Début de soumission

Récit érotique écrit par Willy182427 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Début de soumission
Je n’avais pas du tout envie d’aller à cette inauguration. L'idée de me retrouver seul à boire une coupe de champagne tiède d’avoir trop attendu la fin des discours de quelques barons locaux ne m'enchantait absolument pas. Mais voilà, je n’ai pas su dire non à ma cheffe, parfois autoritaire; Et puis, vu le montant de la prime que j’allais toucher pour la vente de cet hôtel, je pouvais faire un petit effort. Et enfin, je m’entendais bien avec la directrice de l'hôtel, alors, pourquoi pas.
Il faisait encore chaud en ce début de soirée d’été, la pelouse de ce nouvel hôtel était pleine de personnes enjouées, discutant en petit groupe, riant trop fort. Je me retrouvais seul, comme prévu, cherchant vainement à me donner une contenance. Je ne pouvais pas partir sans avoir échangé un minimum avec Sophia, la directrice de l’établissement, et son DR. Mais tous deux étaient accaparés par des convives plus importants que moi, et je n’osais les déranger. J’errais seul, tête basse, une coupe de champagne à la main, quand je l’ai aperçue. Une belle femme, la quarantaine, fine, une robe d’été assez courte, des talons, qui, sans etre vertigineux, mettaient parfaiement sa silhouette en valeur. Elle semblait un peu perdue elle aussi, un peu en retrait, regardant les convives, les scrutant, même, comme si elle cherchait quelqu’un de particulier. Quand son regard croisa le mien, je rougis et baissais les yeux, ayant tout juste eu le temps d'apercevoir sur son visage un petit sourire que je ne su traduire. Je l'aperçu parcourir les quelques mètres qui nous séparaient lentement, mais c’était trop tard, je ne pouvais plus faire demi-tour.
Il fallait que je trouve vite une phrase, un mot, ne pas subir….
“Bonjour, je crois que finalement, je ne suis pas le seul à m'ennuyer ce soir… François, enchanté… “
Les quelques minutes qui suivirent furent très longues, elle me regardait, de haut en bas, comme pour me jauger. Elle finit par répondre…
En effet, j'ai horreur de ces mondanités futiles.
Nous avons entamé une discussion, au cours de laquelle j’appris qu’elle était artiste peintre, et qu’elle avait peint les tableaux accrochés dans le hall de l'hôtel, ainsi que dans les chambres. La conversation aidant, je repris un peu d’assurance, au point de lui demander si elle accepterait de me montrer ses tableaux.
Elle accepta, me prit par le bras de façon énergique pour entrer dans le hall.
Elle avançait rapidement, malgré ses talons, preuve d’une maîtrise parfaite, et je la suivais. Elle me donnait le nom de ses tableaux, m'expliquait ses choix artistiques, délaissant mes questions, sur d'elle-même. J’en profitais de temps en temps pour admirer ses chaussures à la semelle rouge, et ses pieds à l'intérieur, fins, extrêmement fins, les ongles ornées de rouge, comme je les aime…
Soudain, elle ouvrit la porte d’une chambre, me tirant par le bras pour me faire entrer. Elle referma derrière moi, et souleva sa robe. Elle écarta son string humide, et me jeta un ordre
“Met toi a genoux, et lèche moi, je veux sentir ta langue sur mon clito, s’enfoncer dans ma chatte. N’utilise pas tes mains, montre moi ce que tu sais faire avec ta bouche. Dépêche toi, je ne vais pas attendre toute la soirée.. “
Je tombai à genoux devant elle, et, très vite, trouvait son antre déjà humide. Mes levres timides embrasserent son sexe parfaitement lisse, luisant d’envie, ma langue trouva rapidement son bouton, je voulais me delecter de ses odeurs, de son gout, mais, visiblement, elle etait pressée. Elle prit ma tête avec ses deux mains, et imprima elle-même le rythme en frottant ses lèvres intimes, son clito contre ma bouche.
“Sors ta langue, que je m'empale dessus”. Elle tirait mes cheveux, trouvant que je n'obéissais pas assez vite…
Très rapidement, elle gémit, puis, emis un feulement, alors qu’un jet de cyprine arrivait sur ma langue, m’obligeant à le boire.
