Déplacement professionnel

- Par l'auteur HDS Queuedusexe -
Auteur homme.
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Récit libertin : Déplacement professionnel Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-03-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Déplacement professionnel
Je tiens à me présenter, je m’appelle Marc, j’ai trente cinq ans, célibataire. J’aime à dire que c’est par choix mais je crois que c’est juste parce que je n’ai pas rencontré la bonne personne.

Je forme des dirigeants de sociétés, grosses ou moins grosses, dans le domaine du management et des ressources humaines. Je suis donc très souvent en déplacement ce qui me convient bien.

Je suis aussi très sportif, c’est ma passion. Je pratique la plupart des sports liés à l’athlétisme et à la natation. Je prends donc soin de mon corps. C’est un atout non négligeable pour moi dans mon autre domaine de prédilection : les conquêtes féminines.

Sans vouloir me jeter de fleurs, je sais que je plais aux femmes. Je mesure 1,85m pour 80kg. Le sport que je pratique me permet d’être « carré » et je n’ai même pas un début de ventre. Mon visage n’est pas désagréable et le fait que mes cheveux commencent à grisonner me vieillit juste ce qu’il faut.

De plus, mon activité, qui me met continuellement en contact avec des chefs d’entreprises ou des cadres importants, me donne une bonne confiance en moi (et accessoirement un revenu plus que correct)
Après avoir eu une période de plusieurs mois professionnellement très chargée, j’ai décidé de m’accorder une semaine de repos fin novembre dans un hôtel du Jura après être intervenu dans une entreprise de la région. Je comptais profiter du grand air et faire quelques randonnées malgré un temps peu propice.

J’avais depuis le début de la semaine pas mal bourlingué dans la région et je me suis accordé un bon dîner dans mon hôtel. D’ailleurs, le temps avait changé. Un vent glacial avait commencé à souffler accompagné de petites chutes de neige. C’était le mardi soir. Alors que je venais de commander, le serveur a placé une jeune femme à 2 tables de moi, presque en face.

Elle a tout de suite attiré mon regard. C’est la blondeur de ses cheveux ondulés qui m’a attiré au premier coup d’œil. Au fur et à mesure du repas, je l’ai regardée. Elle était particulièrement jolie, Je ne l’avais pas vue debout mais elle paraissait bien faite. Elle avait un teint de porcelaine, une bouche fine mais bien dessinée. C’était une beauté naturelle : pas ou peu de maquillage, des vêtements tout ce qu’il y a de plus classique. Elle me plaisait. J’ai vu qu’elle avait surpris deux ou trois de mes regards et que cela l’avait un peu troublée. Je l’avais même vu me regarder un peu elle aussi. Je me demandais déjà comment l’aborder quand elle a appelé quelqu’un avec son portable. J’ai tout de suite compris qu’il s’agissait de son petit ami ou mari. Dommage. Cela aurait pu briser ma solitude cette semaine.

Je suis ensuite allé dans ma chambre et l’image de cette jolie inconnue me revenait de temps en temps en mémoire.

Le lendemain et le surlendemain, le froid s’était accentué et la neige tombait dru et régulièrement. Une bonne épaisseur commençait à s’entasser.

Je croisais le matin et le soir la jeune femme que j’avais vu au restaurant. Je lui disais alors bonjour avec un sourire que je voulais charmant. Son charme a elle, était bien réel, même si elle cachait certainement de bien jolies formes sous ses tailleurs et vêtements de travail plutôt classiques.

Ce jeudi, en soirée, j’ai décidé de profiter de l’espace Spa de l’hôtel après avoir passé un peu de temps dans leur salle de musculation. Ce n’est pas trop ma tasse de thé mais il fallait bien s’occuper.

Je suis entré dans l’espace Spa. J’ai posé ma serviette et mon peignoir et après avoir hésité à aller dans le hammam, je me suis glissé dans un jacuzzi. Une autre personne s’y trouvait déjà.

Cette personne n’était autre que mon inconnue du restaurant. Quand je l’ai vu, un sourire a illuminé mon visage et je l’ai saluée. Elle a souri légèrement également.

- (moi) Bonsoir,
- Bonsoir
- L’hôtel est grand mais on se croise souvent. Vous êtes là pour affaires ?

- Affaires, c’est un bien grand mot, mais oui, je suis là pour le travail. Et vous ?

