Début de soumission 5
Récit érotique écrit par Willy182427 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Début de soumission 5
Suite Partie 5
Je me sentais piégé.. mais aussi à ma place. Celle d'un gentil petit chien (je me refusais encore à m’imaginer au féminin, même si, intérieurement, je savais que cela allait arriver… que je deviendrai une gentille petite chienne..), celle d'un gentil petit chien, donc, au pied de sa maîtresse. Je sentais que je l'avais agacé en ne la remerciant pas aussi vite qu'elle le voulait, et surtout d'avoir dû m'y reprendre à plusieurs fois. J'avais fini par aller au bout, et, pour qu'elle ne me jette pas, énoncer que j'avais aimé. Aimer la lecher, évidemment, mais aller jusqu'à aimer nettoyer ses pieds tapissés par mon propre sperme, c'était autre chose. Et pourtant, je l'ai dit. Et je ne regrette pas. Mais je ne sais pas où cela va m'emmener. Ses deux dernières phrases, concernant le foutre qu'elle me ferait goûter, et la vidéo m'inquiètaient quand même un peu. En attendant, je ne voulais pas la fâcher un peu plus, alors j'attendais, à genoux, sans trop savoir quoi faire, le goût de mon jus encore en bouche. J'espérais qu'elle dise quelque chose, qu'elle bouge, qu'elle passe sa main dans mes cheveux, qu'elle me donne un ordre… mais rien. Je jetai prudemment un coup d'œil, et la vis sur son téléphone, m'ignorant totalement.
Au bout de quelques minutes, qui me semblerent des heures, elle se leva, sans même me regarder, et alla se chercher à boire dans la cuisine. Je n'existait plus, elle ne me regardait même pas.
Puis, elle revint, me toisa du regard, et me dit, d'un ton très froid.
-il va falloir que tu comprennes très vite où est ta place. Et que tu comprennes très vite les règles. Parce que j'ai été patiente ce soir, mais c'est terminé. La prochaine fois que j'ai une remarque à te faire, ça va se passer autrement, crois moi. Dans mes règles, c'est simple. Tu me déçois, tu n'obéis pas assez vite, tu oublie de me remercier : tu sors de là, et tu ne reviens pas. C'est compris ?
-Oui madame.
-On verra ça. Je te laisse une dernière chance ce soir de me prouver que tu veux rester à mes pieds.
La sonnette de la porte retentit à ce moment la
-Va ouvrir.
Il ne m'a pas fallu plus d'une demi seconde pour réagir, craignant la colère de Madame, même si l'idée d'aller ouvrir nu à des inconnus me mettait très mal à l'aise.
Je décidais d'y aller à 4 pattes, en espérant que cela plairait à Elodie. Je sentais son regard sur moi, et, pour l'amadouer un peu plus, remuant des fesses de façon sans doute ridicule.
Devant la porte, j'hésitais. Dois-je me lever, ou rester ainsi, au ras du sol ? Madame ne me laisse pas l'embarras du choix très longtemps.
-Reste comme ça et ouvre.
Je tend le bras vers la poignée, tire la porte vers moi pour laisser entrer les invités
-Entre, lance madame
Ma chienne va être ravie de te revoir..
2 pieds vernis de rouge, dans une paire de sandales à haut talons s'avancent vigoureusement. Je lève la tête et reconnais immédiatement Natacha, l’’esthéticienne. Et, surprise, derrière elle, tenue par une laisse, se trouve Marion, son employée. Elle est entièrement nue, et tout comme moi, se tient à quatre pattes.
Je suis soulagé, je les connais et elles m'ont déjà vu complètement nu. Mais je suis surpris de voir Marion derrière Natacha, même si, au vu de ce qui s'est passé dans le salon, ce n'est pas si étonnant.
Les deux femmes entrent et je ferme la porte.
La première à parler fut Natacha
-Poupette, va dire bonjour à Elodie.
Je vois alors Marion avancer vers Madame en ondulant sensuellement des fesses. Je remarque alors que son petit trou est ornée d'un plug muni d'une queue imitant celle d'un petit chien, qui se dresse fièrement. Marion, ou plutôt Poupette, arrivée devant ma maîtresse, se penche en avant pour lui baiser les pieds, tout en gardant la croupe haute, laissant tout le loisir d'admirer ça chatte totalement glabre et ses lèvres toutes fines.
-et toi, la chienne, dit bonjour à Natacha.
-Dis donc, fit l'esthéticienne, elle n'est pas encore bien dressée.
-Non, on est au début, mais ça va venir.
-Tu veux que je la prenne en main?
-non, merci, je vais me débrouiller. Je connais tes méthodes, et tu pourrais me l'abîmer !
