Début de soumission 4
Récit érotique écrit par Willy182427 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Début de soumission 4
Suite partie 4
Le lendemain, la journée fut incroyablement longue. Longe, excitante, et stressante. J'avais rendez vous chez Elodie, ma maitresse. Je ne savais pas trop comment m'habiller. Et puis, je repensait sans cesse à ma séance chez l'esthéticienne. Aucun doute, elle connaissait bien Elodie, et savait la nature de nos relations. Elle en a profité, à joué Le rôle de la dominatrice, et j'en étais troublé. J'aurais pu répondre, me rebeller, mais j'en fus incapable. Au contraire, la situation m'avait excité. Preuve ma queue bien raide, la tâche de mouille sur mon pantalon… en y repensant, mon excitation revenait au grand galop. Mais il fallait maintenant me préparer pour rejoindre ma maîtresse. un pantalon léger, une chemise en lin, des baskets simples, mais élégantes. J'enfilais le tout après une bonne douche, ou je n'avais pas pu m'empêcher de me caresser un peu. Ma tension sexuelle était à son comble, n'ayant pas pu jouir depuis 5 jours..
18h. Je passe le petit portillon, franchi les 3 mètres jusqu'à la porte d'entrée, et je sonne.
J'attend, fébrilement, que la porte ne s'ouvre. Après 2 où 3 minutes d'attente, ni tenant plus, je résonne. Une vibration sur mon portable m'indique un message.
-A poil. Tu sonnes 2 coups secs quand tu es pret.
C'est elle, évidemment
J'hésite un peu, la haie qui sépare son jardin de la rue ne fait pas plus de un mètre cinquante, et les passants pourraient me voir. Heureusement, il n'y a personne. Je me déshabille rapidement, et sonne comme demandé, deux coups secs.
Les secondes d'attentes furent interminables, d'autant que j'entendais des voix s'approcher.
Heureusement, la porte s'ouvrit, et ma maîtresse apparue, plus belle encore que la dernière fois, en robe vinyle noire, cintrée courte, et particulièrement près du corps.
-Entre. Désormais, tu te désapes avant de sonner. C'est compris ?
-Oui.
Une gifle me rappela à l'ordre
-pardon.. oui madame.
Elle me fait entrer, referme la porte au moment ou un groupe de personne passe devant chez elle, et m'assene un
-A quatre pattes. A ta place, toutou.
J'ai plusieurs choses à te dire. Pendant que je te parle, pour être sûr que tu seras attentif, tu vas embrasser mes pieds. En y mettant du cœur, je veux sentir que tu les vénères, que tu es à ta place à mes pieds, que tu es une brave chienne.
Ces mots m'electrisèrent, entre excitation et honte de me retrouver au sol, traiter de chienne …
Elle s'assit dans un large canapé, et me voilà à ses pieds, à genoux, prenant en main son pied déjà nu.
-Non, pas avec les mains. Tu te sert uniquement de ta bouche. Le cul relevé, les cuisses écartées. Voilà.
Je me retrouve à nouveau, comme chez l'esthéticienne, dans une position totalement indécente.
-Leche mes pieds, suce mes orteils et écoute moi attentivement
-Je veux que tu sois ma chienne soumise, tu as toutes les dispositions pour cela.
Je veux que tu obéisses en tout point. Sans discuter. Je te veux à mes pieds, ou au pieds de personnes que je choisirais pour toi. Tu m'appelleras Madame, et peut être un jour Maîtresse, mais il faudra le mériter. Évidemment, le vouvoiement est obligatoire. Et tu ne parles que si je t'y autorise. Quand tu es avec moi, tu es à poil, sauf si je te donne des vêtements. En entrant, tu laisses tes fringues à la porte, quel que soit le temps.
Tu te débarrassera de tout tes boxers, caleçon.. ta bite et ton cul doivent être disponibles n'importe quand.