- Pus ou moins. Je m’appelle Marc
Nous avons discuté de tout et de rien pendant un bon moment puis nous sommes allés dans le hammam et le sauna. La première fois que l’on a bougé, c’est moi qui l’ai suivie, la deuxième fois, c’est elle. Elle était très agréable, s’appelait Lucie. Je ne pouvais m’empêcher de lancer des regards sur son corps quand je le pouvais mais j’essayais d’être le plus respectueux possible.

Cette femme me troublait. Mariée depuis déjà 8 ans, elle intervenait tous les ans dans une société locale. En plus d’être belle, elle avait vraiment une tête bien faite. Son côté un peu timide et réservée sans être renfermée lui donnait un charme indéniable.

J’ai cru déceler chez elle que je ne la laissais pas complètement indifférente et j’ai même surpris quelques regards discrets sur mon corps.

- (moi) Bon, je vais vous laisser profiter tranquillement du spa.

- (Lucie) Vous ne m’avez pas dérangé. C’est agréable de discuter avec quelqu’un de gentil quand on est loin de chez soi.

- (moi) En tous cas, pour moi, ça a été un vrai plaisir. Je ne connaissais pas ce spa mais je ne regrette vraiment pas d’y être venu. Ca m’a permis de passer un moment avec la plus jolie femme de l’hôtel, et je ne parle pas que de vos beaux yeux. J’espère pouvoir profiter encore de votre charmante compagnie pour dîner. Vous acceptez ? 20h00 ça vous va ?

Elle est devenue rouge écarlate en deux secondes, s’est mise à balbutier des excuses pour finir par dire oui.

Revenu dans ma chambre, j’ai repensé à elle. J’avais pu observer son corps et c’était une perfection. Elle mesure 1.65m environ et pas de rondeurs superflues, ses cheveux sont blonds et bouclés. Elle a une taille fine, un ventre plat et de jolies fesses pommées mais ce qui m’a attiré le plus, ce sont ses seins, gros sans l’être de trop et surtout, visiblement fermes et biens ronds. Elle avait tout ce qui m’attire chez une femme. Le seul hic était qu’elle soit mariée. Je ne me faisais pas d’illusion mais je ne risquais rien à tenter ma chance et j’étais au moins sur de passer une soirée agréable.

Elle m’a rejoint au restaurant. J’avais choisi une tenue décontractée, chemise blanche et jean. Elle était en pantalon de tailleur et chemisier assez moulant pour que sa poitrine soit plus qu’appétissante.

Nous avons diné et au fur et à mesure, le « vous » est devenu « tu ». Par moment je la dévorais du regard et ça ne lui déplaisait visiblement pas. Son trouble était palpable. Je lui plaisais….

Au moment de se séparer, je lui ai fait la bise, très près de la bouche et je l’ai maintenue contre moi, attendant une réaction de sa part, que ce soit une gifle ou un baiser mais dans un sursaut, elle s’est dégagée, m’a dit qu’elle était mariée, qu’elle aimait son mari et qu’elle partait le lendemain. Elle avait débité ces phrases très rapidement, très gênée et elle s’est sauvée avant que j’ai pu dire un mot.

J’ai compris qu’elle avait faillit craquer. Si j’avais été plus entreprenant, j’aurais peut-être fini dans son lit.

Il a neigé toute la nuit et la matinée ne s’annonçait pas mieux. Les routes étaient très mauvaises, encombrées par la neige et glissantes.

Lucie m’avait dit qu’elle habitait à 400km de là et j’espérais bien qu’elle ne pourrait pas partir.

Le soir, j’ai dîné avec une personne dont j’avais fait la connaissance la veille.

En sortant du restaurant, j’ai aperçu Lucie assise au coin du feu du salon de l’hôtel. Je me suis excusé auprès de la personne en question et je suis allée vers elle.

- Bonsoir Julie.

- Oh bonsoir, je ne t’avais pas vu.

- Tout d’abord, je tiens à m’excuser pour hier soir. Je n’ai pas voulu t’offenser. C’est juste que j’avais passé de très bons moments avec toi et que c’était dur de résister à l’envie de t’embrasser.

- Tu n’as rien fait de mal. Au contraire, tu as été respectueux malgré ta tentative de m’embrasser et je t’en remercie. C’est à moi  de m’excuser. J’ai été malpolie d’agir comme ça hier. Je crois que j’ai eu peur.

- Peur ? Je t’ai fait peur ? Tu n’as pourtant rien à craindre. Bien au contraire.

- Ce n’est pas ce que j’ai voulu dire et tu le sais.

