Des cousins invitent Patrick, l'étalon. 5
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-08-2021 dans la catégorie Plus on est
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Des cousins invitent Patrick, l'étalon. 5
Des cousins invitent Patrick. 5Les couples se forment.
Elle se cramponna à la pine de Patrick, comme une naufragée qui saisit une bouée.
-Et toi avec ta bite de poney, où en es-tu ? Lui demanda-t-elle.
-Quelle question, ma cocotte, tu vois bien que je bande pour toi…-On va arranger ça ! dit Céline en admirant la poutre dressé, putain ! On ne m’avait pas menti, tu es infatigable !
Patrick se releva et prit place à coté de JP. Céline tripotait la queue toute engluée de son cousin pour lui redonner de l’ardeur.
Suite :-Allez, viens fainéant ! Donne-la ta belle biroute que je te la tète d’un coup, t’en as plus envie, dis ?
JP lui tendit son pénis, elle le prit en main, en dirigea le bout qu’elle se frotta sur les lèvres tel un énorme bâton de rouge, puis elle ouvrit la bouche et le goba.
C’était la première fois de sa vie qu’elle avait l’occasion de s’amuser avec deux mâles à la fois, et encore cette fois-ci l’un deux était son propre cousin... L’autre avait un vrai manche de pioche entre les cuisses, une queue bien agréable à sucer malgré sa grosseur inusitée. Elle s’y employait avec beaucoup de savoir-faire. Il lui en était passé quelques-unes dans les mains et aussi dans la bouche, mais rarement elle avait pris tant de plaisir à sucer un si gros paf.
Celle-ci avait un goût de miel, puis elle était d’une consistance assez rare, toujours bien raide, bien ronde et ferme malgré ses proportions hors-normes, avec des couilles dessous qu’il faisait bon palper gentiment pour ne pas les heurter. C’est fragile ces engins-là, parait-il. Celles-là étaient énormes, de vraies burettes de taureau…
Tiens, voilà son cousin qui se réveillait… A force d’être branloché par sa petite cousine, il s’était remis à bander gentiment permettant à Céline de comparer les deux chibres, quel contraste…Patrick s’était penché, caressant le beau cul, écartant un peu les joues bien pommées, faisant glisser son doigt dans la raie et chatouillant le petit œilleton brun. Céline remua du croupion comme pour le remercier de l’attention, puis elle reprit aussitôt le mouvement plus lent du bassin d’avant en arrière, comme si elle était en train de baiser, lorsque la main de son cousin s’égara entre ses cuisses.
Son doigt avait trouvé le bouton magique et il n’y avait pas beaucoup à insister pour que le courant électrise tout le corps de l’ardente femelle. Quelques circonvolutions heureuses autour de cette perle de chair et c’était reparti pour Céline, elle se sentait de nouveau une bonne envie de jouir dans la chatte. Dans ses doigts, elle sentit la bite de JP se raidir très fort mais elle avait une autre envie. Elle regarda Patrick et lui demanda :-Tu veux que je m’assoie dessus ta belle teub ?
-Ce n’est pas de refus Céline. J’en ai marre de faire tapisserie !
Patrick se coucha sur le tapis, elle rampa un peu sur les genoux pour se trouver à la hauteur voulue et abaissa de nouveau sa croupe sur le bel outil dressé vers sa moule. Sans l’aide d’une seule main, elle s’installa sur le bout raidi de ce véritable gourdin. Les lèvres de sa vulve avide s’entrouvrirent toutes seules pour happer un tel trophée et, continuant son mouvement de descente en remuant du popotin, elle s’empala carrément sur l’énorme dard de Patrick qui écartelait ses lèvres intimes.
-Je l’ai dedans ! S’écria-t-elle, comblée, putain que tu es gros Patrick !... Heureusement que je ne suis pas une ingénue et que JP m’a chauffée…-Remue bien ton cul, salope ! Lui conseilla son cousin, c’est toi qui va le baiser ! Et toi, Patrick, laisse-là faire !...
Les Paroles d’encouragement de JP la stimulèrent énormément et, toujours en tenant le vit de son f cousin, elle fit aller et venir les lèvres distendues de sa chatte tout le long de la belle hampe interminable de Patrick.
-Je te baise, mon salaud ! Laisse-toi faire ! Soupira-t-elle en grimaçant.