Tu seras toujours soigneusement épilé, partout, et c'est Natacha qui s'en occupera. Elle aime bien les gentils toutous comme toi
Quand tu n'es pas avec moi, tu restes ma chienne. Si je t'appelle, tu réponds. Si je t'envoie un ordre par SMS, tu exécutes et m'envoie une preuve par photo. Tu me donneras les clés de chez toi.
Tu me donneras accès à ton agenda pro, que je vérifie ton emploi du temps. Ton agenda personnel est simple. Soit tu es avec moi, soit tu m'attends.
Tu n'es là que pour me satisfaire, hors de question de jouir sans mon autorisation.
Tu auras quelques épreuves à passer avant de pouvoir m'appeler maîtresse.
J'écoutais avec attention, tout en suçant ses orteils. Ma queue avait durcit en entendant ce programme, même si il me faisait un peu peur.
-A genoux. Regarde moi
Je me relevait, non sans avoir embrasser une dernière fois son pied et la regardait timidement
-Si tu refuses, tu pars, et on ne se revoit jamais. Si tu acceptes, tu viens poser ta tête sur mes genoux. Sans rien dire.
Tout se bousculait dans ma tête, mais, avant même de réfléchir, je connaissais ma réponse. Sans jamais avoir ressenti cette envie de soumission, je me sentais à ma place, là, au pied de cette femme magnifique et troublante. Alors, après quelques secondes, le posait délicatement ma tête sur ces genoux, heureux de mon choix.
-Brave chienne, me dit-elle. Je savais que tu étais faite pour ça. Dès que je t'ai vu. Elle me caressait les cheveux en prononçant ces paroles.
-Allez, j'ai un premier cadeau pour toi. Elle me tendit alors un collier en cuir, avec une laisse.
-Je le ferais graver à ton nom. Ton nom de chienne.. je vais y réfléchir.
Elle me passa le collier autour du cou, y attacha la laisse.. et se leva.
-Allez, on va tester. Tu marches à quatre pattes à mes côtés. Voilà
Nous fîmes quelques tours du salon, puis elle revint s'asseoir sur le canapé.
-Ce soir, tu vas avoir droit à deux récompenses. La première, tu vas pouvoir me lecher. Allez, comme à l'hôtel, uniquement avec la langue.
Elle retroussa alors sa robe, dévoilant son sexe nu, glabre, sans culotte pour le cacher.
Je me précipitais pour le prendre en bouche. Elle était déjà trempée, et ma langue, mes lèvres, parcoururent sa chatte, son petit bouton découvert. Je me délectais de son jus abondant, légèrement salé, un peu acre, pas trop fort. Comme j'aime. Ma langue parcourait ses lèvres, s'introduisait à l'intérieur, j'aspirais son clito gonflé, et rapidement, elle émit de petits gémissements qui m'encouragèrent.
-N'oublie pas de me lecher le petit trou aussi, j'adore ça. Je veux sentir ta langue au fond de mon cul
Je n'avais jamais fais ça, et je n'étais pas sur d'en avoir vraiment envie, mais une petite tape sur ma tête m'incita à descendre. Ma langue parcourue alors son périnée pour atteindre le trou plissé et légèrement odorant
Elle pressa ma tête pour que je la leche, et ses doigts prirent le relais sur sa son petit bouton.
-Allez, rentre ta langue.. vite, ca va être très bon
Et en effet, a peine ma langue força son antre qu'elle se mit à jouir bruyamment, déversant sur mon crâne plusieurs giclés de mouille. Elle sera ma tête entre ses cuisses quelques instants, puis, desservant son étreinte me gratifia d'un
-Tu es une bonne petite chienne docile.
-Allez, deuxième récompense, pour ce soir.
Tu veux jouir ?
Je n'imaginais pas avoir ce privilège, ce soir, et un grand sourire accompagna ma réponse
-Oui madame.
Alors tu as 1 mn pour juter sur mes pieds. A genoux devant moi
La déception à dû se lire sur mon visage, moi qui imaginait pouvoir lui faire l'amour.
-Dépêche- toi, tu perds du temps. Il te reste cinquante secondes.