- En fait tu as plutôt eu peur de toi non ?

- ….

- Lucie, depuis que je t’ai vue le premier soir, tu m’as plu. Ensuite, on a fait connaissance et je t’ai désirée. Maintenant, j’ai envie de toi comme je n’ai jamais eu envie de qui que soit.

- Marc, tu ne devrais pas dire ça. Je… je ne peux pas.

- Oh si tu peux ! Tu es seule dans ce grand hôtel, sans contrainte, et tu en as envie aussi. Oses dire que je ne te plais pas.

- Ce n’est pas ça... Ce n’est pas aussi simple.

- Si, c’est aussi simple. Je sais que tu es mariée, que tu as une vie agréable et rangée si je puis dire…  et j’ai bien compris que tu aimes ton mari…. mais je te plais. Et c’est une attirance réciproque. On pourrait vivre une nuit de plaisir, découvrir nos corps. C’est un fait, tu as envie de moi.

- ……
Elle était soufflée par mon culot, mais aussi complètement sous mon charme, j’en étais certain. Je me suis approché d’elle, j’ai déposé un baiser sur ses lèvres puis sa joue et je lui ai murmuré à l’oreille :
- Vis quelque chose de fou, d’imprévu….. oublies-toi pour une nuit.

Encore un baiser. Ses lèvres étaient chaudes, légèrement humides, douces, très bonnes. J’ai même cru sentir ses lèvres s’ouvrir imperceptiblement.

Je me suis un peu reculé en la regardant dans les yeux. J’ai compris que j’avais gagné mais je ne devais pas lui laisser le temps de réfléchir. Je me suis levé en prenant sa main et je l’ai entraîné à ma suite. J’ai senti le regard envieux du réceptionniste qui savait que j’allais passer de très bons moments avec cette femme sublime.

Ma main était ferme sur la sienne, comme pour être sûr qu’elle n’allait pas m’échapper. Je l’ai fait entrer dans ma chambre et je me suis jeté sur ses lèvres. Elle me semblait petite et fragile dans mes bras.

Ma langue a pris possession de la sienne pour un baiser endiablé. Je devinais que personne d’autre que son mari ne l’avait embrassé depuis une éternité. Alors que mes mains pressaient ses hanches, pour la maintenir contre moi et que nos langues continuaient leur ballet, j’ai senti son corps s’abandonner.

J’ai arrêté de l’embrasser et j’ai commencé à défaire un bouton de son chemisier, puis un autre…
- Enfin je vais découvrir ce corps. J’en ai eu un aperçu au spa mais là, je vais en profiter pleinement. Tu veux que je te voie nue ?

- …..

- HMMMM ! Quelle poitrine !

J’avais enlevé son chemisier et la voyais dans un très beaux mais sage soutien gorge. Sa respiration s’était accélérée. Tout en l’embrassant, j’ai avec doigté fait sauter l’attache et je l’ai fait glisser au sol. Ses tétons pointaient outrageusement d’excitation. C’était sans conteste la plus jolie poitrine que j’aie jamais vue.

J’ai soupesé ses seins, les ai caressé, ai pincé doucement ses tétons déjà visiblement sensibles. Elle aimait apparemment ma façon de la caresser, des caresses sans doute plus franches, plus fermes et osées que celles de son mari puis je me suis penché et j’ai léché les tétons avant de les prendre en bouche tour à tour. Lucie en soupirait de plaisir mêlé à de la honte, de la retenue.

Je me suis redressé et j’ai commencé à enlever ma chemise puis j’ai guidé ses mains et elle a pris le relais. J’ai senti qu’elle appréciait ma musculature sous ses doigts. Elle m’a même embrassé dans le cou, les pectoraux et les abdos. Je la laissais faire et profitais de ses caresses.

Je l’ai prise dans mes bras et l’ai déposée sur le lit. J’ai couvert son corps de baiser tout en enlevant petit à petit ses chaussures, son pantalon. Son corps était d’une douceur incroyable. Mes lèvres se sont posées sur ses pieds, ses chevilles, remontant sur ses cuisses.

Doucement, J’ai écarté ses cuisses. J’ai commencé à l’embrasser sur le pubis, le ventre, l’intérieur de ses cuisses en me rapprochant toujours plus de son sexe dont la légère tâche qui humidifiait le slip ne laissait aucun doute quand à son désir. Je n’en pouvais plus d’attendre. Quand j’ai croisé son regard j’ai compris qu’elle était aussi impatiente que moi et j’ai arraché sa culotte.