Combien de fois dans ses fantasmes solitaires, n’avait-t-elle pas rêvé à une telle éventualité ? Maintenant que c’était du réel et du palpable--- ô combien--- Il fallait en profiter à fond. Elle branlait la pine de son cousin, son rêve… Et en plus, elle se poignardait bien à fond, s’embrochant sur la plus grosse pine qu’elle n’ait jamais connue…Accroupie sur le ventre de Patrick, elle faisait descendre son beau fessier pour s’empaler sur la colonne toute dure qui la fouillait jusqu’aux tréfonds de sa chair en feu. Les seins ballottant en rythme, merveilleusement débridée et lubrique, elle branlait la pine de JP en se faisant bourrer par celle de Patrick, un rêve devenu réalité… Et elle était bien obligée de s’avouer que c’était bon.
JP n’était pas aussi résistant que Patrick, et en quelques minutes, des larmes de sperme giclaient déjà sur la langue de Céline tandis que le colosse phallique dans les profondeurs de sa chatte continuait inlassablement son travail de sape.
Seule dans son coin à observer la scène, Ida terriblement troublée, contemplait le fessier de Céline en train de se mouvoir en rond sur la pine toujours vaillante de Patrick, bien que ses couilles se fussent vidées d’abondance un peu plus tôt. Le monstre de chair ferme continuait son travail. Elle se plaça de telle sorte que son amant eut une vue directe sur sa chatte. Il voyait la fente bien marquée, rien de plus bandant pour un connaisseur comme Patrick, et malgré sa jeunesse, l’expérience ne lui manquait point. Céline sentait cette queue infatigable toujours gonflée dans sa chatte et continuait à limer dessus, heureuse de la sentir toujours pleine de vivacité et se mouvant ardemment dans le sperme de son cousin.
Une écume superbe et très abondante fusait autour des sexes imbriqués et envahissait les poils des deux partenaires. Céline, entre deux soupirs de volupté, demanda à JP en lui montrant Ida:-Qu’est ce que tu attends pour t’occuper d’elle, abruti !
Ida, des yeux verts, des cheveux blonds couleur des blés mûrs, évanescente, toute menue, souple comme une liane, cachait un tempérament de feu. Elle regarda JP dans les yeux, entrouvrit sa bouche et sortit ce joli petit organe dont elle promena le bout sur les lèvres, comme une gourmande qui cherche quelque proie.
Comprenant à demi-mot, JP pencha son visage sur celui de la beauté blonde qui tira sa langue d’une façon encore plus évidente pour que la sienne la rencontre. Ce qui fut fait illico et sans bavure. Pendant cette prise de contact, le vit gluant de JP se redressa avec difficulté et Ida en sentit la sollicitation.
Il l’emmène dans la chambre et l’étend sur le lit, lui mordillant l’épaule en guise de prélude aux jeux érotiques qui vont suivre. Il caresse les tétons raidis, balade sa langue dessus, descend jusqu’au bas-ventre, crache dans le nombril et touille avec la langue. Ida s’étonne et s’impatiente un peu, son envie se situe plus bas. Mais JP sait pertinemment que sa prochaine jouissance sera sûrement la dernière et il veut faire durer le plus longtemps possible.
Le bout de la queue de JP, reprenant difficilement la forme, pointe au dessus du nombril de la fille qui en veut. Elle frotte le bout de ses nichons contre le torse velu de son partenaire. Il passe la main dans les jolis poils taillés en triangle, très soyeux et mordorés. Sa paume enveloppe la motte, ses doigts s’amusent à tapoter sur les lèvres élastiques déjà couvertes d’une rosée lubrifiante, la nature faisant bien les choses. Pour Ida, l’effet est terrible car il a l’air de savoir s’y prendre.
Les doigts écartent les bourrelets, caressent l’intérieur, effleurent le pistil délicat de la fleur sexuelle, Ida bande du clito… Il se penche, elle écartèle ses cuisses le plus possible. JP pose sa tête sur l’intérieur de l’une d’elles et regarde la chatte qu’il est en train de stimuler avec son majeur. Puis il approche son nez du cratère, ça sent la marée, ça le stimule et le fait rebander enfin car il aime bien sentir les effluves des filles. Il en prend plein les narines et en remuerait presque de la queue comme un chien qui a débusqué sa proie. Il en bave d’excitation, tire sa langue tel un satyre et en pose le bout sur l’extrémité du clitoris qui montre sa tête entre les lèvres de la vulve.
-Ah ! Oui, suce-moi ! Implore Ida qui délire de joie charnelle.
