derrière une large table en verre, et je me glissais péniblement sous son bureau, à ses pieds…
-attends, avant de t'installer, tu te déshabilles complètement. Allez, dépêche toi.
Je me déhanche à nouveau pour sortir de son bureau, et hésite un peu en la regardant avec un petit regard apeuré.
Dépêche toi, à poil, vite, je te donne 20 secondes pour tout enlever, sinon tu rentres chez toi. Et je raconte à Sophia ce qui s'est passé la semaine dernière.
La perspective que ma cheffe puisse être au courant m'a effrayé, et je me suis dépêché de tout enlever, en gardant une main timide devant mon sexe.
-Enlève ta main tout de suite, je veux voir avec quoi tu espères me baiser..
Ouais.. bof, c'est pas bien gros.. J'espère que tu sais t'en servir. Si tu es obéissant, peut être que je te montrerais ce que c'est qu'une vraie queue.
Allez, sous la table. Tu vas enlever doucement mes chaussures, en les embrassant, puis tu t'occuperas de mes pieds. Et je t'interdit de regarder plus haut que mes genoux. Ta seule préoccupation, c'est mes pieds.
Je me contorsionne à nouveau pour me retrouver à ses pieds, sous son bureau. Je détache doucement la boucle qui entouré sa fine cheville, tout en embrassant le cuir. Je lui retire sa chaussure, puis passe à l'autre pied,. Une légère odeur musquée arrive à mes narines. En posant les escarpins à côté de sa chaise, je risque un Œil entre ses cuisses, sa petite robe me laissant le plaisir de découvrir un mini string entièrement transparent, laissant deviner un sexe parfaitement glabre.
Un coup de pied vient me rappeler à l'ordre.
-Tu mattais, hein, !!! Tu ne sais pas obéir !!! On va régler ça plus tard.
Tu es à ta place, comme un gentil toutou. Et comme les toutous, tu va sentir mes pieds, puis les lecher avec ta langue. Je veux la sentir sur l'ensemble de mon pied, dessus, dessous, entre les orteils.
Je prends alors délicatement son pied gauche, et commence à embrasser le dessus, passant mes lèvres partout, puis le soulevant légèrement, je peux embrasser la plante, légèrement odorante.
-Leche !
Je sors ma langue et la passe sur toute sa plante, goûtant ainsi à son pied
Puis je m'attaque à ses doigts de pied, en commençant par le plus petit. Je l'enroule autour de ma langue, passe celle ci entre les 2 doigts, faisant de même pour les autres.
-Allez, nettoie les bien, suce mes orteils, que je vois comment tu t'y prends. Et tu commences par le gros.
Me voilà ouvrant la bouche, prenant son pouce en bouche, passant ma langue autour, puis le sucant de mes lèvres.. comme une petite bite. Cette réflexion me vient, et me dégoûte un peu, je n'ai pas envie de sucer un sexe masculin, maïs je ressens une douce chaleur au niveau de mon bas ventre en glissant son orteil dans ma bouche.
-Suce mieux, mets y un peu plus d'ardeur, on dirait une pucelle face à sa 1ere bite. Allez, je veux sentir que tu aimes mes pieds. Sinon, pas la peine d'imaginer revenir.
Elle me bouscule un peu, forçant ma bouche avec son pied, essayant de le faire rentrer en entier.
De son autre pied, elle vient tâter ma queue, qui sans que je ne m'en sois rendu vraiment compte, est bien dure.
-Mais dis donc, tu aimes ça, mon petit chien. Tu as la queue toute dure… Et même humide. Tu mouilles comme une petite cochonne..
Elle passe alors son gros orteil sur mon gland, et le frotte doucement. Cette douce caresse m'excite encore un peu plus, d'autant que, en effet, mon gland est bien humide, et son pied glisse facilement. Je sens que, si elle continue, je ne vais pas pouvoir me retenir. Quelques gémissement sortent doucement de ma gorge, ce qui la fait s'arrêter..
-Et bien, je fais de l'effet à ma petite chienne… Ne me dit pas que tu vas déjà juter….
Allez, change de pied, et nettoye tes salissures.