Je lui ai souri, et tout en la regardant, J’ai passé ma langue sur son sexe, goûtant son excitation. Lucie était une vraie blonde, j’en avais la preuve en voyant les poils blonds superbement taillés. Lentement, j’ai fait monter la pression. Son bassin bougeait  tout seul, animé par sa volonté de prendre du plaisir. Un de mes doigts est venu s’inviter à la fête et j’ai même caressé doucement son anus. C’en était trop pour elle. Son plaisir a explosé dans ma bouche et sur le bas de mon visage. Elle a poussé un feulement alors que son corps se cabrait.

Je l’ai laissée redescendre doucement du nuage sur lequel elle était et j’ai lavé mon visage.

Je suis revenu en caleçon me lover contre elle et on s’est embrassé. Cette fois, c’est elle qui est passée sur moi, hésitante, en m’embrassant partout. Mon caleçon prenait vie au contact de son ventre, ses seins, son menton.

Elle s’est redressée et a regardé réellement pour la première fois la bosse du caleçon. J’ai lu de la surprise sur son visage en voyant la déformation de mon caleçon. Je l’ai sentie hésiter mais c’était allé trop loin, elle ne pouvait plus reculer.

Elle a enlevé le dernier rempart pour se retrouver face à mon sexe encore souple mais d’une taille déjà respectable. Mon sexe a toujours été apprécié de mes conquêtes et je dois avouer que j’en suis fier. Elle a commencé à le caresser avec sa paume et il a gagné en rigidité. J’ai sourit en voyant la surprise sur son visage. Je devinais qu’elle n’était pas habituée à ce calibre.

- Elle est belle hein ?

- … Oui, très belle
- C’est bien que tu la trouve belle. On va bien s’amuser tous les deux. Vas-y, branle-moi ! Lâches-toi ! Ne te refuse rien.

Je ne parle pas comme ça d’habitude mais j’ai senti que Lucie avait besoin d’être dirigée, forcée même pour finir par se lâcher.

Elle commence à me branler, à une main puis deux. Ses doigts ne font pas le tour et ça l’impressionne visiblement.

Elle s’était penchée et se trouvait avec le visage proche de mon sexe et de mon gland qu’elle ne quittait pas des yeux. J’ai vu ses lèvres s’entrouvrir et sa langue est passée sur ses lèvres.

Elle hésitait encore et j’ai cru devoir la diriger une nouvelle fois mais elle s’est penchée et a embrassé ma verge. Elle l’a embrassé encore et encore, sortant finalement sa langue pour me lécher. Je la guidais et elle s’exécutait. Elle a fini par enfourner mon gland dans sa bouche chaude, douce et humide, un délice.

Elle ne pouvait pas prendre beaucoup plus que le gland dans sa bouche. Je ne pouvais m’empêcher de gémir par moment.

- OH là Oui ! C’est bon comme ça ! Continue !

Je lui parlais, la guidais. Je me suis redressé et l’ai embrassée et je l’ai fait mettre sur le dos en me positionnant entre ses jambes. Je me suis fait tendre quand je l’ai sentie stressée. Mon corps couvrait le sien. Je  l’embrassais, lui disais que j’aimais son corps et ses caresses.

J’ai placé mon gland juste à l’entrée de son sexe en poussant très légèrement. Elle respirait fort, la tête dans le creux de mon cou.

J’ai senti son sexe s’ouvrir pour moi. J’étais patient, doux. Et il le fallait car elle était vraiment serrée. Je ressortais pour pénétrer toujours plus loin. J’avais rarement été aussi enserré dans le sexe d’une femme. Je n’ai pu m’empêcher de penser que son mari n’était pas gâté par la nature et ça a décuplé mon excitation.

Je me suis stoppé et je me suis redressé un peu. Elle a pu voir que je n’avais pas entré la totalité de mon sexe. J’ai alors commencé à bouger lentement en elle. C’était incroyable. Je la sentais tellement bien. J’ai fait monter le plaisir graduellement, accélérant le rythme de temps en temps. Ca me rendait fou de voir une femme aussi belle se tordre de plaisir sous moi, tout faire pour freiner ses gémissement mais finalement vaincue, elle a commencé à jouir vraiment fort. Sa jouissance la rendait plus belle encore.