Elle est en train, de son coté, de tripoter le gros mandrin qui bande, il n’est pas aussi conséquent que celui de Patrick, mais c’est quand même un beau morceau, plus dans ses habitudes… Il lui glisse dans la main parce qu’il est encore plein de foutre… ça n’en est que plus excitant et la fait mouiller dans sa chatte bien léchée par ce type. Une bien jolie bite, ma fois, et elle va s’en régaler… Elle promène le chibre sur ses lèvres closes, dardant juste un petit bout de langue dessus pour la mouiller et recommence. C’est ça l’art d’une bonne pipe…Elle tient maintenant fermement la bite en main et se la fourre dans la bouche carrément. Elle se l’enfonce très profondément pour en être bien pleine, fourrant son nez dans les poils pubiens de JP, chose qu’elle ne peut faire avec celle de Patrick sans avoir des haut-le-cœur.
Ce salaud est en train de lui bouffer toute la chatte. Elle va lui jouir dessus dans les trente secondes… Elle n’a même pas le temps de le prévenir que c’est parti. Il s’en rend compte, malgré tout, aux petites secousses de son abdomen et aux gloussements qu’elle pousse, tout en lui suçant la pine. Elle mouille comme une fontaine, c’est chaud, c’est âcre, c’est bon…, mais il continue à léchouiller partout, aux anges.
D’autant plus que, comme suceuse, elle se pose là, elle aussi. Quel talent pour aspirer le bout de la bite, c’est dingue ! Et quel appétit, mes aïeux ! C’est pas vrai, elle va lui dévorer le polard ! Il la regarde de temps en temps, avec sa bouche toute grande ouverte et sa langue qui se promène sur son nœud… Quelle fougue et quelle jolie persévérance dans l’effort ! En tout cas, ça fait du bien.
JP remue le bas-ventre, il a envie de jouir aussi, mais heureusement qu’il s’est donné à fond déjà deux fois, ça lui permet de prolonger la performance d’Ida et de se délecter de cette pipe super qu’elle est en train de lui faire. Si toutes les filles suçaient aussi bien que celle-là, il y aurait moins d’homos !
Elle lui presse les couilles à pleine main pendant le pompage, elle lui caresse les miches, elle lui fait des pattes d’araignée sur le périnée. Quelle éducation remarquable ! Est-ce son amant, Patrick, qui lui a enseigné tout ceci ?
A suivre…
Elle se cramponna à la pine de Patrick, comme une naufragée qui saisit une bouée.
-Et toi avec ta bite de poney, où en es-tu ? Lui demanda-t-elle.
-Quelle question, ma cocotte, tu vois bien que je bande pour toi…-On va arranger ça ! dit Céline en admirant la poutre dressé, putain ! On ne m’avait pas menti, tu es infatigable !
Patrick se releva et prit place à coté de JP. Céline tripotait la queue toute engluée de son cousin pour lui redonner de l’ardeur.
Suite :-Allez, viens fainéant ! Donne-la ta belle biroute que je te la tète d’un coup, t’en as plus envie, dis ?
JP lui tendit son pénis, elle le prit en main, en dirigea le bout qu’elle se frotta sur les lèvres tel un énorme bâton de rouge, puis elle ouvrit la bouche et le goba.
C’était la première fois de sa vie qu’elle avait l’occasion de s’amuser avec deux mâles à la fois, et encore cette fois-ci l’un deux était son propre cousin... L’autre avait un vrai manche de pioche entre les cuisses, une queue bien agréable à sucer malgré sa grosseur inusitée. Elle s’y employait avec beaucoup de savoir-faire. Il lui en était passé quelques-unes dans les mains et aussi dans la bouche, mais rarement elle avait pris tant de plaisir à sucer un si gros paf.
Celle-ci avait un goût de miel, puis elle était d’une consistance assez rare, toujours bien raide, bien ronde et ferme malgré ses proportions hors-normes, avec des couilles dessous qu’il faisait bon palper gentiment pour ne pas les heurter. C’est fragile ces engins-là, parait-il. Celles-là étaient énormes, de vraies burettes de taureau…
Tiens, voilà son cousin qui se réveillait… A force d’être branloché par sa petite cousine, il s’était remis à bander gentiment permettant à Céline de comparer les deux chibres, quel contraste…Patrick s’était penché, caressant le beau cul, écartant un peu les joues bien pommées, faisant glisser son doigt dans la raie et chatouillant le petit œilleton brun. Céline remua du croupion comme pour le remercier de l’attention, puis elle reprit aussitôt le mouvement plus lent du bassin d’avant en arrière, comme si elle était en train de baiser, lorsque la main de son cousin s’égara entre ses cuisses.