Je me relevait alors, pris la pose, et me branlait frénétiquement. Ma maîtresse égrenait les secondes, dans un compte à rebours déstabilisant, mais il restait à peine dix secondes quand, dans un râle puissant, je lâchais mon jus sur les pieds qu'elle me tendait.
-Ah, oui, me dit elle, en fait, tu es une chienne en rut qui ne sais pas se retenir. 40 secondes pour juter.. c'est pas un exploit
La remarque me fit l'effet d'une douche froide, et là honte m'envahit de nouveau
Les mots suivants furent encore plus violents.
-Nettoie.
Je cherchait avec mes yeux un mouchoir, un essuie tout pour la nettoyer
-Avec ta langue. Dépêche toi. Tu lèches mes pieds que tu a sali de ton jus. Allez !!!
Interloqué par cette demande qui ne faisait pas envie, je restai penaud, regardant ses pieds dont mon foutre gluant recouvrait une bonne partie de des orteils.
-Dépêche- toi, leche ton foutre. Quand j'ordonne, tu obéis. Je vais te faire aimer le foutre, tu vas voir !!
Encore une nouveauté, mais, je me penchais en avant, et commençais à lecher mon jus du bout de la langue.
-Mieux que ça, leche, avale, aime mon pied souillé de ton jus. Regarde, il y en à plein sur le gros orteil. Suce le.
Je le pris alors en bouche, comme la première fois. L'image me revint en tête, celle de sucer un vrai sexe. A la différence que, cette fois ci, son orteil était plein de sperme gluant, mon sperme. Le goût n'était pas vraiment agréable, mais, avais-je le choix ?
Évidemment, mais je voulais la revoir, et la situation me plaisait, en fait. Alors, une fois le pied gauche débarrassé de mon jus, je m'occupais de son autre pied, dont le jus dégoulinait entre les orteils.
-Attend, je vais immortaliser la scène.
Tire la langue, récupère ton jus. Elle pris son téléphone, et me filma pendant que je récupérais je jus blanc sur ma langue.
-Voilà, la belle chienne, nettoie bien comme il faut. Très bien..
-Montre moi ta langue, montre moi comment tu avales.
Je remontais alors ma tête, tirant la langue
-Ouvre plus grand, je ne vois rien.
Elle filmait toujours, en riant.
-Très bien. Bonne petite chienne. Allez. Avale!
Je déglutit difficilement, le goût acre n'étant pas très agréable, puis j'ouvris à nouveau la bouche pour lui montrer que j'avais tout avaler.
-Et… me fit-elle.
Je la regardais, sans savoir ce qu'elle attendait de plus.
-Et….
Je te permet de me lecher, je t'autorise à jouir, et tu ne me remercie pas !!!
-Merci madame.
-C'est tout ? Non, mieux que ça, et dépêche toi avant que je ne m'agace sérieusement.
Merci madame, de m'avoir autorisé à vous lecher, et à jouir sur vos pieds.
-Visiblement, tu n'as pas aimé, on ne le fera plus.
Si, si madame, j'ai adoré vous lecher, vous faire jouir et boire votre jus.
-Tu as une dernière chance, et applique toi, sinon, tu ne reviens pas. Soit tu aimes tout soit tu n'as rien à faire ici.
Je réfléchis quelques secondes, avant de reprendre
-merci madame, j'ai adoré vous lecher et vous faire jouir, et boire votre jus. J'ai beaucoup aimé passer ma langue sur et dans votre joli petit trou. J'ai adoré jouir sur vos pieds….. elle me regardait fixement, je n'avais pas le choix. Il fallait que j'aille jusqu'au bout
-.... et j'ai aimé vous nettoyer les pieds avec ma bouche, et avaler mon foutre …
-Et bien tu vois. Et puisque tu aimes ça, je te promets que tu auras à nouveau l'occasion de goûter à du foutre !