Elle ne bougeait plus, tenant ma tête serré entre ses jambes, caressant mes cheveux, tout en me parlant doucement. Ayant les oreilles partiellement bouchées entre ses cuisses, je ne comprenais pas ce qu’elle disait, mais je cru reconnaître tout de même 3 mots..
“........ bonne petite chienne…… “
Elle finit par desserrer son étreinte, et d’un seul regard, je compris qu’il n’y aurait rien de plus. Elle avait joui, ça lui suffisait.
En claquant la porte elle me jeta “C’est moi qui te recontacterai ou pas... Je saurais trouver ton numéro.
Je me retrouvai seul, frustré, hébété, un peu bête… Je mis quelques minutes avant de sortir de la chambre, et rentrer directement chez moi.
Quelques jours plus tard……
Le mardi matin suivant, Camille, ma cheffe, me convoqua dans son bureau.
Elle ne me dit a peine bonjour, et me lança assez brutalement :
“Tu peux m’expliquer, Sophia m’a dit que tu ne l'avais même pas salué lors de sa réception vendredi soir… !!
“J’ai essayé, mais elle… “
Je n’ai pas eu le temps de finir ma phrase.
“Par contre, elle t’a très bien vu entrer dans l'hôtel avec Elodie, la décoratrice de l'hôtel, et, surtout, elle t’a vu sortir 20 mn plus tard, l’air un peu …. comment a-t-elle dit… à, voila, … hagard… !
“Non, enfin, évidemment….”
D’ailleurs, Elodie a appelé, elle veut te voir à 16H. Visiblement, elle a le projet de vendre son atelier pour en acheter un plus grand. J'ai regardé ton agenda, tu n’as rien donc l’ai calé le rdv. A toi de jouer, ramène nous le mandat ! et, en rentrant, je te conseille de passer voir Sophia pour t’excuser. J'espère pour toi qu’elle ne nous en voudra pas.
Allez, file”
J’eu à peine le temps de la remercier pour ce rdv que j'étais déjà expédié de son bureau. Peneau, mais heureux. Heureux, mais un peu perplexe… J’avais évidemment adoré le passage dans l'hôtel avec … Elodie, j’adore ce prénom… souvenir de la fac… … et je m'étais masturbé frénétiquement plusieurs fois lors du week end, rien qu’en me remémorant la scène….. mais je me demandais à quelle sauce elle allait me manger cette fois. J'espérais bien sûr pouvoir en profiter pour prendre le temps, dans son atelier, de la découvrir, de l’embrasser, de la déshabiller sensuellement… A cette idée, je sentais mon sexe se dresser dans mon jean, et je m’assis prestement derriere mon bureau de peur que la bosse ne se remarque.
Quelques minutes avant 16 heures, je me trouvais devant l’adresse indiqué par Camille. Rien qui ne laissait penser à un atelier d’artiste, j'étais devant une maison ultra-moderne.
Ne voulant surtout pas être en retard, je sonnais un premier coup, et attendis un peu. J’entendais un bruit tres leger dans la maison, mais personne ne venait ouvir. J’etais un peu anxieux, hésitant à sonner une seconde fois. après une ou deux minutes d’attente, qui me parurent des heures, j’appuyais à nouveau sur le bouton. Cette fois, le bruit se rapprochait, et la porte s’ouvrit assez violemment.
Elodie était devant moi, encore plus ravissante que la 1ere fois. Une robe noire, courte, très courte, épousait parfaitement ses courbes, et des talons, au moins 12 cm, qui laissait dépasser ses orteils toujours peints en rouge.. Je n’osais trop lever les yeux, toujours intimidé, d’autant qu’en plus de ses talons, elle était sur la marche d’entrée, et me dépassait d’au moins une tête.
“Quand je dis 16H, pas la peine d’arriver 10mn avant.
Entre”
Elle me précédait, ce qui me donna l’occasion de profiter de son joli petit cul, parfaitement moulé dans sa robe, sans qu’aucune trace de culotte ne se remarque.