Je me suis à nouveau stoppé et j’ai basculé sur le dos en l’entrainant sur moi. Sans attendre, elle s’est empalée elle-même sur mon pieu. Mon sexe est entré plus profondément. Elle a poussé un long gémissement. Je me doutais que mon sexe atteignait des endroits jamais atteints. Je la regardais en souriant, assez fier de l’effet que je lui faisais.

- C’est bien vas-y ! Empale-toi ! donnes-toi du plaisir !

Elle a commencé à bouger sur mon sexe à un rythme continu. J’en profitais pour passer mes mains partout sur son corps, empaumais ses seins parfaits et me redressais parfois pour les sucer. Nous étions en sueur. Elle était magnifique sur moi. C’était incroyablement érotique. Elle a explosé d’un coup  dans une jouissance incroyable, tête rejetée en arrière. L’air semblait lui manquer.

Elle n’en pouvait plus alors j’ai saisi ses hanches et je lui ai fait faire des mouvements courts et rapides. Son corps est immédiatement reparti dans un orgasme très fort et surtout très long.

La voir jouir si fort, sentir sa chatte enserrer ma queue comme ça… C’en était trop pour moi. J’ai basculé Lucie  sur le dos en sortant mon sexe et en me branlant au dessus d’elle. J’ai éjaculé dans un grand râle une quantité impressionnante de sperme. Elle en avait partout, du cou jusqu’au pubis avec une bonne quantité sur les seins.

Je me suis écroulé à côté d’elle. Après avoir repris notre souffle, on est allé se doucher. Ce n’était pas du luxe.

Elle allait ramasser ses vêtements mais j’ai saisi sa main et nous nous sommes allongés. On s’est endormis immédiatement. Elle était lovée dans mes bras
Quand je me suis réveillé le lendemain, il était 7h30. Lucie allait à la fenêtre et la vue lui a coupé le souffle. Il avait encore  neigé. La couche de neige était impressionnante. Je ne voyais plus que le toit de ma voiture sous une congère.

A ce moment, J’ai posé mes mains sur sa taille. Elle a sursauté mais je l’ai embrassée sur la nuque en me collant à elle. Mes mains ont à nouveau pris possession de son corps doux, chaud et si bien fait. Aucune parole n’avait été prononcée mais je savais déjà que j’avais gagné et ce qu’on allait faire ce matin là.

Je l’ai embrassée, caressée. Ma plus belle récompense a été de sentir immédiatement du désir dans les caresses qu’elle me rendait.

Mon sexe battait contre son ventre. Dans une impulsion, j’ai saisi Lucie par les cheveux d’une main et j’ai appuyé sur son épaule de l’autre. Elle s’est retrouvée à genoux devant mon membre en pleine forme, long gros et puissant. Le gland formait comme un champignon, encore plus gros.

Elle a pris mon sexe et l’a sucé avec application. Je bandais très fort et maintenais sa tête en prenant ses cheveux dans mes mains.

- Tu suce bien ! Tu aimes me sucer ?

- Oui. C’est bon.

- Tu le suce comme ça ton mari ?

- Non, pas souvent.

- Viens, je vais encore fourrer ta jolie petite chatte.

J’avais décidé de changer de ton et ça me plaisait. Je l’ai entrainé sur le lit, genoux au bord du lit. Je l’ai penchée en avant.

- Tu es magnifique dans cette position. Quel cul tu as !

J’ai caressé son dos et ses fesses, passant également un doigt sur son sexe et dans la raie de ses fesses. Elle se crispait un peu à ces moments-là mais ne disait rien. Par moment j’écartais ses fesses de façon autoritaire, admirant sa jolie rosette.

D’un coup, je lui ai fait cambrer les reins encore plus et, me mettant à genoux derrière elle, j’ai commencé à lui manger la chatte. Ma langue jouait avec son clitoris ou s’enfonçait profondément en elle. Insidieusement, alors qu’un doigt entrait en elle, je lui ai léché l’anus, orifice entièrement vierge à coup sûr. Je la sentais soumise à mes caresses. J’étais persuadée que jamais son mari ne lui avait fait cette caresse et qu’elle l’en aurait empêché. Je pense même qu’elle s’est encore plus offerte.

- OH Marc ! c’est trop bon ! Prends-moi ! Je n’en peux plus.

Je me suis mis debout derrière elle alors qu’elle me regardait par-dessus son épaule. Mon sexe dressé, prêt à la prendre. J’étais d’autant plus excité que je voyais un désir très fort dans ses yeux.

- Alors tu la veux encore ma queue hein ! Tu vas voir comme je vais te faire jouir ma salope. Dis-le que tu veux ma queue !