Et je suis certaine que ma petite vidéo ferait un malheur, si je devais la diffuser…
Je me sentais piégé. Et aussi à ma place, au pied d'Elodie, ma maitresse...
A suivre
Le lendemain, la journée fut incroyablement longue. Longe, excitante, et stressante. J'avais rendez vous chez Elodie, ma maitresse. Je ne savais pas trop comment m'habiller. Et puis, je repensait sans cesse à ma séance chez l'esthéticienne. Aucun doute, elle connaissait bien Elodie, et savait la nature de nos relations. Elle en a profité, à joué Le rôle de la dominatrice, et j'en étais troublé. J'aurais pu répondre, me rebeller, mais j'en fus incapable. Au contraire, la situation m'avait excité. Preuve ma queue bien raide, la tâche de mouille sur mon pantalon… en y repensant, mon excitation revenait au grand galop. Mais il fallait maintenant me préparer pour rejoindre ma maîtresse. un pantalon léger, une chemise en lin, des baskets simples, mais élégantes. J'enfilais le tout après une bonne douche, ou je n'avais pas pu m'empêcher de me caresser un peu. Ma tension sexuelle était à son comble, n'ayant pas pu jouir depuis 5 jours..
18h. Je passe le petit portillon, franchi les 3 mètres jusqu'à la porte d'entrée, et je sonne.
J'attend, fébrilement, que la porte ne s'ouvre. Après 2 où 3 minutes d'attente, ni tenant plus, je résonne. Une vibration sur mon portable m'indique un message.
-A poil. Tu sonnes 2 coups secs quand tu es pret.
C'est elle, évidemment
J'hésite un peu, la haie qui sépare son jardin de la rue ne fait pas plus de un mètre cinquante, et les passants pourraient me voir. Heureusement, il n'y a personne. Je me déshabille rapidement, et sonne comme demandé, deux coups secs.
Les secondes d'attentes furent interminables, d'autant que j'entendais des voix s'approcher.
Heureusement, la porte s'ouvrit, et ma maîtresse apparue, plus belle encore que la dernière fois, en robe vinyle noire, cintrée courte, et particulièrement près du corps.
-Entre. Désormais, tu te désapes avant de sonner. C'est compris ?
-Oui.
Une gifle me rappela à l'ordre
-pardon.. oui madame.
Elle me fait entrer, referme la porte au moment ou un groupe de personne passe devant chez elle, et m'assene un
-A quatre pattes. A ta place, toutou.
J'ai plusieurs choses à te dire. Pendant que je te parle, pour être sûr que tu seras attentif, tu vas embrasser mes pieds. En y mettant du cœur, je veux sentir que tu les vénères, que tu es à ta place à mes pieds, que tu es une brave chienne.
Ces mots m'electrisèrent, entre excitation et honte de me retrouver au sol, traiter de chienne …
Elle s'assit dans un large canapé, et me voilà à ses pieds, à genoux, prenant en main son pied déjà nu.
-Non, pas avec les mains. Tu te sert uniquement de ta bouche. Le cul relevé, les cuisses écartées. Voilà.
Je me retrouve à nouveau, comme chez l'esthéticienne, dans une position totalement indécente.
-Leche mes pieds, suce mes orteils et écoute moi attentivement
-Je veux que tu sois ma chienne soumise, tu as toutes les dispositions pour cela.
Je veux que tu obéisses en tout point. Sans discuter. Je te veux à mes pieds, ou au pieds de personnes que je choisirais pour toi. Tu m'appelleras Madame, et peut être un jour Maîtresse, mais il faudra le mériter. Évidemment, le vouvoiement est obligatoire. Et tu ne parles que si je t'y autorise. Quand tu es avec moi, tu es à poil, sauf si je te donne des vêtements. En entrant, tu laisses tes fringues à la porte, quel que soit le temps.
Tu te débarrassera de tout tes boxers, caleçon.. ta bite et ton cul doivent être disponibles n'importe quand.