Elles rirent sur cette remarque, pendant que je me penchais pour embrasser les pieds fins de Natacha. C'est l'été, en fin de journée, et une légère odeur de transpiration monte à mes narines. Rapidement, elle avance vers Elodie, en me bousculant un peu, et les deux femmes s'embrassent d'un leger baiser sur les lèvres.
Je suis crevé, repris Natacha. Tu permets que je m'assoie ?
-évidemment. Je vais chercher à boire. Champagne ?
-Toujours avec plaisir !!
-Poupette et ma chienne vont s'occuper de toi pendant ce temps là
-ah oui, bonne idée. Allez, venez me masser les pieds, j'ai été debout toute la journée.
Poupette, montre lui ce qui me fait le plus de bien.
Marion me regarde alors, elle défit délicatement la bride autour retenant la chaussure autour de la cheville, avant de la retirer lentement elle fit de même sur l'autre pied, toujours très délicatement. Elle massa alors le pied, le mollet quelques longues secondes, avant de soulever le pied, et de l'embrasser. Puis, le prenant à deux mains, commença à lecher la plante doucement, en prenant bien soin de partir du talon jusqu'aux orteils, dans un sens puis dans l'autre. Je regardais fasciné, quand, d’un léger coup de pied, Natacha me fit comprendre que je devais moi aussi m'y mettre. Je voulu alors prendre l'autre pied dans mes mains, mais elle refusa.
-Non, faites le même pied en meme temps, je préfère. Elle replia sa jambe libre sous ses fesses, et je dû me résoudre à rejoindre Marion pour m'occuper avec elle du pied gauche de sa maîtresse. Je me collais à elle, et commençais à lecher le pied. Naturellement, de temps à autre, nos langues se touchaient, ce qui avait le don de m'exciter un peu. Surtout lorsque nous étions au même moment sur ses orteils. Nos langues se cherchaient alors, entourant les doigts de pieds dans un ballet sensuel et de 3plus en plus excitant.
Natacha s'en rendit compte très vite.
-Regarde moi ces deux salopes. Elles se connaissent à peine et ça se roule déjà des pelles autour de mes pieds !!
Elodie revint avec 2 coupes et une bouteille de champagne.
-Vu de dos, elles sont mignonnes. Par contre, tu me donnes une idée. Il manque une queue à ma chienne. Je me demande…
-Quoi, fit l'esthéticienne ?
-J'aimerais bien que ma chienne essaie, pour voir.
-évidemment, c'est une très bonne idée.
Poupette, viens la, montre moi tes fesses.
Marion se tourna, et Natacha lui retira le plug sans ménagement.
-Allez, chacun son travail. Poupette, tu vas lecher le petit trou de la chienne, et toi, tu vas sucer le plug pour bien l'humidifier. Même si poupette a une capacité incroyable à mouiller du cul …
Une nouvelle fois, les deux maîtresses éclatèrent d'un rire joyeux.
Marion se plaça derrière moi, et, vu ma position, le cul bien relevé, je senti très vite sa langue titiller mon petit trou. De son côté, Natacha coinça la base du plug entre ses doigts de pieds, et Elodie m'intima l'ordre de me dépêcher.. j'ouvris ma bouche légèrement pour prendre l'ogive odorante entre mes lèvres. Le plug en métal, d'une otite taille, était chaud, et le goût moins fort que ce que je ne craignais.
Natacha bougeait son pied, d'avant en arrière de sorte que l'objet entre et sorte de ma bouche. De plus, elle exigeat que, lorsqu'il était au fond de ma bouche, je devais sortir la langue pour continuer à lecher son gros orteil. Par ailleurs, la langue de Marion faisait son effet, et je sentis ma queue reprendre de la vigueur. Je découvrais, après l'épisode au salon, que cette caresse m'electrisait
Elodie s'en rendit compte très vite.
-Oh, mais elle aime ça, la chienne. Elle a juté il y a a peine un ¼ d'heure, et elle bande déjà. C'est quoi qui te fait effet ? La langue ou sucer ? Ne dis rien, continue,je vais immortaliser le joli tableau.
Elle prit son téléphone, et commença à prendre quelques photos. Elle termina sur un gros plan sur mon visage en train de lecher le plug et les orteils de Natacha.
-Encore de belles photos.. je crois que je vais en envoyer une ou deux à Sophia. Je suis sur qu'elle va adorer voir son gentil commercial dans cette posture.
Cette idée me fit froid dans le dos, et je luis jetais un regard implorant, de peur qu'elle mette sa menace e exécution.
-Allez, fini, Poupette, c'est toi qui va mettre ta jolie queue dans le fondement de la chienne !!