Mes mains agrippaient fermement ses fesses.

- Prends-moi !

- Mieux que ça ! je ne suis pas ton petit mari ! tu vas le faire cocu encore une fois alors assumes.

- ….

- Allez !

- Mets-la-moi ! Je veux que tu me baises ! Je te veux !

- C’est mieux !

J’ai positionné mon gland et j’ai poussé. Son sexe a accepté mon membre plus facilement que la veille mais elle était quand même délicieusement serrée.

Je me suis enfoncé d’une seule et lente poussée, tirant à moi ses hanches, écartant ses fesses pour la prendre encore plus profondément. Elle gémissait, la sensation semblait être plus forte que tout ce qu’elle pouvait imaginer.

- OH mon dieu ! Si profond ! Si gros ! OUI !

J’ai fait un mouvement ample et profond, buttant une nouvelle fois doucement au fond de sa chatte, lui arrachant un grand cri.

- Lucie, je voudrais que ton mari te voie maintenant, complètement offerte en levrette. Tu l’aimes mais c’est ma queue que tu veux. Je vais te faire gueuler comme jamais il ne le fera.

Elle était ma chose à cet instant, je le sentais. Je pouvais lui demander n’importe quoi.

Progressivement, j’ai repris mes mouvements, implacable. Je caressais son dos quelques instants puis la saisissait par les hanches ou les fesses en lui baisant la chatte. Je sais être endurant, me maîtriser. Je la laissais parfois à la limite d’un orgasme dévastateur. Elle en couinait d’envie. Son corps ne lui appartenait plus et son bassin allait à la rencontre du membre qui la bourrait.

A un moment, j’ai inséré doucement le pouce qui caressait et assouplissait son anus depuis un moment, augmentant encore son excitation.

- Tu es à moi. Je vais te faire jouir et après je te dépucellerai le cul ma salope.

- OH MON DIEU ! OUI ! Fais-moi jouir ! Tout ce que tu veux ! Prends tout !

J’ai accéléré le rythme, la prenant à fond, longtemps. J’étais dur et gros comme rarement je l’avais été. Elle est partie dans un orgasme démentiel et j’étais obligé de la maintenir en position le cul en l’air, 2 doigts investissaient son cul en même temps. J’avais trop envie de jouir moi aussi et mes mouvements sont devenus désordonnés. Je me suis planté profondément en elle, envoyant mon sperme dans sa chatte et déclenchant un nouvel orgasme chez elle. Elle s’est effondrée en avant sur le lit, complètement terrassée par la violence de son plaisir.

Quand elle s’est réveillée, quelques minutes plus tard, j’étais en train de caresser tout son corps et de l’embrasser. Elle s’est retournée et m’a embrassé. La sensation d’avoir une si belle femme dans mes bras, sentir tout son corps chaud contre moi me rendait fou et elle semblait apprécier pleinement aussi.

La douceur de nos caresses et de nos baisers contrastait avec les paroles crues que j’avais prononcées.

Elles me revenaient en mémoires. J’avais marqué mon emprise sur elle, relégué son mari au second plan et ça l’avait excitée autant que moi. J’avais toujours rêvé de le faire. J’avais senti que son mari n’était pas à la hauteur de mes performances et j’en tirai un plaisir malsain mais jouissif. Son mari ne lui avait jamais fait ressentir ça. J’en étais sûr.

J’ai senti mon sexe redevenir dur et j’ai eu envie d’elle à nouveau. J’ai vu la même envie dans ses yeux mais avec cette pointe de honte qui m’excitait tant. Je dévorais ses seins, son cou, son ventre. Je l’ai retournée et j’ai pressé mon sexe entre ses fesses tout en l’embrassant sur la nuque.

- Tout à l’heure, Lucie, tut t’es vraiment lâchée. Je ne crois pas avoir fait jouir autant une autre femme. Ta chatte était un délice et ton petit cul était bien tentant aussi. Tu crois que tu aurais accepté de m’accueillir là aussi ?

Elle m’avait dit que je pouvais tout prendre et je comptais bien aller jusqu’au bout.

- Je te l’ai dit. Tout ce que tu veux. Je suis à toi pour le moment alors profites-en.

- Ton mari n’est jamais passé par là ?

- Non, jamais.

- Alors on va y aller en douceur. Il faut que tu aimes. Ton mari me remerciera une autre fois. J’espère qu’il ne sera pas jaloux que je passe en premier.