Tu seras toujours soigneusement épilé, partout, et c'est Natacha qui s'en occupera. Elle aime bien les gentils toutous comme toi
Quand tu n'es pas avec moi, tu restes ma chienne. Si je t'appelle, tu réponds. Si je t'envoie un ordre par SMS, tu exécutes et m'envoie une preuve par photo. Tu me donneras les clés de chez toi.
Tu me donneras accès à ton agenda pro, que je vérifie ton emploi du temps. Ton agenda personnel est simple. Soit tu es avec moi, soit tu m'attends.
Tu n'es là que pour me satisfaire, hors de question de jouir sans mon autorisation.
Tu auras quelques épreuves à passer avant de pouvoir m'appeler maîtresse.
J'écoutais avec attention, tout en suçant ses orteils. Ma queue avait durcit en entendant ce programme, même si il me faisait un peu peur.
-A genoux. Regarde moi
Je me relevait, non sans avoir embrasser une dernière fois son pied et la regardait timidement
-Si tu refuses, tu pars, et on ne se revoit jamais. Si tu acceptes, tu viens poser ta tête sur mes genoux. Sans rien dire.
Tout se bousculait dans ma tête, mais, avant même de réfléchir, je connaissais ma réponse. Sans jamais avoir ressenti cette envie de soumission, je me sentais à ma place, là, au pied de cette femme magnifique et troublante. Alors, après quelques secondes, le posait délicatement ma tête sur ces genoux, heureux de mon choix.
-Brave chienne, me dit-elle. Je savais que tu étais faite pour ça. Dès que je t'ai vu. Elle me caressait les cheveux en prononçant ces paroles.
-Allez, j'ai un premier cadeau pour toi. Elle me tendit alors un collier en cuir, avec une laisse.
-Je le ferais graver à ton nom. Ton nom de chienne.. je vais y réfléchir.
Elle me passa le collier autour du cou, y attacha la laisse.. et se leva.
-Allez, on va tester. Tu marches à quatre pattes à mes côtés. Voilà
Nous fîmes quelques tours du salon, puis elle revint s'asseoir sur le canapé.
-Ce soir, tu vas avoir droit à deux récompenses. La première, tu vas pouvoir me lecher. Allez, comme à l'hôtel, uniquement avec la langue.
Elle retroussa alors sa robe, dévoilant son sexe nu, glabre, sans culotte pour le cacher.
Je me précipitais pour le prendre en bouche. Elle était déjà trempée, et ma langue, mes lèvres, parcoururent sa chatte, son petit bouton découvert. Je me délectais de son jus abondant, légèrement salé, un peu acre, pas trop fort. Comme j'aime. Ma langue parcourait ses lèvres, s'introduisait à l'intérieur, j'aspirais son clito gonflé, et rapidement, elle émit de petits gémissements qui m'encouragèrent.
-N'oublie pas de me lecher le petit trou aussi, j'adore ça. Je veux sentir ta langue au fond de mon cul
Je n'avais jamais fais ça, et je n'étais pas sur d'en avoir vraiment envie, mais une petite tape sur ma tête m'incita à descendre. Ma langue parcourue alors son périnée pour atteindre le trou plissé et légèrement odorant
Elle pressa ma tête pour que je la leche, et ses doigts prirent le relais sur sa son petit bouton.
-Allez, rentre ta langue.. vite, ca va être très bon
Et en effet, a peine ma langue força son antre qu'elle se mit à jouir bruyamment, déversant sur mon crâne plusieurs giclés de mouille. Elle sera ma tête entre ses cuisses quelques instants, puis, desservant son étreinte me gratifia d'un
-Tu es une bonne petite chienne docile.
-Allez, deuxième récompense, pour ce soir.
Tu veux jouir ?
Je n'imaginais pas avoir ce privilège, ce soir, et un grand sourire accompagna ma réponse
-Oui madame.
Alors tu as 1 mn pour juter sur mes pieds. A genoux devant moi
La déception à dû se lire sur mon visage, moi qui imaginait pouvoir lui faire l'amour.
-Dépêche- toi, tu perds du temps. Il te reste cinquante secondes.