Son doigt avait trouvé le bouton magique et il n’y avait pas beaucoup à insister pour que le courant électrise tout le corps de l’ardente femelle. Quelques circonvolutions heureuses autour de cette perle de chair et c’était reparti pour Céline, elle se sentait de nouveau une bonne envie de jouir dans la chatte. Dans ses doigts, elle sentit la bite de JP se raidir très fort mais elle avait une autre envie. Elle regarda Patrick et lui demanda :-Tu veux que je m’assoie dessus ta belle teub ?
-Ce n’est pas de refus Céline. J’en ai marre de faire tapisserie !
Patrick se coucha sur le tapis, elle rampa un peu sur les genoux pour se trouver à la hauteur voulue et abaissa de nouveau sa croupe sur le bel outil dressé vers sa moule. Sans l’aide d’une seule main, elle s’installa sur le bout raidi de ce véritable gourdin. Les lèvres de sa vulve avide s’entrouvrirent toutes seules pour happer un tel trophée et, continuant son mouvement de descente en remuant du popotin, elle s’empala carrément sur l’énorme dard de Patrick qui écartelait ses lèvres intimes.
-Je l’ai dedans ! S’écria-t-elle, comblée, putain que tu es gros Patrick !... Heureusement que je ne suis pas une ingénue et que JP m’a chauffée…-Remue bien ton cul, salope ! Lui conseilla son cousin, c’est toi qui va le baiser ! Et toi, Patrick, laisse-là faire !...
Les Paroles d’encouragement de JP la stimulèrent énormément et, toujours en tenant le vit de son f cousin, elle fit aller et venir les lèvres distendues de sa chatte tout le long de la belle hampe interminable de Patrick.
-Je te baise, mon salaud ! Laisse-toi faire ! Soupira-t-elle en grimaçant.
Combien de fois dans ses fantasmes solitaires, n’avait-t-elle pas rêvé à une telle éventualité ? Maintenant que c’était du réel et du palpable--- ô combien--- Il fallait en profiter à fond. Elle branlait la pine de son cousin, son rêve… Et en plus, elle se poignardait bien à fond, s’embrochant sur la plus grosse pine qu’elle n’ait jamais connue…Accroupie sur le ventre de Patrick, elle faisait descendre son beau fessier pour s’empaler sur la colonne toute dure qui la fouillait jusqu’aux tréfonds de sa chair en feu. Les seins ballottant en rythme, merveilleusement débridée et lubrique, elle branlait la pine de JP en se faisant bourrer par celle de Patrick, un rêve devenu réalité… Et elle était bien obligée de s’avouer que c’était bon.
JP n’était pas aussi résistant que Patrick, et en quelques minutes, des larmes de sperme giclaient déjà sur la langue de Céline tandis que le colosse phallique dans les profondeurs de sa chatte continuait inlassablement son travail de sape.
Seule dans son coin à observer la scène, Ida terriblement troublée, contemplait le fessier de Céline en train de se mouvoir en rond sur la pine toujours vaillante de Patrick, bien que ses couilles se fussent vidées d’abondance un peu plus tôt. Le monstre de chair ferme continuait son travail. Elle se plaça de telle sorte que son amant eut une vue directe sur sa chatte. Il voyait la fente bien marquée, rien de plus bandant pour un connaisseur comme Patrick, et malgré sa jeunesse, l’expérience ne lui manquait point. Céline sentait cette queue infatigable toujours gonflée dans sa chatte et continuait à limer dessus, heureuse de la sentir toujours pleine de vivacité et se mouvant ardemment dans le sperme de son cousin.
Une écume superbe et très abondante fusait autour des sexes imbriqués et envahissait les poils des deux partenaires. Céline, entre deux soupirs de volupté, demanda à JP en lui montrant Ida:-Qu’est ce que tu attends pour t’occuper d’elle, abruti !
Ida, des yeux verts, des cheveux blonds couleur des blés mûrs, évanescente, toute menue, souple comme une liane, cachait un tempérament de feu. Elle regarda JP dans les yeux, entrouvrit sa bouche et sortit ce joli petit organe dont elle promena le bout sur les lèvres, comme une gourmande qui cherche quelque proie.