“Je sais que tu as adoré me lecher vendredi. Je dois dire que tu es assez doué. Je n’ai rien à vendre, j’avais juste envie de te revoir, et il m’a été facile de te retrouver, j’ai beaucoup fait rire Sophia quand je lui ai raconté notre visite à l'hôtel… “
Oui, bien…
Ne dis rien, écoute moi.”
A suivre
Il faisait encore chaud en ce début de soirée d’été, la pelouse de ce nouvel hôtel était pleine de personnes enjouées, discutant en petit groupe, riant trop fort. Je me retrouvais seul, comme prévu, cherchant vainement à me donner une contenance. Je ne pouvais pas partir sans avoir échangé un minimum avec Sophia, la directrice de l’établissement, et son DR. Mais tous deux étaient accaparés par des convives plus importants que moi, et je n’osais les déranger. J’errais seul, tête basse, une coupe de champagne à la main, quand je l’ai aperçue. Une belle femme, la quarantaine, fine, une robe d’été assez courte, des talons, qui, sans etre vertigineux, mettaient parfaiement sa silhouette en valeur. Elle semblait un peu perdue elle aussi, un peu en retrait, regardant les convives, les scrutant, même, comme si elle cherchait quelqu’un de particulier. Quand son regard croisa le mien, je rougis et baissais les yeux, ayant tout juste eu le temps d'apercevoir sur son visage un petit sourire que je ne su traduire. Je l'aperçu parcourir les quelques mètres qui nous séparaient lentement, mais c’était trop tard, je ne pouvais plus faire demi-tour.
Il fallait que je trouve vite une phrase, un mot, ne pas subir….
“Bonjour, je crois que finalement, je ne suis pas le seul à m'ennuyer ce soir… François, enchanté… “
Les quelques minutes qui suivirent furent très longues, elle me regardait, de haut en bas, comme pour me jauger. Elle finit par répondre…
En effet, j'ai horreur de ces mondanités futiles.
Nous avons entamé une discussion, au cours de laquelle j’appris qu’elle était artiste peintre, et qu’elle avait peint les tableaux accrochés dans le hall de l'hôtel, ainsi que dans les chambres. La conversation aidant, je repris un peu d’assurance, au point de lui demander si elle accepterait de me montrer ses tableaux.
Elle accepta, me prit par le bras de façon énergique pour entrer dans le hall.
Elle avançait rapidement, malgré ses talons, preuve d’une maîtrise parfaite, et je la suivais. Elle me donnait le nom de ses tableaux, m'expliquait ses choix artistiques, délaissant mes questions, sur d'elle-même. J’en profitais de temps en temps pour admirer ses chaussures à la semelle rouge, et ses pieds à l'intérieur, fins, extrêmement fins, les ongles ornées de rouge, comme je les aime…
Soudain, elle ouvrit la porte d’une chambre, me tirant par le bras pour me faire entrer. Elle referma derrière moi, et souleva sa robe. Elle écarta son string humide, et me jeta un ordre
“Met toi a genoux, et lèche moi, je veux sentir ta langue sur mon clito, s’enfoncer dans ma chatte. N’utilise pas tes mains, montre moi ce que tu sais faire avec ta bouche. Dépêche toi, je ne vais pas attendre toute la soirée.. “
Je tombai à genoux devant elle, et, très vite, trouvait son antre déjà humide. Mes levres timides embrasserent son sexe parfaitement lisse, luisant d’envie, ma langue trouva rapidement son bouton, je voulais me delecter de ses odeurs, de son gout, mais, visiblement, elle etait pressée. Elle prit ma tête avec ses deux mains, et imprima elle-même le rythme en frottant ses lèvres intimes, son clito contre ma bouche.
“Sors ta langue, que je m'empale dessus”. Elle tirait mes cheveux, trouvant que je n'obéissais pas assez vite…
Très rapidement, elle gémit, puis, emis un feulement, alors qu’un jet de cyprine arrivait sur ma langue, m’obligeant à le boire.
Elle ne bougeait plus, tenant ma tête serré entre ses jambes, caressant mes cheveux, tout en me parlant doucement. Ayant les oreilles partiellement bouchées entre ses cuisses, je ne comprenais pas ce qu’elle disait, mais je cru reconnaître tout de même 3 mots..