Tout cela était murmuré à son oreille et ça la mettait dans un état d’excitation incroyable. Elle était anxieuse mais en crevait visiblement d’envie.

Sans un mot, elle a passé une main entre nous et a écarté une fesse. L’invite ne pouvait pas être plus claire. Je me suis levé et je suis revenu très vite de la salle de bain avec un petit flacon dans la main. Je me suis placé à côté d’elle. Je lui ai caressé l’anus doucement et j’ai fait couler un filet de lubrifiant dans la raie de ses fesses. Deux doigts sont entrés immédiatement et plutôt facilement. Elle a tendu la main pour branler mon membre déjà très dur. Là aussi, j’ai fait couler le liquide gras sur ses doigts, lubrifiant mon sexe qui coulissait dans sa main.

Mes doigts faisaient des allers retours, assouplissant son conduit. Elle découvrait des sensations nouvelles, apparemment pas désagréables du tout contrairement aux réactions que je craignais.

Je me suis positionné doucement, alors que sa main quittait à regret mon membre turgescent. J’ai placé quelques coussins sous son ventre en écartant doucement ses cuisses.

- Tu es magnifique, offerte comme ça.

J’ai fait coulisser mon sexe entre ses fesses lubrifiées, y prenant beaucoup de plaisir. De temps à autre, je pressais mon gland contre son anneau que je sentais prêt à céder puis je me retirais, la laissant frustrée, tout en l’embrassant.

A un moment, je me suis presque allongé sur elle, mon gland pressant plus fort sur son anus. Elle soufflait fort, tout de même un peu apeurée.

- Ne t’inquiète pas ma belle. Ca va aller. Je vais posséder ton petit cul vierge tout en douceur. Quand j’en aurais fini avec toi, tu voudras l’avoir dans le cul tout le temps.

D’un coup, son anus s’est ouvert et le gland est entré. Elle a poussé un petit cri de plainte. Je suis resté en elle longtemps comme ça, bougeant à peine. Elle gémissait en continu mais c’était clair que même si ce n’était pas de la jouissance, ce n’était pas de la douleur. Elle se faisait à ma présence.

A un moment, elle a bougé son bassin, comme pour me sentir plus. Je n’attendais que ça et j’ai poussé fort. Mon sexe est entré d’une traite. Seul un râle rauque est sorti de sa gorge. Elle semblait suffoquer, bouche grande ouverte.

Je suis ressortit presque entièrement, lui arrachant un nouveau râle. J’ai lubrifié à nouveau et j’ai commencé des va et vient puissants, en lui tenant fermement les fesses. Elle a mordu dans les draps pour ne pas ameuter tout l’hôtel.

Elle m’a lancé un regard bestial, je la sentais salope, et j’aimais ça !

- Bon dieu, t’aimes ça Lucie.

- Oui. AAHHHH. Encore ! Mais doucement stp T’est vraiment gros là !

- C’est parce que tu m’excite Lucie. Je n’en reviens pas. Ce n’est pas ton petit mari qui peut te la mettre comme ça hein ? T’as besoin d’une grosse queue toi ! Tu l’aime ma queue qui te ramone partout ?

- Oh Oui. J’aime ça.

- Tu préfère ma queue ou celle de ton mari ?

- ….

- Allez ! Dis-le !

- C’est ta queue que je préfère ! C’est trop bon MON DIEU OUIIIIII !

- Je vais te casser ton petit cul, je vais t’apprendre à faire cocu ton mec !

Mes mots la rendaient folle. J’allais doucement mais inexorablement tout au fond de ses fesses. Elle était concentrée sur les sensations inconnues que je lui procurais. Son cul s’est tendu encore plus vers moi, signe qu’elle aimait et que je pouvais la prendre plus fort.

Je l’ai alors mise en levrette, en ramenant ses bras dans son dos. J’ai saisi ses poignets d’une main tout en lui tenant la hanche de l’autre. J’ai alors commencé à véritablement lui baiser le cul, sans douceur, fort et longtemps. Elle s’est mise à crier, à gueuler, totalement incontrôlable mais sans me repousser.

Quand j’ai senti que j’allais jouir, je suis sorti de son cul, je l’ai amenée sans ménagement sous la douche et une fois mon sexe lavé, j’ai enfoncé mon sexe dans sa bouche en la tenant par les cheveux.