A suivre
Je me sentais piégé.. mais aussi à ma place. Celle d'un gentil petit chien (je me refusais encore à m’imaginer au féminin, même si, intérieurement, je savais que cela allait arriver… que je deviendrai une gentille petite chienne..), celle d'un gentil petit chien, donc, au pied de sa maîtresse. Je sentais que je l'avais agacé en ne la remerciant pas aussi vite qu'elle le voulait, et surtout d'avoir dû m'y reprendre à plusieurs fois. J'avais fini par aller au bout, et, pour qu'elle ne me jette pas, énoncer que j'avais aimé. Aimer la lecher, évidemment, mais aller jusqu'à aimer nettoyer ses pieds tapissés par mon propre sperme, c'était autre chose. Et pourtant, je l'ai dit. Et je ne regrette pas. Mais je ne sais pas où cela va m'emmener. Ses deux dernières phrases, concernant le foutre qu'elle me ferait goûter, et la vidéo m'inquiètaient quand même un peu. En attendant, je ne voulais pas la fâcher un peu plus, alors j'attendais, à genoux, sans trop savoir quoi faire, le goût de mon jus encore en bouche. J'espérais qu'elle dise quelque chose, qu'elle bouge, qu'elle passe sa main dans mes cheveux, qu'elle me donne un ordre… mais rien. Je jetai prudemment un coup d'œil, et la vis sur son téléphone, m'ignorant totalement.
Au bout de quelques minutes, qui me semblerent des heures, elle se leva, sans même me regarder, et alla se chercher à boire dans la cuisine. Je n'existait plus, elle ne me regardait même pas.
Puis, elle revint, me toisa du regard, et me dit, d'un ton très froid.
-il va falloir que tu comprennes très vite où est ta place. Et que tu comprennes très vite les règles. Parce que j'ai été patiente ce soir, mais c'est terminé. La prochaine fois que j'ai une remarque à te faire, ça va se passer autrement, crois moi. Dans mes règles, c'est simple. Tu me déçois, tu n'obéis pas assez vite, tu oublie de me remercier : tu sors de là, et tu ne reviens pas. C'est compris ?
-Oui madame.
-On verra ça. Je te laisse une dernière chance ce soir de me prouver que tu veux rester à mes pieds.
La sonnette de la porte retentit à ce moment la
-Va ouvrir.
Il ne m'a pas fallu plus d'une demi seconde pour réagir, craignant la colère de Madame, même si l'idée d'aller ouvrir nu à des inconnus me mettait très mal à l'aise.
Je décidais d'y aller à 4 pattes, en espérant que cela plairait à Elodie. Je sentais son regard sur moi, et, pour l'amadouer un peu plus, remuant des fesses de façon sans doute ridicule.
Devant la porte, j'hésitais. Dois-je me lever, ou rester ainsi, au ras du sol ? Madame ne me laisse pas l'embarras du choix très longtemps.
-Reste comme ça et ouvre.
Je tend le bras vers la poignée, tire la porte vers moi pour laisser entrer les invités
-Entre, lance madame
Ma chienne va être ravie de te revoir..
2 pieds vernis de rouge, dans une paire de sandales à haut talons s'avancent vigoureusement. Je lève la tête et reconnais immédiatement Natacha, l’’esthéticienne. Et, surprise, derrière elle, tenue par une laisse, se trouve Marion, son employée. Elle est entièrement nue, et tout comme moi, se tient à quatre pattes.
Je suis soulagé, je les connais et elles m'ont déjà vu complètement nu. Mais je suis surpris de voir Marion derrière Natacha, même si, au vu de ce qui s'est passé dans le salon, ce n'est pas si étonnant.
Les deux femmes entrent et je ferme la porte.
La première à parler fut Natacha
-Poupette, va dire bonjour à Elodie.
Je vois alors Marion avancer vers Madame en ondulant sensuellement des fesses. Je remarque alors que son petit trou est ornée d'un plug muni d'une queue imitant celle d'un petit chien, qui se dresse fièrement. Marion, ou plutôt Poupette, arrivée devant ma maîtresse, se penche en avant pour lui baiser les pieds, tout en gardant la croupe haute, laissant tout le loisir d'admirer ça chatte totalement glabre et ses lèvres toutes fines.
-et toi, la chienne, dit bonjour à Natacha.
-Dis donc, fit l'esthéticienne, elle n'est pas encore bien dressée.
-Non, on est au début, mais ça va venir.
-Tu veux que je la prenne en main?
-non, merci, je vais me débrouiller. Je connais tes méthodes, et tu pourrais me l'abîmer !