“........ bonne petite chienne…… “
Elle finit par desserrer son étreinte, et d’un seul regard, je compris qu’il n’y aurait rien de plus. Elle avait joui, ça lui suffisait.
En claquant la porte elle me jeta “C’est moi qui te recontacterai ou pas... Je saurais trouver ton numéro.
Je me retrouvai seul, frustré, hébété, un peu bête… Je mis quelques minutes avant de sortir de la chambre, et rentrer directement chez moi.
Quelques jours plus tard……
Le mardi matin suivant, Camille, ma cheffe, me convoqua dans son bureau.
Elle ne me dit a peine bonjour, et me lança assez brutalement :
“Tu peux m’expliquer, Sophia m’a dit que tu ne l'avais même pas salué lors de sa réception vendredi soir… !!
“J’ai essayé, mais elle… “
Je n’ai pas eu le temps de finir ma phrase.
“Par contre, elle t’a très bien vu entrer dans l'hôtel avec Elodie, la décoratrice de l'hôtel, et, surtout, elle t’a vu sortir 20 mn plus tard, l’air un peu …. comment a-t-elle dit… à, voila, … hagard… !
“Non, enfin, évidemment….”
D’ailleurs, Elodie a appelé, elle veut te voir à 16H. Visiblement, elle a le projet de vendre son atelier pour en acheter un plus grand. J'ai regardé ton agenda, tu n’as rien donc l’ai calé le rdv. A toi de jouer, ramène nous le mandat ! et, en rentrant, je te conseille de passer voir Sophia pour t’excuser. J'espère pour toi qu’elle ne nous en voudra pas.
Allez, file”
J’eu à peine le temps de la remercier pour ce rdv que j'étais déjà expédié de son bureau. Peneau, mais heureux. Heureux, mais un peu perplexe… J’avais évidemment adoré le passage dans l'hôtel avec … Elodie, j’adore ce prénom… souvenir de la fac… … et je m'étais masturbé frénétiquement plusieurs fois lors du week end, rien qu’en me remémorant la scène….. mais je me demandais à quelle sauce elle allait me manger cette fois. J'espérais bien sûr pouvoir en profiter pour prendre le temps, dans son atelier, de la découvrir, de l’embrasser, de la déshabiller sensuellement… A cette idée, je sentais mon sexe se dresser dans mon jean, et je m’assis prestement derriere mon bureau de peur que la bosse ne se remarque.
Quelques minutes avant 16 heures, je me trouvais devant l’adresse indiqué par Camille. Rien qui ne laissait penser à un atelier d’artiste, j'étais devant une maison ultra-moderne.
Ne voulant surtout pas être en retard, je sonnais un premier coup, et attendis un peu. J’entendais un bruit tres leger dans la maison, mais personne ne venait ouvir. J’etais un peu anxieux, hésitant à sonner une seconde fois. après une ou deux minutes d’attente, qui me parurent des heures, j’appuyais à nouveau sur le bouton. Cette fois, le bruit se rapprochait, et la porte s’ouvrit assez violemment.
Elodie était devant moi, encore plus ravissante que la 1ere fois. Une robe noire, courte, très courte, épousait parfaitement ses courbes, et des talons, au moins 12 cm, qui laissait dépasser ses orteils toujours peints en rouge.. Je n’osais trop lever les yeux, toujours intimidé, d’autant qu’en plus de ses talons, elle était sur la marche d’entrée, et me dépassait d’au moins une tête.
“Quand je dis 16H, pas la peine d’arriver 10mn avant.
Entre”
Elle me précédait, ce qui me donna l’occasion de profiter de son joli petit cul, parfaitement moulé dans sa robe, sans qu’aucune trace de culotte ne se remarque.
“Je sais que tu as adoré me lecher vendredi. Je dois dire que tu es assez doué. Je n’ai rien à vendre, j’avais juste envie de te revoir, et il m’a été facile de te retrouver, j’ai beaucoup fait rire Sophia quand je lui ai raconté notre visite à l'hôtel… “
Oui, bien…
Ne dis rien, écoute moi.”
A suivre
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