Comprenant à demi-mot, JP pencha son visage sur celui de la beauté blonde qui tira sa langue d’une façon encore plus évidente pour que la sienne la rencontre. Ce qui fut fait illico et sans bavure. Pendant cette prise de contact, le vit gluant de JP se redressa avec difficulté et Ida en sentit la sollicitation.
Il l’emmène dans la chambre et l’étend sur le lit, lui mordillant l’épaule en guise de prélude aux jeux érotiques qui vont suivre. Il caresse les tétons raidis, balade sa langue dessus, descend jusqu’au bas-ventre, crache dans le nombril et touille avec la langue. Ida s’étonne et s’impatiente un peu, son envie se situe plus bas. Mais JP sait pertinemment que sa prochaine jouissance sera sûrement la dernière et il veut faire durer le plus longtemps possible.
Le bout de la queue de JP, reprenant difficilement la forme, pointe au dessus du nombril de la fille qui en veut. Elle frotte le bout de ses nichons contre le torse velu de son partenaire. Il passe la main dans les jolis poils taillés en triangle, très soyeux et mordorés. Sa paume enveloppe la motte, ses doigts s’amusent à tapoter sur les lèvres élastiques déjà couvertes d’une rosée lubrifiante, la nature faisant bien les choses. Pour Ida, l’effet est terrible car il a l’air de savoir s’y prendre.
Les doigts écartent les bourrelets, caressent l’intérieur, effleurent le pistil délicat de la fleur sexuelle, Ida bande du clito… Il se penche, elle écartèle ses cuisses le plus possible. JP pose sa tête sur l’intérieur de l’une d’elles et regarde la chatte qu’il est en train de stimuler avec son majeur. Puis il approche son nez du cratère, ça sent la marée, ça le stimule et le fait rebander enfin car il aime bien sentir les effluves des filles. Il en prend plein les narines et en remuerait presque de la queue comme un chien qui a débusqué sa proie. Il en bave d’excitation, tire sa langue tel un satyre et en pose le bout sur l’extrémité du clitoris qui montre sa tête entre les lèvres de la vulve.
-Ah ! Oui, suce-moi ! Implore Ida qui délire de joie charnelle.
Elle est en train, de son coté, de tripoter le gros mandrin qui bande, il n’est pas aussi conséquent que celui de Patrick, mais c’est quand même un beau morceau, plus dans ses habitudes… Il lui glisse dans la main parce qu’il est encore plein de foutre… ça n’en est que plus excitant et la fait mouiller dans sa chatte bien léchée par ce type. Une bien jolie bite, ma fois, et elle va s’en régaler… Elle promène le chibre sur ses lèvres closes, dardant juste un petit bout de langue dessus pour la mouiller et recommence. C’est ça l’art d’une bonne pipe…Elle tient maintenant fermement la bite en main et se la fourre dans la bouche carrément. Elle se l’enfonce très profondément pour en être bien pleine, fourrant son nez dans les poils pubiens de JP, chose qu’elle ne peut faire avec celle de Patrick sans avoir des haut-le-cœur.
Ce salaud est en train de lui bouffer toute la chatte. Elle va lui jouir dessus dans les trente secondes… Elle n’a même pas le temps de le prévenir que c’est parti. Il s’en rend compte, malgré tout, aux petites secousses de son abdomen et aux gloussements qu’elle pousse, tout en lui suçant la pine. Elle mouille comme une fontaine, c’est chaud, c’est âcre, c’est bon…, mais il continue à léchouiller partout, aux anges.
D’autant plus que, comme suceuse, elle se pose là, elle aussi. Quel talent pour aspirer le bout de la bite, c’est dingue ! Et quel appétit, mes aïeux ! C’est pas vrai, elle va lui dévorer le polard ! Il la regarde de temps en temps, avec sa bouche toute grande ouverte et sa langue qui se promène sur son nœud… Quelle fougue et quelle jolie persévérance dans l’effort ! En tout cas, ça fait du bien.
JP remue le bas-ventre, il a envie de jouir aussi, mais heureusement qu’il s’est donné à fond déjà deux fois, ça lui permet de prolonger la performance d’Ida et de se délecter de cette pipe super qu’elle est en train de lui faire. Si toutes les filles suçaient aussi bien que celle-là, il y aurait moins d’homos !
Elle lui presse les couilles à pleine main pendant le pompage, elle lui caresse les miches, elle lui fait des pattes d’araignée sur le périnée. Quelle éducation remarquable ! Est-ce son amant, Patrick, qui lui a enseigné tout ceci ?
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Petite orgie.