Elles rirent sur cette remarque, pendant que je me penchais pour embrasser les pieds fins de Natacha. C'est l'été, en fin de journée, et une légère odeur de transpiration monte à mes narines. Rapidement, elle avance vers Elodie, en me bousculant un peu, et les deux femmes s'embrassent d'un leger baiser sur les lèvres.
Je suis crevé, repris Natacha. Tu permets que je m'assoie ?
-évidemment. Je vais chercher à boire. Champagne ?
-Toujours avec plaisir !!
-Poupette et ma chienne vont s'occuper de toi pendant ce temps là
-ah oui, bonne idée. Allez, venez me masser les pieds, j'ai été debout toute la journée.
Poupette, montre lui ce qui me fait le plus de bien.
Marion me regarde alors, elle défit délicatement la bride autour retenant la chaussure autour de la cheville, avant de la retirer lentement elle fit de même sur l'autre pied, toujours très délicatement. Elle massa alors le pied, le mollet quelques longues secondes, avant de soulever le pied, et de l'embrasser. Puis, le prenant à deux mains, commença à lecher la plante doucement, en prenant bien soin de partir du talon jusqu'aux orteils, dans un sens puis dans l'autre. Je regardais fasciné, quand, d’un léger coup de pied, Natacha me fit comprendre que je devais moi aussi m'y mettre. Je voulu alors prendre l'autre pied dans mes mains, mais elle refusa.
-Non, faites le même pied en meme temps, je préfère. Elle replia sa jambe libre sous ses fesses, et je dû me résoudre à rejoindre Marion pour m'occuper avec elle du pied gauche de sa maîtresse. Je me collais à elle, et commençais à lecher le pied. Naturellement, de temps à autre, nos langues se touchaient, ce qui avait le don de m'exciter un peu. Surtout lorsque nous étions au même moment sur ses orteils. Nos langues se cherchaient alors, entourant les doigts de pieds dans un ballet sensuel et de 3plus en plus excitant.
Natacha s'en rendit compte très vite.
-Regarde moi ces deux salopes. Elles se connaissent à peine et ça se roule déjà des pelles autour de mes pieds !!
Elodie revint avec 2 coupes et une bouteille de champagne.
-Vu de dos, elles sont mignonnes. Par contre, tu me donnes une idée. Il manque une queue à ma chienne. Je me demande…
-Quoi, fit l'esthéticienne ?
-J'aimerais bien que ma chienne essaie, pour voir.
-évidemment, c'est une très bonne idée.
Poupette, viens la, montre moi tes fesses.
Marion se tourna, et Natacha lui retira le plug sans ménagement.
-Allez, chacun son travail. Poupette, tu vas lecher le petit trou de la chienne, et toi, tu vas sucer le plug pour bien l'humidifier. Même si poupette a une capacité incroyable à mouiller du cul …
Une nouvelle fois, les deux maîtresses éclatèrent d'un rire joyeux.
Marion se plaça derrière moi, et, vu ma position, le cul bien relevé, je senti très vite sa langue titiller mon petit trou. De son côté, Natacha coinça la base du plug entre ses doigts de pieds, et Elodie m'intima l'ordre de me dépêcher.. j'ouvris ma bouche légèrement pour prendre l'ogive odorante entre mes lèvres. Le plug en métal, d'une otite taille, était chaud, et le goût moins fort que ce que je ne craignais.
Natacha bougeait son pied, d'avant en arrière de sorte que l'objet entre et sorte de ma bouche. De plus, elle exigeat que, lorsqu'il était au fond de ma bouche, je devais sortir la langue pour continuer à lecher son gros orteil. Par ailleurs, la langue de Marion faisait son effet, et je sentis ma queue reprendre de la vigueur. Je découvrais, après l'épisode au salon, que cette caresse m'electrisait
Elodie s'en rendit compte très vite.
-Oh, mais elle aime ça, la chienne. Elle a juté il y a a peine un ¼ d'heure, et elle bande déjà. C'est quoi qui te fait effet ? La langue ou sucer ? Ne dis rien, continue,je vais immortaliser le joli tableau.
Elle prit son téléphone, et commença à prendre quelques photos. Elle termina sur un gros plan sur mon visage en train de lecher le plug et les orteils de Natacha.
-Encore de belles photos.. je crois que je vais en envoyer une ou deux à Sophia. Je suis sur qu'elle va adorer voir son gentil commercial dans cette posture.
Cette idée me fit froid dans le dos, et je luis jetais un regard implorant, de peur qu'elle mette sa menace e exécution.
-Allez, fini, Poupette, c'est toi qui va mettre ta jolie queue dans le fondement de la chienne !!
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Excellente histoire très existante.
Merci j'ai hâte de lire la suite...
Merci j'ai hâte de lire la suite...