Je me relevait alors, pris la pose, et me branlait frénétiquement. Ma maîtresse égrenait les secondes, dans un compte à rebours déstabilisant, mais il restait à peine dix secondes quand, dans un râle puissant, je lâchais mon jus sur les pieds qu'elle me tendait.
-Ah, oui, me dit elle, en fait, tu es une chienne en rut qui ne sais pas se retenir. 40 secondes pour juter.. c'est pas un exploit
La remarque me fit l'effet d'une douche froide, et là honte m'envahit de nouveau
Les mots suivants furent encore plus violents.
-Nettoie.
Je cherchait avec mes yeux un mouchoir, un essuie tout pour la nettoyer
-Avec ta langue. Dépêche toi. Tu lèches mes pieds que tu a sali de ton jus. Allez !!!
Interloqué par cette demande qui ne faisait pas envie, je restai penaud, regardant ses pieds dont mon foutre gluant recouvrait une bonne partie de des orteils.
-Dépêche- toi, leche ton foutre. Quand j'ordonne, tu obéis. Je vais te faire aimer le foutre, tu vas voir !!
Encore une nouveauté, mais, je me penchais en avant, et commençais à lecher mon jus du bout de la langue.
-Mieux que ça, leche, avale, aime mon pied souillé de ton jus. Regarde, il y en à plein sur le gros orteil. Suce le.
Je le pris alors en bouche, comme la première fois. L'image me revint en tête, celle de sucer un vrai sexe. A la différence que, cette fois ci, son orteil était plein de sperme gluant, mon sperme. Le goût n'était pas vraiment agréable, mais, avais-je le choix ?
Évidemment, mais je voulais la revoir, et la situation me plaisait, en fait. Alors, une fois le pied gauche débarrassé de mon jus, je m'occupais de son autre pied, dont le jus dégoulinait entre les orteils.
-Attend, je vais immortaliser la scène.
Tire la langue, récupère ton jus. Elle pris son téléphone, et me filma pendant que je récupérais je jus blanc sur ma langue.
-Voilà, la belle chienne, nettoie bien comme il faut. Très bien..
-Montre moi ta langue, montre moi comment tu avales.
Je remontais alors ma tête, tirant la langue
-Ouvre plus grand, je ne vois rien.
Elle filmait toujours, en riant.
-Très bien. Bonne petite chienne. Allez. Avale!
Je déglutit difficilement, le goût acre n'étant pas très agréable, puis j'ouvris à nouveau la bouche pour lui montrer que j'avais tout avaler.
-Et… me fit-elle.
Je la regardais, sans savoir ce qu'elle attendait de plus.
-Et….
Je te permet de me lecher, je t'autorise à jouir, et tu ne me remercie pas !!!
-Merci madame.
-C'est tout ? Non, mieux que ça, et dépêche toi avant que je ne m'agace sérieusement.
Merci madame, de m'avoir autorisé à vous lecher, et à jouir sur vos pieds.
-Visiblement, tu n'as pas aimé, on ne le fera plus.
Si, si madame, j'ai adoré vous lecher, vous faire jouir et boire votre jus.
-Tu as une dernière chance, et applique toi, sinon, tu ne reviens pas. Soit tu aimes tout soit tu n'as rien à faire ici.
Je réfléchis quelques secondes, avant de reprendre
-merci madame, j'ai adoré vous lecher et vous faire jouir, et boire votre jus. J'ai beaucoup aimé passer ma langue sur et dans votre joli petit trou. J'ai adoré jouir sur vos pieds….. elle me regardait fixement, je n'avais pas le choix. Il fallait que j'aille jusqu'au bout
-.... et j'ai aimé vous nettoyer les pieds avec ma bouche, et avaler mon foutre …
-Et bien tu vois. Et puisque tu aimes ça, je te promets que tu auras à nouveau l'occasion de goûter à du foutre !
Et je suis certaine que ma petite vidéo ferait un malheur, si je devais la diffuser…
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