Je tente de protester, mais elle a rapidement interverti ses pied, et son orteil mouillé de mon jus est déjà contre mes lèvres.
-Ouvre immédiatement. Suce le, nettoie le parfaitement.
L'ordre est sec, et je n'ose y répondre. Alors j'ouvre doucement ma bouche, et pour la 2eme fois en moins de 10 minutes, me voilà en train de sucer l'orteil d'Elodie. Ou devrais je dire “madame”.
Je n'ai jamais goûté mon sperme, ni même la mouille d'excitation… ça me dégoûte un peu, et l'idée ne m'excite pas du tout. Mais la, je n'ai pas le choix, et si je veux revoir madame, je dois y passer.
L'odeur n'est pas si forte, et le goût assez neutre, alors, je m'applique à bien lecher, sucer son appendice, comme le premier, en y mettant toute mon ardeur possible.
-Pas mal, mais il faudra que tu t’entraînes, je sens que tu peux faire beaucoup mieux, n'est ce pas ?
Je ne sais trop que répondre, ne voyant pas vraiment comment faire beaucoup mieux.
-Repond , mon petit chien.. tu peux faire mieux, ou c'est inutile que je te fasse revenir ?
Ayant trop envie de revenir, sans trop comprendre tout ce qui se jouera, je répond par un “oui madame” timide, mais assez fort pour que cela la satisfasse..
-Bien, allez, assez jouer..,
A ce moment là sonnette retentit, ce qui me tétanisa. Aucune envie de me retrouver à la vue d'un ou une inconnue complètement nu, sous le bureau en verre, totalement transparent..
Je tente de bouger pour me sortir de l'espace, mais tonitruant “ Ne bouge pas” me cloue sur place.
Elodie se lève, reajuste sa petite robe et se rend vers la porte d'entrée.
Elle ouvre en grand, un livreur apparaît.
-Ah, ça doit être le colis pour ma petite chienne, merci..
Elle signe le reçu, tout en se décalant pour que le livreur est une vue complète sur la pièce, et, fatalement, ses yeux tombe sur le bureau…
-Attendez, dit elle au livreur, je vais vérifier qu'il ne manque rien.
Elle se retourne, laissant le livreur admirer son joli fessier, et revient lentement vers le bureau, en se décalant un peu, pour être certaine qu'il puisse voir. Honteux, je baisse les yeux, humilié… Elle pose le colis sur le plateau en verre, et, ostensiblement, me tend son pied. Je comprend immédiatement, et, sous le regard curieux du livreur, reprend mes baisers sur son pied.
Apres quelques secondes trop longue pour moi, ma maîtresse reprend.
-Bien, tout est là. Dommage que je sois pressé, mais la prochaine fois, je suis sur que ma petite chienne viendra vous faire la fête… !!
En disant cela, elle caressait mon visage avec son pied. Je sentais le regard du livreur sur moi, curieux et amusé …
Elle le congedia, puis me dit
-allez, sors de la, toi.
Debout, les bras en l'air que je te vois mieux
Et me voilà debout, la queue toujours au garde à vous, devant ma maîtresse
-Pas de doute, tu as du potentiel. Je te l'ai dit, j'aime qu'on m’obéisse.
Tu veux me revoir ?
Je ne réfléchi pas trop longtemps
-Oui Elo… une gifle me stoppa net
-Oui madame.
-Voilà. Bon, voici mes conditions
Tu reviens samedi à 18h, entièrement épilé, j'ai horreur des poils. Je t'enverrai ton rdv avec une de mes amie esthéticienne. Interdiction de te branler d'ici là. Je veux ta queue pleine de jus samedi. C'est compris ?
Oui madame.
Tu es prête à m'obéir ?
L'emploi du féminin me gêne un peu, mais, trop heureux de la perspective de la revoir, j'acquiesse immédiatement.

Allez, habille toi, pas de caleçon, c'est interdit pour toi maintenant. Met vite ton pantalon, tu finiras de mettre le reste dehors.
Elle me donne une petite claque sur mes fesses, et dix secondes plus tard, j'étais sur le trottoir, la bite toujours tendu dans mon pantalon, sous le regard ahuri d'un couplé de trentenaire voisins de ma maîtresse.