Il ne lui est même pas venu à l’idée de refuser. Elle a refermé ses lèvres sur mon gland en suçant comme une affamée. Je me suis vidé dans sa bouche dans un grand râle et je l’ai vu avaler mon sperme. J’ai même eu l’impression qu’elle le savourait, que la seule chose qui lui importait était de sentir ma jouissance sur sa langue et dans sa gorge.

Quand j’ai fini, elle a continué à sucer en prolongeant un peu mon plaisir.

On s’est ensuite rallongé. Je l’ai enlacée et embrassée tendrement. C’était le moins que je puisse faire.

- Tu es incroyable toi ! J’ai fantasmé sur toi dès que je t’ai vue mais je n’aurais pas cru te voir agir comme ça.

- C’est toi qui es incroyable ! Merci pour tout.

- Merci à toi !

- Je vais y aller maintenant, je retourne dans ma chambre.

- D’accord je te laisse partir. Tu crois qu’on pourra se revoir ?

- Non, surtout pas. Je ne regrette pas ce qui s’est passé mais tout sera fini dès que je serais partie d’ici. J’aime ma vie de famille. Promets-moi de ne pas chercher à me revoir.

- Ne t’inquiète pas. Je tiens trop à ma vie de célibataire pour aller casser un couple.

Elle est repartie dans sa chambre. Je  me suis reposé tout l’après-midi devant des programmes sportifs.

D’après la météo, tout était bloqué à 50 km à la ronde et ce que je voyais par la fenêtre me le confirmait.

Je pensais beaucoup à Lucie. J’avais envie d’aller la voir et je me doutais qu’elle n’aurait pas pu partir.

D’après la réception de l’hôtel, le village ne serait dégagé que le lendemain voir le surlendemain.

C’est à 21h00 que je suis allé frapper à sa porte.

- Bonsoir Lucie.

- Bonsoir Marc. Qu’est-ce que tu veux ?

- Quelle question ! toi bien sûr.

- Marc !!! Je t’ai dit que c’était fini ! Ne complique pas les choses.

- Tu m’as surtout dit une chose en quittant ma chambre…
- Quoi ?

- Tu as dit que tout serait fini dès que tu serais partie d’ici…. Et tu es toujours là ! Tout comme moi !

- Mais….

- Il n’y a pas de mais. Tu es à moi tant que tu es là et je vais encore profiter de ton corps cette nuit.

- …. 
Devant son absence de réaction, je suis entré et je l’ai embrassée, ouvrant de force son peignoir. J’ai su de suite qu’elle allait craquer.

Je lui ai fait l’amour d’abord puis je l’ai baisée par tous les trous plusieurs fois durant la nuit, le point d’orgue étant l’appel de son mari à 9h00 le dimanche matin alors que je glissais ma matraque dans son anus endolori.

Malheureusement pour moi, les 2 nuits avec cette femme m’ont parues bien courtes et je la soupçonnais de le penser également. Pour la première fois depuis très longtemps, j’avais l’impression qu’une femme aurait pu prendre une vraie place dans ma vie. Cependant, je comptais bien tenir ma promesse de ne pas chercher à la contacter mais j’ai discrètement pris ses coordonnées alors qu’elle était sous la douche.

 
Presque 1 an a passé et je dois (en tous cas, je me suis arrangé pour ça) retourner chez mon client du Jura. J’ai suivi le parcours de Julie en restant dans l’ombre grâce à un célèbre réseau social : toujours pas d’enfant et peu de photos de couple. Je ne peux m’empêcher de penser à Lucie, à son corps superbe et à l’étroite douceur de son sexe et de son cul. Je suis persuadé que de son côté, elle pense aussi à moi et au plaisir qu’on a pris ensemble.

Je regarde de plus en plus la petite carte glissée dans mon agenda professionnel sur laquelle se trouvent les coordonnées de Lucie. Pense-t-elle à moi ?

J’ai eu la réponse environ un mois avant la date anniversaire de notre rencontre l’année précédente. Un message posté sur la page d’accueil de son réseau social « Mon prochain déplacement professionnel dans le Jura approche. J’espère retrouver là-bas les mêmes conditions de séjour. Et compte tenu de mon tout nouveau célibat, j’aurais plus de libertés à prolonger le séjour »
……Maintenant, plus aucun doute, je vais reprendre contact pour faire coïncider nos interventions ?

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Très belle écriture. C'est classe, sexy et cru. J'aime beaucoup le rythme de l'histoire et la subtile note de romantisme est parfaite. Merci beaucoup



Texte coquin : Déplacement professionnel
Histoire sexe : Une rose rouge
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